Utilisateur:Dupont christophe/Christophe Dupont
Christophe Guillaume Marcel Dupont, né le 21 juin 1982 à Valenciennes (Nord), est un artiste polymathe ascétique.
Biographie
modifierChristophe Dupont est le seul enfant de Jacques Dupont, dessinateur industriel devenu par la suite commercial dans la vente et la location de banche pour la construction industrielle, et d'Evelyne Dupont, assistante de direction également dans le milieu industriel.
Il est tout d'abord scolarisé dans l'école maternelle du Mont des Bruyères, quartier de Saint Amand les Eaux, là où ses grand-parents maternels avaient une ferme transmise de génération en génération (souvent garder par ses grands-parents car ses parents travaillaient tous les deux, il passait alors son temps entre écouter de vieux 45 tours, la télévision - proposant dés lors uniquement 3 chaines - et le grand terrain derrière la ferme).
Par la suite, ses études se poursuivent à l'école Jeanne d'Arc, ancien internat tenu par des sœurs catholiques, puis tout naturellement au collège Notre Dame des Anges, désormais regroupés sur le terme institution.
Lors d'un échange entre établissements scolaires, il découvrit la filière professionnelle électronique, que lui avait conseillée sa professeure principale. Sur le moment de choisir son orientation, sous la pression de sa mère (dont le frère avait réussi dans son entreprise d'électricité) et de sa professeure principale, il dût intégrer le lycée Dampierre de Valenciennes, sous la filière électrotechnique. L'un des professeurs ayant vanté les qualités de ce lycée lors de la journée de visite scolaire s'était trompé d'information entre électronique et électrotechnique, Christophe Dupont dû subir durant 5 ans des cours qu'il n'appréciera jamais. Il avait choisi électronique et non électrotechnique, mais l'erreur de ce professeur décida de sa formation à tort.
Littérature
modifierC'est en 1999, durant sa deuxième année dans ce lycée professionnel, en février, qu'il tomba amoureux de la littérature. Lors d'un voyage en voiture avec ses parents de 8 heures, il dévora les pages de Shining de Stephen King. Tout bascula, il ne rêvait dés lors que d'une chose, devenir écrivain; au grand dam de ses parents. L'écriture ou même la littérature n'était, pour eux, que de la fantaisie et ne constituait pas un métier "sérieux".
A la fin de cette deuxième année, un concours d'écriture fut organisé avec les 1500 élèves. Christophe était finaliste avec un autre élève, dont la mère était professeur de français (donc qui eut son aide assurément), mais Christophe gagna ce concourt. Le prix était de 50 francs en bon cadeau dans le Furet du Nord de Valenciennes. Il put donc s'offrir à lui-même Les Passions de l'Âme de René Descartes.
Son double examen d'électronique (BEP & CAP) obtenu avec mention très bien il demanda un entretien avec la directrice de l'établissement, qui était également sa professeur de français. Il lui demande de changer de filière et de partir dans un établissement général pour y étudier les lettres classiques. Elle s'attendait à cette demande de la part de ce jeune mais l'y poussa à y renoncer en prétextant un recul de 2 ans sur son cursus scolaires, qu'il "serait alors le plus grand de tous".
Repartant alors pour 3 ans dans ce même lycée professionnel, les passions de ses camarades, les dialogues et leurs objectifs de vie le poussa à sécher les cours. L'ennui durant les cours techniques ainsi que l'incompréhension de la part de ses professeurs face à ce jeune qui ne venait jamais, firent de ces 3 années un calvaire. La philosophie venait d'être incorporé au programme de terminal cette année là en enseignement technique, il crut alors enfin à un cours intéressant. Alors qu'il lisait déjà depuis des années cette matière qui le passionnait, le 1er devoir à faire lui valut la note de 02/20; la professeure de l'époque l'ayant pris en grippe de part ses absences répétées dans les autres matières.
Il décida alors de ne plus suivre un seul cours de philosophie de cette professeure. Les résultats du baccalauréat en philosophie (où il obtient 18/20 sans jamais n'avoir suivi qu'un seul cours d'introduction) monteront dés lors sa passion dévorante pour cette matière.
Insomnies chroniques
modifierDe 1994 à 2002, la mère de Christophe Dupont, ayant découvert les adultères répétées de son mari lors de ses déplacements quotidiens (il partait du lundi matin au vendredi soir), buvait de plus en plus. Elle gardait seule son fils unique et ils ne passaient leurs soirées qu'à regarder les seuls trois chaines de télévision tandis qu'elle buvait une bouteille de vin pétillant chaque soirs.
Obligé de se coucher tôt, il passait quasiment ses nuits entières à écouter de la musique; ce qui développa amplement sa passion musicale.
Les week-ends n'étaient que disputes entre ses parents, il passait toute sa journée sans sa chambre à écouter de la musique puis à en pratiquer au travers de l'apprentissage en autodidacte de la guitare et du piano. Lors du repas du soir, à table ses parents regardaient la télévision en mangeant tandis que Christophe tournait le dos à l'écran; ce qui le laissait contempler ses parents silencieusement quotidiennement. C'est à partir de cette période, en 1994, que ses parents l'envoyaient se coucher et que leurs disputes étaient les plus bruyantes. Christophe devait monter le son de casque pour s'endormir et commença à développer de l'insomnie chronique.
Le médecin de famille lui prescrivit des anxiolytiques puis l'habitude fit que les traitements étaient trop légers donc il passa aux hypnotiques puis aux benzodiazépines sous forme de traitements quotidiens.
Les périodes de demi-vies de ces traitements étant de plus en plus longues au fur et à mesure des années, les effets délétères des lendemains prirent le pas sur sa vie scolaire, il ne faisait que se présenter le matin devant le lycée, puis faisait demi-tours et passait son temps dans les bars à boire du café en écrivant frénétiquement. De 1999 à 2002 il passait tous ses après-midis au Snooker Palace de Valenciennes à jouer seul au snooker. Ses journées étaient décomposées en 4 actes, café + écriture (3 heures), salade le midi, snooker (4 heures) et train pour revenir chez lui; le train lui permettait de lire avec avidité durant des heures.