Utilisateur:Enfant têtu/Coordinadora Guerrillera Simón Bolívar

Enfant têtu/Coordinadora Guerrillera Simón Bolívar

La[1] Coordinadora Guerrillera Simón Bolívar était un groupe qu'il prétendait unifier l'actionde différentes organisations guerrilleras en Colombie depuis 1987 jusqu'à la moitié des années 90. Ils l'intégraient les FARC, l'Armée de Libération Nationale, l'Armée Populaire de Libération, M-19,le Parti Révolutionnaire des Travailleurs et le Mouvement Armé Quintín Lame.[2] Après la démobilisation du M-19, du Quintín Lame, de l'EPL, et le PRT en 1991, il ne reste dans la Coordinadora que les FARC-EP, l'ELN et une faction du EPL. En année 1994, le groupe est dissolu.[3]

Histoire modifier

Antécédents modifier

La première incarnation de la CGSB a été la Coordinadora Nacional Guerrillera(CNG), créée en 1985, pour éviter la fragmentation de ses luttes et réussir à mettre en place des actions à large échelle afin de mener à bien les objectifs. Cette création s'explique aussi par la démobilisation de certaines factions qui risquait de déstabiliser la lutte rebelle. Cependant, les organisations guerrilleras se sont réunies sans succès, recherchant un pouvoir politico-militaire plus important.[4][5]Cette coordination a été créée par une multitude de factions: le Comando Ricardo Franco Frente-Sur (expulsé en 1986), l'EPL, le M-19, le Mouvement Armé Quintín Lame, le Parti Révolutionnaire des Travailleurs et l'Union Camilista - Armée de Libération Nationale conformée par la trilateral du ELN et le Mouvement de Gauche Révolutionnaire-Patrie Libre, en faisant de cette coordinatrice une plate-forme idoine pour le débat et la coopération pour l'exécution d'objectifs militaires à majeure échelle.[4][5] Depuis un début la coordination voulait former un lien entre les groupes assignés et les FARC-EP, ceci pour profiter de sa structure et portée.[4][5]

Fondation modifier

La première réunion aussi bien que CGSB s'a mené à terme en septembre de 1987, en soulignant l'inclusion des FARC-EP et que grâce à cette changement son nom. L'organisme a créé un code d'honneur en relation avec le je traite à la population civile et il a établi des procédures pour résoudre conflits entre les organisations rebelles qu'ont donné des fruits en des régions aussi bien que Santander, où les FARC-EP et le ELN ont remporté surpasser ses différences territoriales pour coopérer à l'encontre du "impérialisme yanqui et les forces de l'état".[6][4][5] Par part du gouvernement colombien a vu cette coordinatrice aussi bien qu'un recul au procès de desmovilización, qu'y avait eu une importante hausse à la fin des 80´s. Selon les forces de sécurité la coordinatrice il raconterait avec au moins 60 fronts et au moins 30,000 guérilleros[7]

Développement de la CGSB modifier

En avril de 1988 se réaliserait l'II conférence du mouvement et en août du même an une troisième réunion. En 1989 ils s'ont aussi réalisé deux réunions, une en février et autrui en avril, alors qu'en 1990 s'a réalisé l'I Cime de Comandantes.[8]

L'III conférence est arrivé depuis le 13 au 16 octobre 1988, où les thèmes traités a été la situation économique et politique du pays, le croissant paramilitarismo, et les problèmes avec le trafic de stupéfiants, les négociations pour la libération de prisonniers politiques, l'unification entre les guérillas et son soutien pour la lutte populaire en Colombie et l'Amérique Latine.[9]

Dans les premiers ans de conformée, la CGSB n'écartait pas la possibilité d'un accord de paix et lui donner une sortie pacifique au conflit, seulement si ils se répondaient ses demandes et les de la population.[10][11] Pendant cette étape le groupe je dénonce que le gouvernement a été qui n'avait pas l'intention de terminer le conflit de façon pacifique.[12]

Décennie de 1990 modifier

En septembre de 1990 s'a réalisé la Première Cime de Comandantes “Jacobo Sables”, où la coordinatrice suivait ouvert à une rapprochement au dialogue, mais il n'écartait pas une sortie armée au conflit.[13] Dans ce décennie la coordinatrice je prends une position plus conformacional, mais avec "les idées et des attitudes politiques, philosophiques et religieuses de la population", ainsi qu'en respectant l'autonomie de la population indigène colombienne.[14]

Le 28 avril la CGSB a réalisé une prise guerrillera au corregimiento La Victoire, juridiction de Sardinata, à Nord de Santander a laissé deux polices blessés, la caserne de Police, le bureau de l'Entreprise Nationale de Télécommunications (Télécom), la Caisse Agraire et le post de santé détrui.[15]

Dialogues de paix modifier

30 avril de 1991 membres de la CGSB ont pris sans l'usage de la force l'ambassade du Venezuela à Bogota, ceci pour dissuader aux autorités colombiennes de réaliser une rapprochement pour dialoguer une sortie pacifique au conflit (autant pour que participât le gouvernement aussi bien que la Conférence Épiscopale Colombienne). Dans cette "prise" les guérilleros participants ils ont demandé asilo diplomate au gouvernement du Venezuela.[16][17][18][19]

Enfin le 17 mai 1991 l'état colombien et la CGSB conviennent dialoguer dans la ville de Caracas[20], pour terminer en se réunissant jusqu'au 4 juin du même an.[21][22] Les conversations entre les guérillas du CGSB et le gouvernement de César Gaviria ont commencé en juin de 1991 à Caracas, où le même an ils s'ont réunis en deux occasions.[23] Les dialogues de paix s'ont déplacés dans le Centre Des vacances La Trinité en Tlaxcala en Tlaxcala, le Mexique, ceci par le postérieur Putsch de février de 1992 en Venezuela, en se cassant momentáneamente les conversations.[24][25][26] Dans le contexte des dialogues, le CGSB a présenté au gouvernement un document de douze propositions pour la construction de paix.[27][28] Une des préoccupations du groupe ont été le de le auge de l'union du paramilitarismo et le nárcotrafico.[29] Malgré les avances réalisées par les négociations, il a eu des attaques armées dans les deux partis, aussi bien que le réalisé en Villavicencio, en laissant 9 polices Antinarcotiques morts, en une emboscada à Santander, a laissé 6 officiels morts, et enfin une attaque à un oleoducto qu'a laissé à deux mineurs morts et deux blessés.[30][31]

Le 20 mai 1992 la coordinatrice a réalisé la prise guerrillera du Carmen, Nord de Santander et ont détrui le post de police et le siège de la Caisse Agraire. Dans l'attentat a laissé un suboficial mort, deux agents blessés et un disparu.[32]

Pour le 20 novembre un groupe d'intellectuels colombiens écrit à la CGSB en leur proposant sa desmovilización et entamer des dialogues de paix en raison de la perte de vigueur de ses luttes armées, auxquels la CGSB a répondu le 2 décembre que la faute de paix était par part du gouvernement et qu'autant société aussi bien que je gouverne ils devaient continuer à chercher des chemins de paix.[33][34]

Déjà pour juin de 1991 ils se remarquaient des légères avances dans les accords.[35]

Le 18 juin 1994, membres de la UC-ELN et le Bloc Populaire Miliciano (appartenants au CGSB) ont attaqué neuf succursales bancaires et financières de Medellín, en laissant une moindre blessure et dommages de plus de 150 millions de poids.[36] il n'a pas été jusqu'au 26 juillet membres du CGSB ont attaqué une base militaire en le corregimiento Port Valdivia, nord d'Antioquia], ont laissé un soldat blessé et ils ont bloqué la voie à la Côte le Caraïbe par plus de dix heures.[37]

Dissolution modifier

La CGSB se dissout à la fin de l'année, en raison des disputes entre le ELN, et les FARC-EP. Avant cela, le 30 septembre du même an, ils ont suspendus les accords entre les guérillas concernées et l'état colombien, ceci en réponse à l'attentat souffert par Aurelio Iragorri Hormaza, dans lesquelles sont mortes cinq personnes.[38][39]

Legs et tentatives de réapparition modifier

En 2015, il s'a proposé conformer à nouveau dite Coordinatrice en pro des dialogues avec le gouvernement, ce que il ne s'a pas concrétisé et les FARC-EP se desmovilizaron en 2016, en restant seulement le ELN comme groupe armé en vigueur.[40][41][42]

Mentions modifier

Références modifier

  1. Marco Palacios, Between Legitimacy and Violence, Durham, NC, Duke University Press,
  2. « Terrorist Organization Profile by START (2010) » [archive du 21 de diciembre de 2013] (consulté le Date invalide (11 de enero de 2015))
  3. (es) CM, « Negociación y desmovilización con grupos armados (M-19, Epl, Prt, Maql y Crs) », VerdadAbierta.com, 18 de noviembre de 2012 (consulté le Date invalide (8 de diciembre de 2019))
  4. a b c et d « Historia de la interacción político-militar entre guerrillas colombianas, 1964-2015 », Universidad Nacional de Colombia (consulté le )
  5. a b c et d (es) Milton Hernandez, La unidad revolucionaria: utopía y realidad, Ediciones Colombia Viva,
  6. « Declaración política de la Primera Cumbre Regional Guerrillera del Noroeste Colombiano », CEDEMA (consulté le Date invalide ("021-12-15))
  7. « El Gobierno de Colombia califica de retroceso la unión de seis grupos guerrilleros », El País (consulté le )
  8. (es) « Nace la Coordinadora Guerrillera Simón Bolívar », Radio Nacional de Colombia, 28 de noviembre de 2016 (consulté le Date invalide (8 de diciembre de 2019))
  9. « Tercera Conferencia de la CGSB. Conclusiones Políticas », Cedema (consulté le )
  10. « La CGSB insiste en el diálogo y reclama respuestas adecuadas al Gobierno », CEDEMA (consulté le )
  11. « La CGSB ante el comunicado del Gobierno del 4 de agosto », CEDEMA (consulté le )
  12. « Carta abierta de la CGSB a la Comisión de Notables », Cedema (consulté le )
  13. « La Asamblea debe ser un hecho de paz », Cedema (consulté le )
  14. « Comportamiento con las masas », Cedema (consulté le )
  15. « CGSB ATACA LA VICTORIA: », El Tiempo (consulté le )
  16. « Irrupción en la Embajada venezolana en Colombia », CeDeMa.org (consulté le )
  17. « Toma pacífica de la Embajada de Venezuela en Bogotá », El País (consulté le )
  18. « CGSB IRRUMPE EN SEDE VENEZOLANA », El Tiempo (consulté le )
  19. « Lo de la paz de Gaviria: mera retórica », CeDeMa.org (consulté le )
  20. « El Gobierno y la coordinadora guerrillera de Colombia acuerdan negociar en Caracas », El País (consulté le )
  21. « El Gobierno y la guerrilla colombiana buscan en Caracas un acuerdo mínimo », El País (consulté le )
  22. « Declaración de Caracas », CeDeMa.org (consulté le )
  23. « El Gobierno y la guerrilla colombiana buscan en Caracas un acuerdo mínimo », El País (consulté le )
  24. (es) « COLOMBIA: ANTECEDENTES DE UN PROCESO. «LA COORDINADORA GUERRILLERA SIMÓN BOLÍVAR».(memorabilia de la prensa) », Kaos en la red (consulté le Date invalide (8 de diciembre de 2019))
  25. « Conversaciones de paz en Caracas y México »
  26. « https://elpais.com/diario/1991/06/21/internacional/677455213_850215.html », El País (consulté le )
  27. « Coordinadora Guerrillera Simón Bolivar », www.mamacoca.org (consulté le Date invalide (8 de diciembre de 2019))
  28. « Doce propuestas para construir una estrategia de paz », CeDeMa.org (consulté le )
  29. « Posibilidades de una salida política al conflicto colombiano », Cedema (consulté le )
  30. « La guerrilla colombiana mata a 15 policías y dos niños », El País (consulté le )
  31. « Guerrilla mata 15 policías », El Tiempo (consulté le )
  32. « CG SE TOMÓ EL CARMEN », el Tiempo (consulté le )
  33. « Cedema.org - Viendo: Carta de intelectuales colombianos a la CGSB », www.cedema.org (consulté le Date invalide (8 de diciembre de 2019))
  34. « Cedema.org - Viendo: Respuesta de la CGSB a los intelectuales colombianos », Cedema (consulté le )
  35. « El diálogo colombiano logra limitados acuerdos de paz », El País (consulté le )
  36. « CG ATACA 9 BANCOS EN MEDELLÍN », El Tiempo (consulté le )
  37. « CG ATACA BASE MILITAR EN PUERTO VALDIVIA », El Tiempo (consulté le )
  38. « EL ATENTADO A IRAGORI », Semana (consulté le )
  39. « Guerrilla colombiana », El País (consulté le )
  40. Europa Press, « Las Farc y el ELN se podrían unir en una coordinadora guerrillera », www.notimerica.com, 12 de septiembre de 2015 (consulté le Date invalide (8 de diciembre de 2019))
  41. (es) Las2orillas, « "Una amplia mayoría de las FARC y el ELN apoyamos el relanzamiento de una Coordinadora Guerrillera”: Gabino », Las2orillas, 15 de septiembre de 2015 (consulté le Date invalide (8 de diciembre de 2019))
  42. (es) « ¿Por qué sigue el conflicto entre el Gobierno y el ELN? », www.telesurtv.net (consulté le )

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