Utilisateur:FutbolLeyenda/Quatre étoiles au-dessus de l'écusson du football uruguayen

Les quatre étoiles sur l’écusson du football uruguayen représentent les quatre titres mondiaux reconnus par la FIFA remportés par l'équipe nationale de football uruguayenne dans les années 1924, 1928, 1930 et 1950. Les tournois olympiques de football de Paris 1924 et d'Amsterdam 1928 ont été reconnus par les associations mondiales de football depuis le début comme des championnats du monde professionnels et, par après, comme équivalants à la Coupe du monde FIFA.[1],[2]

La FIFA organise les tournois olympiques de football de 1924 et 1928 en tant que championnats du monde ouverts. modifier

Les tournois olympiques de football de 1924 et 1928 présentaient plusieurs particularités qui les distinguaient des autres éditions organisées auparavant et après. Premièrement, ces championnats étaient administrés principalement par la FIFA, les associations de football française et néerlandaise, respectivement, sans la participation obstructive du Comité international olympique.[2] Deuxièmement, ces deux tournois olympiques de football étaient les premiers de l'histoire ouverts à tous les joueurs, y compris ceux professionnels.[2] Dès le départ, la FIFA, les associations de football et les médias de diverses régions du monde ont reconnu la légitimité de ces tournois olympiques de football comme équivalents aux championnats du monde professionnels.[2],[2]

L'Uruguay ajoute quatre étoiles à son écusson de football modifier

En 1992, l'équipe nationale de football uruguayenne réussit à ajouter pour la première fois quatre étoiles à son écusson sans que la FIFA ou la CONMEBOL ne s'y opposent.[2],[2] La demande fut soulevée par l'historien du football et journaliste uruguayen Atilio Garrido, qui cita qu'en 1924, l'association uruguayenne de football avait soumis à la FIFA ses rapports officiels intitulés "Champions du monde de football aux Jeux olympiques de Paris".[2] De plus, en 1928, l'association uruguayenne fit de même, sauf que cette fois, elle intitula ses documents : "Olympiade d'Amsterdam, champions du monde d'Uruguay".[2] Ces rapports furent officiellement soumis à la FIFA en 1925 et 1929 et acceptèrent sans objection. En 1992, lors du congrès de la FIFA à Zurich, Atilio Garrido a soutenu avec succès que la position officielle de l'Uruguay en tant que quadruple champion du monde de la FIFA : "S'inscrit dans la continuité de ce qui a été officiellement enregistré par les directives de cette époque".[2]

La association uruguayenne de football adhère au règlement de la FIFA sur les uniformes. modifier

La FIFA a des conditions strictes pour l'ajout d'étoiles sur l'écusson d'une équipe nationale pendant la Coupe du Monde de la FIFA. Seules les équipes qui ont remporté une Coupe du monde (ou un équivalent reconnu) peuvent arborer une étoile à cinq branches sur leur écusson.[3],[2],[2]

Suite à ces directives officielles de la FIFA, l'équipe nationale de football de l'Uruguay a été autorisée à utiliser ses quatre étoiles sur son écusson lors de cinq participations consécutives à la Coupe du monde : 2002, 2010, 2014, 2018 et 2022.[4] Un exemple de non-approbation par la des étoiles sur un écusson de football s'est produit en 2018, lorsque l'équipe nationale égyptienne a dut retirer ses sept étoiles avant la Coupe du monde en Russie, qui représentaient les sept Coupes d'Afrique des Nations qu'elle avait précédemment gagnées.[5]

L'émergence d'une histoire contradictoire modifier

Dans son livre ‘Trente-six mensonges’ de Jules Rimet : Une critique du livre influent "La merveilleuse histoire de la Coupe du monde", l'historien Pierre Arrighi examine la création d'une histoire contemporaine révisionniste du football, qui éloigne historiquement la FIFA du Comité international olympique.[2] Arrighi souligne plusieurs déclarations faites par les partisans de cette version de l'histoire (en particulier : certains dirigeants de la FIFA et des historiens du football) qui contredisent directement celles faites par les représentants précédents de la FIFA, les médias promotionnels officiels, la Fédération française de football (en 1924), la Fédération néerlandaise de football (en 1928), le Comité international olympique, ainsi que le propre président de la FIFA, Jules Rimet.[2]

Tout d'abord, dans son livre ‘Histoire Merveilleuse de la Coupe du Monde’ (1954), Jules Rimet prend pour la première fois ses distances avec l'histoire olympique du football en déclarant que le premier championnat du monde est la Coupe du Monde de la FIFA de 1930.[2] En réponse à cette déclaration, Arrighi a reproché à Rimet de ridiculiser, en particulier, les dirigeants de la Fédération française de football et Henri Delaunay, un éminent administrateur du football français à l'époque, dans le but de distancier sa relation avec le CIO.[2] Arrighi a cité l'ingratitude de Rimet envers le Baron Pierre de Coubertin (fondateur du Comité International Olympique) et son dédain croissant pour le mouvement olympique en général était bien connu dans ses dernières années.[6] En réaction aux commentaires de Rimet contre Coubertain et la participation de la FIFA au CIO, Arrighi écrit : "L'Union des Sociétés Françaises de Sports Athlétiques de Coubertin a fondé la FIFA en 1904 et Jules Rimet a occupé divers postes au sein des instances olympiques françaises pendant pratiquement toute sa vie. La FIFA a géré les tournois de football aux Jeux Olympiques en 1924, 1928 et à partir de 1936. Son développement mondial après 1923 est largement dû au pouvoir d'attraction exercé par les Jeux Olympiques.[6]

La version contradictoire de l'histoire du football de Jules Rimet a ensuite été adoptée en 1980 par Joseph Blatter (qui était alors directeur technique de la FIFA), demanda à Tony Mason (professeur d'histoire à l'université De Montfort de Leicester) et à l'historien français Alfred Walh de créer un livre intitulé FIFA 1904-2004 : The Century of Football.[2] Ce livre devait refléter cette version cultivée de l'histoire du football qui positionnerait la FIFA comme la principale organisation ayant exclusivement organisé le premier championnat du monde de football. Suite à cette publication, une vision disparate de l'histoire commença à circuler, qui prétendait que toutes les éditions des tournois olympiques de football avant 1930, y compris les tournois ouverts et professionnels de 1924 et 1928, devaient être considérés comme des "titres mondiaux amateurs".[2] Le point de vue de cette publication a été repris dans le livre de la FIFA de 2017, L'histoire officielle de la Coupe du Monde de la FIFA.[2] Des critiques de différentes parties du monde (tels que : les historiens Pierre Arrighi de France et Márcio Trevisan du Brésil) ont commencé à trouver plusieurs problèmes avec cette tentative révisionniste. Par exemple, Arrighi souligna que les comités chargés de rédiger ces livres étaient composés uniquement d'Européens, ce qui démontra un préjugé, et qu’il n’y avait aucun Sud-Américain présent à la table.[2]

M. Arrighi ensuite dénonça le fait que plusieurs de ces auteurs remettaient encore en question l'implication de la FIFA dans le Comité international olympique comme l'un de leurs principaux arguments contre l'officialisation des tournois olympiques de football de 1924 et 1928.[2] Par exemple, M. Arrighi nota que Tony Mason mentionna à tort que le CIO émettait son autorité sur la FIFA "d'en haut", alors qu'il existait de nombreuses preuves historiques du contraire : que la FIFA était autonome par rapport au CIO lors du tournoi olympique de football de 1924, ainsi que lors de l'édition de 1928. Arrighi également enregistra qu'en fait, il existait plusieurs cas publiés qui prouvent que ni le Comité national olympique et sportif français ni le Comité international olympique ne voulait s'impliquer dans la FIFA et avait plutôt orchestré l'isolement total et l'imperméabilité de Jules Rimet entre le tournoi de football et le reste des Jeux olympiques.[2] À propos de cette division du pouvoir, Arrighi écrit : "Comme le montrent clairement les déclarations successives publiées par France Football, la position de Rimet n'était pas d'abandonner les Jeux Olympiques, mais d'y entrer davantage, beaucoup plus bruyamment et plus définitivement en tant qu'influenceur majeur".[2] En outre, les principales organisations qui administrèrent les tournois olympiques de football de 1924 et 1928 confirmèrent à plusieurs reprises la relation de la FIFA avec le Comité international olympique à cette époque.

Par exemple, dans son livre officiellement autorisé 100 objets de dates historiques dans le football français (publié en 2011), la Fédération française de football écrit qu’"au milieu de ces années folles, le tournoi des Jeux olympiques de Paris fut un véritable succès", et que "dans son organisation, le Comité national olympique et sportif français a agi conjointement avec la FIFA et la Fédération française de football", rejetant de manière concluante l'affirmation de Tony Mason concernant le manque d'implication et d'influence de la FIFA dans les tournois olympiques de football de 1924 et 1928.[2]

Arrighi conclut que Jules Rimet était également vice-président du Comité National Olympique et Sportif Français, et qu'il avait été chargé de préparer les infrastructures communes à toutes les disciplines (telles que : les terrains, l'administration et le village olympique), ainsi que d'être chargé de convoquer tous les athlètes.[2] La position actuelle des services de relations publiques de la FIFA affirmait que "le tournoi de 1924 était un événement de haute valeur sportive organisé par la FIFA", réfutant les arguments contradictoires avancés par Rimet en 1954, par la suite, Tony Mason. Toujours en 2010, la position officielle de la FIFA concernant les tournois olympiques de football de 1924 et 1928 fut transmise à Pierre Arrighi par son service de relations publiques dans un e-mail daté du 3 août 2010.[2] Le message indiquait que la FIFA "reconnaissait les 2 étoiles supplémentaires de l'Uruguay comme des tournois précurseurs de la Coupe du Monde et de haut niveau sportif, organisés par la FIFA".[2]

L'incident de 2021 avec Puma et la FIFA retire une demande de retrait de deux étoiles modifier

En 2021, Puma envoya un e-mail divulgué à l’Association uruguayenne de football. Dans ce document, Puma avait révélé qu'un employé de la FIFA leur avait demandé de retirer deux des étoiles de l’écussion de l'Uruguay avant son prochain match de qualification FIFA World Cup.[7] L'Association uruguayenne de football avait organisé une défense de la validité de ses étoiles avec plusieurs historiens et documents primaires qui furent ensuite présentés à la FIFA.[8] Après avoir entendu l'appel, la FIFA retira sa demande et, selon les rapports, le témoignage de Pierre Arrighi fut essentiel pour que la nouvelle administration de la FIFA retire sa position.[9] En mars 2021, l'Uruguay autorisa à utiliser les 4 étoiles contre la Colombie le 7 octobre 2021.[9] Le 30 mai 2022, Uruguay annonça un nouveau maillot pour le Coupe du monde FIFA 2022 avec 4 étoiles homologuées pour le cinquième tournoi consécutif (2002, 2010, 2014, 2018, 2022), faisant référence à sa position officielle de quadruple champion du monde professionnel reconnu par la FIFA.[10]

Références aux quatre étoiles de l'Uruguay à travers l'histoire modifier

Depuis le début des années 1930, diverses administrations FIFA, les médias, les historiens du football et les associations de football ont discuté de l'officialisation des tournois olympiques de football de 1924 et 1928 comme équivalents aux titres mondiaux professionnels de la FIFA. Par exemple:

• 1924 : Le magazine français ‘Très Sport’ déclare l'Uruguay champion du monde après avoir remporté le championnat du monde organisé par la FIFA et la Fédération Française de Football.[11]

• 1930 : Le livre d'histoire de la Coupe du monde de 1930 du Chili a nommé l'Uruguay "triple champion du monde" peu de temps après avoir remporté le titre à Montevideo.[12]

• 1943 : John Langenus, arbitre de la finale olympique de football de 1928 et de la finale de la Coupe du monde de football de 1930, confirme l'idée communément admise selon laquelle les tournois olympiques de football de 1924 et 1928 étaient équivalents à la Coupe du monde de la FIFA. Dans son livre de 1932, Siffler le monde, l'arbitre belge expliquait les noms des tribunes du Stade du Centenaire : "Ceux derrière les buts avaient été baptisés ‘Colombes’ et ‘Amsterdam’ en souvenir des premiers titres mondiaux ".[13] Il a souligné que la tribune principale s'appelait "America" car, comme il l'avait dit, "un troisième titre mondial était attendu à Montevideo".[2],[13]

• 1944 : Le livre ‘Football : Joie du Monde’ de l'ancien footballeur et journaliste de renom Maurice Pefferkorn explique comment 20 ans après la finale de 1924 à Colombes, il est encore frappé par le souvenir de cette finale du 9 juillet entre l'Uruguay et la Suisse, ressentant le «mysticisme et Exaltation sentimentale ont conduit les 55 000 spectateurs à l'annonce que le titre de champion du monde était en jeu.[2],[14] Le Président de la FIFA, [ [Jules Rimet]] , était d'accord avec la déclaration de Pekkerforn et a loué ses recherches pour être « une enquête approfondie, une documentation complète et sûre, et surtout une probité intellectuelle qui résulte d'une curiosité jamais satisfaite ».[2]

• 1950 : L'annonceur de football Carlos Solé déclare l'Uruguay "champion du monde pour la quatrième fois" après que l'Uruguay a battu le Brésil 2-1 dans le Maracanazo.

• 1950 : El Informador du Mexique nomme l'Uruguay quadruple champion du monde après avoir remporté la Coupe du Monde à Rio de Janeiro.

• 1954 : Dans son livre ‘Histoire Merveilleuse de la Coupe du Monde’, le président de la FIFA Julles Rimet a noté que lors de la Coupe du Monde de 1930, l'Uruguay a remporté une "triple couronne de victoire", se référant à la façon dont les titres olympiques de football de 1924 et 1928 ont été reconnus comme des titres mondiaux reconnus par la FIFA.[13][32]

• 1962 : Le magazine ‘El Gráfico’ d'Argentine nomme l'Uruguay quatre fois champion du monde, citant les titres mondiaux remportés en 1924, 1928, 1930 et 1950.

• 2001 : Un article du 30 mars 2011 publié par le Comité International Olympique précise : «Aujourd'hui, les maillots portés par les joueurs de La Céleste se distinguent par leurs quatre étoiles d'or. C'est parce qu'ils ont remporté les deux tournois olympiques organisés avant la création de la Coupe du Monde. Une décoration pleinement reconnue par la FIFA, qui reconnaît les tournois olympiques de 1924 et 1928 comme championnats du monde. » [33]

• 2002 : La série de DVD ‘History Of Soccer : The Beautiful Game’ approuvée par la FIFA, établit que l'Uruguay est quadruple champion du monde de la FIFA à plusieurs reprises. Cela a été spécifiquement cité dans le Volume 3. Superpuissances sud-américaines : l'âge d'or de l'Uruguay : "En 1924, avec une population d'à peine 3 millions d'habitants, l'Uruguay avait donné une leçon aux Européens et était devenu champion du monde... En 1928, lorsque l'Uruguay marqua le but de la victoire en seconde période, cela signifiait un deuxième titre mondial consécutif pour le groupe oriental… L'Uruguay fut le premier champion du monde et remporta trois championnats du monde consécutifs… En 1950, le petit Uruguay avait déjà le deuxième titre mondial et un quatrième titre mondial." [34]

• 2004 : Le livre approuvé par la FIFA ‘100 ans de gloire : La véritable histoire du football uruguayen’ contient une section entière consacrée aux principaux documents officiels de la FIFA confirmant la position officielle de l'Uruguay quatre fois champion du monde professionnel reconnu citant citations d'administrations passées.[1]

• 2008 : Un match amical international entre la France et l'Uruguay est officiellement désigné par la Fédération française de football comme le "Match Des 5 Étoiles".[35]

• 2010 : L'historien du football Didier Rey, écrivant pour le journal français Libéracion le 6 juillet 2010, écrit : "Quand en 1930, deux ans après la victoire à Amsterdam, La Céleste imposa sa loi à nouveau sur l'Argentine, lors de la finale de la première édition de la Coupe du monde de 1930 organisée par la FIFA, devenant le premier triple champion du monde de l'histoire du football, établi en seulement six ans". Rey ajouta : "Cela nécessitait un accord tacite entre la FIFA et le CIO, qui établissait qu'une victoire aux Jeux Olympiques désignait effectivement le champion du monde."[36]

• 2019 : L'historien Márcio Trevisan, dans son livre ‘A História do Futebol para quem tem pressa’ (L’histoire du football pour les pressés) a également remis en question les versions de l'histoire du football de la FIFA et de Tony Mason, détaillant dans son livre divers cas de la FIFA et des médias mondiaux reconnaissant le tournoi olympique de football de 1924 comme le premier championnat du monde professionnel légitime. Dans le chapitre intitulé "Jeux olympiques : le 'coup d'envoi' de la Coupe du monde, Trevisan écrit : "L'Uruguay a été la première nation à être sacrée quadruple championne du monde. C'est vrai : nos voisins du sud arborent quatre étoiles d'or dans leur symbole de confédération, et ils le font avec pleine connaissance et approbation de la FIFA." [37][38]

• 2020 : Le livre de Pierre Arrighi ‘1924: Premier championnat du monde de football de l'histoire’ détaille la position de l'Uruguay en tant que quadruple champion du monde professionnel senior avec divers documents primaires et secondaires des décennies passées. Les recherches trouvées dans ce livre ont contribué à ce que la FIFA revienne sur sa décision de demander à l'Uruguay de retirer 2 des 4 étoiles le 6 septembre 2021.[25]

Le musée de la FIFA reconnaît les Championnats du Monde de la FIFA de 1924 et de 1928 modifier

Le Musée de la FIFA à Zurich, en Suisse, a plusieurs mentions de la reconnaissance par la FIFA des tournois olympiques de football de 1924 et 1928, officiellement reconnus par eux comme des titres mondiaux professionnels, équivalents à la [[Coupe du Monde de Football | Coupe du Monde de la FIFA ]. Par exemple :

• Dans une section montrant l'une des médailles d'or olympiques de l'Uruguay, une plaque indique : "En remportant l'or olympique en 1924 et 1928, et la Coupe du monde en 1930, l'Uruguay a réalisé un triplé de titres mondiaux."

• Le Musée de la FIFA inclut également les Jeux Olympiques de 1924 et 1928 lorsqu'il fait référence à la séquence record de l'Uruguay sans défaite à la Coupe du Monde de la FIFA : "Avant sa défaite contre la Hongrie, l'Uruguay était invaincu en 21 matches de championnat du monde répartis sur 30 ans, dont deux Jeux Olympiques et trois coupes du monde.

• Dans une autre section, une vieille montre de poche appartenant à l'attaquant uruguayen Pedro Petrone se démarque. Il dit : "Petrone a été triple champion du monde et a marqué pour l'Uruguay lors des finales olympiques de 1924 et 1928."

Notes et références modifier

  1. (es) Atilio Garrido, 100 Años de Gloria: La Verdadera Historia del Futbol Uruguayo (100 ans de gloire : la véritable histoire du football uruguayen), Montevideo, Tenfield, , p. 1-5
  2. a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x y z aa ab ac et ad PIERRE ARRIGHI, FUTBOL MUNDIAL : los archivos de 1924., Books ON DEMAND, (ISBN 2-322-19302-X et 978-2-322-19302-8, OCLC 1139304880, lire en ligne), p. 25
  3. « Document PDF du Règlement uniforme officiel de la FIFA »
  4. (es) « Puma presentó la nueva camiseta de la selección uruguaya, sin novedades en su diseño (Puma a présenté le nouveau maillot de l'équipe nationale uruguayenne, sans changement dans son design) »,
  5. « The Ultimate Guide To Stars On Football Jerseys (Le guide ultime des étoiles sur les maillots de football) »,
  6. a et b Jules Rimet, L'histoire merveilleuse de la Coupe du monde, Monaco, Union européenne d'éditions, , 207 p., p. 38, 130
  7. (es) « Selección: FIFA impedirá a Uruguay lucir cuatro estrellas sobre el escudo de AUF (Sélection : la FIFA empêchera l'Uruguay de porter quatre étoiles sur le bouclier AUF) »,
  8. « Los Argumentos claves para Uruguay de defender las 4 estrellas. (Les arguments clés de l'Uruguay pour défendre les 4 étoiles) », sur 27 Juin 2022
  9. a et b « FIFA confirmó que Uruguay mantendrá las cuatro estrellas que brillan en su escudo (La FIFA a confirmé que l'Uruguay conservera les quatre étoiles qui brillent sur son bouclier) »,
  10. (es) « Puma presentó la nueva camiseta de la selección uruguaya, sin novedades en su diseño (Puma a présenté le nouveau maillot de l'équipe nationale uruguayenne, sans changement dans son design) »,
  11. « «La publicación Très Sports de 1924 anuncia el campeonato mundial de fútbol en los Juegos Olímpicos». »,
  12. (es) « "Le livre chilien sur la Coupe du monde de 1930 cite l'Uruguay comme triple champion du monde". »,
  13. a et b John Langenus, En sifflant par le monde : souvenirs et impressions de voyages d'un arbitre de football, Gand, Snoeck-Ducaju et fils, , 209 p., p. 96
  14. Maurice Pefferkorn, Football : joie du monde, Paris, J. Susse, DL, , 250 p., p. 14

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