Utilisateur:Gandalfosaurus/Brouillon

Idéologie JJB / JVP

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Politique économique et sociale

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Rapport à la la démocratie

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Rapport à la question nationale / ethnoreligieuse

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Rapport au féminisme

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Rapport aux LGBT

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Rapport à l'écologie

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Le Pouvoir populaire national est identifié idéologiquement comme une alliance populiste de gauche. La coalition propose un changement de l'ordre politique et de la direction économique du pays[1],[2].

Politique économique et sociale

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Bien que sa principale composante, le Front de libération populaire, soit historiquement marxiste, Dissanyake et le Pouvoir populaire national ne défendent lors de l'élection présidentielle de 2024 pas une révolution, ni même un changement radical de l'économie du pays, justifiant que celle-ci serait trop fragile pour le supporter. Au contraire, ils affichent la promesse de développer le pays par la redynamisation de la croissance économique en offrant à la production, la recherche et l'investissement privé un cadre politique et fiscal plus favorable, tout en continuant d'assurer le remboursement de la dette nationale[3].

Parallèlement, afin de soulager les finances des ménages et dans une idée de justice fiscale, il souhaite réduire les impôts pour les pauvres, abaisser, voire la supprimer la TVA sur les produits essentiels, et mettre fin aux exonérations fiscale des super-riches. Il promet également d'établir une protection sociale et la gratuité des service de santé et d'éducation. Condition de la fin de l'austérité qu'il propose, le candidat du JJB promet de coopérer avec le FMI pour renégocier et amender certains termes du contrat[4].

Démocratie, vivre ensemble et lutte contre la corruption

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Le Pouvoir populaire national met la lutte contre la corruption au centre de son discours, en faisant preuve d'un certain dégagisme de la classe politique traditionnelle.

La coalition s'oppose d'autre part au 20e amendement constitutionnel du Sri Lanka, qui revenait en 2020 sur le partage équitable des pouvoirs entre le président et le parlement introduit par le 19e amendement constitutionnel en 2015, et redonnait ainsi la quasi totalité des pouvoirs à la présidence[5].

Dissanyake promet de dissoudre le parlement dès les 45 premiers jours de sa présidence afin d'acquérir une légitimité parlementaire et de pouvoir gouverner sans l’opposition de la majorité acquise au clan Rajapaksa[6].

Il affiche également des vœux d'harmonie, d'inclusivité et de réconciliation entre communautés religieuses[7].


Dans une perspective intersectionnelle des différents mécanismes sociaux d'exclusion, de stigmatisation et de discrimination, elle prends position publiquement contre les injustices et privilèges de classe et de caste, pour la gratuité et l'égalité d'accès à l'éducation, pour l'égalité de genre et les droits LGBT, contre la marginalisation sociale des minorités tamoules et musulmanes par le nationalisme ethnoreligieux, contre la culture politique dynastique, antidémocratique et masculiniste, mais aussi contre la culture universitaire de compétition, de productivité et de neutralité politique[8],[9].

Activiste progressiste et réformiste pour les droits humains, et libérale autoproclamée de l'aile de centre gauche du JJB, Amarasuriya est un élément clef de la coalition menée par le JVP pour rassurer la minorité tamoule, la classe moyenne supérieure urbaine anglophone et diplômée et les investisseurs privés concernant ce parti à l'histoire marquée de marxisme, d’insurrections sanglantes et de nationalisme cingalais[10],[11],[12],[13],[14].


En 1964, les trois principaux partis de gauche, le Parti srilankais pour une société égalitaire (LSSP), le Parti communiste de Ceylan(CPC), et le Front unis du peuple (en) (MEP) s’allient pour former la coalition du Front uni de gauche. Ils apportent la même année leur soutien au premier gouvernement de ⁣⁣Sirimavo Bandaranaike, première ministre du Parti de la liberté du Sri Lanka (SLFP), et certains membres du LSSP deviennnent même ministres. Le soutien et l'éntrée dans un gouvernement social-démocrate est considéré par certains membres du LSSP et du CPC comme un abandon de la stratégie révolutionnaire et une trahison de la classe ouvrière. La tendance maoiste du CPC fait alors scission pour former en 1964 le Parti communiste de Ceylan (maoïste) (en). Le 14 mai 1965, à la suite de désaccords avec la direction du CPC (maoïste) qu'il considère manquant d'objectif révolutionnaire, Rohana Wijeweera quitte le parti pour fonder Le Front de libération du peuple[15],[16],[17].

Le JVP nouvellement formé, d'obédience communiste révolutionnaire et d'inspiration maoïste, guévariste, et trotskyste, se donne pour objectif de devenir la force motrice d'une révolution qui renverserait le Dominion de Ceylan pour créer la République socialiste du Sri Lanka. Il critique les échecs et renoncements des formations communiste qui l'ont précédé et revendique la constitution d'une nouvelle voie pour la gauche sri-lankaise, avec pour ligne directrice la lutte des classes par les armes[15],[16].

Entre 1967 et 1970, le groupe se développe. Dans une période ou la croissance démographique surpasse de beaucoup la croissance économique, la plupart des jeunes bénéficient d'une éducation gratuite mais se retrouvent sans emploi. Éduquée et politisée mais économiquement précaire, la jeunesse constitue le principal vivier de recrutement du parti, qui les forme idéologiquement et militairement dans des camps au sud du pays[18].

Lors des élections législatives de mai 1970, tandis qu'en devanture les cadres du parti soutiennent le Front uni (en) de Sirimavo Bandaranaike, les militants distribuent de la propagande appelant à l’insurrection si elle ne répond pas aux aspiration populaires. En plein milieu de la campagne électorale, le gouvernement de Dudley Senanayake fait arrêter Rohana Wijeweera, dirigeant du parti, pour appel à l’insurrection, mais en juillet 1970, Bandaranaike redevenue Première ministre après les élections, ordonne sa libération[18],[19],[20].

De 1970 à 1971, le JVP intensifie sa campagne publique d'appel à la révolte en publiant son propre journal, le "Janatha Vimukthi" (libération du peuple), et accélère parallèlement les préparatifs de sa révolte. Le mouvement, fort de 10 000 membres, est composé de plusieurs cellules, constituées chacune de 5 membres et d'un chef, par secteur sous contrôle d'un poste de police. Les cellules d'un même secteurs sont dirigées par un chef de secteur. Les chefs de district dirigent chacun l'ensemble des secteurs de leur district, et composent le Comité central. Le Comité central est subordonné au Bureau politique, une assemblée des 12 dirigeants du parti, dont Wijeweera[18],[19].

Le parti prévoit d'immobiliser le pouvoir par des frappes ciblées contre les forces de police et l'armée simultanément sur toute l'île. Détruire, désorganiser et prendre contrôle des commissariat de police, clef du contrôle gouvernemental au niveau local, devait permettre de rallier les populations locales à la révolution. En préparation le parti achète des armes avec les fonds fournis par ses membres ou issus de braquages, prépare des bombes artisanales, et s’équipe d'armes de chasse. L'organisation prévoit néanmoins d'acquérir la plupart des armes nécessaires au moment de l’insurrection, par des raids contre les postes de police et camps militaire[18],[19].

Mais au contraire, face a l'intensification de la guerre civile, le JVP qui revendiquait initialement dans une conception marxiste de représenter tous les opprimés, qu'ils soient cingalais ou tamouls, se rapproche de plus en plus des nationalistes cingalais dans son refus total de compromis avec le LTTE. Le pari nourris aussi un ressentis anti-indien en appelant à la manifestation et au boycott des produits indiens contre une potentielle invasion indienne[21],[22],[23].

Entre avril 1987 et octobre 1989, Le DJV tue ainsi deux secrétaires généraux, 4 députés, et 2 ministres de l'UNP, 3 comissaires de police, plusieurs journalistes, entrepreneurs, directeurs d'écoles, et un nombre important de militants UNP et des partis de gauche pacifistes comme l'Alliance socialiste (en). Les affrontements sporadiques avec les forces de sécurité causent la mort de 342 policiers, de 209 millitaires et de 98 volontaires armés des Forces de sécurité civile. Ces affrontements et assassinats coutent également la vie à de nombreuses victimes collatérales, ainsi qu'à de nombreuses familles des cibles de chantage[24],[25],[26].

Après l'Inde, Somawansa Amarasinghe se réfugie en Italie, en France puis au Royaume-Uni au long de l'année 1991. En 1994, revenu au Sri Lanka, il entreprends de reconstruire le JVP, dont les rangs sont presque totalement décimés par les combats et la répression. Le JVP refondé abandonne les armes et renoue des liens avec les autres partis de gauche pour se réintégrer pleinement au jeu de la démocratie électorale[27],[28].

Structure de gestion opérationnelle post-tsunami. La structure se voit rapidement contestée puis supprimée par la justice, mais aussi par le JVP qui quitte le gouvernement le16 juin en signe de protestation.

ahinda Rajapaska appelle a une position plus ferme contre l'organisation indépendantiste et le fédéralisme. L'appel du LTTEau boycott électoral et soutien du JVP à la candidature du premier ministre lui apportent la victoire de justesse.

En septembre 2010, le président Rajapaska et sa majorité introduisent le 18e amendement à la Constitution Sri Lankaise, augmentant les pouvoirs exécutifs du président et lui retirant la limites de deux mandats, et permettant à des conseils parlementaires de nommer des membres de la Commission électorale, la Commission des droits humains et la Court suprême. Le JVP se positionne en opposition à cette présidentialisation autoritaire du pouvoir.

En février 2014, le parti organise sa 17e convention nationale, et Anura Kumara Dissanayake (« AKD ») en prends la tête. L'ancien organisateur national de l'Association des étudiants socialistes, nommé en 1998 au Bureau politique du JVP, hérite d'un parti particulièrement fragilisé. Depuis 2008, le parti voit en effet le départ de certains de ses premiers députés avec Wimal Weerawansa et ses soutiens, de son aile radicale et révolutionnaire avec Premakumar Gunaratnam, ainsi que de son pillier historique Somawansa Amarasinghe, membre de la direction depuis 1978, et refondateur et dirigeant depuis 1994. Les élections législatives de 2010 représentent également un échec considérable, le parti passant de 39 députés à seulement 4, ce qui en fait sa pire performance depuis 1994. AKD prend alors la charge d'arrêter cette hémorragie par plusieurs changement de positions idéologiques et stratégiques. Il s'excuse pour les violences commises par le JVP lors des années 1970 et 1980, et promet de renoncer définitivement aux armes. Il débarrasse également le parti de ce qu'il y subsistait de marxisme pour le rapprocher d'une forme de social-démocratie, en acceptant l'économie de marché. Il redonne pourtant au parti une certaine radicalité et conflictualité populiste face à l'establishment et l'ordre politique traditionnel, dominé par le bipartisme de l'UNP et du SLFP. Il entends donc réaffirmer l’identité du JVP par des candidature indépendante ou à la tête de ses propres coalitions[29].

Le JVP se tient à l'avant garde du mouvement, en organisant grèves, manifestations quotidiennes et sittings devant les institutions du pouvoir. AKD s'affiche quant à lui comme le candidat charismatique du peuple face à un ordre politique traditionnel bipartisan corrompu, incompétent et déconnecté des aspiration populaires, avec lequel il n'a jamais pactisé.[30]

AKD parvient à incarner une promesse de changement, de rupture et de renouvellement contre les élites corrompues et les appareils traditionnels qui auraient mené le pays à la ruine. Au premier plan de ses discours, la lutte contre une corruption qui a fait plusieurs fois scandales récemment, notamment avec l'autorisation sans régulations de casinos pratiquant le blanchiment d'argent, et la délégation des systèmes de visas passeports électroniques à des sociétés douteuses et incompétentes. Affirmant ne pas vouloir révolutionner l'économie du pays, qui serait trop fragile pour le supporter, AKD propose d'offrir un cadre plus favorable à l'investissement, la production et la recherche pour doper la croissance économique. Parallèlement, afin de soulager les finances des ménages et dans une idée de justice fiscale, il souhaite réduire les impôts pour les pauvres, abaisser voire supprimer la TVA sur les produits essentiels, et mettre fin des exonérations fiscale des super-riches, les 1% des Sri Lankais qui possèdent 31% de la richesse du pays. Il promet également d'établir une protection sociale et la gratuité des service de santé et d'éducation. Condition de la fin de l'austérité, le candidat du JJB promet de coopérer avec le FMI pour en renégocier et amender certains termes du contrat, tout en s’engageant à rembourser la dette du pays. Il affiche d'autre part des vœux d'harmonie, d'inclusivité et de réconciliation entre communautés religieuses. Son programme inclus également l'adoption par référendum d'une nouvelle Constitution instaurant un régime parlementaire[31],[32],[33],[34],[35].


Depuis 1994, le JVP a rejoint le jeu démocratique et a fait partie de la coalition gouvernementale en 2004 avec le SLFP pour renverser le gouvernement d’alors de l’UNP. Le JVP entre alors au gouvernement et AKD occupe le portefeuille de l’agriculture. Il démissionne en juin 2005[36]

AKD a assoupli le programme du JVP. La fin de la propriété privée n’est plus d’actualité et le programme est concentré sur la lutte contre la corruption et la redistribution. [36]


Gotabaya Rajapaksa était devenu président en 2019 grâce à une campagne qui avait attisé les tensions entre la majorité cinghalaise bouddhiste du pays et les minorités tamoules, hindoues et musulmanes. Si la dynastie Rajapaksa peut se targuer d’être venue à bout de la guérilla des Tigres tamouls, qui a duré trente ans, les mandats présidentiels des deux frères ont été marqués par la corruption, le népotisme et une féroce répression politique.[37]


Elle affirme en juin 2024 que son parti supporterait la décriminalisation des relations homosexuelles, introduite au Sri Lanka au 19e siècle par les britanniques, reconnais la diversité des identités de genre, et que les types de relations sexuelles sont privées et ne concernent la loi que quand elles impliquent les enfants, les animaux et des violences[38].

Hérité d'un pays en crise économique et ses promesses de fiscale et de renégociations du contrat de prêt d'urgence avec le FMI font peur aux investisseurs et font face à la fermeture du FMI sur la question[39].

Appelle a une culture politique différente et plus propre[39]

Le JVP qui défendait traditionnellement des politiques économiques marxistes basées sur le protectionnisme et l’interventionnisme d'état, a évolué vers des positions plus centristes[39].

Amasuriya déclare le 2 février 2023 au journal The Island que le NPP est favorable à la pleine implémentation du13e amendement comme solution à la question nationale, même si le débat existe toujours au sein du JVP sur sa tenabilité comme solutioncritique Ranil Wickremesinghe qui el promet qui a eu d'amples possibilité de le faire mais ne l'a jamais [40]

critique le démentellement des capacités de l'état et la negligence du modele économique et d'agriculture par les gouvernement successifs, et qu'en consequence, le méchanisme de controle des prix n'est pas effiace pour faire face a l'inflation du cout de la vie, et l'insécurité alimentaire augmente[41]

Dénonce la marginalisation et violences que subissent les minorités ethnoreligieuses d’abord tamouls puis plus recemment les musulmans, normalisée et favorisée par l'inaction, la complicité, ou la stratégie politique des gouvernement successifs, et que derrière les appel à l'unité nationale, toujours l'envie de mettre au pas[42]

dans le mouvement politique du NPP des grps féministes, écologistes et d'atristes [43] alliance fondée en 2015 par le JVP et plusieur syndicars et groupes de defenses des droits himains [44]

elle est favorable aux actions de compensation et de vérité pour les familles qui ont vécu la disparition ou le meurtre des leurs[44]

tribunal de la court supreme quia jugé gotabaya rajapaska sur la mauvaise gestion economique il doit y avoir des action pour suivre les rajapaska continue de profiter de leur statut d'ancien président pr argent rajapaska pas les seul responsable mais ont exacerbé l'instabilité et fragilité de l'économie sensible aux fluctuatlion mondiales[44]

interntional peut pas se permettre de se faire des ennemis pas en position de dicter les termes avoir un programme clair pour les gens du paus au courant des tensions regionales et sensible aux inquietdudes de securité de l'inde maintenir de bonnes relationa vec tt le monde et attirr l'invesitssement privé en tt ransparence et sans corruption pas dans des projets vaniteux chercher a maintenir une paix regionale et de bonne relations de voisinage mais veux etre respectée et autoriser a prendre des decisions dans l'interet du peuple[44]

changement climatique probleme serieux que le programme de developpement consideera de facon centrale proteger les ressources naturelles et emissions carbonenne de facon acive mondialeùent pour que la responsablité soit partagée equitablement et justement avec les pays riches[44]

les ens veulent du changement la crise économique et l'aragalaya ont reformer la manière de penser la plitique les problemes economique le cout de la vie, la crise de l'education et de la santé une perte de revenu les gens veulent pas de court terme mais une reparation de l'économie et un lavage du système politique[44]

le camp du sratu quo, de l'élire de clans politiques qui ont fait de la politique toute leur vie et l'aute ouvre une nouvelle perspective AKD atteints sa position par l'action politique graduellement par son travail se rapproche de l'antiestablishement des gens[44]

considère que depuis 1994 et le renoncement aux armes depuis 1994, la violence est plus le fait des partis de gouvernement

les gens sont de plus en plus conscient politisés et le desir collectif de changement a grandis et unis les gens

montée du vote des femmes pr le NPP doivent etre mobilisé organisée et leur laisser de l'espace pour minter en grade a trvaillé pour les engager d'en bas forte base de voteur chez les femmes[44]

Autre Sri Lanka

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Claudia Sheinbaum

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” sa gestion de la pandémie de Covid-19 est globalement saluée. Dès le début de la crise, elle n’a pas hésité à prendre ses distances avec la position d’Andrés Manuel López Obrador. “Pendant qu’AMLO minimisait la dangerosité du virus, elle tirait la sonnette d’alarme ; quand lui ne portait pas de masque, elle oui, et elle en faisait la promotion”

Son programme propose au contraire de développer massivement le train au Mexique. Le train est le moyen de transport le plus écologique[45]

En février, le président « AMLO » a ainsi envoyé au Congrès un paquet de vingt réformes constitutionnelles qui englobe de très nombreux sujets. Certains sont d’ordre écologique et économique, comme l’interdiction de la technique de fracturation hydraulique pour extraire des ressources énergétiques, la prohibition du maïs transgénique ou la récupération de 18 000 kilomètres de chemins de fer, donnés en concession au secteur privé depuis vingt-cinq ans. Un autre ensemble de réformes vise à assurer une augmentation du salaire minimum au-dessus de l’inflation et donner un caractère permanent aux aides sociales créées par son gouvernement, comme le minimum retraite ou les programmes d’aide à l’agriculture. Les réformes plus controversées concernent les pouvoirs judiciaire et législatif : le président veut réduire le nombre de députés (de 500 à 300) et celui des sénateurs de moitié (de 128 à 64). Il propose que les juges de la Cour suprême soient désignés par le vote populaire, et non plus par un système de méritocratie. Il veut aussi réduire le budget de l’Institut national électoral (INE), chargé de l’organisation des élections[46].

criticized for failing to control rampant cartel violence, for hobbling the nation’s health system and for persistently undercutting democratic institutions.

retraite universelle

Le nouveau président a, de plus, augmenté (de 30 à 65 dollars par mois) la pension non contributive des plus de 68 ans, la rendant universelle. Le gouvernement d’AMLO entend également créer un système universel de santé qui se substituera au système actuel, à bout de souffle[47].

la loi fédérale du travail vise à faire augmenter le nombre de congés payés des salariés, de 6 à 12 jours la première année d’embauche, puis à les augmenter de 2 jours supplémentaires par an jusqu’à atteindre 20 jours de congés payés annuels. À partir de la sixième année d’ancienneté, les congés augmentent de deux jours tous les cinq ans[48].

un décret a été publié, modifiant l’article 11 de la loi générale pour l’inclusion des personnes handicapées (LGPID). Celui-ci vise à garantir l’égalité des chances et l’équité, afin que les personnes souffrant d’un handicap aient accès à un travail décent et jouissent des bienfaits d’un développement personnel, social et professionnel8. Le ministère du Travail et de la Protection sociale est l’autorité tenue de respecter et d’œuvrer en direction de cet objectif en déployant des actions en prenant à cet effet l’initiative de politiques publiques en apportant une assistance technique et juridique aux entreprises du secteur marchand ou non sur les droits et l’insertion professionnelle des personnes handicapées en élaborant et en mettant en œuvre le programme national d’emploi des personnes handicapées, etc. Cette réforme devrait permettre d’aider ces personnes vulnérables souvent victimes de discrimination en raison de leur handicap, non seulement au travail, mais aussi sur le plan social, culturel et, bien sûr, économique, à bénéficier de meilleures conditions de vie par l’obtention d’un travail décent[49].

un décret a été publié visant à réformer plusieurs pans de la loi fédérale du travail et de la loi sur la sécurité sociale relatives aux travailleurs domestiques. L’objectif principal était d’intégrer ces travailleurs dans le système de sécurité sociale, ainsi que de leur garantir le bénéfice des prestations d’emploi. Cette réforme s’est traduite par la création d’un chapitre spécial (Chapitre XI de l’article 239-A à 239-H) au sein de la loi sur la sécurité sociale, consacré aux travailleurs domestiques, qui établit les modalités et les lignes directrices visant leur intégration : définition du travailleur domestique ; précision des obligations incombant aux employeurs de travailleurs domestiques ; précision sur l’incapacité de travail, sur les contributions au système de sécurité sociale, etc. Cette réforme vient ainsi consolider le droit à la sécurité sociale d’un groupe de travailleurs historiquement exclus des mécanismes de protection sociale[50].


Politique économique et sociale

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Par crainte de s'aliéner les marchés financiers et le patronat, López Obrador promet de mener une politique économique modérée, de ne pas modifier la politique fiscale du pays, de maintenir l’autonomie de la Banque centrale et de respecter les engagements pris vis-à-vis des entreprises et des banques. Le ministre de l’Économie, Carlos Urzúa, multiplie les rencontres avec des représentants de fonds d’investissement, du patronat et de fonctionnaires américains du département du Trésor pour les rassurer : « nous ne sommes vraiment pas de gauche. Plutôt à gauche du centre », explique-t-il. Néanmoins, la Bourse mexicaine perd 4,2 % de sa valeur en octobre 2018 (à la suite de l'annonce par le futur président de l'annulation d'un impopulaire projet de nouvel aéroport à Mexico, jugé trop coûteux pour les finances publiques), tandis que l'agence Fitch, avant même l'intronisation de López Obrador à la présidence du Mexique, dégrade la note de la dette souveraine du pays de « stable » à « négative »[51].

Programmes sociaux

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Son gouvernement inaugure des programmes sociaux destinés à faire reculer la pauvreté : bourses de la maternelle à l’université, aides pour les jeunes en apprentissage et les personnes handicapées, subventions pour les petits agriculteurs, doublement de la pension des personnes âgées, microcrédits pour les petits commerçants et les artisans[51]. la convention 98 de l’Organisation internationale du travail (OIT) relative au droit à la syndicalisation et au contrat collectif est reconnue par le gouvernement mexicain[52].

le président mexicain a proposé d’étendre le programme à d'autres pays d'Amérique centrale afin d'enrayer la crise migratoire. Après des accords avec les dirigeants de pays centraméricains, le programme en direction de la région a démarré en octobre 2020[53].

Diverses réformes visant à octroyer de nouveaux droits sociaux aux employés ont été adoptées. Les droits formels des employés domestiques ont été reconnus pour la première fois et les pratiques d’embauche irrégulières ont été abolies. . La procédure de formation de nouveaux syndicats a été considérablement simplifiée, le nombre de jours de congés payés a doublé et une réforme visant à réduire la semaine de travail à 40 heures (contre 48 heures actuellement) est à l'étude en 2023[54].

En 2021, la part du budget de l’État consacrée aux dépenses sociales est à son plus haut historique. La proportion de personnes bénéficiaires des programmes sociaux a augmenté de 65 % par rapport à l'administration précédente. Les programmes d’aide sociale ont été inscrits dans la Constitution, afin selon le gouvernement de garantir qu’il s’agit bien d’un droit et non d’actes de charité[54].

concernant les inégalités, l'écart entre les 10 % de revenus les plus élevés et les 10 % de revenus les plus bas est passé de 21 fois à 15 fois, tandis que le coefficient de Gini est passé de 0,448 à 0,402 au cours de la même période[55].

Politique industrielle

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Afin de renouer avec un État fort, López Obrador lance un plan de relance économique des deux grandes entreprises publiques de l’énergie : la Commission fédérale d’électricité (CFE) et Petróleos Mexicanos (Pemex). Le plan vise en particulier à atteindre l’autosuffisance énergétique en 2022 et à mettre un terme aux politiques de privatisation des entreprises publiques[51].

[56]. Si le président mexicain espère à travers cette réforme maîtriser les tarifs de l'électricité et diminuer l'inflation

Relations avec le patronat

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AMLO est critiqué sur sa gauche pour sa politique modérée qui ne vise pas à rompre immédiatement avec le système néolibéral[57]. L'historien Lorenzo Meyer, favorable au président, estime qu'il n'y a pas là de contradiction : « Andrés Manuel est un pragmatique : il ne veut pas d'une confrontation directe avec le pouvoir économique. Son projet est peut-être modeste, mais il est réaliste : il ne s'agit pas de changer de système, mais d'en diminuer la brutalité. » Pourtant, le Mexique reste un pays extrêmement inégalitaire : la richesse des treize milliardaires du pays a augmenté de 11 % entre 2019 et 2021[57], en dépit d'une chute du PIB pendant la pandémie

Il affirme vouloir mettre un terme au « capitalisme de connivence » qui caractérise l'économie mexicaine, permettant à de grande fortunes de prospérer grâce à leurs liens privilégiés avec le pouvoir politique.

Politique de lutte contre la corruption et la criminalité

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La première année de sa présidence, alors qu'il bénéficie d'une popularité de 80 %, il affirme faire de la lutte contre la corruption au Mexique son combat principal[58].

le gouvernement a durci la politique de lutte contre la fraude fiscale, sujet sur lequel le Mexique se classait historiquement sous les moyennes de l’OCDE et de l’ALC (Amérique latine et Caraïbes). Selon les chiffres officiels, durant les quatre premières années de présidence de López Obrador, cette politique a amélioré de plus de 200 % le recouvrement de l’impôt des plus riches contribuables du pays[54].

D'autre part l'Organisation mondiale contre la torture et le Comité des Nations unies contre la torture (CAT) signalent en 2021 que les forces de sécurité mexicaines continuent de se rendre coupables d'abus récurrents contre les civils, particulièrement les indigènes, comme des détentions arbitraires et des actes de torture[59].

Popularité et réformes politiques

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Le référendum révocatoire sur le mandat présidentiel est adopté en 2021. Les citoyens pourront demander une consultation sur la continuité du mandat présidentiel, à la condition de disposer des signatures d’au moins 3 % des électeurs enregistrés[60].

Le Mexique est passé en 2021 du statut de démocratie imparfaite à celui de régime hybride dans l'indice de démocratie du magazine britannique The Economist[61].

La popularité du président mexicain est particulièrement forte auprès des travailleurs ordinaires, le secteur informel et la paysannerie. Sa popularité est en revanche la plus basse auprès des entrepreneurs et des professions intellectuelles. La presse mexicaine lui est également très majoritairement hostile. López Obrador est également critiqué dans les milieux féministes et de la gauche intellectuelle pour ne pas s’être engagé sur la question du mariage homosexuel ou de l’avortement. Le président a refusé de prendre position sur ces questions, proposant plutôt de les soumettre à un référendum. Des avancées significatives ont cependant eu lieu sur ces questions à l’échelle des provinces contrôlées par le parti Morena[54].

Cause indigène

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L'une des promesses phares du programme présidentiel était de revaloriser la part autochtone de l’identité mexicaine. Lors de la cérémonie d’investiture sur la grande place de la Constitution à Mexico, il se prête à des rituels de purification autochtones. Il se voit remettre un bâton de commandement par les représentants des 68 ethnies indigènes du Mexique. « Les peuples indigènes seront notre priorité », assure-t-il[62].

Il demande des excuses à l’Espagne pour les abus commis contre les autochtones lors de la Conquête espagnole. La demande a été sèchement rejetée par Madrid qui répond que « l'arrivée, il y a 500 ans, des Espagnols sur le territoire mexicain actuel ne peut pas être jugée à l'aune de considérations contemporaines »[63],[64]. En 2021, il demande pardon pour les « crimes d’État » commis sous le régime de Porfirio Diaz (de 1876 à 1880, puis de 1884 à 1911) envers les Yaquis, une population de quelques dizaines de milliers de personnes vivant dans le nord du pays. Il annonce à cette occasion un vaste plan d’investissements à leur attention devant servir notamment à distribuer des terres, et à garantir le droit à l’eau et à la Sécurité sociale[65].

Environnement

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Il s'engage pour accroître la régulation des pesticides et des OGM. De décembre 2019 à août 2020, le ministère de l'Environnement a ainsi empêché l’importation de 670 000 tonnes de glyphosate. Un décret publié en 2021 interdit à partir de 2024 ce pesticide. D’ici là, les achats et la distribution de glyphosate seront progressivement réduits. En outre, le texte prévoit, à la même échéance, la fin des importations et de la consommation de maïs génétiquement modifié. Cette politique entraine un conflit avec la multinationale Bayer et des hauts fonctionnaires américains[66].

Politique étrangère

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Concernant le Venezuela, López Obrador décide d'adopter une position de neutralité et se retire du groupe de Lima, organisation rassemblant les gouvernements hostiles à Caracas. Il affirme également son opposition à toute action militaire contre ce pays. Il se trouve par ailleurs confronté à une forte pression de Washington qui exige de lui d’empêcher le passage de migrants latino-américains vers les États-Unis. Donald Trump menace ainsi de fortement augmenter la taxation des produits mexicains[52].

Il propose en de remplacer l’Organisation des États américains (OEA) par un organisme « vraiment autonome » de Washington, estimant que celui-ci, fondé pour combattre le communisme en Amérique latine dans le contexte de la Guerre froide, ne correspondait pas aux réalités du XXIe siècle. Il a également demandé aux États-Unis de « lever l’embargo contre Cuba, car aucun État n’a le droit de soumettre un autre pays »[67]. ». Il réitère en sa proposition d’asile pour Julian Assange

Dans son discours du , lors de son accession à la présidence du Conseil de sécurité des Nations unies, il propose un plan international pour soutenir les personnes vivant dans l'extrême pauvreté, avec une levée d’un milliard de dollars par an. L'aide serait délivrée aux plus défavorisés dans le monde sans intermédiaires[68].

Après l’invasion de l'Ukraine par la Russie en 2022, il déclare s'opposer à l'usage de la force et être en faveur d'une résolution politique, mais il exclut l'imposition de sanctions économiques contre la Russie (par exemple, interdiction de vols vers le Mexique par aeroflot) et dénonce la censure de média russes ou de tout autre pays[69],[70].

Pandémie de Covid-19

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Lors de la pandémie de Covid-19, il dénonce des mesures qu'il qualifie de mesures liberticides, par exemple le recours aux confinements et aux couvre-feux[réf. nécessaire]. Bien que favorable à la vaccination, il s'oppose publiquement au principe du « passe sanitaire », qu'il présente comme discriminatoire et paternaliste[71].

Il promulgue le 20 avril 2020 une loi d'amnistie pour permettre la libération de milliers de condamnés pour des délits mineurs et ainsi freiner la propagation du coronavirus dans les prisons. L'opposition dénonce cette mesure au motif que la violence des cartels ne faiblit pas[72]. Dans le même temps, sa popularité passe pour la première fois sous les 60 %[73].

Durant cette période, il promet de diminuer une nouvelle fois le train de vie de l'État, en réduisant notamment les salaires des ministres, en supprimant des primes pour les hauts fonctionnaires ou encore en baissant certaines dépenses gouvernementales relatives à la publicité. Il confirme également ses projets de construction d’un aéroport à Mexico, d’une nouvelle raffinerie de pétrole et d’une autre ligne de chemin de fer dans le sud-est du pays : ces mesures sont critiquées par des analystes et l’opposition, qui mettent en cause leur intérêt alors que le pays entre en récession et que des investissements dans le secteur de la santé n’ont pas été retenus[74].

En novembre 2019 (juste avant la pandémie), il avait annoncé un plan de développement de 859 milliards de pesos (44 milliards de dollars) pour moderniser les infrastructures ; le financement incluait des projets portés en tout ou partie par des entreprises[75]. Dans la continuité, en octobre 2020, le plan "Agreement for Economic Reactivation" est annoncé, comportant 39 projets portés par le secteur privé et soutenus par le gouvernement, pour un total de 297 milliards de pesos[76].

Communication et contexte médiatique

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Depuis le début de son mandat en 2018, il présente chaque matin en semaine, en direct sur les chaînes de télévision publiques, une « matinale présidentielle » (mañanera) consacrée à faire état de son bilan et de ses réalisations[77]. Une trentaine de journalistes y assistent et peuvent poser des questions à la fin. Il y critique parfois médias ou intellectuels, qui peuvent ensuite faire l'objet de cyberharcèlement sur les réseaux sociaux. Cette conférence de presse quotidienne, très suivie sur YouTube, est le programme en streaming en langue espagnole le plus suivi dans le monde, en août 2023[78].

Il est l'objet d'une encyclopédie en ligne, Amlopedia, qui recense les propos du président ainsi que des faits sur sa vie, créée par un développeur informatique. Le journal Le Monde considère qu'elle est l'une des sources d'information sur Andrés Manuel López Obrador les plus utilisées par les journalistes.

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