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La Phénoménologie

L'entrée en phénoménologie prend corps pour Martin Heidegger à partir de sa nomination comme assistant de Husserl. De 1919 à 1928, trois cours au moins, délivrés par le Privatdozens Heidegger, sont consacrés à l'« Introduction aux problèmes fondamentaux de la phénoménologie »[N 1]C'est autour de l'interprétation du phénomène de la vie que vont commencer ses premières recherches[1].

Alors que les premiers essais de Heidegger, de 1912 à 1915, le portaient à soutenir la nécessité d'une philosophie logique, comme science rigoureuse, dans la lignée des Recherches logiques de Husserl et de l'enseignement de son professeur néo-kantien Heinrich Rickert [2]. se met progressivement en place, au contact de la Lebensphilosophie, une philosophie de la vie , et face à une « impossible Science de la Vie » une phénoménologie herméneutique proprement heideggerienne[3]

Malgré des divergences survenues rapidement Heidegger a rendu à plusieurs reprises un hommage appuyé à Husserl, sur essentiellement deux avancées puisées dans les Recherches logiques, le concept d' intentionnalité qui est l'être des vécus, et surtout celui d' « Intuition catégoriale »[N 2], sans lequel, nous dit Jean Greisch[4], il n'eut pas pu déployer sur de nouvelles bases, la question de l'être.


Vue d'ensemble de la phénoménologie

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le sens

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A noter que le concept de phénoménologie n’a cessé d’évoluer. Au départ science de l’apparence, la phénoménologie a fini par devenir, chez Heidegger, la science de ce qui n’apparaît pas à première vue[5].

Le phénoménologue s'intéresse à la constitution du sens de ce qui se présente à la conscience cela requiert une attitude qui ne se satisfait jamais de solutions définitives . De telles recherches exige de chacun qu'il refasse pour son compte l'expérience phénoménologique de celui qui l'a précedemment faite[6]

Comme chez Husserl, la Phénoménologie chez Heidegger vise à se débarrasser de toute théorie préalable, de toute préconception et de « faire droit à la chose même » en s'en tenant scrupuleusement à la façon dont elle se donne Zu den Sachen selbst [N 3].

Mais pour Heidegger, ce que la phénoménologie doit montrer ce n'est justement pas l'étant mais bien son « être ». Or celui-ci, de prime abord, ne se montre pas, même s'il est toujours pré-compris d'une certaine manière[7]

l'objet

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La « phénoménologie » n'a aucun contenu doctrinal à proposer, pour François Dayon [8] « une science qui n’en finit pas de naître et de renaître sous différentes formes » ,il s'agit d'aprés nos deux philosophes, d'accord sur ce point, de quelque chose qui n'est même pas une méthode au sens scientifique mais uniquement d'un « cheminement » , un mode d'accés à la « chose », que Heidegger va être amené à justifier dans un long paragraphe (§7) de Être et Temps en prenant appui sur le sens grec initial de ce mot, une fois celui-ci décomposé en ses deux éléments originaires, à savoir, « phénomène » et « logos » (§ 7 Être et Temps).

En reprenant le terme de « Phénoménologie », Heidegger pourrait paraître d'emblée s'inscrire dans le prolongement de la pensée de son maître Husserl, sauf qu'il en élimine une partie essentielle, en rejetant tout ce qui a succédé, à ce qu'il a qualifié de « tournant non phénoménologique » de Husserl, c'est-à-dire, son penchant pour une méthodologie scientifique, qu'i relève à partir des Ideen[9]. Ainsi Heidegger ambitionne , à l'encontre des évolutions contestées de son prédécesseur, ressaisir la « Phénoménologie » en sa pure possibilité, d'avant ce tournant.

Cependant, l'un et l'autre, conviennent que le « phénomène » possède un sens phénoménologique différent de son sens dit « vulgaire », qu'il ne se donne pas directement, et qu'il doit faire l'objet d'une thématisation expresse[10].

Ce dont Heidegger prend conscience c'est que le phénomène a besoin pour se montrer du Logos, qu'il comprend moins comme un discours sur la chose, que d'un « faire voir »[11]. Ce qui permet à Heidegger d'en déduire que l'ajointement des deux mots dans celui de « phénoménologie » signifie « ce qui se montre à partir de lui-même »[12].

Enfin Heidegger a retenu de Husserl, que l'important dans tout questionnement, à propos d'un phénomène, ce n'est justement pas les « choses », « « mais bien ce qui à chaque fois est en cause » », autrement dit l'implicite qui nous gouverne dans notre question [13].

la méthode

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Si l'on suit Levinas[14], il n'y aurait pas de méthode proprement phénoménologique, mais seulement des gestes qui révèlent un air de famille de méthodes d'approche entre tous les phénoménologues ; c'est autour du « phénomène de la vie », que Heidegger va construire sa propre approche de la phénoménologie. Levinas recense ainsi, quelques caractéristiques de la geste phénoménologique - qui ne pouvaient que conforter l'entreprise heideggerienne de retour au fondement du vécu - :

  • la place primordiale accordée à la sensibilité et à l'intuition,
  • la disparition du concept, de l'objet théorique, de l'évidence, du phénomène idéalement parfait, au profit d'une attention portée à l'imperfection du vécu, de l'excédent et du surplus que le théorique laisse échapper, qui vont devenir constitutifs de la vérité du phénomène (ainsi du souvenir, toujours modifié par le présent où il revient, donc absence de souvenir absolu auquel se référer, la préférence accordée avec Kierkegaard, au dieu qui se cache, qui est le vrai dieu de la révélation). Ce qui semblait jusqu'ici un échec, une imperfection de la chose (la brumosité du souvenir), par un retournement radical du regard, devient un mode de son achèvement, sa vérité intrinsèque.
  • la réduction phénoménologique qui autorise la suspension de l'approche naturelle et la lutte contre l'abstraction[N 4].

Dans ses Problèmes fondamentaux de la phénoménologie[15], Heidegger, complète cette approche en distinguant trois éléments constitutifs de la « méthode » phénoménologique : la réduction, la construction et la destruction, ce dernier élément constituant à la fois le socle et l’apogée de sa méthode phénoménologique [16].

la réduction phénoménologique

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La « réduction phénoménologique » consiste pour Husserl, à suspendre radicalement l'approche naturelle du monde, posé comme objet ainsi qu'une lutte menée sans concession contre toutes les abstractions que la perception naturelle de l'objet présuppose[17].

Mais si pour Husserl l'« époché » ou mise entre parenthèse du monde objectif constituait l'essentiel de la réduction phénoménologique, il n'en allait pas de même pour Heidegger pour qui le « Monde » n'ayant aucun caractère objectif, ce type de réduction s'avérait inutile[18].

Par contre la définition heidegerienne de la phénoménologie, comme reconduction du regard de l'étant à la compréhension de son être, est en soi un acte de « réduction phénoménologique »[19].

En fait, la « réduction phénoménologique » va jouer, dans Être et Temps, un rôle essentiel dans l’analytique du Dasein, notamment dans l'analyse de la quotidienneté et la mise à jour des structures existentiales du Dasein, exigeant un regard résolument authentique[20]. La réduction dans Être et Temps, conclut François Doyon, « apparaît comme un parcours de détachement progressif à l’aveuglement de la quotidienneté du monde ambiant afin de s’exposer résolument à la finitude radicale de son être ».

la construction phénoménologique

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C'est à l'opération d'induction de l' « être », qui n'apparaît jamais spontanément, à partir de l'étant que Heidegger a donné le nom de « construction phénoménologique »[21], c'est une tâche, un projet, qu'il revient au Dasein de réaliser sachant « qu'il n'y a d'être que s'il y a compréhension de l'être , c'est-à-dire si le Dasein existe »[22]. On peut dire avec François Doyon[23], c’est le Dasein lui-même qui se construit par la construction de l’ouverture à son être.

la destruction phénoménologique

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La « construction réductrice de l’être », en tant qu’interprétation conceptuelle de l’être et de ses structures, implique donc nécessairement une destruction phénoménologique, c’est-à-dire une dé-construction critique préalable des concepts légués par la tradition philosophique.

la question préalable du comprendre

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  • Ce que nous comprenons en vérité, ce n’est jamais que ce que nous éprouvons et subissons, ce dont nous pâtissons dans notre être même[24].
  • Les « choses mêmes » ne se donnant pas immédiatement dans une intuition, Heidegger se séparant ici définitivement de Husserl, pense que pour les atteindre, il est nécessaire de s'engager résolument dans le «cercle herméneutique »[25].
  • S'agissant du sens d'« être » de l'étant, l'analyse phénoménologique va donc devoir toujours être précédée d'une tâche préliminaire, l'analytique de l'étant, qui dans son être le comprend, ou plutôt le pré-comprend Verstehen, c'est-à-dire le Dasein particulier qui lui sert de point de départ [26].
  • Autrement dit, avec Heidegger, l' « enquête phénoménologique » ne doit pas tant porter sur les vécus de conscience, comme le croyait Husserl que sur l'être pour qui on peut parler de tels vécus, et qui est par là capable de phénoménalisation, à savoir le Dasein, c'est-à-dire, l'existant.
  • Il va s'avérer que le Logos de cette phénoménologie s'interessant au premier chef au mode d'être du Dasein est herméneutique car celui-ci est herméneutique en son être ; exister étant pour lui, comprendre et expliciter, pour Se comprendre [27].

Les grandes avancées husserliennes

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le concept d'Intentionnalité

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« La phénoménologie c'est l'intentionnalité » affirme ni plus ni moins Lévinas[28]. Heidegger s'accorderait à cette parole encore faut-il préciser les contours qu'il donne au concept d'intentionnalité qu'il puise principalement dans les cinquième et sixième Recherches logiques de Husserl[29].

  • L'intentionnalité qui est un « se diriger sur » depuis Brentano, n'est plus une mise en rapport externe mais une « structure interne de la conscience ». Ainsi la perception est d'abord un commerce concret et pratique avec les choses, je ne perçois pas pour seulement percevoir mais pour m'orienter, percevoir n'est plus une simple observation neutre.
  • Le même raisonnement est à appliquer aux actes de représentation quelsqu'ils soient, chacun tire son sens de la spécificité de l'acte intentionnel.
  • Le fait que l'intentionnalité soit un « à priori » appartenant à la structure du vécu et non une relation construite aprés coup entraîne un sens spécifiquement phénoménologique à la notion d'acte et notamment pour ce qui concerne l'acte de représentation qui peut emprunter selon Heidegger deux directions différentes, la voie naïve qui nous dit par exemple que ce fauteuil est confortable et lourd ou l'autre qui va s'inquiéter de son poids et de ses dimensions [30].
  • Le perçu dépend de l'intentionnalité mise en œuvre, c'est pourquoi la perception n'est pas une simple image mentale mais la possibilité d'accueillir selon l'expression de Husserl la chose « en chair et en os ».

l'intuition catégoriale

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Il faut comprendre cette expression d'« intuition catégoriale » comme « la simple saisie de ce qui est là en chair et en os tel que cela se montre » nous dit Jean Greisch. Appliquée jusqu'au bout cette définition autorise le dépassement de la simple intuition sensible soit par les actes de synthèse[N 5].

Le Phénomène dans la phénoménologie

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  • L'outil méthodologique censé assurer la neutralité est appelé « époché » par Husserl, consistant à mettre entre parenthèse toute position à priori[31].
  • Le rédacteur de l'article phénoménologie dans le Dictionnaire [32].avance, par ailleurs, dans une formule lapidaire « dans une acception proprement phénoménologique, est phénomène ce qui ne se montrant jamais de lui-même, demande d'être mis à découvert ».
  • Sur ces éléments, Heidegger et Husserl sont d'accord, la question sur laquelle ils vont diverger est celle qui a trait au mode de donation de ces phénomènes Contre la « phénoménologie descriptive » de Husserl, Heidegger va insister sur le caractère « insigne » de ce qui bien qu'occulté constitue seul le sens et le fondement de ce qui se montre , à savoir l'être de l'étant[33].
  • Pour Heidegger, l'impératif « retourner à la chose même », revient à se tourner vers la donation de l'étant, afin d'expliciter son mode d'être. L'ontologie, discipline formelle jusqu'à lui, va devoir emprunter le chemin de la phénoménologie[34].
  • D'autre part, il se distingue de Husserl en recherchant le sens originel du terme phénomène φαινόμενον, notamment en l'inscrivant dans l'horizon des paroles fondamentales dites par les anciens grecs, recensées par Marlène Zarader [35], la Phusis, le Logos et l'Alètheia, où il signifierait, pour l'étant se montrer, se manifester, « se tenir dans la lumière », pour ce qu'il est ou même pour ce qu'il n'est pas[36].
  • Heidegger élargit la notion de phénomène au semblant, à l'apparence Erscheinung, qui sous forme d'indications, de représentations, de symptômes ou symboles, montrent tous quelque chose qui ne se montre pas directement, mais s'annonce.

Le logos dans la phénoménologie

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(voir MZ EetT pages 250à 260)

Références

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  1. Jean Greisch la tapisserie de la Vie dans Heidegger 1919-1929 collectif De l'herméneutique de la facticité à la métaphysique du Dasein Problèmes et Controverses VRIN 1996 page 135
  2. Ina Schmidt La vie comme défi phénoménologique dans collectif S.-J .Arrien S.Camilleri(éd) Le jeune Heidegger 1909-1926, VRIN, coll. « Problèmes et controverses », 2011 page 119
  3. Sylvain Camilleri et Sophie ibid 2011 Introduction page 19
  4. Jean Greisch, Ontologie et temporalité. Esquisse systématique d'une interprétation intégrale de Sein und Zeit, PUF, 1994 page 48
  5. François Doyon La méthode phénoménologique du jeune Heidegger page 163 http://www.academia.edu/1018929/La_methode_phenomenologique_du_jeune_Heidegger
  6. Alexander Schnell De l'existence ouverte au monde fini Heidegger 1925-1930 Vrin 2005 page 18
  7. Christian Dubois op cité 2000 page 33
  8. {{lien web|auteur=François Doyon|titre=La méthode phénoménologie du jeune Heidegger|url=http://academia.edu/1018929/La_methode_phenomenologique_du_jeune_Heidegger%7Csite=academia
  9. Christian Dubois op cité 2000 page 31
  10. Françoise Dastur ibid 2007 page 75
  11. Marlène Zarader op cité 2012 page 84
  12. Françoise Dastur op cité ibid 2007 page 78
  13. voir article Phénoménologie Le Dictionnaire Martin Heidegger sous la direction de Philippe Arjakosky-François Fédier-Hadrien France-Lanord Cerf 2013 page 1016
  14. Emmanuel Levinas En découvrant l'existence avec Husserl et Heidegger VRIN 1988 page 112
  15. Martin Heidegger Les problèmes fondamentaux de la phénoménologie nrf Gallimard 1989
  16. {{lien web|auteur=François Doyon|titre=La méthode phénoménologie du jeune Heidegger|url=http://academia.edu/1018929/La_methode_phenomenologique_du_jeune_Heidegger%7Csite=academia
  17. Emmanuel Levinas op cité 1988 page 122
  18. Alexander Schnell op cité Vrin 2005 page 19
  19. Alexander Schnell op cité page 20
  20. François Doyon lien cité page 166
  21. François Doyon lien cité page 167
  22. Martin Heidegger Les problèmes fondamentaux de la phénoménologie trad Jean-François Courtine nrf Gallimard 1989 page 37
  23. François Doyon lien cité page 169
  24. Henri Corbin De Heidegger à Sohravardî Entretien avec Philippe Nemo http://www.amiscorbin.com/index.php/biographie/de-heidegger-a-sohravardi
  25. Marlène Zarader Lire Être et Temps de Heidegger Histoire de la philosophie VRIN 2012 page249
  26. Françoise Dastur ibid 2007 page 82
  27. Françoise Dastur ibid 2007 page 82
  28. Emmanuel Levinas op cité 1988 page 126
  29. Jean Greisch, Ontologie et temporalité : Esquisse systématique d'une interprétation intégrale de Sein und Zeit, Paris, PUF,‎ 1994 page 46
  30. Jean Greisch, Ontologie et temporalité op cité pagesv48-49
  31. Alexander Schnell De l'existence ouverte au monde fini Heidegger 1925-1930 Vrin 2005 page 18
  32. voir article Phénoménologie Le Dictionnaire Martin Heidegger op cité Cerf 2013 page 1017
  33. Françoise Dastur ibid 2007 page s 79
  34. Marlène Zarader op cité 2012 page 79
  35. Marlène Zarader Heidegger et les paroles de l'origine Paris VRIN 1986
  36. Martin Heidegger Être et Temps traduction François Vezin nrf Gallimard 1990 page 55
  1. Il s'agit de Grundprobleme de 1919-1920, l'Einführung in die phänomenologische Forschung qui inaugure l'enseignement de Marbourg et des Grundprobleme de 1928 voir Jean Greisch la tapisserie de la Vie dans Heidegger 1919-1929 collectif De l'herméneutique de la facticité à la métaphysique du Dasein Problèmes et Controverses VRIN 1996 page 134
  2. C'est d'Husserl que Heidegger reçoit avec celui d' « Intentionnalité », le concept d' « Intuition catégoriale », qui en acceptant comme donation originaire, les rapports entre étants, comme les formes collectives ( une forêt , un défilé) et les formes disjonctive ( A plus clair que B) élargit considérablement le domaine de la réalité. Avec l'Idéation ( l'espèce et le genre) , l' « Intuition catégoriale » constitue de nouvelles « objectités »Jean Greisch, Ontologie et temporalité. Esquisse systématique d'une interprétation intégrale de Sein und Zeit, PUF, 1994 page 58
  3. Ce « droit aux choses mêmes », s'oppose à toutes les constructions échafaudées dans le vide à la reprise de concepts qui n'ont rien de bien fondé que l'apparence et l'ancienneté Martin Heidegger Être et Temps trad Francçois Vezin Gallimard 1990 page 54
  4. voir pour l'approfondissement de tous ces points les pages lumineuses que Lévinas y consacre dans: Emmanuel Levinas En découvrant l'existence avec Husserl et Heidegger VRIN 1988 pages intiutlée réflexions sur la « technique » phénoménologique de 111 à 123
  5. L'exemple de Jean Greisch (du chat qui est sur le paillasson) et qui est autre chose qu'un paillasson plus un chat ou les exemples du troupeau de moutons ou de la foule qui manifeste, enfin encore plus simple et plus évident la forêt et pas seulement une série d'arbres, soit par des actes d' idéationJean Greisch op cité 1994 pages 56-57

Bibliographie

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  • Martin Heidegger Être et Temps traduction François Vezin nrf Gallimard 1990 isbn 2070707393
  • Martin Heidegger Les problèmes fondamentaux de la phénoménologie trad Jean-François Courtine nrf Gallimard 1989 isbn 2070701875
  • Martin Heidegger acheminement vers la parole collec TEL Gallimard 1988 isbn 2070239551
  • Marlène Zarader Lire Être et Temps de Heidegger Histoire de la philosophie VRIN 2012 isbn 9782711624515
  • Jean Greisch, Ontologie et temporalité : Esquisse systématique d'une interprétation intégrale de Sein und Zeit, Paris, PUF,‎ 1994 isbn 2130464270.
  • Jean Greisch De la logique philosophique à lessence du langage :la révolution coperniceienne de Heidegger -Revue Philosophie conscarée à Heidegger numéro 69 03/2001 Editions de Minuit isbn 02941805
  • Jean Greisch L'Arbre de vie et l'Arbre du savoir collection passages Cerf 2000 isbn 22040611840
  • Servanne Jollivet Enjeux et limites du retour au monde de la vie chez le jeune Heidegger revue Philosophie n°108 hiver 2010 isbn 9782707321497.
  • Heidegger 1919-1929 De l'herméneutique de la facticité à la métaphysique du Dasein Problèmes et Controverses VRIN 1996 isbn 2711612732.
    • Franco Volpi La question du Logos chez le jeune Heidegger dans Heidegger 1919-1929 De l'herméneutique de la facticité à la métaphysique du Dasein Problèmes et Controverses VRIN 1996
  • Le Dictionnaire Martin Heidegger sous la direction de Philippe Arjakosky-François Fédier-Hadrien France-Lanord Cerf 2013 isbn 9782204100779.
  • Marc Froment-Meurice C'est à dire Poétique de Heidegger Éd Galilée 1996 isbn 2718604662
  • Alexander Schnell De l'existence ouverte au monde fini Heidegger 1925-1930 Vrin 2005 présentation en ligne=http://www.vrin.fr/html/main.htm?action=loadbook isbn 2711617920
  • Marlène Zarader, Heidegger et les paroles de l'origine, J. Vrin, (ISBN 978-2711608997)

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