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Ensemble de logements n°20 à 24.a rue du Bourgmestre

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Ensemble de logements n°20 à 24a rue du Bourgmestre
Présentation
Type
Maisons et appartements bourgeois
Style
Style Beaux-arts et style cottage
Architecte
Joseph VINCKE et Joseph FINK
Construction
1922 et 1926
Commanditaire
Propriétaires privés
Localisation
Pays
Belgique
Commune
Adresse
Rue du Bourgmestre, n°20 à 24a
Accès et transport
Autobus
Modèle:Ligne STIB Géo Bernier
Coordonnées
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L’ensemble de bâtiments situé aux numéros 20 à 24a rue du Bourgmestre, à Ixelles, en région bruxelloise, en Belgique, regroupe des maisons et appartements bourgeois de style Beaux-Arts.

La rue du bourgmestre est localisée sur la trace d’un ancien chemin dont les origines remontent au XIIIe siècle. À la fin du XIXe siècle, une épidémie de choléra sévit à Bruxelles, faisant plus de 3000 victimes[2]. Le gouvernement Rogier II décide d’assainir la ville avec notamment le voûtement de la senne mais aussi l’élargissement d’un certain nombre de voiries[2]. C’est ainsi que la rue du bourgmestre fait l’objet d’une restructuration par l’arrêté royal du 12-07-1886 qui propose le Plan d’alignement de la rue du bourgmestre ayant pour but d’agrandir la voie d’une douzaine de mètres[1]. De cette manière, tout le début du xxe siècle voit, après démolition, la reconstruction d’habitations le long de cette voirie. L’architecte Joseph Vincke intervient, en 1922, aux numéros 20 à 24a créant un ensemble de deux bâtiments - pour deux propriétaires différents - qui se font face autour d’un espace central[3]. Par la suite, l’architecte Joseph Fink construira, en 1926, une villa de style cottage - portant le numéro 22 - à l’intérieur de cet îlot[3].

Architectes

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Joseph VINCKE[4]

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Joseph Vincke est un architecte bruxellois du début du xxe siècle. Il a principalement réalisé des maisons bourgeoises de style éclectique, mais a également construit dans le style néo-renaissance flamande et dans le style Beaux-Arts, comme la maison de l'avenue Dailly, 33 à Schaerbeek[5] ou pour l’ensemble de logements n°20 à 24a de la rue du Bourgmestre. Certaines de ces réalisations sont signées et millésimées sur la façade principale par son nom, la mention «architecte» et la date de la construction du bâtiment.

Dans ses réalisations, il est souvent fait usage de la pierre bleue – dite petit granit - caractéristique de l’architecture belge[6] pour les soubassements. Le reste des façades est fait en briques, colorées ou non. Dans la typologie des plans et coupes, Vincke reprend la structure souvent utilisée dans les maisons bruxelloises avec notamment un étage de service surmonté d’un bel étage.

Joseph FINK[7]

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Joseph Fink est un architecte belge de la première partie XXe siècle. Il est l’auteur de quelques maisons telles que le numéro 22 de la rue du Bourgmestre à Ixelles ou le numéro 16 du square François Riga à Schaerbeek. Ces dernières sont estampillées à son nom. Cependant, la majeure partie de ses réalisations ont été des rénovations ou des collaborations avec d’autres architectes de l’époque. Les maisons qui ont fait l’objet des travaux de Fink sont majoritairement de style bourgeois et s’établissent sur un plan type des maisons bruxelloises de cette période.

Façades de la maison n°20[8]

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La maison du n°20 de la rue du Bourgmestre est une réalisation de l’architecte Joseph Vincke. De style Beaux-Arts, l’édifice se développe sur la partie Nord-Est de la parcelle et présente deux façades : l’une donnant sur la rue et l’autre vers l’intérieur de l’îlot. Elle fait face à la maison n°24 qui se développe sur la partie Nord-Ouest, laissant un espace de cour entre les deux bâtiments. Elle est mitoyenne à la maison n°18 à laquelle elle est alignée en hauteur.

La construction possède un bel étage surplombé de deux étages sous toiture mansardée et un sous-sol de service comme c'est souvent le cas dans les maisons belges. Les deux façades sont composées d’une partie en pierre bleue comme soubassement, d'une partie en moellons en pierres de taille, pour le rez-de-chaussée, et d’une partie en briques rouges et en pierres blanches pour les étages supérieurs. Le rez-de-chaussée et le premier étage sont séparés d’un bandeau en pierre bleue et surmonté d’un bandeau en pierre blanche – présent également entre le premier et deuxième étage – interrompu entre les travées par des pilastres à refends. Une large corniche, soutenue par des consoles, prend place au-dessus d’un entablement en pierre blanche légèrement en avant et vient marquer une séparation nette entre la toiture mansardée et le reste de l’édifice.

Les deux façades présentent des baies à arc en plein cintre pour le rez-de-chaussée et le premier étage qui sont entourés de jambages en harpe et de plates-bandes respectivement en pierres de taille et en pierres blanches. Les fenêtres du premier étage sont également marquées par des tables d’allège. Le second étage est percé de baies rectangulaires surmontées de plates-bandes en pierres blanches puis de linteaux en brique dans la partie de l’entablement. Elles sont, elles aussi, marquées par des tables d’allège en pierre blanche. En toiture, les ouvertures sont des lucarnes.

Concernant la façade de l'intérieur de d’îlot, elle se découpe en trois travées axiales avec une symétrie centrale. La travée centrale possède une porte précédée d’un perron s’ouvre sur l’étage noble. Dans la même travée, les fenêtres permettent l'accès à des balcons avec des garde-corps sont en fer forgé. A l’inverse, la façade donnant sur la rue ne possède pas d’alignement en travées verticales. Au rez-de-chaussée, une porte est présente sur la gauche et une fenêtre sur la droite. La porte est précédée par une marche de seuil et elle est surmontée d’un linteau en arc surbaissé, d’une traverse d’imposte dépassant légèrement, puis d’une baie d’imposte surmontée d’un linteau en arc surbaissé en pierres de taille. La baie du premier étage est centrée et elle est précédée d’un balcon de forme trapézoïdal dont le garde-corps est aussi en fer forgé. Le deuxième étage possède deux fenêtres alignées sur les éléments du rez-de-chaussée, alors que la toiture ne présente qu’une seule lucarne alignée à la baie du premier étage.

Façades de la maison n°24, 24.a[8]

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Les numéros 24/24a, situés sur la partie Nord-Ouest de la parcelle, ont été réalisés par l’architecte Joseph Vincke, en 1922, dans un style Beaux-Arts, et laissent entrevoir depuis la rue, deux de ses trois façades. Le bâtiment fait face au numéro 20 et est séparé par deux murets en moellons maintenant les grilles en ferronnerie. À chaque extrémité, se trouve une porte de guichet et au centre, un portail à double battant soutenu par deux piliers en moellons surmontés d'un chapiteau en pierre bleue. Ces grilles ouvrantes donnent sur l’intérieur de l’îlot au moyen d’une allée pavée qui mène vers le numéro 22 et les jardins des habitations.

Sur la partie Nord-Ouest de la parcelle, s'élève contre le mitoyen du numéro 26, l'immeuble destiné, à l'origine, aux deux appartements des numéros 24 et 24a. Des subdivisions ont eu lieu au sein des deux logements, les transformant au nombre de quatre. L'édifice est composé d'un sous-sol à niveau de rue, visible jusqu'à la onzième travée de la façade latérale. Il est surmonté de trois étages sous mansarde dont un bel-étage. Les façades sont organisées selon trois registres horizontaux.


Sur la façade à rue, le sous-sol, représentant la base de l'édifice, est composé d'un soubassement en pierre bleue et surplombé d’un bossage en moellons de pierre de taille grises claires, taillées régulièrement. Les baies de la façade côté rue, sont organisées, contrairement au numéro 22, selon deux travées verticales. Le rez-de-chaussée est percé de deux portes piétonnes en ferronnerie à double battant, chacune munie d’une grande fenêtre en verre translucide à relief. Les deux entrées sont surmontées d’un arc surbaissé, et de part et d’autre de chaque porte se trouve une cassolette — arrivée d’eau pour robinet extérieur.

Les deux registres supérieurs, séparés du premier par un bandeau en pierre bleue, sont en briques rouges. Deux pilastres à refend, en pierres blanches, encadrent la façade et remontent jusqu’à l’entablement, où quatre trous à boulin sont visibles. Une corniche en bois peinte en blanc, est reprise par trois consoles en pierres blanches à diglyphes. La baie du premier étage, au centre des deux travées principales, est composée de châssis blancs et est surmontée d’un arc en anse de panier. Les piédroits de la baie sont constitués de claveaux disposés en harpe taillés dans la pierre blanche.L’ouverture est précédée d’un balcon trapézoïdal en pierre bleue. Il est surmonté d’un garde-corps en ferronnerie et repose sur une console centrale, elle aussi en pierre bleue. Les deux ouvertures rectangulaires de l'étage supérieur sont symétriques et reposent sur un appui saillant. Elles sont surmontées d'une plate-bande en pierre blanche à neuf claveaux, descendant jusqu'au niveau de la traverse d'imposte de chaque fenêtre, et reposent sur des corbeaux, dans le même matériau. Les plates-bandes sont couronnées d'un arc de décharge en briques rouges. Entre les deux ouvertures, se trouve un pilastre à refend, similaire mais plus fin que ceux situés aux extrémités de la façade, et qui soutient la console centrale de l'entablement. La toiture mansardée, recouverte d’ardoises, est surmontée d’une corniche en bois peinte en blanc. Deux lucarnes à toit plat, couronnées d’un arc surbaissé, sont alignées sur les deux travées de la façade. La corniche est reprise par deux consoles en bois.

La façade latérale compte treize travées de largeurs différentes. Le bossage et l'appareillage de cette façade sont similaires à la façade avant. Des baies à arc surbaissé y sont percées en alternant, fenêtres à simple et double vantail, posées sur une tablette saillante en pierre bleue. Leurs châssis sont en bois peint en gris et elles sont précédées de grilles en fer forgé, peintes de couleurs similaires, posées en tableau.

À hauteur de la troisième et quatrième travée, se trouve une porte piétonne. Elle est précédée d'un seuil monolithique en pierre bleue et surmontée d'un arc surbaissé, donnant accès aujourd'hui aux nouveaux appartements. Elles disposent chacune d'une fenêtre accompagnée d'une grille en fer forgé et sont peintes de la même couleur que les châssis des ouvertures. Une porte de garage, à double battant, se situe au niveau de la dixième et onzième travée. Cette porte est composée des mêmes matériaux et couleurs que les ouvertures du rez-de-chaussée.L'étage supérieur est dissocié par un bandeau en pierre bleue continu sur la longueur. Au niveau du bel-étage, une baie à arc en anse de panier s'étend de la première à la deuxième travée. Elle repose sur une allège en pierre blanche et ses piédroits sont constitués de claveaux disposés en harpe.

La troisième travée se distingue par la présence d'une logette de plan trapézoïdal, soutenue par une console centrale en pierre bleue. Cet élément en saillie, accessible depuis le deuxième étage, est surmonté d'une terrasse à garde-corps en fer forgé. Les deux dernières travées de la façade latérale sont caractérisées par un ressaut en façade, et sont accompagnées d'une annexe en plan trapézoïdal reprenant une toiture-terrasse à garde-corps en ferronnerie. Les autres ouvertures du deuxième niveau sont de formes rectangulaires, posées sur un appui en pierre blanche et encadrées de piédroits et d'une plate-bande appareillée dans le même matériau.

Au troisième niveau, les fenêtres des deux premières travées se distinguent des autres. Elles sont soutenues par une allège en pierre de taille blanche continue, taillée de façon identique à celles de la façade avant. Les trois premières baies sont montées d'une plate-bande à neuf claveaux, descendant jusqu'au niveau de la traverse d'imposte de chaque fenêtre, et reposent sur des corbeaux. Un balcon de pierre bleue en plan rectangulaire, est soutenu par trois consoles taillées et surmonté d'un garde-corps en fer forgé peint en blanc. Le reste des percements de ce niveau sont rectangulaires et munis de piédroits et de plates-bandes. Ils reposent sur des allèges en pierre blanche ornées de polyglyphes. Toutes les ouvertures du troisième niveau sont surmontées d'un arc de décharge en brique rouge, situé dans l'entablement où sont présents des trous de boulins.L'entablement est distingué de la façade par la présence d'une architrave en saillie sur toute la longueur de la bâtisse. Deux pilastres à refend ornent la façade et sont couronnés de consoles à diglyphes. Le premier, en début de façade, adoucit la liaison avec la façade avant, et l'autre, rehausse le parement entre la troisième et la quatrième travée. Deux descentes d'eau pluviale de part et d'autre de la troisième travée qui, maintenues à la façade par des colliers de fixation, descendent depuis la corniche. Celle-ci, en bois blanc, est maintenue par les deux consoles en pierres blanches et reprend la toiture mansardée qui se compose d'une tabatière et de huit lucarnes à toit plat, disposées le long de la façade latérale. Trois sur le premier, quatre sur le deuxième et une sur le dernier tiers. Elle compte cinq cheminées.

La façade postérieure, dernière des trois façades de l’ensemble, et en partie constituée de briques rouges, s’établit sur un soubassement en pierre bleue. Elle se divise en trois travées et comporte une annexe sous toiture-terrasse qui se détache légèrement de la façade et qui se développe sur un pan coupé reliant les façades postérieures et latérales.

Cette annexe, au rez-de-chaussée, se compose d’une porte à double battant en châssis blanc sur la partie droite et d’une baie sur la partie gauche, toutes deux munies d’une grille en ferronnerie et surmontées d’un arc en anse de panier. Les piédroits sont constitués de claveaux disposés en harpe, le tout est taillé en pierre blanche.

Elle supporte une corniche en bois peinte en blanc sur laquelle est posée une toiture-terrasse continue sur les façade latérales et postérieures du bâtiment. Elle se compose d’un balcon en pierre bleue et d’un garde-corps en ferronnerie. Il mène à une porte à double battant située au première étage. Cette porte est entourée d’un encadrement droit comprenant des plates-bandes formées de claveaux sur la partie supérieure et de lancis disposés en harpes sur les côtés.

La même disposition se retrouve sur la baie de gauche avec, en dessous de celle-ci, une allège surmontée d’une tablette de fenêtre. À gauche de l’annexe, au rez-de-chaussée, se trouve une baie vitrée, elle aussi ceinturée d’un encadrement droit composé de plates-bandes formées de claveaux disposés en harpes, taillées en pierres blanches. Le tout supporte une imposte, dans le même matériau. Au-dessus de cette baie, un escalier en ferronnerie mène, au premier étage, à une porte à double battant en châssis blanc.

Un entablement est disposé entre la corniche peinte en blanc et le bandeau surmontant les plates-bandes des baies et de la porte vitrées, côté balcon, et où s'appuient deux arcs de décharges en briques rouges. Une toiture mansardée termine la façade avec, en son sein, une lucarne à double battant à droite d’une cheminée, et d’une tabatière, à gauche de celle-ci.

Façade de la maison n°22[8]

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Cette maison unifamiliale de 4 façades fut imaginée et réalisée par l’architecte Joseph Fink en 1926. Atypique pour Bruxelles et dans un style cottage anglais elle se situe en intérieur d’îlot cachée depuis la rue par les constructions de Joseph Vinck. Une servitude carrossable centrale en pavés de porphyre de Quenast menait à l’origine a un garage en bout de parcelle. Celle-ci fut remodelée et le garage enlevé durant les travaux en 2018. Bien que de grosses transformations aient eu lieu en 2018 par les actuels propriétaires, le bâtiment d’origine demeure quasiment intacte. Les toitures sont fortement inclinées, les étages mansardés, le pignon décoré par des modestes colombages de bois foncés et les ouvertures peu grandes. Orientée nord, les pièces intérieures sont sombres. Les façades sont en briques peintes, soutenues par un soubassement en pierre bleue. Le relief de la façade principale est composé de l’arc voûté de l’entrée et d’un bow-window donnant sur l’ancien séjour. Rachetée en 2015, la maison fut agrandie en 2018. Une extension de style moderne imaginée et construite par les architectes Barbara et Paul Lievevrouw vient doubler la taille de l’habitation et offre a cette dernière une réelle plus-value en terme de lumière naturelle. Spécialisés dans la rénovation de maisons Horta et classées à Bruxelles, les architectes ont réussi a garder l’âme de l’existant tout en la confrontant à une modernité évidente. Les pièces de vie telles que la cuisine, la salle à manger et le salon ont investies la nouvelle partie et les chambres à coucher et salle de jeux sont restées dans l’ancienne. Les façades de l’extension sont composées de baies vitrées, de béton et de travertin roumain rappelant les tons des façades des numéros 20 et 24. Les deux toitures plates sont des toitures végétales.

Bibliographie

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Ouvrages

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  • BOVY Philippe et HAINAUT Michel, « Le quartier de Cygne (2) », A la découverte de l'histoire d'Ixelles, no 6,‎
  • Centre d'études et de recherches urbaines (Belgique), Ixelles : ensembles urbanistiques et architecturaux remarquables, Bruxelles, Bruxelles : Centre d'Etudes et de Recherches Urbaines, , p.81-88
  • DE BARQUIN F., « La pierre bleue de Belgique dite petit granit d'age géologique tournaisien », Note d'information technique, no 220,‎ , p. 4 (ISSN 0528-4880, lire en ligne)
  • DELABY Emile, « Ixelles-village et le quartier des étangs », A la découverte de l'histoire d'Ixelles, no 3,‎
  • DELABY Emile, « La rue du bourgmestre et les avatars d'un vieux chemin de campagne... », Mémoire d'Ixelles, no 16,‎
  • DELABY Emile, « Toujours à propos de la rue du Bourgmestre », Mémoire d'Ixelles, no 22,‎
  • DELABY Émile, DE SAN Anne, DUTERME Roger [et al.], Le quartier des étangs d'Ixelles, Bruxelles, Ministère de la Région de Bruxelles-Capitale, service des Monuments et Sites,
  • DELABY Émile, DUTERME Roger, FISCHER Gustave [et al.], Le Quartier des étangs d’Ixelles, Bruxelles, Editions Solibel,
  • DEMETER Stéphane, Atlas du sous-sol archéologique de la région de Bruxelles, vol. 15 : Ixelles, Bruxelles, Ministère de la Région de Bruxelles-Capitale, Direction des Monuments et des Sites, 1992-2012, p. 63
  • GARRIC Jean-Philippe, « L’architecture Beaux-Arts. Objet d’expositions », Les Cahiers du MNAM, no 129,‎ (lire en ligne)
  • HERLA Michèle, Ixelles, Histoire du développement urbanistique, Partie 2, Bruxelles, éditions T. Wauters, 2016-2017
  • PLUVINAGE Gonzague, « Où il est question d’un dromadaire et du développement urbanistique de Bruxelles », Cahiers Bruxellois – Brusselse Cahiers, no 49,‎ , p. 17-18 (lire en ligne)
  • PUTTEMANS Marianne, Histoire de l'architecture, vol. 2, Bruxelles, PUB, ULB, , p. 254-256

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. a et b « Rue du Bourgmestre – Inventaire du patrimoine architectural », sur monument.heritage.brussels (consulté le )
  2. a et b Gonzague PLUVINAGE, « Où il est question d’un dromadaire et du développement urbanistique de Bruxelles », Cahiers Bruxellois – Brusselse Cahiers,‎ , p. 17-18 (lire en ligne)
  3. a et b « – Inventaire du patrimoine architectural », sur monument.heritage.brussels (consulté le )
  4. « Inventaire du patrimoine architectural », sur monument.heritage.brussels (consulté le )
  5. « – Inventaire du patrimoine architectural », sur monument.heritage.brussels (consulté le )
  6. F. de BARQUIN, « La pierre bleue de Belgique dite petit granit d'age géologique tournaisien », Note d'information technique, no 220,‎ , p. 4 (ISSN 0528-4880, lire en ligne)
  7. « Inventaire du patrimoine architectural », sur monument.heritage.brussels (consulté le )
  8. a b et c « Rue du Bourgmestre 20, 22, 24-24a »

Photographies

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Façade de la maison n°20
Façade de la maison n°24
Façade arrière de la maison n°24/24.a
Façade latérale de la maison n°24/24.a
Portail d'entrée vers la maison n°22 et les jardinets