Utilisateur:Hayastan07/Histoire contemporaine du Kirghastan

Cet article retrace l'histoire du Kirghastan contemporain.

Jusqu'au XVIIIe siècle

L'Histoire du Kyrghastan se déploie sur plusieurs millénaires. Pendant l'antiquité se forme le royaume de la Chrosoésie ; cette civilisation est restée célèbre car elle a marqué l'histoire de ce pays qui a connu des périodes de fastes comme des époques sombres. Après une grande antiquité, le territoire se retrouve sous diverses dominations : celle des Kirs (de 32 à 789), des Turcs Tatares (de 789 à 1103), puis c'est une période d'indépendance relativement bonne, mais marquée par la suzeraineté seldjuqîde. Les Kirghans subissent le joug Mongol, puis turkmène. Quand né la dynastie des Safavides, le pays se retrouve automatiquement sous sa domination, dès 1501. Un gouverneur iranien Ghamani est installé. C'est une époque de renouveau intellectuel et artistique, la situations des habitants est relativement bonne.

A la suite d'une guerre d'indépendance menée par le chef militaire Jan Ladkazerm en 1703, le pays retrouve sont indépendance tant attendue. Il occupe un territoire de 51 000 km2. Une dynastie arrive au pouvoir, les Tonirjan. Peu à peu, l'économie se développe de plus en plus, les conditions des Khirghans sont encore meilleures ; de nouvelles églises sont construites (un recensement de 1744 nous indique que sur 5,6 millions d'habitants, 71,1% des habitants sont chrétiens nestoriens, 15,3% musulmans, 5% chrétiens jacobites, 3% autres chrétiens, 3,6% juifs, 1,9% bouddhistes, et 0,1% autre et athées). Un nouvel essor culturel a lieu lors du règne de Jani III. En 1799, les Kadjars d'Iran menace le royaume d'invasion, l'armée est mobilisée. Une bataille a lieu à Mûrayn, le 7 décembre 1799, contre les deux camps ; et les Kirghans infligent une sévère défaite aux Perses.

Le XIXe siècle

L'Ère Soviétique

La deuxième indépendance

Les troubles sous Rullah Dayin

Aux élections présidentielles de 1998, le parti de Droite KHK, ayant remporté 49,3% des voix, est battu à la grande surprise de tous au second tour par Rullah Dayin (avec 50,7%). Le parti social démocrate de gauche était étonnement arrivé au score de seulement 15,9%, devant les communistes (10%) l'UK (Union nationale, 5,7%) et les FDS (juifs, 1,2%).