Utilisateur:Isère-Musée Saint-Antoine/Brouillon

Musée de Saint-Antoine-l'Abbaye
Informations générales
Type
Institution patrimoniale (en), musée d'art, collection (en), musée historique (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Ouverture
1980
Visiteurs par an
21 791 ()Voir et modifier les données sur Wikidata
Site web
Localisation
Adresse
Le Noviciat - 38160 Saint-Antoine-l'AbbayeVoir et modifier les données sur Wikidata
Saint Antoine l'Abbaye
 France
Coordonnées
Carte

Le musée de Saint-Antoine-l'Abbaye est situé à Saint Antoine l'Abbaye dans le Sud Grésivaudan, en Isère, dans la région Auvergne-Rhône-Alpes.

Créé en 1980 à partir d'une donation faite au Département d'œuvres de l'artiste Jean Vinay, il est géré par le département de l'Isère[1]. En 1998 il a fait l'objet de travaux de réaménagement de ses espaces muséographiques. Le musée est réparti sur plus de 1 300 m2 au sein de plusieurs bâtiments des XVIIe et XVIIIe siècles protégés au titre des Monuments historiques. Le musée fait partie du réseau des Hôtels-Dieu et Apothicaireries[2] depuis 2017.

Installé dans l'ancien noviciat des XVIIe et XVIIIe siècles, le musée abrite sur deux étages le parcours permanent «Chroniques d'une Abbaye»[3]. Au rez-de chaussée la salle voutée accueille les expositions temporaires.

L'entrée du musée, comme cela est le cas dans tous les musées du Département de l'Isère, est gratuite depuis 2004 permettant l'accès à un large public.

Chaque année, une programmation culturelle est proposée: concerts, représentations théâtrales, spectacles, conférences, animations pour le public scolaire et familiale.

Le musée participe aux événements nationaux : La Nuit européenne des musées, Rendez-vous aux jardins, les Journées européennes du patrimoine

Situation géographique modifier

Le musée est implanté en Isère, aux portes de la Drôme, à mi-chemin entre Grenoble et Valence (environ 45 minutes), et à 75 minutes de Lyon.

Le village médiéval est considéré comme l'un des joyaux incontournable du patrimoine rhônalpin, depuis 2009 il est labellisé "Plus beau village de France"[4].

Il se dresse telle une forteresse au beau milieu d'un paysage vallonné et boisé.

Juché à 350 mètres d'altitude, le village de Saint-Antoine-l'Abbaye fait face au Vercors.

Le musée et ses différents espaces modifier

Le musée est installé dans plusieurs bâtiments du site abbatial.

Le Noviciat modifier

Le Noviciat

Reconstruit aux XVIIe et XVIIIe siècles sur l'ancien bâtiment médiéval, ce corps de logis appelé logis de Flandres est peut-être la première demeure abbatiale avant d'abriter les cellules des religieux et des novices. Sur le fronton triangulaire, les armes de l'abbé Etienne Galland (1747-1767) et les insignes des chanoines sont encore visibles.

Y sont présentés le parcours muséographique Chroniques d'une abbaye[3] ainsi que des expositions temporaires.

Les Grandes écuries © Jean-Sébastien Faure
Les Grandes écuries

Les Grandes écuries modifier

Aménagées aux XVIIe et XVIIIe siècles sur et à partir d'anciennes maisons, les Grandes écuries de l'abbaye sont destinées à accueillir les chevaux et équipages des religieux et des hôtes étrangers.

L'exposition permanente "Jardins de cloîtres, jardins des princes. Quand le parfum portait remède"[5] y est présentée depuis 2009 et fera l’objet en 2022 d’un important remodelage.

Le jardin médiéval modifier

Le jardin médiéval
Le jardin médiéval

Le jardin médiéval est situé dans la cour des écuries de l'abbaye. On y découvre des plantes exubérantes, des herbes aromatiques, des fleurs et des arbres fruitiers réunis par l'eau d'une fontaine élément inhérent et fondateur de l'essence même du jardin. Il est divisé en quatre jardins : le jardin du paradis, le jardin du parfumeur, le jardin des simples et le jardin céleste arabo-andalou.

Le Bâtiment des étrangers modifier

Sur les anciennes infirmeries du Moyen Âge est aménagé dès le XVIIe siècle le bâtiment des étrangers. Destiné aux "hôtes de qualité" et à leur équipage, ce corps de logis est, au XVIIIe siècle composé de pièces en enfilade et d'une cuisine au rez-de-chaussée, de cabinets ou petites chambres à l'étage. Une salle d'assemblée ou salon d'apparat orné de gypseries complète de façon admirable cet ensemble. On y découvre le tableau "la Bataille de Constantin au Pont Milvius qui s'inspire des fresques de la Chambre de Constantin au Vatican.

Le Bâtiment des étrangers

Le salon aux gypseries est visible lors des concerts et des visites guidées ponctuelles.

Le logis de l'Abbé XVe XVIIIe modifier

Au XVIIIème siècle, le cabinet de curiosités est aménagé dans la tour-clocher, inachevée de l'église, sur trois niveaux en petits appartements desservis par un escalier à vis. Ces pièces ouvrent au nord, sur le jardin à fleurs et au sud sur la cour intérieure. Ce cabinet présente une collection acquise de 1752 à 1761.

L'abbé Etienne Galland, confie à un religieux antonin Jacques Deschamps l'organisation des collections.

Des visites guidées, accompagnées d'une guide conférencière sont organisées le premier dimanche du mois d’avril à octobre.

La boutique du musée modifier

L'entrée de la boutique du musée
L'entrée de la boutique du musée

La boutique est installée dans les petites écuries et offre une large gamme d'ouvrages, de produits dérivés et d'objets en lien avec les thématiques développées dans les espaces muséographiques.

Collection Jean Vinay modifier

Le musée possède une riche collection d'œuvres du peintre Jean Vinay (1907-1978)) dont la majeure partie est issue d’une donation. Paysagiste et portraitiste sensible, Jean Vinay raconte le Dauphiné, Paris et l'Algérie au fil de compositions intimes et délicates à découvrir lors d'expositions temporaires.

Parcours muséographiques modifier

Chroniques d'une abbaye modifier

Le parcours muséographique est présenté sur deux niveaux au Noviciat.

Ces Chroniques d'une abbaye[6] sont une invitation à remonter le fil d'une histoire millénaire à la rencontre des hospitaliers de Saint-Antoine, cet ordre puissant qui rayonna sur toute l'Europe médiévale. À travers un parcours riche de peintures, d'estampes mais aussi d'objets d'art et d'instruments médicaux, découvrez la vie des hospitaliers de Saint-Antoine. À l'aide de dispositifs interactifs et du visioguide, vivez une visite augmentée pour tout saisir de cette histoire foisonnante.

Inédit : Dès 2021, le film 3D «Saint-Antoine au temps des bâtisseurs, 1070-1490»[3] sera visible au cœur du parcours pour plonger au cœur du chantier de construction de l'église abbatiale.

Résumé historique modifier

Saint Antoine l'Égyptien modifier

Antoine le Grand [6]naît en 251 à Koma, sur la rive occidentale du Nil, au sein de la communauté chrétienne d'Égypte, les Coptes. Orphelin à 18 ans, il décide de se dessaisir de ses biens suivant l'exemple de nombreux ermites. Acquérant une renommée de sainteté, il se retire, durant plus de vingt ans au désert. Assauts terrestres, attaques célestes ou tentations charnelles éprouvent la solitude de l'ermite accédant ainsi à des fonctions privilégiées au panthéon des saints.

Vers 305, Antoine fonde un premier monastère et s'impose rapidement comme le modèle de cette vie ascétique choisissant le désert pour une union plus intime à Dieu. Au caractère extrême et mystique de l'ermite retiré dans la solitude des sables du désert, s'oppose progressivement une nouvelle forme d'existence, en communauté.

Il meurt le 17 janvier 356, à l'âge présumé de 105 ans. Les épisodes de sa vie sont connus grâce au récit posthume d'Athanase d'Alexandrie, mais aussi à celui de saint Jérôme à travers la 'Vita Paulii. Dès lors l'ermite du désert devient l'un des saints protecteurs et guérisseurs les plus populaires.

Tentations et attributs modifier

Les épisodes diaboliques[6], illustrés par les Tentations d'Antoine le Grand, constituent l'essentiel du récit choisi par le dominicain Jacques de Voragine dans La Légende dorée rédigée au XIIIe siècle. Ce thème des assauts démoniaques, des tentations charnelles conduits par des créatures hideuses persécutant Antoine dans le désert, connaît un franc succès dès le Moyen Âge. Peintres et lettrés ne cesseront d'en enrichir l'intensité dramatique et la dimension fantastique.

Chaque saint possède au Moyen Âge des attributs qui lui sont propres. Liés à des épisodes de leur vie, ils facilitent l'identification du saint représenté et sont investis d'un sens aussi bien moral qu'allégorique. Ceux de saint Antoine, inhérent à son statut d'ermite, puis de moine, ainsi qu'à sa fonction de saint guérisseur sont au nombre de six : le tau, la clochette, le cochon ou sanglier, les flammes, le chapelet, le livre. Ils sont attestés dès le XIIe siècle.

Le récit modifier

Le récit de la vie des saints[6], ou récit hagiographique, est un éloge de la sainteté. Sous ses allures romanesques il possède une fonction édifiante : les martyrs et les ermites offrent au lecteur un modèle de perfection à suivre.

L'histoire d'Antoine le Grand reste à ce jour une énigme tant les récits de sa vie allient vérité et légende.Seul le texte attribué à Athanase écrit en grec au milieu du IVe siècle sous le nom de Vita Anthonii (Vie et conduite de notre saint père Antoine), donne des clefs au récit.

Très tôt traduite en latin pour les moines d'Occident, la Vita Anthonii l'est une seconde fois, à la fin du IVe siècle, par Évagre le Pontique, qui propose une adaptation très libre du texte grec initial. Par la suite, le récit donne lieu à de nombreuses traductions et copies qui en permettent une diffusion assez ample et un enrichissement tout au long du Moyen Âge. L'objectif affiché demeure la glorification du saint et la diffusion de sa popularité en Occident.

Le culte des saints modifier

Selon Athanase, la renommée d'Antoine est si grande qu'elle s'étend « jusqu'en Espagne et en Gaule, jusqu'à Rome et en Afrique » dès le IIIe siècle[6]. À la fin du XIe siècle, les reliques du célèbre ermite arrivent en Dauphiné. Une dévotion durable s'instaure en Occident.

Saint guérisseur, il est avec saint Roch et saint Sébastien, l'un des saints auxiliaires les plus sollicités. Il préserve du mal des Ardents, de la peste, de la syphilis et de la mort subite, mais aussi de nombreuses maladies de peau ou d'épizooties chez les animaux. Des artisans, des marchands réunis en corporations se placent sous sa protection dès le XIIIe siècle, tels les tanneurs, les vanniers, les bouchers, les potiers, les arquebusiers.

Modèles de sainteté absolue, les saints favorisent à travers la dévotion qu'ils suscitent la naissance d'une liturgie appropriée et la construction d'édifices ou de lieux placés sous leur vocable. Ainsi en est-il de l'abbaye de Saint-Antoine.

La création de l'abbaye modifier

Autour de l'an Mil, la Chrétienté s'épanouit à l'aube d'une nouvelle ère [6]: celle des bâtisseurs, induite par des périodes de troubles et de pillages, mais aussi par une volonté affirmée de réforme des établissements monastiques.

L'arrivée des reliques de saint Antoine en Dauphiné à la fin du XIe siècle bouleverse l'organisation de l'ancien bourg castral alors dénommé La Motte- aux-Bois. Un prieuré bénédictin est fondé entre 1083 et 1089, sous l'impulsion de l'évêque Gontard de Valence. Ce dernier fait don de cinq églises à l'abbaye bénédictine de Montmajour, dont l'église Saint Antoine de la Motte. Les bénédictins prennent alors possession des reliques et se voient chargés des pèlerinages.

Parallèlement, une confraternité d'hospitaliers constitue non loin du prieuré une maison de l'Aumône destinée à accueillir pauvres et malades attirés par le pouvoir thaumaturgique des reliques.

Le rayonnement des premiers hospitaliers est tel, qu'ils se présentent bientôt en rivaux. Ils parviennent à congédier les bénédictins en 1290, avant d'acquérir, d'Aynard de Châteauneuf, la seigneurie de Saint-Antoine. Leur installation est officialisée en 1297 par la bulle pontificale de Boniface VIII instaurant l'ordre des chanoines réguliers ou hospitaliers de Saint-Antoine.

La translation des reliques modifier

Le corps d'Antoine est découvert par l'évêque Théophile en 529, avant d'être transporté à Alexandrie, puis déposé en l'église Saint-Jean-Baptiste ainsi que le relate Pierre de Lanoy, dominicain du XVe siècle, à l'origine du récit de la révélation et de la première translation des reliques[6].

Face aux invasions arabes, les reliques du saint sont transférées à Constantinople au VIIe siècle. Vers 1070, Jocelin de Châteauneuf obtient de l'empereur Romain IV Diogène qui règne sur Constantinople les précieuses reliques en échange de valeureux services. Mais c'est à un parent, Guigue Didier, contraint par le pape Urbain II, qu'incombera le soin de confier les reliques aux bénédictins de Montmajour. Afin d'ériger un sanctuaire digne, il décidera la construction d'une église dans un lieu alors inconnu : La Motte-aux-Bois devenu Saint-Antoine en Viennois en 1083.

Ainsi commence l'histoire de l'un des lieux de pèlerinage les plus emblématiques de la Chrétienté occidentale narrée par le premier historiographe de l'ordre Aymar Falco au XVIe siècle.

L'ordre de Saint-Antoine modifier

L'ordre nouvellement fondé en 1297 est directement soumis au Saint-Siège, lequel lui témoigne un intérêt soutenu au travers des privilèges accordés. Chanoines et frères, dotés de premiers statuts en 1298, obéissent à la règle de saint Augustin[6].

Forts de soutiens multiples et de revenus conséquents, les hospitaliers de Saint-Antoine s'illustrent rapidement sur la scène diplomatique en Europe et aux confins du bassin méditerranéen. L'action des abbés Guillaume Mitte puis Pierre Lobet précédant la cession du Dauphiné au royaume de France en 1349 leur permet de siéger au sein des États généraux du Dauphiné.

La présence de prélats influents, de princes et de souverains aux côtés de l'ordre atteste de l'importance octroyée au dessein politique parallèlement au pèlerinage dévotionnel. Dans leur sillage, les rois Charles V, Charles VII ou Louis XI, Jean Galeas Visconti, duc de Milan, ou Sigismond, empereur germanique participent par de pieuses fondations et des legs importants à l'enrichissement de l'ordre.

Jardins de cloîtres, jardins des princes. Quand le parfum portait remède modifier

Fermeture pour travaux du 12 décembre 2021 au 10 juillet 2022. L'actuel parcours muséographique propose de découvrir de manière ludique les parfums thérapeutiques du Moyen Âge au XVIIIe siècle. Les dix-sept fragrances recréées par Daniela Andrier (Givaudan) et Dominique Ropion (IFF) permettent, en trois espaces dédiés, de remonter le fil d'une histoire universelle.

Dès le Moyen Âge, les jardins des cloîtres et les jardins des princes accueillent les plantes nécessaires à l'élaboration des remèdes et des compositions odorantes qui constitueront jusqu'au XIXe siècle l'essentiel de la pharmacopée.

L’histoire des jardins de Saint-Antoine est aussi celle des plantes et des remèdes au cœur de la pharmacopée. Ainsi, en l’abbaye de Saint-Antoine, maison-mère des Hospitaliers, comme dans l’environnement immédiat des hôpitaux de l’Ordre, les jardins sont une ressource essentielle pour l’élaboration de remèdes nécessaires aux soins prodigués, de recettes précieusement conservées dans l’antre des officines.

L’apothicairerie des hospitaliers de Saint-Antoine se distingue par la présence de remèdes appropriés dans le traitement de deux formes du mal des Ardents et plus largement des maladies dermatologiques et infectieuses.

Le musée au service du public modifier

Service des publics et de l'action éducative modifier

Le musée accueille un très grand nombre de classes tout au long de l'année. Sur le site ou dans les expositions, les visites et ateliers proposés par le musée de Saint-Antoine-l'Abbaye [7]constituent une approche concrète des programmes scolaires de la maternelle au lycée. Les visites guidées sont assurées par un guide-conférencier ou un médiateur du musée, à l'aide de supports pédagogiques adaptés au niveau scolaire de chaque classe. Les visites libres sont possibles en période d'ouverture au public.

Des malles pédagogiques sont également à disposition pour approfondir les visites-ateliers. Elles permettent aux enseignants de compléter leurs cours.

Chaque année, le projet Une école un chantier, piloté par la Drac Aura [8], permet aux enfants scolarisés à Saint-Antoine-l’Abbaye  et dans les environs de s’approprier leur patrimoine et leur faire découvrir et approcher les métiers de la restauration, des métiers anciens aux nouvelles technologies.

Ecoles et musée, un projet artistique et culturel qui permet aux élèves de travailler sur un thème donné en lien avec les expositions du musée et de proposer des réalisations présentées au public pendant l'été.

Les expositions passées modifier

2020

  • Le cèdre et le papyrus, paysages de la Bible (12 septembre - 13 décembre 2020)[9]
  • Le baume et savon. Une histoire de corps (9 mars - 13 décembre 2020)
  • Paysages croisés. François Auguste Ravier / Jean Vinay (9 mars - 13 décembre 2020)

2019

  • Chemins d'étoiles, reliques et pèlerinages au Moyen Âge (30 juin - 11 novembre 2019)[10]
  • Esprit de poudre, parfums d'esprit - Acte 2 ( 11 mars - 11 novembre 2019)

2018

  • Vous avez dit mandragore. Accueillir, soigner en Occident (8 juillet - 11 novembre 2018)[11]
  • Esprit de poudre, parfums d'esprit - Acte 1 ( 5 mars -11 novembre)

2017

  • Côté Seine, côté jardin - Oeuvres de Jean Vinay (1907-1978) (5 mars -21 mai 2017)
  • De soie et d'ailleurs, une histoire à la croisée des chemins (9 juillet - 8 octobre 2017)[12]

2016

Bâtisseurs d'éternité (10 juillet - 9 octobre 2016)[13]

2015

De parcs en jardins, une flânerie parisienne (5 juillet-11 novembre 2015)

2014

Gemmes, une brillante histoire (6 juillet - 5 octobre 2014)

2013

L'Europe des merveilles au temps de la curiosité (6 juillet -1 2 décembre 2013)

2012

  • Entre Flandre et Italie. Princes collectionneurs (8 juillet - 7 octobre 2012)

2011

  • D'ombre et de lumière...Trésors sacrés trésors profanes (10 juillet - 9 octobre 2011)

2010

  • Figures libres figures imposées de la danse (13 juin - 19 septembre 2010)

2009

  • Fastes et maléfices, astrologues, magiciens et sorciers (14 juin - 20 septembre 2009)

2008

  • Une histoire de Sens (14 juin- 21 septembre 2008)

2007

  • Images d'une collection. Jean Vinay (11 mars - 27 mai 2007)
  • De larmes et de sang. Images croisée de la douleur(17 juin - 16 septembre 2007)

2006

  • La nature de choses Jean Vinay ( 6 mars - 28 mai 2006)
  • Sur les chemins d'Ispahan, Savoir et médecine entre Orient et Occident (18 juin - 17 septembre 2006)
  • Le jardin invisible par Chantal Legendre (8 octobre - 8 novembre 2006)

Chiffres de fréquentation de 1992 à 2021 modifier

Années 1992 1993 1994 1995 1996 1997 1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006
Chiffres de fréquentation 6513 10948 11875 5173 8362 4712 10082 17521 12264 10608 15474 11837 22154 26328 21458
Années 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015 2016 2017 2018 2019 2020 2021
Chiffres de fréquentation 16349 26840 34171 34738 40035 38611 45594 52879 45854 45714 41424 48299 52052 21791


Notes et références modifier

  1. « Portail des musées - Département de l'Isère », sur musees.isere.fr (consulté le )
  2. réseau des Hôtels-Dieu et Apothicaireries
  3. a b et c « Parcours muséographique "Chroniques d'une abbaye" », sur Portail des Musées (consulté le )
  4. Plus beau village de France
  5. « Jardins des cloîtres, jardins de princes. Quand le parfum portait remède », sur Portail des Musées (consulté le )
  6. a b c d e f g et h Géraldine Mocellin, Chroniques d'une abbaye au Moyen âge : guérir l'âme et le corps, Musée de Saint-Antoine-l'Abbaye, impr. 2012 (ISBN 978-2-35567-069-5 et 2-35567-069-2, OCLC 843376604, lire en ligne)
  7. « Scolaires et enseignants », sur Portail des Musées (consulté le )
  8. [1]
  9. sous la direction de Géraldine Mocellin et Nicole Chambon, Le cèdre et le papyrus : paysages de la Bible, SAGEP Editori, (ISBN 978-88-6373-700-4 et 88-6373-700-2, OCLC 1195706158, lire en ligne)
  10. Musée de Saint-Antoine-l'Abbaye, Géraldine Mocellin et Edina Bozóky, Chemins d'étoiles : reliques et pèlerinages au Moyen Âge, dl 2019 (ISBN 978-2-7373-8135-5 et 2-7373-8135-5, OCLC 1129594849, lire en ligne)
  11. Sylvain Demarthe, Vous avez dit mandragore? : une médecine médiévale : [exposition, Musée de Saint-Antoine-l'Abbaye, 8 juillet-11 novembre 2018], dl 2018 (ISBN 978-2-7373-7901-7 et 2-7373-7901-6, OCLC 1048930112, lire en ligne)
  12. Musée de Saint-Antoine-l'Abbaye, De soie et d'ailleurs, une histoire à la croisée des chemins : exposition, Musée de Saint-Antoine-l'Abbaye, du 9 juillet au 8 octobre 2017., Musée de Saint-Antoine-l'Abbaye, dl 2017 (ISBN 978-2-35567-125-8 et 2-35567-125-7, OCLC 1014210558, lire en ligne)
  13. « Publication | Portail des Musées », sur musees.isere.fr (consulté le )

Voir aussi modifier

Bibliographie modifier

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Articles connexes modifier

Liens externes modifier

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