Utilisateur:Jéfrin Régentum/Brouillon/Robert Viger

Miscellaneous

Vrai nom: Robert Jean Viger Alias: Jan Yrssen, Robert Hermel Variantes : Robert Viger, R. Viger, R. Vigor, Viger, Robert Jean Viger

Discographie de Martial Solal

Musique pour l'image

Musique pour l'image est une série de disques hors commerce créée par le pianiste et compositeur de jazz Robert Viger en 1967D 35, compilant différents morceaux composés pour le cinéma, la télévision, la radio, se situant « entre le jazz et la musique contemporaineD 36. » Martial Solal figure dans les numéros suivants :

Mélodie en soul-sol Paris 70’s

Trouvé sur http://www.musi qxxl.fr/melodie-en-soul-sol-nancy-holloway/|

Musique Pour L'Image

Profil:

An important French library music label based in Paris, started by pianist and jazz composer Robert Viger in 1967. Began issuing 10" recordings, changing to 12"/LP format after twenty three releases. The early releases were licensed to Sylvester Music Co. for UK release.

Sous-label : PSI

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Musique pour l'image is a noteworthy French library label founded by pianist Robert Viger. Known for consistent output, diverse musical styles, and striking two-tone sleeves, MPI first issued 10" vinyl releases in the late 1960s (later switching to 12" LPs). Many early cover illustrations were created by Robert J. Hilton. Some releases were sub-licensed to Sylvester.

(en) « Musique pour l'image », sur discogs.com (consulté le 25 janvier 2022)

Fondateur du désormais célèbre label MPI (label dédié à la composition d’œuvres spécialement conçues et enregistrées pour l’illustration sonore d’émissions télé et radio ou pour le cinéma) à la fin des années 60, Robert Viger a composé une myriade de musiques de films et téléfilms.

Pour Serge Gainsbourg, qui compte parmi ses amis, il a composé la musique de « la valse de l’au revoir », dont serge a signé les paroles. Robert Viger a collaboré avec les plus grands, de Martial Solal, Vladimir Cosma à Nancy Holloway sans oublier Manu Dibango. Il a écrit la musique de plusieurs séries télé dont « la terre » pour Haroun Tazieff, qui est l’une des plus célèbres.

En presque quarante années consacrées à un métier qui le passionne, Robert Viger, fidèle en amitié, s’est imposé comme un chef d’équipe doublé d’un producteur et compositeur de talent. En 1972, il compose en compagnie de Daniel Janin, « nobel tower », petit joyau qui figure sur mélodie en soul sol, paris 70’s.

utilisateur:Benoitbasirico/brouillon#Les_années_60._L’internationalisation.

En France, Sonimage/ Musique pour l’Image, société créée par Robert Viger propose déjà une production avant-gardiste, reflet du potentiel créatif de l’activité, en publiant des albums de jazz ou de musique électro-acoustique. Montparnasse 2000 ou encore Telemusic, dirigée par Roger Tokarz, dont le catalogue recèle des enregistrements qui ont fait l’objet de samples par de nombreux artistes anglo-saxons des années 90/2000. Chappell France publie les enregistrements aujourd’hui cultes de Jack Arel et Jean-Claude Petit. La société d’Eddie Warner, (à ne pas confondre avec Warner Brothers), L’Illustration Musicale, édite Western Patrol, le plus ancien générique de la télévision française, pour l’émission « des Chiffres et des Lettres », composée par le même Eddie Warner. Figurent à son catalogue de nombreuses musiques de Roger Roger et Nino Nardini, compositeurs de référence de cette période. L’Illustration Musicale a été racheté par Zomba Music dans les années 90 avant d’être intégrée au groupe Universal en 2003. En 1965, Gerhard Narholz fonde en Allemagne la société Sonoton, demeurée jusqu’à aujourd’hui une référence dans les pays germanophones et aux USA. L’autre grande librairie musicale allemande est Selected Sound, membre du Groupe EMI, longtemps dirigée par Hans Muller.

https://www.facebook.com/robert.viger.731

https://www.facebook.com/DarAdulEssaouira/photos/a.686044758078624/737762802906819/?type=3&eid=ARA4a0GR8-IRPXCGX46ujTJzYnospEQFODl-dIo7moH5Ys_Dps3bca2CSHkpt9OTZa-tCja1kQ2_PJI6

La Valse de l'au revoir

SACEM

(en) « Week-End en mer », sur Discogs

B2 "Valse De L'Au Revoir" is a Serge Gainsbourg's song creation, not a cover.

Recorded 2th May 1962.

Au cours de l’émission radiophonique Performance du 15 décembre 1962, l’auteur interprétera au piano la « Valse de l’adieu » (Pièce n° 1, Opus 69) [1836] de Frédéric Chopin (1810-1849) qui lui a inspiré cette « Valse de l’au-revoir ». Chanson (musique Robert Viger) déclarée sur un bulletin daté du 23 juin 1962, déposé à la Sacem le 28 juin 1962, créée en scène par Juliette Gréco lors de la croisière d’inauguration (Le Havre – New York) du paquebot Le France du 3 au 8 février 1962, diffusée dans le court-métrage Week-end en mer de François Reichenbach ; reprise en studio publiée sur un disque 45-tours EP hors commerce. Schéma métrique : AABB AACCDD AAEE.

Viger à Essaouira ??

Depuis cinq ans, l’artiste Robert Viger a choisi de s’expatrier dans la ville d’Essaouira, celle qui ne cesse d’inspirer les nombreux artistes tombés sous le charme de cette citée unique et si particulière. Installé aux environs de la ville, il s’imprègne de l’atmosphère souirie, des paysages riches en couleur ainsi que des habitants pour retranscrire ses influences, simplement armé de ses pinceaux, de sa palette et son chevalet.

Ce peintre autodidacte a su exprimer son art à travers un parcours extrêmement généraliste et atypique. Après des études à Paris en Arts Déco, il devient successivement journaliste de Presse-Filmée, monteur d'actualités, directeur de productions cinéma, pilote, éditeur de musique, compositeur de musique de films et de nombreuses séries TV... Son arrivée dans la citée des Alizés sera pour lui la source d’inspiration qui nourrit ses toiles.Le propriétaire des lieux, Didier Spindler, vous ouvre les portes de sa maison de charme d’Essaouira et vous réserve une ambiance intimiste et cosy. Dar Adul est à son image : généreux, coloré et convivial. Du 24 octobre au 3 novembre 2013 Dar Adul Essaouira accueille l’expo de peintre Robert Viger "Influences".

On ne rate surtout pas le vernissage de l’exposition "Influences" le 24 octobre à 17H.

Vladimir Cosma en concert !

Pas de « musique contemporaine », peut-être, mais il vous est arrivé de composer des morceaux authentiquement expérimentaux. Je pense à vos collaborations surprenantes pour le label Musique pour l’Image, en particulier cet album, intitulé Insolite & Co.

C’est de la musique expérimentale, si on veut, mais comme beaucoup d’autres de mes musiques pour le cinéma, alors – la Boum, par exemple, était très expérimentale pour moi qui n’avais jamais mis les pieds dans une boîte de nuit ! J’ai commencé à travailler pour le label MPI (Musique pour l’Image), dirigé par Robert Viger, dans les années 1965-1966. Il produisait uniquement des musiques d’illustration sonore, les disques n’étaient pas destinés à la commercialisation : Viger soumettait des thématiques à des compositeurs (parmi lesquels Martial Solal ou Alain Kremski) qui lui écrivaient des morceaux d’ambiance destinés à accompagner des films, téléfilms, reportages, documentaires, émissions de radio… J’avais d’abord écrit un album de jazz avec ce saxophoniste que j’adore, Don Byas (j’en réutiliserais d’ailleurs certains passages dans ma première B.O, Alexandre le Bienheureux).

Et puis, en prévision de la retransmission des premiers pas de l’Homme sur la Lune en juillet 1969, MPI m’a commandé un morceau intitulé Pavane spatiale. Il fallait traduire une certaine ambiance irréelle, éthérée… J’ai utilisé des instruments exotiques, une cithare et une bronté, cette percussion qui n’existe plus aujourd’hui. Par la suite, j’ai ajouté onze nouveaux morceaux dans la même veine, avec des titres évocateurs ou burlesques (Étherisation, Psychoschisme, Transmutation, Batiskafka, Obsexion…). J’ai de l’affection pour ces compositions étranges, où je réussissais à m’approprier un style différent. Insolite & c° figurera d’ailleurs dans un nouveau coffret de CD consacré à ma musique.

Odorama ou le Jazzbeat ?

The archives of the French music libraries contain some of the most startling and original compositions of modern times. During the '60s and '70s many of the France's most innovative composers and musicians joined together to showcase their amazing talents by writing and performing music to accompany French film, TV and radio broadcasts. Much of the style of this music was conceived during the time of the Paris riots of '68; the psychedelic movement was in full swing and world politics were undergoing an upheaval. This in turn led to a period of enormous creativity in nearly all musical genres, and many of the most radical moments of 20th century music were created during this time. This album reflects some of these moments and concentrates on the phenomenal jazzy beats and grooves that emerged from France from 1968 through the '70s. One of these music libraries was Musique pour l'Image (MPI) from which the tracks for "Le JazzBeat" were taken. MPI was created in Paris 1968 by mad-about-jazz Robert Viger, a little-known pianist and composer. Viger had previously confined his jazz to sessions with friends but in the prevailing mood decided to record his work and use jazz-based music in the increasingly popular media of film and TV. He created the MPI label to produce a series of recordings using his friends and the musicians he knew to make the music. The musical policy always had a jazzy flavour to it - whether it was a modern jazz ensemble or a small group experimenting with the latest electronic instruments. The records were manufactured in short runs on 10" or 12" vinyl before being sent to broadcasting houses, advertising agencies and the like. Many of the original records are now sought after not just for the unique music but also for the intricate and ultra-modern black & white art designs on the sleeves. Until now the music has never been available to the public as it could only be heard backing TV ads or scenes in French movies