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Jean IOZIA-MARIETTI né à Marseille le 8 décembre 1959, d’une famille originaire de Haute-Corse est un économiste du développement local, de l’économie sociale et solidaire et du microcrédit, et un historien, auteur d'ouvrages spécialisés dans l’étude des courants initiatiques.


BIOGRAPHIE

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Diplômé de l’Ecole Pratique des Hautes Etudes (EPHE) Paris-Sorbonne [1], Jean Iozia étudie depuis de nombreuses années l’histoire des sociétés initiatiques. Ses recherches portent sur les interactions de ces différents courants avec les grands domaines de la société contemporaine, plus particulièrement sur la période du XIX ème et XX ème siècles. Sur le plan professionnel, il a conduit pendant trente ans une carrière de cadre au sein de la direction d’une banque régionale mutualiste. Particulièrement investi au sein de l’Economie Sociale et Solidaire, de formation supérieure en développement économique local et en pratiques sociales, il enseigne aujourd’hui les Politiques des Territoires dans un certain nombre d’écoles et d’universités.

Économie sociale et solidaire :

Il est membre du conseil d’administration et du bureau national du CJDES (Centre des jeunes dirigeants et acteurs de l’économie sociale)[2]. Il siègera à ce titre en qualité d’invité permanent au conseil d’administration la Chambre régionale de l’économie sociale et solidaire (PACA) et à l’Observatoire régional de l’économie sociale et solidaire. Il est l’organisateur d’un certain nombre de colloques thématiques. Parallèlement, il s’investit au sein la Mutualité, en tant que président de la Mutuelle La Ruche et membre du comité de coordination de la Mutualité, auprès du préfet des Bouches du Rhône. Il est sollicité en 2015 pour être membre de la commission des experts du fonds de dotation de la Mutuelle France Plus, visant à contribuer à la réduction des inégalités de santé[3].

Syndicalisme :

Il s’engage aussi dans l’action syndicale et adhère au syndicat CFDT (Confédération Française Démocratique du Travail) dès son entrée dans la profession bancaire. Il sera élu dans les différentes instances représentatives du personnel jusqu’à assurer le rôle de Secrétaire du Comité d’Entreprise de 1995 à 2001. Il prendra une part active à la mise en place de la loi sur la réduction du temps de travail. Il sera membre du Comité de Groupe National, membre du Syndicat des Banques CFDT. Mandaté par l’Union Départementale CFDT, il siègera au CDIAE, Conseil Départemental de l’Insertion par l’Activité Economique[4].

Formation professionnelle :

La formation est également un domaine où il assure les fonctions de trésorier un Institut de Formation en Travail Social de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur de 1997 à 2004. Depuis 2009, il a choisi de transmettre aux plus jeunes, les valeurs qui sont les siennes et a réorienté sa carrière professionnelle vers la formation et le conseil. Il intervient aujourd’hui auprès des étudiants de niveau BTS à Master, ou préparant un Diplôme d’Etat en Travail Social [5]. Passionné d’histoire et attaché au devoir de mémoire, il rejoint en 2012 l’Association des Amis pour la fondation de la Mémoire de la Déportation. Cette association contribue à perpétuer la mémoire de la déportation et la transmettre aux générations futures dans les collèges et lycées.

Franc-maçonnerie :

Il entre au Grand Orient de France en 1987. En 2016, il est élu à la tête du Grand Ordre égyptien du Grand Orient de France où il exerce les fonctions de 1er patriarche grand conservateur du Rite Ancien et primitif de Memphis-Misraïm. [6]


DISTINCTION

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Chevalier de l’Ordre National du Mérite.[7]


PUBLICATIONS

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En 2007 il entre à l’École pratique des hautes études à Paris-Sorbonne où il suit notamment les cours d’Antoine Faivre dans le cadre de la chaire d’histoire des courants ésotériques dans l’Europe moderne et contemporaine. Il commence alors une recherche sous la direction du professeur Jean Pierre Brach, sous le titre de Jinarajadasa (1875-1953), sa vie, son œuvre au sein de la société théosophique, soutenue en décembre 2014. Il étudie depuis de nombreuses années les sociétés initiatiques. Ses recherches portent aujourd’hui sur les interactions de ces différents courants avec les grands domaines de la société contemporaine, plus particulièrement sur la période du XIXème et du XXème siècle.

Ouvrages :

• Jinarajadasa (1875-1953), Théosophe, Franc-Maçon et Bouddhiste, Une Lumière venue d’Orient, préface Jean Pierre Brach, Edimaf, Février 2017.320 p.[8] [9][10][11] (ISBN 978-2-919601-86-8)

Ouvrage Collectif :

• Les Femmes Mystiques, Histoire et Dictionnaire, Editions Robert Laffont, Paris, 2013, sous la direction d’Audey Fella. Collaboration à l’ouvrage au travers des Notices sur Helena Blavatsky et Alice Bailey.

Préfaces :

• Eléments de Symbolique Martiniste, L’Initiation, Le Temple, Les Symboles (Anonyme) - Préface Jean Iozia, Editions Arqa, Marseille, 2009. [12] • A Maçonneria Egipcia Em Portugal, O Rito Antico e Primitivo De Memphis-Misraïm, Santos Ana Margarita, Edicoes Exlibris, Lisboa, Março 2017- Préface Jean Iozia.[13]

Articles :

• Jinarajadasa, Un Pont entre Orient et Occident, Jean Iozia, in Chroniques d’Histoire Maçonnique, No 78, Institut d’Etudes et de Recherches Maçonniques, Paris, Eté 2016, pp.70-82 [14] • Transmission Théosophique, Jean Iozia, in Critica Masonica, Numero Spécial sur La Transmission, Juin 2018, pp.99-116.[15]


REFERENCES

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