Utilisateur:Jojolastiko/document de travail/négationistes de lyon

  • revues négationistes (date de création, créateur(s), hommes qui ont écrit des articles)
    • Rivarol (,,Rassanier)
    • Nation-Europa, journal nationaliste Allemand
    • Le Paysan Allemand, journal d'extème droite Allemand
    • Le courrier du Continent, à Lausane (1965, Amaudruz)
    • L'Europe réelle, revue du Nouvel Ordre Européen (,,Rocques)
    • Spearhead, journal du National Front (,,Harwood)
    • Samizdat
    • Révision (mars 1989, Guionnet)
    • REvue d'histoire révisionniste
    • Vieille taupe


  • Organisations
    • le Nouvel Ordre Européen, créé à Zurich, en 1951, réuni des anciens Nazis Allemand et fascistes Italiens.
    • Australian Civil Liberties Union, créé par Johl Bennet
    • National Front
    • La guerre sociale


  • personnages
    • Maurice Bardèche (beau frère de René Brasilliach)
      • Lettres à François Mauriac, 1947
      • Nuremberg ou la terre promise, 1948: la falsification de l'histoire
      • NurembergII ou les Faux Monnayeurs, 1950 : les vainqueurs imposent leurs thèses
    • Paul Rassinier : né en 1906, adhère au SFIC en 1922, à la SFIO en 1934, après avoir été exclus du PCF pour gauchisme. Participe à Libération-Nord, arrêté en 1943, il est torturé et déporté à Buchenwald puis Dora. Libéré en 1945, il est déclaré invalide à 100 % plus 5 degrés. Il a donc alors un solide passé de militant socialiste révolutionnaire.
      • Passage à la ligne, 1948
      • Mensonge d'Ulysse, 1948 : mythe de la solidarité des détenus.
      • explication démographique à la soi-disant non-extermination des juifs.
    • Thies Christopherson, ancien soldat SS affecté à Auschwitz en 1944, journaliste après guerre en RFA.
      • Le mensonge d'Auschwitz (1 à 2 millions d'exemplaires) : présentation des camps de concentration Allemands comme des anciens parc disneyland.
    • G.-A. Amaudruz, suisse, acien soldat SS de la Division Charlemagne
      • Ubu justicier au premier procès de Nurembers, 1949
    • Henri Rocques, né en 1920, participa aux Chantiers de jeunesse de Vichy durant la guerre.
      • soutien une thèse à Nantes, le 15 Juin 1985, qui veut démontrer la nullité des écrits de Kurt Gerstein, officier SS affecté au service de santé et d'hygiène du camp de Balzec et aout 1942.
    • Robert Faurisson, né en 1929 il est, à partir de 1974, maître de conférence en littérature lorsque son nom fait irruption en France à propos de la polémique négationniste. Selon Faurisson lui-même, il a commencé à réfléchir sur les chambres à gaz dès 1960 après avoir lu P. Rassinier (Faurisson se définissant soit comme un homme de gauche, soit comme un apolitique). S'étant vu ouvrir indirectement les colonnes du Monde dès le 14 août 1974 par la publication d'une lettre privée, il essaya de se faire publier par le journal du soir grâce à un échange de lettres polémiques, tentative qui échoua. Cela l'amena à frapper à d'autres portes, en l'occurrence Défense de l'Occident ce qui finalement lui donna accès au Monde le 29 décembre 1978 sous le titre  : « La rumeur d'Auschwitz ». Acte de naissance de la polémique autour du négationnisme en France, l'article fut suivi d'autres à la fois dans le Monde et dans Libération et d'une série de procès en 1981 et 1982. Depuis cette date, le parcours de R. Faurisson n'est plus qu'une suite à la fois d'activisme négationniste et d'« affaires », qu'elles soient judiciaires ou polémiques. Les moyens financiers de ce milieu lui permettent par ailleurs une mobilité digne d'un courtier en assurances, les invitations en Suède (par Ahmed Rami), en Allemagne (par le NPD ou Ewald Althans), en Suisse (par Roger Würthrich, leader d'extrême-droite et en présence de G.-A. Amaudruz) étant extrêmement nombreuses.
    • Arthur R. Butz (USA), né en 192&, professeur d'informatique à la Northwestern University
      • L'imposture du XXe siècle, 1976
    • Wilhem Stäglich
      • Le mythe d'Auschwitz, 1979
    • John Bennet, Australien.
    • Richard Harwood, Grande Bretagne
      • Did six million really die?, brochure de 1974 qu inie la politique d'extermination au profit d'une politique d'émigration en dehors du Reich, puis d'une politique d'intégration dans l'effort de guerre pendant celle-ci (d'où les camps de concentration)
    • Ernst Zündel, né en 1939, s'installe en 1957 au Canada et prend peu à peu sa place au sein du mouvement nazi nord-américain  : il devient directeur des Publications Samizdat qui produisent un abondant matériel négationniste, il participe sous le pseudonyme de Christof Friedrich à des revues antisémites et est l'un des co-fondateurs du mouvement White Power. Le premier accroc judiciaire de E. Zündel a lieu en janvier 1985 avec la plainte de Mme Sabrina Citron, ancienne déportée, qui l'attaque pour «  publication de fausses informations destinées à porter atteinte à l'intérêt public et ce en toute connaissance de cause ». L'habileté de Zündel a bien sûr été de gonfler le retentissement médiatique du procès, s'assurant ainsi une vraie tribune dont ont profité les témoins de la défense  : R. Faurisson, Thies Christophersen. E. Zündel a été reconnu coupable de propagande antisémite et condamné à 15 mois de prison. Relâché sous caution en février 1985, il obtint que le jugement soit cassé pour vice de procédure. Mais c'est surtout le deuxième procès Zündel, en 1988, qui est intéressant puisqu'il voit l'entrée en service de Fred Leuchter. Outre l'aspect tristement cocasse du paradoxe (des individus niant l'assassinat de centaines de milliers de personnes s'associant à un autre individu dont le métier est la mise à mort légale de ses semblables), l'intervention a représenté un nouveau stade dans le développement des thèses négationnistes. Les faiblesses de la tactique des parties civiles sont apparues immédiatement, le jargon scientifique de F. Leuchter ne rencontrant comme opposition que le vide. Le verdict du jugement qui condamnait de nouveau E. Zündel à de la prison ferme a été cassé par la Cour Suprême pour atteinte à la liberté d'expression. Par ailleurs, ses énormes moyens financiers lui ont permis d'alimenter le mouvement néo-nazi allemand après la réunification et d'aider celui-ci à se reconstruire. Il est clair qu'Ernst Zündel est le néo-nazi qui actuellement occupe une situation-clé dans les contacts internationaux de cette mouvance.
    • Pierre Guillaume
    • Serge Thion, né en 1942
    • J.-G. Cohn-Bendit
    • Alain Guionnet, se prétend dultra-gauche, seul a avoir fait de la prison ferme pour ses écrits.
    • François Brigneau
    • Konk
    • André Delaporte (Nantes)
    • Bernard Notin
    • Vincent Reynouard, a formé l'ANEC/Nouvelle Vision

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