Utilisateur:JulNico/Brouillon

Rappeurs F/BE : Gaulois, Lybro, Nyda, Kai du m, 34murphy...

Rappeurs CH : R.Keto,

Festivals : SSLE

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Tovaritch

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Tovaritch
Nom de naissance Yuri Mikhailov
Naissance Moscou, Russie
Activité principale Rappeur, auteur-compositeur-interprète
Genre musical Rap français, rap hardcore, trap, drill
Instruments Voix

Tovaritch, de son vrai nom Yuri Mikhailov, est un rappeur français d'origine russo-polonaise adepte de trap, de rap hardcore et de drill.

Biographie

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Enfance et origines

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Yuri Mikhailov naît à Moscou, en Russie, d'un père russe et d'une mère française originaire de Pologne. Lorsqu'il est âgé de cinq ans, la famille déménage en France, à Saint-Denis en Seine-Saint-Denis, où il grandit et vit encore aujourd'hui[1][2].

A l'âge de quinze ans, Tovaritch commence la musique sous le nom de Vincelard et compte créer un duo avec un ami, jusqu'à ce que ce dernier soit tué dans une fusillade et que la musique soit mise de côté[1].

Tovaritch est grand amateur de MMA et de musculation[1].

Carrière

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C'est en 2018 que Tovaritch revient dans le monde de la musique, avec ce nouveau pseudonyme, pour товарищ, qui signifie "camarade" en Russe[3]. Il sort le clip de Berlingo sur YouTube[1].

En 2019, la carrière de Tovritch décolle grâce à ses freestyles Bratva (littéralement "confrérie" ou "fraternité") partagés sur YouTube. Dans les clips, il se dévoile grand, musclé et couvert de tatouages. L'épisode finale de cette série, le dixième (Bratva X), est dévoilé fin mai 2020. Tous sont compilés dans la mixtape Bratva, longue de quinze titres. S'y trouvent ainsi des featurings avec des rappeurs russes (le groupe Krasnoe Derevo sur Bratva IV), polonais (Paluch sur Bratva IX), ainsi que roumains (OG Eastbull et NANE sur Contactu II) et ukraino-allemands (Olexesh sur Hallo)[1].

Style et image

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"Tovaritch a su imposer son flow haché, d’une voix éraillée, aux paroles violentes qu’il débite sur de la grosse trap surchargée de basse, mêlant égotrip et détestation des cyka (s*lope). Fan de MMA et de musculation, « Mentalité U.R.S.S » comme il le revendique dans ses freestyles, ses textes sont parsemés de backs et de termes russes. C’est cette identité qui lui a permis de se démarquer de la masse des rappeurs de la région parisienne. Loin de les manier avec parcimonie, Tovaritch joue à fond sur les fantasmes autour de la Mère Patrie la Russie. Il affiche dans ses clips AK-47 et bébés ours tenus en laisse, pratique décomplexée du Calisthenics (ou street workout, dans le clip de Bratva V) tout en vomissant sans filtre sa haine des Etats-Unis, des flics et des racistes, ainsi que son amour pour la rue, ses bratan et les pays de l’Est. Un style plein d’énergie et de hargne, sur des prods lourdes et sombres, trap ou drill, auquel il reste fidèle dans chacun de ses sons.)[1]

Mais Tovaritch n’oublie pas de se tailler la part du lion parmi la foule des rappeurs français. Il signe, dans la foulée de son premier projet, un contrat juteux à 6 chiffres avec le label Urban Pias, qui produit des artistes de renom de la scène francilienne. Sur la rampe de lancement de son succès, Tovaritch a lancé en 2019 sa propre marque de merch à son nom, Tovaritch, dont il affiche les t-shirts « Soviet » dans la plupart de ses clips. Tovaritch fusionne avec Kalash Criminel dans le clip de Street Fight, sorti en mars 2021, dans lequel les deux artistes se marient à la perfection dans la brutalité de leurs flows et l’envie de tout casser que nous donne ce son. Tovaritch couronne sa carrière naissante avec son dernier projet, COBETCKИЙ (SOVIETSKIY), avec 15 titres encore, qui comporte le feat avec Kalash Criminel, un feat avec Andrey Toronto (Volyna, Russie), un autre avec Malik Montana (Losa, Allemagne) et un dernier feat avec le rappeur d’Allemagne LX (Dashaev). Dans des textes déchaînés, il déclame sans détour sa haine des polémiques racistes, qui vaudrait à Tovaritch de se placer dans le sens des rappeurs engagés, du côté du peuple, dans le plus pur esprit soviétique. Une nouvelle pierre à l’édifice de la carrière prometteuse de celui qui rappe et tractionne avec la vigueur furieuse d’un Spetsnaz.  [1]

De son vrai nom Yuri Mikhailov, le rappeur Tovaritch naît à Moscou d’un père russe et d’une mère franco-polonaise et arrive en France à l’âge de 5 ans, au moment où ses parents s’installent en banlieue parisienne, à Saint-Denis. Il s’intéresse au rap à l’adolescence et se fait connaître auprès du grand public à partir de 2019 avec une série de freestyles baptisée « Bratva » (qui signifie « fratrie » en russe). Il ne manque jamais de rendre hommage à ses origines en partant notamment tourner les clips vidéo de « Bratva III », « Bratva IV » et « Bratva VI » à Moscou ou en plaçant une tête d’ours ou une représentation du Kremlin dans son logo. Sa première mixtape, également intitulée Bratva, sort en 2020 et voit le rappeur franco-russe collaborer avec de nombreux rappeurs étrangers, comme le groupe russe Krasnoe Derevo, le Polonais Palush, le Roumain Nane, l’Italien OG Eastbull et l’Allemand Olexesh. Après avoir signé un nouveau contrat de distribution en 2021 avec Believe, il publie une nouvelle mixtape intitulée Sovietskiy. L'année suivante, Tovaritch parvient à se placer à la douzième place des charts français grâce à son album Mikhailov, sur lequel figurent des duos avec Alberto, Samra, Enzo Dong et Krasnoe Derevo.[2]


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Bakari
Naissance (27 ans)
République Démocratique du Congo
Activité principale Rappeur, auteur-compositeur-interprète
Genre musical Rap français
Instruments Voix
Années actives depuis 2018
Labels Columbia

Bakari est un rappeur installé à Liège, en Belgique, né au Congo et d'origine rwandaise.

Biographie

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Origines et enfance

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Bakari naît en République Démocratique du Congo le 17 août 1996[15] mais déménage peu après à Kigali[16], au Rwanda, pays que ses parents ont fui en 1994 en raison de la guerre civile[17]. Avec sa mère, ils partent pour la Belgique et Liège, en 2004, dans l'optique de rejoindre son père[17].

Il découvre le rap à l'âge de dix ans, à la radio, au travers du morceau N°10 de Booba, issu de son album Panthéon. A l'adolescence, il se passionne pour 50 Cent, Nas et T.I. notamment[18].

Fin 2019, Bakari est un artiste du label Columbia[18].

Carrière

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"les premiers textes posés sur des faces b, un projet de groupe avec le rappeur Liégeois Obeeone (Nü Pi) et un premier EP solo, « Kaléïdoscope », sorti en septembre 2018."[18]

"Bakari est bel et bien une révélation, un rappeur capable de s’attirer les compliments de toute l’industrie musicale francophone tout en composant des morceaux mélancoliques et maitrisés (punchlines, rimes techniques, refrains chantonnés)." En clair, qu'il fasse dans le banger ou l'introspection, Bakari aime les morceaux extrêmement mélodiques. Ça tombe bien, son nouveau single s’appelle Mélodie, et c’est un (énorme) tube potentiel.[18]

"Et très tôt, la musique tient une place importante dans ces souvenirs. Incontournable, la rumba venue du non-lointain Congo a été l’un des baptêmes musicaux de Bakari. À la même période, Bakari découvre également 50 Cent, une première incursion dans le monde du rap qui marquera durablement le futur rappeur. En 2004, la vie du jeune garçon connait un nouveau tournant. Avec sa mère, il part rejoindre son père à Liège, en Belgique. Là, alors qu’il ne parle pas un mot de français, il se découvre un amour viscéral pour la langue et le maniement des lettres. De cet amour balbutiant à l’écriture de ses premières rimes, il n’y a qu’un pas, qu’il franchit à 15, 16 ans. Le rap s’impose alors tout naturellement comme une échappatoire pour le jeune Liégeois.[17]

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Stavo
Nom de naissance Romuald Gomes
Naissance
Activité principale Rappeur, auteur-compositeur-interprète
Genre musical Rap français, trap
Instruments Voix
Membre de 13 Block

Romuald Gomes, connu sous le nom de scène de Stavo (ou anciennement Zaiko, Zhédess, Detess et Deusté) est un rappeur français d'origine zaïro-angolaise et membre du 13 Block.

Carrière

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Avec Zed, Zefor et Oldpee, Stavo fonde le groupe 13 Block en 2012.

En 2021, Stavo se lance dans une carrière en solo.

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Théodore

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Falcko est un rappeur parisien actif depuis la fin des années 2000.

H JeuneCrack

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Kingzer

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Références du brouillon

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  1. a b c d e f et g « Tovaritch : esprit de camaraderie », sur Alohanews, (consulté le )
  2. a et b « Tovaritch », sur Deezer (consulté le )
  3. « Tovaritch », sur Gentsu, (consulté le )
  4. « Tovaritch montre les muscles sur « BRATVA V » [VIDEOCLIP] », sur https://www.booska-p.com/, (consulté le )
  5. « Tovaritch fait parler sa puissance dans « Booska Poutine » [FREESTYLE] », sur https://www.booska-p.com/, (consulté le )
  6. Nicolas Rispal, « Tovaritch nous livre sa mixtape Sovietskiy », sur Raplume, (consulté le )
  7. Antoine, « 10 bonnes connexions franco-allemandes », sur LE BON SON, (consulté le )
  8. Genono, « Jul, Booba, Nekfeu... quand GTA inspire le rap français », sur Mouv', (consulté le )
  9. Nicolas Lévine, « Revue Éléments - Le féminisme à l’épreuve du rap », sur Revue Éléments, (consulté le )
  10. « Tovaritch – Vodka », (consulté le )
  11. « Tovaritch – Bratva VIII », (consulté le )
  12. Manale, « Tovaritch revient avec un sacré « cocktail » », sur Raplume, (consulté le )
  13. Grégory Kocher, « Tovaritch provoque sévèrement Médé World pour un combat à 200 000 € », (consulté le )
  14. « L'interview Track ID Tovaritch - Vidéo Dailymotion », sur Dailymotion, (consulté le )
  15. Guillaume Narduzzi, « On vous présente Bakari, nouvelle crème du rap liégeois et au-delà », sur Konbini, (consulté le )
  16. viewstaff, « Bakari : "The Wire c’est la référence de base parce que c’est LA série sur la rue" », sur Views, (consulté le )
  17. a b et c « Biographie de Bakari », sur Deezer (consulté le )
  18. a b c et d Maxime Delcourt, « Qui es-tu Bakari, jeune rappeur prêt à placer Lièges sur la carte du hip-hop ? », sur Canal+, (consulté le )
  19. Genono, « Stavo en solo, une trajectoire qui tient la route », sur Mouv', (consulté le )
  20. « Les expressions les plus cheloues du rap français décryptées », sur Red Bull, (consulté le )
  21. Chahinaz Berrandou, « THÉODORE, MAÎTRE DE LA ROMANCE ET PRINCE DU RODÉO », sur LA PÉPITE, (consulté le )