Michel Bampély

Artiste, parolier et sociologue français

Michel Bampély Écouter(né Michel Obouronanga le à Kiev)[1]est un artiste, parolier, producteur, à la fois enseignant, sociologue et poète français.

Michel Bampély
Michel Bampély lors du tournage du clip de la chanson Je crois en 2011
Biographie
Naissance
(50 ans)
Kiev (Ukraine)
Nom de naissance
Michel Obouronanga
Autres noms
Saint-Michel
Nationalité
Formation
Activités
Période d'activité
Depuis Voir et modifier les données sur Wikidata
Mère
Rosalie Marguerite Mongali (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Conjoint
Mademoiselle Eférie (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Parentèle
Ngankabe (arrière-arrière-grand-mère)
Maxime Mongali (oncle)
Michel Mongali (grand-père)
Moba (Chef Banunu) (arrière-grand-oncle)Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
Instrument
Label
Dir. de thèse
Genres artistiques
Influencé par
Marque ou logotype
Œuvres principales
signature de Michel Bampély
Signature

Professeur de lettres modernes, Il est également titulaire d'un doctorat en sociologie de l'art et de la culture à l'École des hautes études en sciences sociales (EHESS). Ses recherches interdisciplinaires portent sur les cultures urbaines, les pratiques artistiques et les industries culturelles.

En 2023, il publie Grand Enfant (Afro-jazz vol.1) sous ses labels Tonton Max / Urban Music Tour en distribution chez Universal Music Africa. Le 10 juin 2024 sort une version augmentée incluant de nouvelles chansons.

Biographie

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Origines familiales

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Lignée maternelle

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Son aïeule du côté maternel, Ngankabe, surnommée la « reine des Baboma », était une personnalité marquante dans le fief du Congo au XIXe siècle. Elle était à la fois une commerçante d'ivoire et une entrepreneure influente au sein de la communauté des Banunu de Mushie. Moba, le petit-fils de Ngankabe, devint selon le récit historique, l'un des grands chefs coutumiers des Banunu. Michel Bampély tire ses origines d'une famille qui a également joué aux côtés de Patrice Lumumba, un rôle crucial dans le mouvement pour l'indépendance de la République démocratique du Congo. Son grand-père Michel Bampéli Mongali était député sous la première législature du Congo-Kinshasa, puis ministre de la jeunesse et des sports du gouvernement Adoula en 1961[2].

Son oncle Maxime Mongali était dans les années 1970-1980, l'un des principaux artisans de la rumba congolaise et écrivait notamment des chansons pour des artistes tels que le Zaïko langa langa, le TP Ok Jazz, Tabu Ley Rochereau, Mbilia Bel, Papa Wemba ou le jeune Kofi Olomide[3],[4].

Lignée paternelle

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Du côté paternel, sa famille, originaire du Congo-Brazzaville, était composée de personnes de condition sociale plus modeste et rurale, vivant principalement du commerce de l'élevage, de l'agriculture et de la pêche[5].

Jeunesse et études (1974-1999)

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Marguerite Rosalie Bazéré Mongali (1947-1989), mère de Michel Bampély et sœur cadette de Maxime Mongali.

Enfance

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Michel Bampély est né le 8 octobre 1974 à Kiev en Ukraine. Ses parents poursuivaient leurs études à Moscou, à l'instar de dizaines de milliers d'étudiants et de militants des mouvements de libération africains, qui choisissaient de se former auprès des Soviétiques[1]. En bas âge, il vit avec sa mère, Rosalie Marguerite Mongali (1947-1989) en Russie, alors qu’elle est étudiante en médecine à l’université Patrice Lumumba. Elle interrompt ses études après avoir obtenu son diplôme d’infirmière, pour émigrer en 1975 avec lui en France et rejoindre le reste de sa famille[6].

Il a trois frères et deux sœurs éduqués dans la culture chrétienne et la tradition africaine[6].

Formation

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En 1983, son grand frère lui transmet la culture hip-hop qu’il découvre à Paris, au théâtre de la Grange-aux-Belles, lors des après-midi animées par Dj Chabin. Michel Bampély suit sa scolarité au collège Bel-Air de Franconville dans lequel sa professeure de français, Charline Wagner, lui enseigne la poésie et la littérature classique. Sa mère décède le 29 décembre 1989 à l’âge de 42 ans des suites d’une maladie cardiovasculaire. Vivant désormais avec sa famille dans un quartier populaire surnommé « Chicago » pour ses faits de violence, Il en apprécie néanmoins son environnement dynamique et cosmopolite[6].

Afin d'échapper à la petite délinquance, Il se plonge activement dans la pratique de la danse hip hop, du rap, et fréquente les Zulu parties. Ce sont particulièrement les œuvres  poétiques de Victor Hugo, la pièce Cyrano de Bergerac dEdmond Rostand, celle d’Othello de William Shakespeare, les textes d’IAM et d’Mc Solaar qui ont marqué sa jeunesse. Après ses années lycée, il intègre en 1996 l’université Paris-Diderot dans un cursus de lettres puis une licence de psychologie, qu’il abandonne à la cité universitaire d’Antony, en se consacrant à la musique professionnelle. Pour tenir une promesse faite à son père, Il reprend plus tard ses études à la faculté de Nanterre et mène depuis des recherches dans le champ culturel[6].  

Carrière musicale (2000-2024)

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Le groupe La Troupe en 2000 : Michel Bampély, Ruthy Marie-Louise, Didier Clarck (centre) - Ilélé Obouronanga (gauche) - Fabien Coutancier (droite)
Saiint-Michel en prestation slam en 2012

Michel Bampély forme à la fin des années 1990 son groupe de Miami Bass, un sous-genre de hip-hop, intitulé La Troupe[7],et rencontre son premier mentor, le producteur Henri Belolo fondateur du label Scorpio Music. Il publie dans le label en 2000 son premier album La fête des fous[8] un disque festif, co-édité et distribué par Universal Music France.

« Niveau financer je suis sec
Et je constate que tous mes sosses aussi sont secs »

— Chicken Boubou, Pas 2 porc[9].

Il co-écrit notamment en 2007 la chanson Demain t'appartient pour l'artiste de reggae Alpha Blondy sur l'album Jah Victory. Il mène également une carrière de parolier dans le gospel urbain pour des artistes issus des milieux protestants français[10].

En 2008, il s'installe au Mans et, sous le nom de scène de Saint-Michel[11],figure parmi les lauréats du tremplin slam au festival Le Mans Cité Chanson. Il fonde avec Virginie Eudes le label associatif Urban Music Tour et publie en 2010 son EP Je crois dont est extrait le single Les rillettes du Mans[12],[13] puis produit des spectacles et manage un catalogue d'artistes[14].

Il signe en septembre 2022 chez Universal Music Africa via leur filiale Virgin Music Africa. Il écrit et produit notamment des chansons pour des artistes de rap, de jazz et de musiques africaines[15],[16].

Grand Enfant (Afro-Jazz vol.1) (2023)

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Le 26 mai 2023, il publie l'EP Grand Enfant (Afro-jazz vol.1) sous son nom d'artiste Saint-Michel, qui mélange le jazz et l'héritage africain. Le disque est réalisé par Tiery-F, pianiste, percussionniste, réalisateur et artiste éclectique. Cet opus de 18 minutes aborde thèmes universels liés aux résistances africaines et aux mouvements de libération des peuples noirs. L'œuvre est décrite comme artistiquement engagée, avec des mélodies nostalgiques et des sonorités mélangeant l'afrobeat et le jazz. Ce projet marque le retour musical de Michel Bampély en hommage à son oncle Maxime Mongali (Idi Mane) qu'on appelait « Le vieux Pop »[17],[4]. La critique souligne la singularité de son style d'expression, qui combine diverses influences et techniques.

« À travers ses œuvres, il transcende les frontières artistiques, offrant une perspective sur l’intersection entre la musique, la sociologie et l’histoire africaine, façonnant ainsi son rôle en tant que figure engagée, inspirant tant par sa créativité musicale que par ses travaux universitaires. »

— La Rédaction, Afrik.com [2].

Femme Bantoue (Afro-Jazz vol.1) (2024)

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La version augmentée de l'album Femme Bantoue (Afro-jazz vol.1) de Saint-Michel, sortie le 10 juin 2024, offre une extension du contenu de son précédent EP Grand Enfant. Les chansons de l'album incluent Les migrants ne savent pas nager, chanson inspirée, par le documentaire éponyme de Jean-Paul Mari et Franck Dhelens, qui traite de la lutte et du sauvetage des migrants en mer par l'Aquarius de SOS Méditerranée. Le titre Le Royaume d’Asperger met en lumière la créativité des enfants atteints du syndrome d'Asperger dans des domaines de l'art comme la musique, la peinture ou la sculpture[5].

Travaux sur les cultures urbaines (2013-2024)

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Titulaire du master 2 en conduite de projets culturels de l'Université Paris-Nanterre, Michel Bampély intègre en 2013 l'École des hautes études en sciences sociales (EHESS)[18] et soutient le 13 mai 2022, une thèse de doctorat dont le titre est Sociologie des cultures urbaines[19] sous la direction du sociologue Jean-Louis Fabiani. Rattaché au Centre de recherche des arts et du langage (CRAL)[20], ses travaux universitaires portent sur l'histoire sociale et politique de la culture hip-hop et notamment sa prise en charge par les organes de pouvoir médiatiques, industriels et institutionnels[21]. Il a reporté sur son blog Humeurs Noires hébergé par le journal Libération[22] des extraits de ses entretiens sociologiques avec des acteurs culturels comme les anciens ministres de la culture Jack Lang et Renaud Donnedieu de Vabres[23].

« La France est l’une des premières nations à s’être approprié la culture hip hop américaine. Ce sont les relations entre les pionniers de Paris et New York au début des années 1980 qui ont facilité les échanges culturels. »

— Michel Bampély, Atlantico [24].

Interventions médiatiques

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Il intervient régulièrement au sein de la sphère médiatique en qualité de spécialiste des pratiques artistiques et des industries culturelles dans des journaux comme Libération, L'Obs ou Atlantico. Ses analyses sur l'actualité culturelle sont parfois reprises[25] par des médias nationaux et internationaux tels que La Libre Belgique[26], Télérama[27], Jeune Afrique[28], le journal grec Lifo[29] ou par la presse spécialisée[30]. En 2018, il livre pour la presse son analyse sur le succès au box office, la représentation des cultures africaines et afro-américaines du film Black Panther de Ryan Coogler :

« Le radicalisme de Malcom X, l'universalisme de Martin Luther King, le panafricanisme de Marcus Garvey, l'afrofuturisme de Mark Dery tissent les toiles de fond de ce blockbuster avant-gardiste, coloré et cultivé. »

— Michel Bampély, Libération [31].

Professorat

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Saint-Michel en atelier d'écriture de slam-poésie en 2013

En parallèle à ses enquêtes de terrain, il enseigne les lettres modernes, anime des conférences et des ateliers d'écriture de slam-poésie[32].

Vie publique

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Lors des élections législatives de 2024, Michel Bampély cosigne une tribune avec 4000 autres scientifiques pour appeler à contrer le Rassemblement National (RN) et dénoncer les discours contre le Nouveau Front Populaire (NFP). Ils ont averti que l'extrême droite menaçait la recherche, l'enseignement, et les politiques écologiques. Rédigée par le collectif Scientifiques en Rébellion, cette tribune publiée par le Nouvel Obs a appelé à défendre des valeurs humanistes et démocratiques[33],[34].

Vie privée

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Il se marie en 2022 avec l'artiste et productrice Mademoiselle Éférie. Le couple apparait notamment en duo sur la chanson intitulée Le Bal Blomet. Ensemble ils ont deux enfants[5],[17].

Publications

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  • 1999 : La fête des fous, chansons pour voix et piano. Ouvrage collectif. Editions Scorpio Music 1999
  • 2016 : Chansons et costumes à la mode juridique et française. Actes du Colloque du Mans, , éditions L'Épitoge. Ouvrage collectif dirigé par les professeurs Hoepffner et Touzeil-Di.

Discographie

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Œuvres et collaborations musicales

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  • 2000 : La Troupe, La fête des fous (Scorpio Music / ULM / Universal Music France)
  • 2002 : Chicken Boubou feat Teddy Corona d'Idéal J, Pas 2 porc (Hostile Records / EMI Music)
  • 2002 : Cut Killer, Les Chicken News - 1 son 2 rue (HH Productions / Universal Music France)
  • 2002 : : Philémon, L'Origin'old (Soulstice Musc)
  • 2003 : Chicken Boubou feat Oxmo Puccino, Ramène les pizzas (Musicast)
  • 2005 : Carry Yank, Toutes les douleurs du passé (Sephora Music)
  • 2006 : Humphrey, Senorita (Columbia / Sony Music Entertainment)
  • 2006 : Eilijah feat Disiz, Rien qu'entre nous (Polydor / Universal Music France)
  • 2007 : Alpha Blondy, Demain t'appartient (Mediacom / Nocturne)
  • 2007 : Les Frères Jordiers, Un monde sans le Père (Battery Sound / Sephora Music)
  • 2008 : Piero Battery feat Faf Larage, Lève-toi (Battery Sound)
  • 2009 : Ophélie Winter, Sunshine (remix), (Double You Entertainment)
  • 2011 : Kamel Shadi, Chez moi (Smart / Sony Music Entertainment)
  • 2011 : Chicken Boubou, Hallal Hallal (La Troupe)
  • 2012 : Saint-Michel, Je crois (Urban Music Tour)[35]
  • 2012 : Saint-Michel; Les Rillettes du Mans (Urban Music Tour / Believe Digital)
  • 2012 : Julia Channel : Free (versions anglaise et française), (Black Sheep records)
  • 2012 : Mademoiselle Eferie, On m'avait dit (Urban Music Tour / Believe Digital)
  • 2012 : Amadeus, Auprès d'une autre (Urban Music Tour)
  • 2013 : Jack Flaag, Hero Persup (Urban Music Tour)
  • 2013 : Saint-Michel, La berceuse du petit prince (Urban Music Tour)
  • 2016 : Negwhite Major, I Like This Way (Urban Music Tour / Believe Digital)
  • 2016 : Yvano, Move it (Urban Music Tour / Believe Digital)
  • 2017 : DTF Elle a (QLF Records / Musicast)
  • 2018 : Piero Battery, La Tentation (Battery Sound / Believe Digital)
  • 2019 : Piero Battery, Oh my God ! (Battery Sound / Believe Digital)
  • 2022 : Yvano, Femme traditionnelle, (Virgin Music Africa / Universal Music Africa)
  • 2023 : Saint-Michel, Grand Enfant (Afro-Jazz vol.1) (Virgin Music Africa / Universal Music Africa
  • 2023 : Yvano, Fils du 13e peuple (Virgin Music Africa / Universal Music Africa)
  • 2023 : Mezydream, Départ (Virgin Music Africa / Universal Music Africa)
  • 2023 : MMK Martine, Gratitude, (Virgin Music Africa / Universal Music Africa)
  • 2024 : Michel Noah Trio, Ma forêt-live trio 2023 (Virgin Music Africa / Universal Music Africa)
  • 2024 : Saint-Michel, Femme Bantoue (Afro-Jazz vol.1) (Virgin Music Africa / Universal Music Africa)
  • 2024 : Prospser Kamkembo, Okokamba (Virgin Music Africa / Universal Music Africa)

Spectacles vivants

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  • 2011 : Tremplin slam et spoken word Le Mans Cité Chanson
  • 2011 : Mademoiselle Eferie, Mademoiselle rêve
  • 2012 : Chicken Boubou, Hip Hop Comédy
  • 2012 : Les Trophées des légendes urbaines
  • 2013 : Snam City Rap

Télévision

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Michel Bampély lors de l'enregistrement du documentaire Black Panther Power en 2019
  • 2008 : Ecriture et réalisation du thème de l'émission Comic Hall Star (France 4)
  • 2017 : Apparition dans le documentaire "Les destins brisés du hip hop" (France Télévisions)
  • 2019 : Apparition dans le documentaire "Black Panther Power" (Canal +)

Distinctions

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  • 2009 : Second lauréat du tremplin slam Le Mans Cité Chanson
  • 2010 : Premier prix Mozaïc du tremplin slam Le Mans Cité Chanson
  • 2010 : Finaliste du tournoi Slam So What de Paris
  • 2011 : Finaliste du tournoi de slam du festival Hip Opsession de Nantes

Notes et références

modifier
  1. a et b Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales, « Michel Bampély », sur EHESS, (consulté le )
  2. a et b Afrik, « Saint-Michel : Musique afro-jazz et héritage congolais », sur Afrik, (consulté le ).
  3. Odile Obou, « Saint-Michel dévoile un album fusion entre le jazz et l'afro-beat », La semaine Africaine, no 4208,‎ , p. 14 (lire en ligne)
  4. a et b Univers Rumba congolaise, « Max, Maxime Idi Mane alias Max Mongali Bonginda Louis - Univers Rumba Congolaise, la référence de la rumba congolaise de 1900 à nos jours », sur universrumbacongolaise.com, (consulté le ).
  5. a b et c Roland Kouloungou, « Saint-Michel célèbre l'Afro-jazz avec l'album « Femme Bantoue » », L'Horizon Africain, no 260,‎ , p.11 (lire en ligne [PDF])
  6. a b c et d Roland kouloungou, « Musique : Saint-Michel célèbre l’Afro-jazz avec l’album «Femme Bantoue» », Opinion Publique (L'Horizon Africain),‎ (lire en ligne)
  7. Jean-Pierre Seck, Xavier Da Naw, « "On aime les ambiances de fêtes". La Troupe, bass la musique », L'Affiche, le magazine des autres musiques,‎ (lire en ligne)
  8. « La Troupe : La fête des fous (France 2) » (consulté le ).
  9. Chicken Boubou feat. Teddy Corona, « Pas 2 porc »
  10. « Michel Bampély, artiste et sociologue », sur Regards protestants, (consulté le ).
  11. « Saint-Michel, slameur par un heureux hasard », sur lemainelibre.fr, Le Maine Libre.
  12. « Saint-Michel, les rillettes du Mans », sur France 3 (consulté le ).
  13. « Saint-Michel chante les rillettes du Mans », sur France 3 Pays de la Loire (consulté le ).
  14. « Michel Bampély, le slameur à l'âme de manageur », sur Le Maine Libre.
  15. Célia Fournier, « Des artistes du Mans signent chez Universal Music Africa », Ouest-France,‎ (lire en ligne)
  16. Hélène Bailly, « MMK Martine : La voix du Gabon et des musiques du monde », sur Afrik, (consulté le ).
  17. a et b Dominique Linguendze, « Saint-Michel: le jazz, l’amour et l’Afrique », Africultures,‎ (lire en ligne)
  18. Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales, « Fête de la Musique | EHESS », sur fr_FR, (consulté le ).
  19. Michel Obouronanga, « Sociologie des cultures urbaines. De la prise en charge des cultures urbaines par les industries culturelles et les pouvoirs publics », www.theses.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  20. « Michel Bampély », sur cral.ehess.fr (consulté le ).
  21. Claire Lescure, Stromae : Formidable, Meulenhoff Boekerij B.V.., (lire en ligne)
  22. Michel Bampély, « Une thèse sur les années folles de Harlem », sur Libération.fr, (consulté le ).
  23. « Rap culture(s) », sur Libération.fr, (consulté le ).
  24. Atlantico, « Le rap a 50 ans et voilà comment il a conquis la France », sur Atlantico, (consulté le )
  25. Centre France, « Le mois de novembre au Mac-Nab, entre torch song, slam, opérette, humour et bons mots », sur leberry.fr, (consulté le ).
  26. Thierry Boute, « Stroma est-il si fôôôôrmidable ? », sur La Libre Belgique, .
  27. « “Black Panther”: les raisons d’un extraordinaire succès », sur Télérama.fr (consulté le ).
  28. « « Black Panther » : du succès imprévisible à la fierté de l’Afrique », sur JeuneAfrique.com, (consulté le ).
  29. (el) « Πώς η ραπ εκφυλίστηκε σε κατάλογο τηλεαγορών », sur LiFO (consulté le ).
  30. « KanAquitània, polyphonie des Nouvelles Aquitaine et Calédonie – haizebegi » (consulté le ).
  31. Michel Bampély, « L’Afrique rêvée de «Black Panther» », sur liberation.fr (consulté le )
  32. Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales, « Fête de la Musique | EHESS », sur fr_FR, (consulté le ).
  33. « Nous, scientifiques, appelons à la mobilisation contre l’extrême droite », sur Le Nouvel Obs, (consulté le ).
  34. « Scientifiques en rébellion | Scientifiques, nous appelons à une mobilisation contre l’extrême droite », sur scientifiquesenrebellion.fr (consulté le ).
  35. « urbanmusictour », sur SoundCloud (consulté le ).

Liens externes

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