Utilisateur:Kangourou-10/Centrale électrique de Monceau-sur-Sambre

Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus.

Cet article ne cite pas suffisamment ses sources (juillet 2022).

Si vous disposez d'ouvrages ou d'articles de référence ou si vous connaissez des sites web de qualité traitant du thème abordé ici, merci de compléter l'article en donnant les références utiles à sa vérifiabilité et en les liant à la section « Notes et références ».

En pratique : Quelles sources sont attendues ? Comment ajouter mes sources ?

Centrale Monceau, est une ancienne centrale électrique de Monceau-sur-Sambre, qui fait partie de la ville belge de Charleroi. L'usine est hors d'usage depuis 2007. Sur la rive gauche de la Sambre, les bâtiments des machines ont été conservés, sur la rive droite la tour de refroidissement de la centrale^[1].

Histoire modifier

En 1950, une nouvelle centrale électrique a été mise en service à côté de l'ancienne. Les bâtiments de l'usine, conçus par F. et L. Vandenbroucke, se composaient de trois volumes en briques de hauteur décroissante, avec de grandes surfaces vitrées. La tour de refroidissement était située de l'autre côté de la Sambre (rive droite). Une centrale quasi identique est construite en 1953 à Marchienne-au-Pont au siège houiller 19 (Saint-Martin), où le Charbonnage de Monceau-Fontaine produit également de l'électricité depuis 1912. Les deux sites étaient exploités par Intercom (plus tard fusionné avec Electrabel). Avec une nouvelle extension en 1964, les bâtiments de l'usine de Monceau sont plus que doublés par une extension grise.

Dans les années 1970, l'usine a été encore agrandie pour lui permettre de fonctionner au gaz naturel. En 1977, la centrale était la principale centrale électrique de la région de Charleroi.

Après un rapport montrant que l'usine était responsable de 10% des émissions de dioxyde de carbone de la Belgique, Greenpeace a protesté contre l'usine. La centrale, qui avait une capacité de 92 MW à l'époque, a été fermée en 2007. La tour de refroidissement de 57 mètres de haut est un point de repère est souvent visitée par les explorateurs urbains^[1].

.