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Utilisateur:Lxndr/Brouillon/Nazisme Utilisateur:Lxndr/Brouillon/Pétain Utilisateur:Lxndr/Brouillon/Proportionnelle Utilisateur:Lxndr/Brouillon/Caccomo Jean moulin considère le soutien des communistes français au pacte germano-soviétique comme une abominable trahison[1]. Il transmet dans cet esprit une série de tracts communistes découverts dans l'ouest de sa préfecture au général de La Laurencie. Dans le même temps, il refuse d'appliquer certaines consignes du régime de Vichy dont la nature réactionnaire, xénophobe et antisémite se précise depuis l'entrevue de Montoire, allant jusqu'à adopter des dispositions contraires au régime. Il est en conséquence placé en disponibilité par le ministre de l'intérieur Marcel Peyrouton. Il se met alors à la rédaction de son journal, Premier combat, où il relate sa résistance contre les nazis à Chartres de manière sobre et extrêmement détaillée ; ce journal sera publié à la Libération et préfacé par le général de Gaulle.

  1. Thomas Rabino, L'autre Jean Moulin: L'homme derrière le héros (lire en ligne)