Utilisateur:Lycée Camille Sée Groupe 4/Brouillon

L’or du Rhin de Richard Wagner modifier

La légende qui a sûrement inspiré Wagner pour la tétralogie de l’or du Rhin est la légende des Nibelungen. Ce que Wagner a repris dans son opéra est le passage où Kriemhild a quitté la cour des Burgondes et Halden a fait jeter son trésor dans le Rhin.

Wagner a également été inspiré par l’histoire du Rhin qui a été une frontière à l’époque romaine et qui a vu s’affronter Germains et Romains au bord du fleuve.

Wagner a repris une partie du titre de la légende en appelant une partie L’anneau des Nibelungen[1][2][3]

La littérature avec Victor Hugo modifier

Après avoir vu le Rhin pour la première fois, Victor Hugo a éprouvé un certain respect envers lui et le décrit comme un fleuve noble, féodal, républicain, impérial et digne d’être à la fois français et allemand.

Dans son livre, il dit que le Rhin réunit tout, qu’il est rapide comme le Rhône, large comme La Loire, encaissé comme la Meuse, tortueux comme la Seine, limpide et vert comme la Somme, historique comme le Tibre, royal comme le Danube, mystérieux comme le Nil et pailleté d’or comme un fleuve d’Amérique et couvert de fable et de fantômes comme un fleuve d’Asie.

Entre 1838 et 1840 il effectue trois voyages avec Juliette Drouet à la découverte du fleuve.

Deux ans plus tard il publie un texte littéraire très travaillé à partir de ces notes et lettres de voyages. Il a fait des dessins et des croquis à l’encre et à la plume, cette forme d’écriture lui permet de décrire le fleuve et d’exprimer ses idées politiques.[4][5]

La littérature avec Guillaume Apollinaire modifier

Guillaume Apollinaire a écrit sur le Rhin pour parler de son histoire d’amour malheureuse.

Guillaume Apollinaire a écrit sur le Rhin en mai en 1913 dans son recueil de poème "Alcools".

C’est à cette époque qu’Annie Playden était au centre de toute ses attentions.

Avant sa en 1904 Guillaume Apollinaire avait écrit un poème qui s’intitule Le vent du Rhin mais celui-ci a été disséminé dans différentes revues.[6]

Le Rhin dans la peinture modifier

Les peintres sont inspirés par l’aspect naturel et mythologique des paysages et le premier à avoir peint le Rhin est Jan Van Eyck au XVe siècle. Au XVIe siècle Pieter Bruegel L’ancien a peint le Rhin avec son tableau « Le suicide de Saül ». Il y a aussi Martin Ryckaert a vécu au XVe et XVIe siècle et a fait de nombreuses peintures du Rhin. Au XVIIIe siècle Johann Christian Vollerdt et au XIXe siècle William Tombleson à peint le Rhin.[7]

Notes et références modifier

  1. « Siegfried et la légende des Nibelungen », sur www.histoire-pour-tous.fr (consulté le )
  2. « L'Or du Rhin de Richard Wagner - Vue globale - Ôlyrix », sur www.olyrix.com (consulté le )
  3. « L’Or du Rhin », sur ARTE (consulté le )
  4. « Le Rhin, un fleuve romantique et un objet de discorde du dossier « Le 50e Anniversaire du traité de l’Élysée et les relations franco-allemandes » - Pour mémoire - CNDP », sur www.reseau-canope.fr (consulté le )
  5. « Et Johann Gottfried Tulla créa le Rhin | La Seigneurie », sur www.paysdebarr.fr (consulté le )
  6. Pierre, « Le Rhin du poème Mai de Guillaume Apollinaire », sur Mon Grand Est, (consulté le )
  7. Gilles Chambon, « debat art figuration: Le paysage du Haut-Rhin idéalisé par la peinture », sur debat art figuration, lundi, avril 08, 2013 (consulté le )