Utilisateur:Lycam louise/Brouillon

Affaire Petit
Titre Affaire Alfred Petit
Fait reproché Double meurtre
Chefs d'accusation Incendie, corps démembré
Pays Drapeau de la France France
Ville Saint-Jacques-sur-Darnétal
Date 18 Mai 2001
Nombre de victimes 2
Jugement
Statut Affaire jugée : condamné à la réclusion criminelle à perpétuité
Tribunal Cour d'assises de Rouen
Recours Appel qui donne lieu à la réclusion criminelle à perpétuité le

Affaire Alfred Petit modifier

Alfred Petit (né en 1965, mort en 2009) est un tueur surnommé "Conan le barbare". Il est le fils d'un policier, qui s'appelle lui aussi Alfred Petit, et qui s'est reconverti en tant que boucher. [1]A l'âge de 36 ans, en 2001, Alfred Petit fils bénéficie d'une permission de trois jours alors qu'il est emprisonné depuis ses 21 ans, soit 15 ans de réclusion criminelle.[2] Celui-ci a été arrêté et emprisonné en 1986, pour avoir commis une tentative de meurtre sur trois policiers, et pour un vol à main armé. Par ailleurs, le 23 novembre 1990, Alfred Petit essaye de s'évader, lors d'une visite à l'hôpital, où il profère des menaces de mort. De ce fait, l'homme se voit condamné à 10 ans de prison par la Cour d'assises du Calvados. [3]

Les débuts de l'affaire modifier

La permission accordée à Alfred Petit modifier

Le 12 avril 2001, la justice accorde pour la troisième fois une permission de sortie à Alfred Petit. Or, à ce moment, elle n'avait pas idée que celui-ci ne se présenterait pas le 15 avril 2001 à la prison dans laquelle il était incarcéré. [4]Cependant, les motifs de ses permissions sont confus, puisqu'est mis en avant le fait d'une volonté de rapprochement familial. Néanmoins, Alfred Petit n'est pas autorisé à voir ses parents puisque son père est considéré comme nuisible à la réinsertion de son fils. Durant cette fameuse permission, le détenu est censé loger dans un foyer. Cela n'empêche pas Alfred Petit d'enfreindre la loi en ne faisant que d'y déposer ses affaires et aller dormir chez ses parents, malgré l'interdiction de la justice. De ce fait, un mandat d'arrêt est diffusé contre la personne d'Alfred Petit, mais cela est sans résultat car il n'y a pas de juge d'instruction. [5]

La cavale d'Alfred Petit modifier

Dès lors, Alfred Petit entame une cavale pendant laquelle il appelle régulièrement ses parents. La brigade de gendarmerie aurait de suite dû se rendre chez les parents de détenu, mais ils ont attendu trois semaines avant d'y aller. Jusque là, l'homme n'est pas considéré comme quelqu'un de dangereux malgré son passé. Il est constaté, après le double homicide qu'a commis Alfred Petit, qu'il s'agissait d'une erreur.[6]

Le double meurtre modifier

Le meurtre du couple Roussel modifier

Alors que les forces de l'ordre découvrent le cadavre de Jean-Jacques Roussel calciné suite à l'incendie de sa grange le 18 mai 2001 à Saint-Jacques-sur-Darnétal (Seine-Maritime), elles ne retrouvent pas la femme de celui-ci. Après l'autopsie, la cause de la mort est connue, Jean-Jacques Roussel est mort suite à un coup de fusil. L'épouse de Jean-Jacques Roussel, Danièle Roussel, reste encore introuvable. Les gendarmes multiplient les battues dans les forêts afin de retrouver le corps de Danièle, et pour trouver Alfred Petit fils, qui est aperçu le 21 mai dans le cimetière, non loin du domicile de ses parents, et de celui des époux Roussel. Il est arrêté et n'oppose aucune résistance. Seulement, il refuse de répondre aux questions qui lui sont posées concernant le meurtre de Jean-Jacques Roussel et de la disparition de sa femme. Il se contente d'attester qui ne sais rien. Le lendemain de son arrestation, en début de soirée la police est contactée par un passant qui a vu un corps qui flottait sur la Seine. En effet, il s'agit de celui de Danièle Roussel retrouvée démembrée, le 22 mai 2001. Jusque là, les forces de l'ordre ne retrouvent que le tronc de la femme. Le lendemain, les jambes et les bras sont retrouvés mais pas la tête. Le meurtrier a vidé sa victime de ses intestins. L'autopsie n'a pas révélée la cause précise du décès. Dans le tronc de la victime a été retrouvé l'arme qui a servi à tuer Jean-Jacques Roussel. L'assassin a procédé de manière très méticuleuse et expérimentée, comme l'atteste l'autopsie.[7]

L'enquête pour le double meurtre modifier

Marylise Lebranchu, ministre de la justice de 2000 à 2002, s'étonne du temps pris lors de cette enquête et de la non mobilisation des effectifs. Ceci s'explique par le fait qu'Alfred Petit fils n'est pas considéré comme quelqu'un de potentiellement dangereux, il s'agit là de la première erreur collective. Après plusieurs découvertes telles qu'une trace de sang dans la poche de jean d'Alfred Petit fils, la police est alors certaine que le suspect a tué Danièle Roussel lors de sa cavale. Or il y a un manque de preuve pour Jean-Jacques Roussel, l'arme du crime reste connue des forces de l'ordre, il s'agit d'un fusil de chasse. En ce qui concerne Madame Roussel, il faut souligner le fait qu'elle a été décapitée, démembrée et dépecée. En effet, le médecin légiste indique qu'il s'agit d'un travail d'une très grande précision. Devant le juge d'instruction, pour les deux meurtres, Alfred Petit préfère garder le silence. Son avocat, maître Philippe Lescene affirme que le "mutisme d'Alfred Petit le rend d'autant plus coupable, mais ne fait pas pour autant forcément de lui le coupable, il existe de nombreuses conclusions possibles".[8]

Le mobile du suspect modifier

Sept ans après les faits, une reconstitution est faite notamment pour tenter de découvrir le mobile du crime. Dans la nuit du 17 au 18 mai 2001, le couple Roussel meurt, et Alfred Petit affirme qu'il n'a jamais été sur les lieux du crime. Le fils des Roussel, Julien Roussel et leur fille Stéphanie Roussel participent à la reconstitution. Julien Roussel confia qu'Alfred Petit était "provocateur dans son regard", qu'il avait "le regard vide", et qu'il a même fait baisser les yeux de Julien et Stéphanie Roussel, ce qui s'avère difficile à vivre pour eux. Lors de la reconstitution de la scène de crime à la grange des époux Roussel, Alfred Petit fils reste spectateur, il ne dit pas un mot et ne montre aucune émotion. Cette reconstitution n'apporte malheureusement rien sur le mobile du crime. Le mobile apparent est la fuite d'Alfred Petit. En effet, apparemment ce dernier aurait trouvé refuge dans cette fameuse grange afin d'y dormir, seulement le propriétaire l'aurait découvert et lui aurait demandé de bien vouloir quitter les lieux. D'après Alfred Petit, il avait une raison valable de tuer le couple, il a affirmé qu'il n'avait pas tuer pour rien.[9]

L'instruction modifier

Premier jugement d'Alfred Petit modifier

Alfred Petit est jugé pour trois ans de prison pour évasion, ce qui s'apparait être beaucoup pour ce genre de faits. Durant ce procès on lui dit qu'il doit rendre des comptes à la justice ainsi qu'aux Hommes qui lui ont fait confiance. A cela, il rétorque sans sourciller qui lui avait été promis dix jours de permission et il n'en n'a eu que trois, alors c'est pour cela qu'il n'est pas rentré.

Le 8 décembre 2003, commence le procès d'Alfred Petit à la cours d'assise de Seine-Maritime. Ce procès permet de renouer avec l'espoir que la vérité soit enfin dévoilée au grand jour, pour tenter de comprendre pourquoi les époux Roussel ont été assassinés. De plus, malgré des preuves notamment matérielles qui l'accusent, il continue de nier les faits. Il préfère même garder le silence et il l'indique explicitement au président de la cour d'assises, Jean Reynaud. [10]Il s'agit d'un procès très médiatisé et cela s'explique notamment par le fait que la justice a beaucoup été mise en cause dans cette affaire lorsque, Alfred Petit était en cavale. [11] Quelques semaines avant le procès, son avocat, commis d'office maître Yves Mahui est récusé. Le fait qu'Alfred Petit soit une masse, et son physique a joué contre lui. Avant l'ouverture du procès, l'accusé affirme son innocence, et refuse donc de d'exprimer sur cette affaire, car il considère que cela ne le concerne pas. L'état d'esprit d'Alfred Petit est simple, il est en prison depuis ses 18 ans et il a nullement l'intention ni l'envie d'aider la justice, qu'il s'agisse de la police, des juges ou même des avocats car il sait qu'il ne sortira jamais de prison, il n'a rien à perdre.[12] Tels sont les mots d'Alfred Petit au président de la cour d'assises: "Je suis désolé pour les Roussel et pour leurs proches qui doivent assumer cette épreuve, mais je ne suis pas l'auteur des faits qui me sont reprochés et je veux que la vérité sorte de ces débats. Mes silences peuvent être interprétés comme un signe de culpabilité, ce n'est nullement le cas. Désormais, je ne prendrai plus la parole." [13]

L'enfance d'Alfred Petit modifier

Nous ne savons que très peu de choses sur sa famille, il n'avait pas d'amis et pas de relations amoureuses connues. La famille Petit vivait à l'écart du monde, donc on n'a pas plus de témoignages et d'éléments que son passé que ce qu'il a bien voulu raconter aux agents de polices. Alfred Petit a une phobie de l'uniforme depuis toujours, ce qui s'explique peut-être et probablement par le fait qu'on son père ait été Compagnies républicaines de sécurité en France (C.R.S) avant de devenir boucher-charcutier.[14] Son père était très dur avec lui, il calculait le temps qu'Alfred Petit fils restait dans la douche. De plus, il lui interdisait d'inviter des amis, et contrôlait même l'utilisation de la chasse d'eau. Depuis tout petit il voit des complots partout autour de lui, et cela s'explique par le fait que son père lui dit que la terre entière est contre lui car il est de la police.

Alfred Petit minimise toujours ses actes. En effet, nous le voyons lors de son altercation avec la police, où il cherche à se défendre en se plaçant comme étant la victime. il ne cesse de répéter "je n'ai pas fait exprès, ce n'est pas moi", tout cela pour se dédouaner. Durant le procès il se contente de répondre aux questions par cette même phrase, "je n'ai pas fait exprès, ce n'est pas moi".[15]

Le premier jour du procès, l'accusé est marqué par l'apparition de sa famille. Nous constatons qu'il n'a pas évolué dans un cadre stable. Il a une soeur qui porte le même prénom que leur mère Victoria. La famille vit renfermée et sous la domination du père, "un tirant domestique". Pendant, le procès celui-ci crie qu'il n'est pas venu en aide à son fils lors de sa cavale. Le témoignage du père est effrayant, il ne cesse de répéter et de crier que son fils est fou, il en vient même à menacer les Roussel, et notamment Julien Roussel. De plus, il crie au complot. La soeur d'Alfred Petit paraît au départ censée dans son témoignage, puis elle se met à faire des mouvements saccadés et des discours paranoïaques, elle est alors appelée officieusement "bécassine".[16]

Le témoignage de Dominique Lemauviel modifier

Au quatrième jour de des assises, un témoin fait son apparition, il s'agit de Dominique Lemauviel, qui a fait son témoignage dans un journal Paris-Normandie. Celui-ci affirme avoir vu l'incendie de la grange et avoir aperçu deux hommes sortants du chemin qui menait de la grange à la route. [17] Le problème est alors le suivant: s'agit-il d'Alfred Petit, et de son père qui aurait participé au crime ? L'avocat d'Alfred Petit consulte son client afin de savoir ce qu'il en est, et ce dernier affirme que l'homme peut se présenter à la barre puisque son père et lui sont innocents. De ce fait, l'avocat d'Alfred Petit insiste pour que Dominique Lemauviel vienne témoigner. Dans la salle, le juge demande au père d'Alfred Petit d'aller au fond de la salle, ainsi celui-ci s'exécute. Par la suite, le juge lui demande de revenir sur ses pas, et interroge le témoin sur la démarche d'Alfred Petit père. Selon Dominique Lemauviel, il s'agit bien là d'une démarche similaire à celle qu'il avait aperçue ce 18 mai 2001, une démarche qu'il qualifie de maladroite. Le père devient alors un réel suspect. L'enquête prend une tournure bien différente, et la justice s'intéresse au possible rôle d'Alfred Petit père, dans l'assassinat des époux Roussel.[18]

La réaction de la défense modifier

L'avocat d'Alfred Petit fils rebondi sur les propos du témoin, et affirme que si Dominique Lemauviel avait vraiment vu Alfred Petit père il l'aurait immédiatement reconnu, étant donné que la distance entre la grange et le chemin où se trouvait le témoin le jour du drame est d'environ de 5 à 6 mètres. La défense suggère que Dominique Lemauviel aurait en réalité vu d'autres témoins, et qu'il ne s'agissait pas des suspects. De plus, la défense souligne que les horaires communiqués par le témoin ne concordent pas avec les faits. Il précise avoir rencontré les pompiers au carrefour de Forgette, donc il ne peut pas avoir vu Alfred Petit père ou fils. En effet, les pompiers ont été appelés par un automobiliste qui est s'est approché de la grange et qui affirme n'avoir vu personne.[19]

Le procès d'Alfred Petit est renvoyé modifier

Le président de le cour d'assises demande un supplément d'information suite notamment au témoignage de Dominique Lemauviel. De ce fait, un nouveau juge d'instruction va être nommé afin de reprendre l'enquête, trois ans après le crime. En effet, celle-ci, reprend au témoignage de Dominique Lemauviel, qui a soulevé un point important et crucial de l'affaire, à propos du rôle qu'a pu jouer Alfred Petit père. A partir de ce moment, une perquisition est de nouveau faite dans la maison familiale des Petit. Lors de cette perquisition, les forces de l'ordre réquisitionnent les couteaux de boucher du père afin de procéder à des expertises ADN. [20]

Les dysfonctionnements de la justice modifier

Les couteaux d'Alfred Petit père modifier

Trois ans après les faits relatés, des analyses ADN vont être menées sur les couteaux d'Alfred Petit père. La question est alors la suivante: pourquoi les couteaux n'ont pas été saisis dès le début de l'enquête ? Si les couteaux ont servi, il est difficile d'imaginer qu'il reste encore des traces ADN trois après les faits. Les analyses menées n'ont malheureusement rien donnés, Alfred Petit père est alors libre. [21]

La mort d'Alfred Petit père modifier

Le 15 janvier 2004, le père d'Alfred Petit est retrouvé mort à 500 mètres de chez lui. L'autopsie conclut à un suicide, alors que le voile n'a pas encore été levé sur le rôle joué par Alfred Petit père. L'enquête devient alors surprenante et difficile à cerner. En effet, deux questions subsidiaires se posent: Alfred Petit père vient-il d'avouer son crime en mettant fin à ses jours ? Cependant, le suspect se serait-il suicidé afin de prouver son innocence face à cette pression judiciaire l'accusant d'un crime. Avant de suicider, Alfred Petit a rédigé deux lettres, l'une à l'intention de son épouse et l'autre au juge d'instruction, dans laquelle il exprime son innocence ainsi que celle de son fils. Les voisins de l'individu ne l'accusent pas, mais le pensent capable de commettre ce genre de crime.[22]

Réaction de Julien Roussel modifier

Lorsque que le fils des victimes apprend le suicide d'Alfred Petit père, il dit: " quelque part c'est un soulagement, c'est un façon de reconnaître sa participation aux doubles meurtres. C'est un soulagement car il a été menaçant envers nous lors du premier procès". De plus, le fils de Roussel n'était pas rassuré car il habitait à quelques mètres seulement d'Alfred Petit père.

Maintenant, Julien Roussel peut se focaliser sur Alfred Petit fils qui est pour lui l'assassin de son père et de sa mère. Dès la mort de père, tous alors espèrent des aveux du fils, mais en vain, celui-ci préfère garder le silence. [23]

Le second procès modifier

Le 3 décembre 2004, un an après le renvoie du premier procès, le second s'ouvre dans la cour d'assise de Rouen. Malheureusement le supplément d'information mène une fois de plus à rien.

Tout le monde se pose alors la même question:"va t-il enfin parler ?". S'il ne parle pas le second procès ne mènera à rien. On s'imaginait que le fils ne parlait pas pour protéger, or on se rend compte que cela n'est pas le cas, car même après la mort de son père il refuse parler. Il se contente de dire: la justice a tué mon père".

Les espoirs de la cour se portent alors sur la mère et la soeur d'Alfred Petit fils, ils espèrent qu'elles vont parler, mais elles se murent dans le silence. La mère se contente d'affirmer "ils ont tué mon mari et pris mon fils". Alfred Petit préfère garder le silence, mais semble vouloir désorganiser le débat, il devient impulsif, s'énerve, et ne contrôle plus. Alfred Petit souhaite changer d'avocat, mais revient sur sa décision, il ne sait pas ce qu'il veut. Après maintes réflexions de sa part et trois jours de débats, Alfred Petit récuse son avocat et prend la décision de ne rien à son nouvel avocat. De ce fait la défense se trouve muette face à la cour. Le président de la cour soupçonne le suspect de vouloir reporter son procès.[24]

Le verdict de la cour modifier

La condamnation d'Alfred Petit modifier

Le 11 décembre 2004, la cour d'assise de Rouen condamne Alfred Petit à la réclusion criminelle à perpétuité, avec une peine de sûreté de 22 ans. Lors de cette condamnation, rien d'humain n'est ressorti d'Alfred Petit. Il esquisse un sourire lorsqu'il regagne la prison.[25]

Alfred Petit fait appel modifier

Le sourire d'Alfred Petit, ce 11 décembre 2004, s'explique peut-être par le fait qu'il savait qu'il allait faire appel. Cet appel de la part d'Alfred Petit en est trop pour la justice. Le 15 novembre 2006, le verdict de ce troisième procès est rendu. En effet, celui-ci est toujours condamné à la réclusion criminelle à perpétuité mais la peine de sûreté est levée. Le fils Roussel ne comprend pas.

Selon les dispositions de la loi, comme Alfred Petit est multirécidiviste il ne pourra pas demander sa libération conditionnelle avant 2025, sans avoir la certitude de l'obtenir. Il aurait alors 60 ans et aurait passé 40 ans de sa vie en prison.[26]

La mort d'Alfred Petit fils modifier

Alfred Petit fils aurait passé plus de 40 de sa vie en prison, si ce dernier n'avait pas mis fin à ses jours, par pendaison, comme son père, dans la nuit du 16 au 17 février 2009, dans sa cellule de la maison d'arrêt de Bois d'Arcy, dans les Yvelines.[27]

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  1. Faites entrer l'accusé, « L'énigme Alfred Petit - Faites entrer l'accusé #FELA », (consulté le )
  2. « L'affaire Alfred Petit », sur Scene de crime (consulté le )
  3. Faites entrer l'accusé, « L'énigme Alfred Petit - Faites entrer l'accusé #FELA », (consulté le )
  4. « L'affaire Alfred Petit », sur Scene de crime (consulté le )
  5. Faites entrer l'accusé, « L'énigme Alfred Petit - Faites entrer l'accusé #FELA », (consulté le )
  6. Faites entrer l'accusé, « L'énigme Alfred Petit - Faites entrer l'accusé #FELA », (consulté le )
  7. Faites entrer l'accusé, « L'énigme Alfred Petit - Faites entrer l'accusé #FELA », (consulté le )
  8. Faites entrer l'accusé, « L'énigme Alfred Petit - Faites entrer l'accusé #FELA », (consulté le )
  9. Faites entrer l'accusé, « L'énigme Alfred Petit - Faites entrer l'accusé #FELA », (consulté le )
  10. « L'affaire Alfred Petit », sur Scene de crime (consulté le )
  11. Faites entrer l'accusé, « L'énigme Alfred Petit - Faites entrer l'accusé #FELA », (consulté le )
  12. Faites entrer l'accusé, « L'énigme Alfred Petit - Faites entrer l'accusé #FELA », (consulté le )
  13. « L'affaire Alfred Petit », sur Scene de crime (consulté le )
  14. Faites entrer l'accusé, « L'énigme Alfred Petit - Faites entrer l'accusé #FELA », (consulté le )
  15. Faites entrer l'accusé, « L'énigme Alfred Petit - Faites entrer l'accusé #FELA », (consulté le )
  16. Faites entrer l'accusé, « L'énigme Alfred Petit - Faites entrer l'accusé #FELA », (consulté le )
  17. « Fiche criminelle: Alfred PETIT », sur Scene de crime (consulté le )
  18. Faites entrer l'accusé, « L'énigme Alfred Petit - Faites entrer l'accusé #FELA », (consulté le )
  19. Faites entrer l'accusé, « L'énigme Alfred Petit - Faites entrer l'accusé #FELA », (consulté le )
  20. Faites entrer l'accusé, « L'énigme Alfred Petit - Faites entrer l'accusé #FELA », (consulté le )
  21. Faites entrer l'accusé, « L'énigme Alfred Petit - Faites entrer l'accusé #FELA », (consulté le )
  22. Faites entrer l'accusé, « L'énigme Alfred Petit - Faites entrer l'accusé #FELA », (consulté le )
  23. Faites entrer l'accusé, « L'énigme Alfred Petit - Faites entrer l'accusé #FELA », (consulté le )
  24. Faites entrer l'accusé, « L'énigme Alfred Petit - Faites entrer l'accusé #FELA », (consulté le )
  25. Faites entrer l'accusé, « L'énigme Alfred Petit - Faites entrer l'accusé #FELA », (consulté le )
  26. Faites entrer l'accusé, « L'énigme Alfred Petit - Faites entrer l'accusé #FELA », (consulté le )
  27. « Bois d'Arcy : le détenu qui s'est suicidé est Alfred Petit », L'Obs,‎ (lire en ligne, consulté le )