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De tout temps, l’Homme a cherché à s'élever au-dessus de sa condition sublunaire en observant le vol des oiseaux, puis en construisant des machines de plus en plus évoluées, d'abord des ballons, puis des avions, et ensuite des fusées spatiales. Ce qui a motivé l’Homme c'est d'abord sa curiosité pour l'espace, l'univers, l'inconnu, l’extraordinaire, l’existence possible de la vie ailleurs dans l’univers |
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Intelsat, Ltd. est le premier fournisseur de services de télécommunications par satellites avec 25,7 % du marché[1]. La société est basée à Pembroke, Bermudes et ses bureaux principaux sont à Washington, États-Unis.
Historique
Le consortium intergouvernemental International Telecommunications Satellite Consortium (INTELSAT) a été créé le 20 août 1964, associant 11 pays. Il a pour but de fournir des services de télécommunications internationales sur une base non discriminative.
Le 6 avril 1965, le premier satelitte Early Bird est placé sur orbite géosynchrone au-dessus de l'océan atlantique par une fusée Delta D.
En 1973, le consortium change de nom et regroupe 80 pays signataires.
Le 30 novembre 1998, création de New Skies Satellites N.V. auquel Intelsat apporte 5 satellites en orbite, un satellite en construction, des positions orbitales et du capital.
Le 18 juillet 2001, 37 ans après sa création, Intelsat devient une société privée.
En août 2004, la société est vendue aux fonds d'investissement Madison Dearborn Partners, Apax Partners, Permira et Apollo Management.
Le 3 juillet 2006, Intelsat finalise la rachat de son concurrent PanAmSat.
L'université de l'Observatoire astronomique de l'Illinois a été construite en 1896. Elle se tient sur l'avenue du sud de Matthews à Urbana, comté de champagne, l'Illinois. L'observatoire a été énuméré sur le registre national des endroits historiques le 6 novembre 1986 et le 20 décembre 1989 le département des États-Unis de l'intérieur a indiqué U d'observatoire d'I une borne limite historique nationale.Cependant aucun des instruments astronomiques n'est utilisé pour la recherche professionnelle aujourd'hui, l'observatoire contient toujours des 12 " réfracteur de Brashear. L'observatoire a joué un rôle principal dans le développement de l'astronomie car il était à la maison à une innovation principale dans le domaine de la photométrie astronomique. Le service a été dirigé par des scientifiques remarquables tels que Joel Stebbins et Baker de Robert H.
Érigé en 1896 à la demande de l'Assemblée générale de l'Illinois, l'université de l'observatoire de l'Illinois est devenue importante dans le développement de l'astronomie dû, dans la grande partie, de frayer un chemin la recherche par Stebbins, de 1907 à 1922. Joel Stebbins est parti de l'université de l'Illinois en 1922 mais à gauche derrière un legs de découverte qui a aidé à changer le visage de l'astronomie moderne. Le bâtiment, lui-même, est dans une conception traditionnelle d'observatoire, après un T-plan. Le dôme se lève 35 pieds dans le ciel. Le bâtiment a servi l'université du département d'astronomie de l'Illinois de son ouverture jusqu'en 1979 où le département est entré dans un nouveau, plus grand bâtiment à la maison son personnel grandissant.
Mir (du russe Мир signifiant paix et monde) était une station spatiale russe. Elle fut mise en orbite le et fut détruite volontairement le .
Elle a été construite en orbite en reliant différents modules, chacun lancé séparément à partir du 19 février 1986 et jusqu'en 1996. La station Mir était basée sur la série des stations spatiales Saliout précédemment lancées par l'Union soviétique. Pendant le programme Navette Mir, la station russe Mir a combiné ses possibilités avec celles des navettes spatiales des États-Unis. La station orbitale Mir a fourni un grand et habitable laboratoire scientifique dans l'espace. Les navettes spatiales visitant ont fourni le transport et les approvisionnements, aussi bien que les agrandissements provisoires des lieux de vie et des emplacements de travail, créant le plus grand vaisseau spatial de l'histoire, avec une masse combinée de 250 tonnes. Les navettes visitant des États-Unis ont utilisé un collier d'accouplement modifié conçu pour la navette soviétique Buran qui était à l'origine prévue pour entretenir la station.
Avec ses 100 tonnes, la station Mir était aussi grande que six autobus. À l'intérieur, elle ressemblait à un étroit labyrinthe, envahi de tuyaux, de câbles et d'instruments scientifiques, ainsi que d'objets de la vie quotidienne, tels que photos, dessins d'enfants, livres et une guitare. Elle a généralement logé trois hommes d'équipage, mais elle en a parfois accueilli six pendant un mois.
Excepté pendant deux périodes courtes, la station Mir a été habitée sans interruption jusqu'en août 1999.
Les quinze ans de voyage de la station spatiale russe finissent le 23 mars 2001, quand la station Mir rentre dans l'atmosphère terrestre près de Nadi (Fidji) et tombe dans l'océan du Pacifique Sud. Freinée par les couches denses de l'atmosphère, Mir fond et brûle en grande partie et le reste des matériaux (entre 20 et 25 tonnes) tombe en pluie dans l'océan.
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Le module de commande est le centre vital des missions Apollo.
C'est une capsule spatiale de forme conique, munie de hublots, située en haut d'une fusée, de type Saturn V dans le cas des voyages en direction de la Lune (Saturn IB sinon), dans laquelle prennent place trois astronautes.
Situation
En réalité, le module n'est pas tout en haut de la fusée, il est surmonté d'une petite fusée de secours, censée éloigner la capsule de la fusée en cas d'incident au décollage.
Le module de commande est situé juste au-dessus du module de service, dans lequel se trouvent le plus gros des réservoirs et des réacteurs permettant le voyage vers la Lune.
Déroulement d'une mission
Une fois en orbite, le module de commande se débarrasse de la fusée de secours, il se détache de la fusée lanceuse accompagné de son module de service, et pivote pour aller s'arrimer au module lunaire, et l'extraire de la fusée.
L'ensemble, composé du module de commande, du module de service et du LEM part, alors, vers la Lune.
Arrivés près de la Lune, deux astronautes passent dans le LEM, qui se détache, tandis qu'un astronaute reste en orbite lunaire. Lorsque la mission lunaire est terminée, une partie du LEM décolle, et rejoint le module de commande. Les astronautes repassent dans le module de commande, qui se sépare du LEM, et le voyage de retour vers la terre peut commencer.
Arrivé proche de la Terre, le module de commande se détache du module de service, et il rentre dans l'atmosphère, protégé par un bouclier thermique.
Une fois suffisamment bas, un triple parachute se déploie, ce qui permet au module de commande d'amerrir en douceur.
Missions spatiales
Le module de commande fit des vols habités d'Apollo 7 à Apollo 17 inclus.
Il fut le premier engin spatial à emmener 3 hommes en orbite[réf. nécessaire].
Il resta en orbite terrestre lors des missions Apollo 7 (simple test) et Apollo 9 (simulation d'approche lunaire en orbite terrestre).
Lors de la mission Apollo 8, il fut le premier engin spatial à emmener des hommes vers un autre corps céleste que la Terre.
Lors de la mission Apollo 17, il fut le dernier, aucun autre engin spatial n'ayant jamais emmené des hommes loin de la Terre.
Il fit, en tout, 9 missions lunaires, dont 6 permirent à des hommes de marcher sur la Lune (la mission Apollo 10 étant une répétition d'atterrissage dans la banlieue lunaire, et la mission Apollo 13 étant un échec.
Du fait que 3 hommes firent deux voyages, le module de commande emmena 24 personnes, en tout, vers la Lune.
En 1975, le module de commande participa au vol américano-soviétique Apollo-Soyouz.
En 1973, trois vols supplémentaires sont effectués en direction de la station spatiale Skylab.
L'ensemble du programme Apollo se déroula sur une période très courte, puisque la tragédie d'Apollo 1 date de 1967, et que le dernier vol Apollo date de 1973.
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Remarques
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- Christian Lardier, Théo Pirard, « Le marché des Satcoms à l'heure de l'embellie », dans Air & Cosmos, N° 2113, 22 février 2008