Léon-Gontran Damas, Discours de Guyane 1947, Dans Présence Africaine, 2013/1-2 (N° 187-188), pages 87 à 94[1]
Léon-Gontran Damas, Structures de la littérature afro-latino-américaine, Dans Présence Africaine, 2013/1-2 (N° 187-188), pages 71 à 82[2]
Toumson Roger, Les littératures caribéennes francophones, Problèmes et perspectives, Cahiers de l'Association internationale des études francaises, 2003, n°55. pp. 103-121. [3]
Dewitte Philippe, Claude McKay, Banjo, Traduction de l'américain et postface de Michel Fabre, Collection Rive Noire, 1999, In: Hommes et Migrations, n°1221, Septembre-octobre 1999, Immigration, la dette à l'envers, pp. 133-134.[4]
Michel Marc, Riesz Janos, "Astres et désastres", Histoire et récits de vie africains, de la Colonie à la Postcolonie, In: Outre-mers, tome 96, n°364-365, 2e semestre 2009, Le Sport dans l'Empire Français. Un instrument de domination coloniale ? sous la direction de Driss Abbassi. pp. 388-389.[5]
Elena Fermi, « Léon-Gontran Damas. Cent ans en noir et blanc, éd. Antonella Emina », In : Studi Francesi, 180 (LX | III) | 2016, 574-576.[6]
Kathleen M. Gyssels, « In Search of the Talented Tenth » : Léon-Gontran Damas et Albert Helman face à l’Amérind’ « cambriolée », In : Le postcolonial comparé, 2014, pages 225 à 242.[7]