Utilisateur:Mathieu Lafleur/Brouillon
Mathieu Marcel Julien Lafleur, dit Mathieu Lafleur né le 16 novembre 1996 à Bagnolet et actuellement un élève de Saint-Martin de France.
Famille
modifierIl est issu d'une ancienne famille de la noblesse française. La branche familiale auquel il appartient, est de la moyenne bourgeoisie installé depuis plusieurs génération à Charenton-le-Pont. Il est le fils de Ana Lafleur, immigrée Portugaise lors d'indépendance de l'Angola et Pascal Lafleur gérant la prestigieuse entreprise Lafleur. Le couple a 3 enfants : Laetitia (1987), Angélique (1992) et Mathieu.
Lafleur
modifierCe nom provient du XVIIe siècle où son ancêtre a servit le Roi, Louis XIV, en étant Général dans son armée. Il a été anobli, et un chateau lui a été offert. Lafleur Pomerol, l'une des
maquee de vin les plus pretigieusee de France fut créee. Sous la Révolution française, la famille se déchira en 3 branches, la branches française, la branche canadienne et la branche
calédonienne. La branche française fut la partie de la famille ayant le plus souffert, un des ancêtres, député des Etats
Généraux sous Louis XVI, a voté sa mort lors de l'Assemblée Constituante. Il fut rejeté par les autres membrrs de la famille pour "trahison". Lafleur est le nom donné à l'entreprise crée par son grand-père, Marcel Lafleur, en colaborationn avec ses deux autres frères, André et Francis Lafleur. Le batiment principal se situe à Charenton-le-Pont, fief de cette branche familiale. Elle est spécialisé dans les energies thermiques et hydrauliques. Atteint d'un cancer des poumons, Marcel Lafleur s'éteint en 2004, date où Pascal Lafleur devient le nouveau gérant de cette entreprise.
Etudes
modifierÉlèves du lycée Samuel de Champlain, il quitte ce dernier précipitamment pour le lycée Henri IV à cause de problèmes d'harcèlements. Il décide de changer de nouveau pour l'école Saint-Martin de France où il trouva un équilibre permettant une reconstruction. Il triple sa seconde pour problèmes médicaux.
Débuts en politique
modifierIl devient membre de l'Union pour un Mouvement Populaire (UMP) en 2012. Il milite dès son entrée pour le retour de Nicolas Sarkozy à la
présidence de la République.