Utilisateur:Meryem.zegh/Brouillon0

Etre soi c’est la première source du Bonheur

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On pense beaucoup au bonheur ,on a toujours et partout pensée au bonheur ,ce petit mot assez séduisant qui représente pour chacun l’atteinte de la joie et l’absence de toutes sortes de malheur ,loin d’entendre le mot ,problème ,chagrin ,mal ,soucis, inquiétude … et tout autre concept semblable a ceux-ci.

Cependant le terme «  bonheur » n a pas la même définition chez tous les individus ,en effet il est impossible de définir ce terme en toute objectivité ; car chacun possède sa propre compréhension et perception de la vie .celui-ci dépend d’une multitude de facteurs ,il ne peut jamais être identique pour deux personnes .certains le voit comme dépendant des situations de la ou on est et la ou on veut arriver ,certains le voit comme l’absence du malheur ,l’absence de la souffrance …d’autres se suffisent de comparer leur vie aux autres plus malheureux qu’eux et ils se concluent à dire «  on est pas donc si malheureux que ça  » . Une petite histoire illustre l’une des figures du bonheur. « Un pauvre paysan vient de plaindre auprès du curé de son village : «  Ma vie est un enfer ,mon père .Nous habitons , ma femme ,ma belle mère ,nos huit enfant et moi-même , dans une petite pièce . Nous vivons les uns sur les autres. Notre souffrance est insupportable . -Prends une de tes chèvres , dit le curé, garde –la dans la pièce avec vous et reviens me voir dans une semaine. -Mais comment ferais-je , c’est impossible ,il n’y a plus aucune place ! » Néanmoins le pauvre paysan s’exécute .Il retourne voir le curé une semaine plus tard. « c’est encore mille fois pire qu’avant , dit-il , et en plus la chèvre fait ses besoins partout . Notre vie est devenue «cauchemar ! -Prends ta seconde chèvre avec vous et reviens me voir dans une semaine » Le paysan pleure et proteste , mais il se résout finalement à obéir à la volonté du curé . « Je suis désespéré , lui dit –il une semaine plus tard .Ma seule issue c’est le suicide ,mais la religion l’interdit . -Maintenant , répond le curé ,mets tes deux chèvres dehors et reviens me voir demain » Le pauvre paysan s’en va et retourne le lendemain à la paroisse : « Merci mon père .vous êtes un grand sage , j’ai suivi vos conseils en mettant mes deux chèvres dehors. L’enfer s’est transformé en paradis . Je suis heureux maintenant .Ma maison est devenue grande ,propre et agréable ! » L’histoire démontre deux définition du concept bonheur la première est basée sur l’absence du malheur et la seconde sur la comparaison avec les plus malheureux. Et diverses sont les sources du bonheur , Hormis MOUSSA NABATI[1] psychanalyste ,thérapeute et chercheur docteur en psychologie , met en question un concept qui ne manque d’importance Celui d’ « être soi » comme une source naturelle du bonheur qui doit être prise en considération afin d’arriver au véritable Bonheur.

Donc que signifie « être soi » ??

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Etre soi veut dire s’aimer ,s’accepter ,se respecter tel qu’on est dans son corps ,son âge et son sexe En jouissant notamment d’un psychisme séparé ,différencié ,autonome , dégagé des confusions d’identités . lorsque on est soi on se trouve ni enclavé ni inclus dans le psychisme des autres ; être soi signifie pouvoir ressentir , penser ,choisir , désirer ,décider ,s’exprimer en son propre nom ,pour son compte propre et de sa vrai place en étant conscient des enjeux et de ses responsabilités.

Comment s’accepter ?

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En effet dans son livre «  les cents lois de la vie » Richard TEMPLAR[2] , dit qu’il ne s’agit pas de grande chose à faire , on doit seulement « avoir de l’amour pour nous-mêmes », il s’agit de s’accepter d’abord tel qu’on est non pas de s’améliorer ,de changer ,de tendre vers une perfection ,mais de tous contraire :d’accepter en bloc ses tares ,ses plaies et bosses ,ses défauts et ses faiblesses .On es obligé de s’accepter pour ce qu’on est :le produit de son vécu ,bon et mauvais ensemble . c’est un fait vous êtes je suis nous sommes tous des humains autrement dit des êtres pas mal de complexes .nous portons tous notre lots de désir ,de vices ,de mesquineries parfois, d’erreur , de colère, de grossièreté , déviance ,d’hésitations ,de récurrences . c’est cette complexité même qui rend l’être fabuleux .Nul d’entre nous ne peut jamais prétendre à la perfection. Ainsi qu’être soi nie l’imitation des autres ,et nous incite à briller par ce qu’on est et également de ce qu’on a et aussi de cesser la course derrière ce que les autres possèdent dans leur mains et de se contenter de ce qu’on possède ,Ce pendant on ne décourage les êtres et on ne brise les envie ,Sauf qu’on avertit les âmes pour qu’elles ne soient pas prise par l’avidité , et en ce sens , un proverbe dit que plus qu’on mange plus qu’on a faim sur tout si la possession matérielle de toutes chose et la richesse constitue le bonheur de certains , encore une seule remède peut guérir cette maladie qui est de se satisfaire ,et d aller vers la reconnaissance car plus on est reconnaissant et plus on se réjouit par ce qu’on a plus on se sent mieux surtout en se comparant avec d’autres si malheureux que nous . Parler de soi c’est parler aussi de la confiance en soi qui ne peut hanter les corps qu’a travers ce sentiment de la fierté éprouvé envers nous même quoi qu’on soit ;et qui est aussi l’une des conséquences de l’acceptation et l’amour de soi en toutes circonstances. Donc il suffit d’être en accord et en pais avec soi afin de réjouir au bonheur et afin d’éviter le maximum des maladies morales qui ne cesse d’affecter les âmes faible ,donc une connaissance de ses faiblesses fait partie de ses forces intérieures, c’est cela le petit secret du bonheur !devenir soi rend le sujet heureux entre ses semblable et par la suite il s’impose dans l’existence collective et règne dans son propre royaume pacifiquement qu’il vive en conséquence en pleines paix avec l’autrui[3].

références

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  1. MOUSSA NABATI, le bonheur d’être soi
  2. RICHARD TEMPLAR, Les cents loi de la vie
  3. José Luiz de Freitas Vieira et Márcio Almeida Có, « https://sobraep.org.br/artigo/sistema-retificador-inversor-com-corrente-pulsada-no-barramento-cc-para-acionamento-de-motores-de-inducao/ », Eletrônica de Potência, vol. 2, no 1,‎ , p. 35–42 (ISSN 1414-8862 et 1984-557X, DOI 10.18618/rep.1997.1.035042, lire en ligne, consulté le )