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Modèle:Infobox Géologue Néo-Zélandaise
Margaret Ann Bradshaw (née Cresswell le 31 décember 1941) est une géologue Néo-Zélandaise d'origine britanique retraitée de l'Université de Canterbury.[1] Elle est considérée comme une figure féminine pionnière et inspirante en ce qui concerne la recherche en Antarctique[2]
Début de vie et Education
modifierNée Margaret Ann Cresswell dans la ville de Nottingham en Angleterre, le 31 décember 1941,[3] et mariée à John Dudley Bradshaw à Nottingham en 1963,[4], elle déménage avec lui en 1966 à Christchurch[5] en Nouvelle-Zélande.
Là-bas, Margaret Bradshaw commence à travailler sur le Devonien et la paléontologie des invertébrés. Elle intègre progressivement l'Antarctique dans ses problématiques de recherche gradually incorporating Antarctica[6]. Elle est naturalisée Néo-Zélandaise en 1980[3].
Carrière et Influence
modifierMargaret Bradshaw concentre ses recherches sur la structure et la stratigraphie des roches du Devonien en Nouvelle-Zélande et en Antarctique. Elle travaille notamment sur le développement et les ressemblances de différents terrains datant du Paléozoïque en Nouvelle-Zélande, sur la paléobiogéographie des Bivalves datant du Dévonien ainsi que sur la paléontologie et l'importance environnementale de traces fossiles datant du Paléozoïque à la fois en Nouvelle-Zélande, en Antarctique et en Australie.
Margaret Bradshaw a été conservatrice au Muséum de Canterbury pendant 17 ans[5][7] et ses premiers voyages en Antarctique avaient pour but d'enrichir la collection de fossiles et de roches de l'Antarctique du Muséum.[6]. Lors de son premier voyage jusqu'au sixième continent de 1975 à 1976, elle collecte des spécimens qui ont ensuite été exposés dans le Hall Antarctique du Muséum[5] Elle est la première personne à mener une expédition à l'intérieur des terres antarctiques pendant sa campagne de 1979 à 1980[8] et la première personne à découvrir de nouveaux fossiles de poissons sur l'affleurement des Cook Mountains pendant sa campagne de 1988 à 1989[6].
Margaret Bradshaw est présidente de la Société Antarctique de Nouvelle-Zélande de 1994 à 2003[9]. She is a member of the Association of Australian Paleontologists.[10]
Médailles et Récompenses
modifierMargaret Bradshaw et la seconde femme à gagner la Médaille Polaire, décernée par le souverain britannique et la première femme Néo-Zélandaise à se voir attribuer cette médaille en 1993[11][12]. Elle reçoit la Médaille Science & Technologie de la Royal Society de Nouvelle-Zélande en 1994[13].Margaret Bradshaw est membre à vie de la Société Antarctique de Nouvelle-Zélande depuis 2006[14].
Le Pic Bradshaw, situé au sud-ouest du glacier McLay en Antarctique, a été nommé en son honneur[8].
Références
modifier- « Dr Margaret Bradshaw », sur geol.canterbury.ac.nz, University of Canterbury (consulté le )
- « Intrepid women share Antarctic experiences at NZ IceFest », scoop.co.nz (consulté le )
- « New Zealand, naturalisations, 1843–1981 », Ancestry.com Operations, (consulté le )
- « England & Wales, civil registration marriage index, 1916–2005 », Ancestry.com Operations, (consulté le )
- « SIOV 2002: The Voyage », farvoyager.com (consulté le )
- (en) John Long, Mountains of Madness: A Scientist's Odyssey in Antarctica, Joseph Henry Press, (ISBN 978-0-309-07077-5, lire en ligne)
- « Pallets of equipment and supplies being delivered by Hercules », sur Antarctica NZ (consulté le )
- « Bradshaw Peak », sur Australian Antarctic Data Centre (consulté le )
- « Antarctic », antarctic.org.nz (consulté le )
- « Margaret Bradshaw », sur docs.exdat.com, Association of Australasian Palaeontologists (consulté le )
- (en) William James Mills, Exploring Polar Frontiers: A – L., ABC-CLIO, (ISBN 978-1-57607-422-0, lire en ligne)
- « Polar Medal », antarctic.org.nz (consulté le )
- (en) Beau Riffenburgh, Encyclopedia of the Antarctic, Taylor & Francis, (ISBN 978-0-415-97024-2, lire en ligne)
- « Antarctic », {{Article}} : paramètre «
périodique» manquant, Gusto, vol. 28, no 211, (ISSN 0003-5327, lire en ligne [archive du ], consulté le )
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