Utilisateur:Obamette/Brouillon
Rivasi
modifierMichèle Rivasi affirme que Tchernobyl aurait été «le premier gros mensonge d'état», et explique qu'au moment des faits, la protection de la France par un anticyclone lui avait semblait impossible, les pays frontaliers de la France comme l'Italie et l'Allemagne ayant été touchés. Elle crée la Criirad avec d'autres citoyens convaincus du mensonge de l'état après avoir constatés en France la présence d'éléments radioactifs dans certains aliments comme le lait[2].
En 1997, Michèle Rivasi est qualifiée de "bête noir du lobby nucléaire" dans Liberation[3].
En 1998, elle publie avec Hélène Crié-Wiesner, journaliste franco-américaine, le livre Ce nucléaire qu'on nous cache, où elle décrit des manipulations de chiffres par l'état, des mensonges, des dissimulations concernant le nucléaire. Elle y aborde aussi, notamment, le problème de la gestion des déchets radioactifs et du démantèlement des vieilles centrales nucléaires[4].
En 2000, elle délivre un rapport sur le "caractère désordonné de la gestion des déchets nucléaires"[5], où elle dénonce notamment la solution de stockage de déchets radioactifs dans les remblais[6]. Elle appuie l'association "Avigolfe" dans son action sur la prise en compte du Syndrome de la guerre du Golfe, mettant en question un lien éventuel entre des maladies atteignant les vétérans de la guerre, et une possible exposition à des radiations ou des intoxications chimiques[7]. Elle établit un rapport analysant la protection des consommateurs vis-à-vis des produits défectueux[8].
En 2001, elle devient membre du comité de parrainage de la Coordination pour l'éducation à la non-violence et à la paix[9].
Michèle Rivasi est directrice de Greenpeace France de septembre 2003 à novembre 2004. Bruno Rebelle, numéro 2 de Greenpeace à l'époque, déclare: «En l’espace de quelques mois, elle a mis le feu à la maison, elle n’a pas su gérer une équipe de cinquante personnes et n’a pas su gérer la composante française d’une organisation internationale. C’est parti en vrille.» Michèle Rivasi affirme, quant à elle, que Bruno Rebelle, ainsi que Yannick Jadot, se sont opposés à l'organisation plus démocratique qu'elle proposait, et qu'« au fond, Jadot et Rebelle, c’est le même genre de mecs, des mecs qui en veulent, qui ont des ego»[10]. En octobre 2016, alors que Michèle Rivasi et Yannick Jadot se retrouvent au deuxième tour de la primaire écologiste, Bruno Rebelle déclare que Michèle Rivasi avait été, en 2004, licenciée de Greenpeace, et qu'elle n’avait « pas fait le boulot correctement.»[11].
Entre novembre 2013 et septembre 2016, elle a été présidente de Nuclear Transparency Watch[12], association visant à renforcer la sûreté nucléaire par la promotion de la transparence dans la filière nucléaire.
(1) https://www.monde-diplomatique.fr/1999/04/CHOUCHAN/2909
(3) http://gazettenucleaire.org/2013/270p11.html
(4) http://www.ladepeche.fr/article/2000/09/10/82929-cette-guerre-du-golfe-qui-a-laisse-des-traces.html
(5) http://www.assemblee-nationale.fr/europe/c-rendus/c0122.asp
(7) https://www.senat.fr/rap/r99-320/r99-3204.html
nouvelle formulation pour l'affaire Bygmalion
modifierLe 27 juin 2014, le parquet requiert « l'ouverture d'une information judiciaire contre X pour « faux et usage de faux », « abus de confiance », « tentative d'escroquerie » et « complicité et recel de ces délits ». » Toutes ces infractions sont rattachées à une seule opération, celle qui aurait visé à rendre invisible des dépassements de frais de campagne. En effet, les candidats à la présidentielle sont tenus de ne pas dépasser 22,5 millions d'euros pour financer leur campagne. Et les dépenses de Nicolas Sarkozy auraient atteint en réalité 33 millions d'euros, chiffre donné par la société Bygmalion, ou même 39 millions d'euros, selon le journal Mediapart. Pour dissimuler ce dépassement, la société Bygmalion n'aurait pas facturé ou sous-facturé certaines prestations pour la campagne de Nicolas Sarkosy, et aurait facturé à l'UMP des prestations inexistantes, ou sur-facturé des prestations existantes. De cette façon, les sommes réellement dépensées pour la campagne présidentielle seraient devenues des frais comptabilisés à tort sur le budget de l'UMP.
Le 26 mai 2014, Patrick Maisonneuve, avocat, déclare que sa cliente, la société Bygmalion, s'est vu "imposée" de facturer à l'UMP des prestations en réalité destinées à la campagne présidentielle. Le même jour, Jérôme Lavrilleux, bras droit de Jean-François Copé, déclare que ce type de procédure n'est pas anormal, étant donné qu'il est impossible de faire campagne pour moins de 22,5 millions d'euros. Dès le lendemain, Guillaume Lambert, directeur de la campagne présidentielle, fait savoir qu'il n'a eu connaissance que des factures payées pour la campagne de Nicolas Sarkozy, et qu'il n'avait aucune information sur la comptabilité de l'UMP. Jean-François Copé, président de l'UMP, déclare ne pas avoir été mis au courant que l'UMP aurait commis des irrégularités, mais ne les conteste pas.
Le 16 février 2016, Nicolas Sarkozy est mis en examen pour « financement illégal de campagne électorale », et est placé sous statut de témoin assisté pour les autres chefs (« usage de faux », « escroquerie » et « abus de confiance »).
Le 5 septembre 2016, le parquet de Paris requiert le renvoi en tribunal correctionnel de Nicolas Sarkozy pour financement illégal de sa campagne présidentielle de 2012. Les chroniqueurs judiciaires indiquent que le procès avant l'élection présidentielle, prévue en mars-avril 2017 est peu vraisemblable366. François Fillon, premier ministre de Nicolas Sarkozy à l'époque des faits, demande que l'affaire soit jugée dans « des délais raisonnables ».
à faire passer dans l'article détaillé de l'affaire Bygmalion
modifier« Les faits présumés de faux et usage de faux concernent les factures émises358 » par Event & Co, la filiale événementielle de Bygmalion pour la campagne de Nicolas Sarkozy pour élection présidentielle de 2012. « L'« abus de confiance » concernerait, lui, le possible détournement de fonds au préjudice de l'UMP. Quant à la tentative d'escroquerie, elle se réfère au fait qu'auraient été volontairement minorées les dépenses engagées à l'occasion de la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy, afin de présenter des comptes susceptibles d'être validés par la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques, puis par le Conseil constitutionnel358. » « Ces comptes n'avaient finalement pas été validés, pour d'autres raisons, ce qui explique le chef de tentative d'escroquerie et non d'escroquerie. »
Trois juges d'instruction du pôle financier sont désignés, dont Serge Tournaire et Renaud Van Ruymbeke. Leurs investigations portent sur l'année 2012, les dernières factures réglées par l'UMP à la filiale de Bygmalion semblant dater de novembre de cette année. Des investigations complémentaires portent en partie sur la connaissance qu'avait Nicolas Sarkozy de ces artifices comptables. Pierre Godet, l'expert-comptable signataire du compte de campagne, ainsi que Jean-François Copé auraient averti le candidat du dépassement du plafond de dépenses ainsi que du trop grand coût des réunions publiques organisées pendant la campagne[13].
http://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2014/06/19/fausses-factures-de-l-ump-ce-que-l-on-sait-du-dossier-bygmalion_4441213_4355770.html http://www.lemonde.fr/les-decodeurs/visuel_interactif/2014/06/20/les-liens-entre-l-ump-et-bygmalion_4442459_4355770.html http://www.lemonde.fr/societe/article/2014/09/23/bygmalion-la-police-s-interroge-sur-le-role-de-nicolas-sarkozy_4492976_3224.html http://tempsreel.nouvelobs.com/politique/20140618.OBS0799/bygmalion-le-texto-qui-pourrait-embarrasser-cope-et-sarkozy.html
Question sur le technique encyclopédique
modifierBonjour. J'ai travaillé récemment sur l'article "Biodanse". Et cela m'amène à me poser une question sur la technique encyclopédique wikipédienne. Je vous expose cette question ci-après.
J'avais lu un article de magazine qui prétendait que cette pratique de biodanse peut avoir le même effet que des séances de psychothérapie classique. Mais ce n'était pas une information argumentée. Est-ce que, en tant que source tertiaire, Wikipedia peut rajouter une analyse de cette source secondaire de son propre cru ? Par exemple, est-ce que je peux rajouter, en tant qu'encyclopédiste, le fait que ce que dit le magazine n'est pas argumenté ?
Cela donnerait par exemple :
Le magazine Psychologies affirme que la pratique régulière de la biodanse peut avoir les mêmes effets qu'une psychothérapie classique, 'mais ne le démontre pas'.
Ou bien :
Le magazine Psychologies affirme que la pratique régulière de la biodanse peut avoir les mêmes effets qu'une psychothérapie classique, 'mais n'argumente pas cette affirmation'.
Ou bien :
Le magazine Psychologies affirme que la pratique régulière de la biodanse peut avoir les mêmes effets qu'une psychothérapie classique, 'mais sans en apporter la preuve'.
Ou bien :
Se basant 'uniquement' sur quelques témoignages de pratiquants, le magazine Psychologies affirme que la pratique régulière de la biodanse peut avoir les mêmes effets qu'une psychothérapie classique.
Ou bien :
Se basant sur quelques témoignages de pratiquants, le magazine Psychologies affirme que la pratique régulière de la biodanse peut avoir les mêmes effets qu'une psychothérapie classique, 'mais n'en apporte aucune preuve scientifique'.
Ce "'mais n'en apporte aucune preuve scientifique'" serait une information que je rajouterais moi-même : en effet, dans l'article original, la journaliste n'a pas indiqué d'elle-même quelque chose du genre "mais ce n'est pas démontré par la science", et il n'existe pas non plus un autre article, d'un autre magazine, qui dirait :
"Le magazine Psychologies n'a pas apporté de preuves scientifiques au sujet des soit-disant bienfaits psycho-thérapeutiques de la biodanse."
L'information "mais n'en apporte aucune preuve scientifique" est donc créée par moi "ex-nihilo" d'une certaine manière. Elle n'existe nulle part ailleurs. Simplement, en lisant l'article de Psychologies, je vois bien qu'il n'y a strictement aucune caution scientifique.
Moi, il me semble que j'ai le droit de rajouter cette information, car le travail d'une source tertiaire est, par nature même, un travail inédit, et que rajouter "mais n'en apporte aucune preuve scientifique", même si c'est du travail inédit, cela fait partie du travail de l'encyclopédiste.
Mais j'ai tout de même un doute. Qu'en pensez-vous ? Cordialement
Psychologie interculturelle
modifierPsychologie_interculturelle L'exemple est celui de deux rêves de deux jeunes garçons, le récit de l'un ayant été recueilli par Freud, et le récit de l'autre ayant été recueilli par Malinovski. Dans le premier cas, le rêve met en scène la mort du père du jeune garçon. Selon Freud, ce type de rêve indique un désir inconscient. Et ce désir du meurtre du père renvoie au complexe d'Oedipe. Freud travaillait dans le contexte d'une société patriarcale, où le père est à la fois l'amant et la figure d'autorité. Dans le second cas, le rêve est similaire, excepté l'indentité du mort, qui n'est plus le père, mais l'oncle. Or ce second rêve s'est produit dans le cadre d'une société matriarcale, où l'oncle représente aussi une figure d'autorité, mais pas celle de l'amant. Le désir de meurtre ne se dirige donc pas vers le rival, ce qui, selon Malinovski, remet en question l'universalité du complexe d’Œdipe.
Olfaction
modifierEvolution_de_la_communication_olfactive
Bonjour {Notif|Edyp2017} l'odorat n'est, selon moi, pas un "outil de communication" au sens classique du terme, car il ne permet pas d'envoyer un message. Il s'agit purement d'un outil de perception. En tant qu'outil de perception, il participe effectivement à la communication par les odeurs, où il jour le rôle du récepteur. Il est donc indispensable au fonctionnement de ce type de communication. Si votre formulation actuelle est une formulation commune dans le monde des spécialistes de ce sujet ( je n'en suis pas un ), alors l'introduction actuelle convient. Sinon, je propose:
Les odeurs sont un outil de communication fondamental entre individus, et entre les individus et leur environnement. Les odeurs peut servir à identifier des congénères, éviter des dangers, ou trouver de la nourriture. Elles jouent également un rôle essentiel dans la reproduction, notamment par le biais de phéromones.
Cette communication peut s'effectuer grâce à un système olfactif, qui est un système sensoriel permettant la perception des odeurs, c'est-à-dire l'odorat. Ce système reçoit, traite, et interprète les informations olfactives.
RI FA
modifierbrouillon avec Résumé introductif sourcé
François Asselineau, né le 14 septembre 1957 à Paris, est un inspecteur général des finances et homme politique français.
Pendant les années 1990, il travaille comme haut fonctionnaire dans différents cabinets ministériels. A partir de 1999, il milite dans les rangs du RPF, un parti politique souverainiste dirigé par Charles Pasqua. En 2004, il devient délégué général de l'intelligence économique au ministère de l'Économie et des Finances, et y propose des stratégies pour protéger l'économie française de la mondialisation. En 2007, il fonde son propre parti politique, l'Union populaire républicaine (UPR).
Ce parti politique propose la sortie de l'Union européenne, de la zone euro et de l'OTAN. L'UPR, se présente elle-même comme un rassemblement pour «rétablir la démocratie», en dehors du clivage droite-gauche. Lors des élections européennes de 2014 et des régionales de 2015, sa liste est classée par le ministère de l'Intérieur parmi les « Divers ». François Asselineau a échoué à se présenter à l'élection présidentielle de 2012 et tente d'être candidat à celle de 2017.
Selon François Asselineau, la construction européenne aurait été voulue, initiée, et pilotée en sous-main par les Etats-Unis d'Amérique ; et l'Union Européenne permettrait aux américains d'asseoir leur domination sur le vieux continent. François Asselineau est décrit comme souverainiste, antiaméricain, et conspirationniste, ce dernier qualificatif étant nettement nuancé par Rudy Reichstadt, spécialiste du complotisme.
Les grands médias invitent peu François Asselineau, qui les accusent de le censurer. L'UPR assure notamment sa promotion par un cybermilitantisme très actif sur internet. Les militants ont également mené une insistante démarche de lobbying auprès des grands médias, décrite par certains journalistes narquois comme un « harcèlement ». Par ailleurs, François Asselineau réalise de longues conférences publiques, très structurées, « de véritables cours magistraux », où il propose une «pédagogie sur l'Europe».
sources non utilisées :
source Ouest France[14]
La Nouvelle République[15]
Midi Libre[16]
Coexister
modifierhttp://prochoix.org/pdf/coexister.prochoix.66.pdf
http://www.saphirnews.com/Interfaith-Tour-les-jeunes-de-Coexister-font-leur-tour-du-monde_a17083.html
Côté hébergement, les nuits chez l’habitant seront privilégiées et Coexister a obtenu un partenariat avec un réseau d’auberges de jeunesse. Le soutien de trois organisations mondiales – le réseau jeunesse de Religion For Peace (RFP), la Tony Blair Faith Fondation (TBFF) et l’United Religion Initiative (URI) - les aideront également à s’organiser sur place, explique Samuel.
http://www.apriles.net/index.php?option=com_sobi2&sobi2Task=sobi2Details&catid=5&sobi2Id=1586&Itemid=95
Rapidement l’association se fait connaître par des actions de solidarité médiatisées (dons de sang) et la participation de ses membres à des manifestations internationales (Journée mondiale de la Jeunesse, Religions for peace).
http://www.lejournalinternational.fr/%C2%A0Interfaith-tour%C2%A0-cinq-amis-trois-religions-un-tour-du-monde_a1671.html
En 2012, le bureau de Coexister adhère au projet « Interfaith Tour » (Tour inter-foi) lancé par ses membres. Sparknews, plateforme internet qui répertorie des reportages « mettant en lumière des initiatives innovantes pour la société », s’engage aussi à soutenir le projet et sa médiatisation. Ne reste plus qu’à organiser le tout et à trouver 100 000€. S’ensuivront alors six mois de préparation, de décembre 2012 à mai 2013
« On rencontre des membres d’associations internationales telles que Religion for Peace, mais aussi des personnes impliquées dans des projets locaux au sein de plus petites organisations », explique Victor.
Dès 2010 Coexister est proche de Religions for Peace : https://disarmeurope.wordpress.com/summits/paris2010/participation/
http://www.sparknews.com/fr/author/samuel-grzybowski-0 Association Coexister - Depuis 2009 Le Mouvement Interreligieux des Jeunes. 200 adhérents. 50 jeunes membres actifs. Mouvement affilié à Religions Peace International, l’ONU et l’UNESCO.
http://www.annalindhfoundation.org/members/association-coexister
Partenaires principaux : Fondation Notre Dame, Secours Catholique, Religions for Peace, Religions pour la Paix France, Global Interfaith Youth Network, European Interfaith Youth Network, Collège des Bernardins, Eclaireuses Eclaireurs Israélites de France, Scouts et Guides de France, Scouts Musulmans de France (...)
Cinq pôles d'activités : le dialogue, la solidarité, la sensibilisation, la formation et les voyages. Les trois premiers sont repris dans chaque groupe local de Coexister, et les deux derniers n'existent qu'au niveau national. Depuis la création de l'association, les projets suivant ont été réalisés : 4 opérations de solidarité « Ensemble à Sang % », 4 cycles de dialogue à Paris dénommés « KIF » et des dizaines d’événements de dialogue dans les autres villes, 4 programmes de sensibilisation à travers toute la France sur les questions du vivre ensemble et des préjugés, touchant ainsi plus de 6 000 jeunes.(...)
plusieurs groupes Coexister se sont implantés au niveau local dans plusieurs villes de France (Paris, Lyon, Marseille, Angers, Grenoble, Lille et Evry). Ainsi, l'association peut mettre en oeuvre des projets à la fois nationaux et locaux, et toucher un public étendu.
https://books.google.fr/books?hl=fr&id=Z_URCwAAQBAJ&q=United+Religions+Initiative#v=onepage&q=Religions%20for%20Peace%20United%20Religions%20Initiative&f=false
D'après Samuel Grzybowski, son asso fait partie de Religions for Peace et United Religions Initiative
Dans son dossier de presse, l'asso déclare avor de très nombreux partenaires :
http://www.religionspourlapaix.org/img/Coexister_dossierdepresse2012.pdf
INTERRELIGIEUX
• Religions For Peace ONG disposant d’un siège permanent à l’ONU et à l’UNESCO • Conférence Mondiale des Religions pour la Paix Section française de Religions For Peace • AJCF L’amitié Judéo-Chrétienne de France • AJMF L’amitié Judéo-Musulmane de France • GAIC Le groupe d’Amitié Islamo-Chrétienne • La Fontaine aux Religions Association parisienne • Aux quatre vents des Religions Association parisienne • Carrefour des mondes et des cultures Association parisienne • Chemins de Dialogue Association Marseillaise • Souffle et Chemins Association de Cergy • Les Artisans de Paix Association Française • Initiatives et Changements ONG internationale
JUDAÏSME
• Éclaireuses Éclaireurs Israélites de France • Le Consistoire de France • Le Consistoire de Paris • L’ULIF Copernic Synagogue libérale • Le MJLF Le Mouvement Juif Libéral de France • Adath Shalom Synagogue Massorti du XVe à Paris • L’UEJF L’Union des Étudiants Juifs de France
CHRISTIANISME
• Scouts et Guides de France Prêtre du Prado à Lyon - dialogue islamo-chrétien • Église de France par le biais du Conseil Épiscopal pour le Dialogue interreligieux • Diocèses de Paris, de Lyon, Marseille, Évry et Lille • SRI Le Service des Relations avec l’Islam pour l’Église de France • SRJ Le Service des Relations avec le Judaïsme pour l’Église de France • Conseil Pontifical pour le Dialogue interreligieux par le biais de son président Mgr Tauran
ISLAM
• Scouts musulmans de France Président de la Conférence Mondiale des Religions pour la Paix • CFCM Coordinatrice internationale de «Femmes de Foi pour la Paix • Les Étudiants musulmans de France Président du Conseil Français du Culte Musulman • ASCJP XV La Mosquée de Paris XV
UNESCO : https://sites.google.com/a/ffpunesco.org/federation-francaise-pour-l-unesco/laboratoires/laicite/outils-laiecite/coexisterfrancelalaieciteen3minutes
et http://www.interfaithtour.fr/presse/coexister-et-linterfaith-tour-ccic-unesco/
Un portrait du fondateur : http://www.bondyblog.fr/201605020001/samuel-grzybowski-la-coexistence-incarnee
- Marc de Boni, « Pour Jean-Luc Mélenchon, Vladimir Poutine est «une victime politique» », Le Figaro, (ISSN 0182-5852, lire en ligne, consulté le )
- RMC, « Michèle Rivasi: « Tchernobyl, c'est le premier gros mensonge de l'Etat » », RMC, (lire en ligne, consulté le )
- « Michèle Rivasi, 44 ans, bête noire du lobby nucléaire, fait son entrée en politique, adoubée par le PS et les écologistes. Le rose et le vert », Libération.fr, (lire en ligne, consulté le )
- « Les survivants de Tchernobyl », Le Monde diplomatique, (lire en ligne, consulté le )
- Yves Renaud, « GAZETTE NUCLEAIRE », sur gazettenucleaire.org (consulté le )
- « L'énergie nucléaire en Europe : union ou confusion ? », sur www.senat.fr (consulté le )
- « Cette guerre du Golfe qui a laissé des traces », ladepeche.fr, (lire en ligne, consulté le )
- « Comptes rendus de la Délégation de l'Assemblée nationale pour l'Union européenne : Réunion du jeudi 12 octobre 2000 à 9 heures », sur www.assemblee-nationale.fr (consulté le )
- « Comité de parrainage – Coordination pour l'éducation à la non-violence et à la paix », sur education-nvp.org (consulté le )
- Erreur de référence : Balise
<ref>
incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nomméesecolopedia 3342
- Anne-Charlotte Dusseault, « L'Inconnue qui pense devenir présidente écolo », Le JDD, 23 octobre 2016.
- Site officiel de Nuclear Transparency Watch
- Jonathan Parienté et Maxime Vaudano, « Fausses factures de l'UMP : ce que l'on sait du dossier Bygmalion », Le Monde.fr, (ISSN 1950-6244, lire en ligne, consulté le )
- « L'union populaire républicaine en marche », Ouest-France.fr, (lire en ligne, consulté le )
- « Jacques Charpentier veut " revaloriser les gens " », La Nouvelle République, (lire en ligne, consulté le )
- « Lozère: l’Union populaire républicaine en campagne », sur MidiLibre.fr (consulté le )