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l'oboe d'amore (le hautbois d'amour).
Bach les a utilisés (pour Messe en si mineur, Magnificat, Oratorio de Noël) pour ainsi varier les timbres[1].
Les Hautbois plus graves sont apparus vers 1720[1].
- Sven Kruckenberg (trad. Claude Dovaz), L'Orchestre symphonique et ses instruments, Paris, Siri Reuterstrand_GRÜND, , 236 p. (ISBN 2-7000-1990-3), Page 137
Le piccolo
Il sonne un octave plus haut et sa tessiture est presque aussi étendue: un peu moins de trois octaves et demi.
On peut le confondre avec le fifre militaire.
Il est apparu vers la fin du XVIIe siècle mais le terme "flauto piccolo" est antérieur: pendant l'époque baroque et jusqu'à celle de Mozart, il désigne la flûte à bec soprano ou le petit flageolet (variété de flûte à bec).
Il fut introduit dans les orchestres d'opéra par Gluck[1].
- Sven Kruckenberg (trad. Claude Dovaz), L'Orchestre symphonique et ses instruments, Paris, Siri Reuterstrand_GRÜND, , 236 p. (ISBN 2-7000-1990-3), Page 131