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Rosny-sur-Seine modifier

Géologie et relief modifier

Géologie modifier

La commune se situe dans le sud du Bassin parisien, le plus grand des trois bassins sédimentaires français. Cette vaste dépression, occupée dans le passé par des mers peu profondes et des lacs, a été comblée, au fur et à mesure que son socle s’affaissait, par des sables et des argiles, issus de l’érosion des reliefs alentours, ainsi que des calcaires d’origine biologique, formant ainsi une succession de couches géologiques[1].

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant du Cénozoïque, l'ère géologique la plus récente sur l'échelle des temps géologiques, débutant il y a 66 millions d'années, et du Mésozoïque, anciennement appelé Ère secondaire, qui s'étend de −252,2 à −66,0 Ma. Les plus anciennes sont : Craie marneuse à Inoceramus labiatusl’époque Crétacé supérieur de la période Crétacé. Les plus récentes sont : Colluvions polygéniques, éboulis, remontant à l’époque Holocène de la période Quaternaire. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « n°151 - Mantes-la-JoliedesYvelines[2],[3] et sa notice associée.

Fichier:78531-Rosny-sur-Seine-géologie.png
Carte géologique de la commune.
Ère Période Époque Nature des sols
Cénozoïque Quaternaire Holocène
CE  : Colluvions polygéniques, éboulis
CF  : Colluvions de versant et de fond de vallon
LP  : Limon des plateaux
Fz  : Alluvions récentes : limons, argiles, sables, tourbes localement
Pléistocène
Fy  : Alluvions anciennes (basse terrasse de 0-10 m) : sables et graviers, colluvions, alluvions et apports éoliens
Fx-y  : Alluvions anciennes (moyenne à basse terrasse indifférenciées)
Néogène Pliocène
Rc  : Argiles à silex (Tertiaire à actuel)
PL  : Formation détritique des plateaux : Sables de Lozère, Sables de Sologne (Méréville)
Miocène  non présent
Paléogène Oligocène  non présent
Éocène
Paléocène  non présent
Mésozoïque Crétacé
C5Cr-BE  : Craie blanche à silex à Belemnitella
C4M  : Craie à Micraster coranguinum
C2  : Craie marneuse à Inoceramus labiatus
Jurassique  non présent
Trias  non présent

Relief modifier

La superficie cadastrale de la commune publiée par l’Insee, qui sert de références dans toutes les statistiques, est de 19,36 km2[4],[Note 1]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 19,21 km2[3]. L'altitude du territoire varie entre 17 m et 144 m[7].


Blaru modifier

Géologie et relief modifier

Géologie modifier

La commune se situe dans le sud du Bassin parisien, le plus grand des trois bassins sédimentaires français. Cette vaste dépression, occupée dans le passé par des mers peu profondes et des lacs, a été comblée, au fur et à mesure que son socle s’affaissait, par des sables et des argiles, issus de l’érosion des reliefs alentours, ainsi que des calcaires d’origine biologique, formant ainsi une succession de couches géologiques[1].

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant du Cénozoïque, l'ère géologique la plus récente sur l'échelle des temps géologiques, débutant il y a 66 millions d'années, et du Mésozoïque, anciennement appelé Ère secondaire, qui s'étend de −252,2 à −66,0 Ma. Les plus anciennes sont : Craie marneuse à Inoceramus labiatusl’époque Crétacé supérieur de la période Crétacé. Les plus récentes sont : Colluvions polygéniques, éboulis, remontant à l’époque Holocène de la période Quaternaire. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « n°151 - Mantes-la-JoliedesYvelines[8],[3] et sa notice associée.

Fichier:78068-Blaru-géologie.png
Carte géologique de la commune.
Ère Période Époque Nature des sols
Cénozoïque Quaternaire Holocène
CE  : Colluvions polygéniques, éboulis
CF  : Colluvions de versant et de fond de vallon
LP  : Limon des plateaux
Pléistocène
Ft  : Alluvions anciennes (terrasse de 65-80 m) : galets, graviers, sables et argiles
Néogène Pliocène
PL  : Formation détritique des plateaux : Sables de Lozère, Sables de Sologne (Méréville)
Miocène  non présent
Paléogène Oligocène
g1SA  : Calcaire de Sannois et Argile verte
Éocène
e6MOD  : Sables de Monceau, Sables d'Argenteuil et Calcaire de Saint-Ouen
Paléocène  non présent
Mésozoïque Crétacé
C4M  : Craie à Micraster coranguinum
C2  : Craie marneuse à Inoceramus labiatus
Jurassique  non présent
Trias  non présent

Relief modifier

La superficie cadastrale de la commune publiée par l’Insee, qui sert de références dans toutes les statistiques, est de 14,84 km2[9],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 15,06 km2[3]. L'altitude du territoire varie entre 50 m et 152 m[12].

Milly-la-Forêt modifier

Géologie et relief modifier

Géologie modifier

La commune se situe dans le sud du Bassin parisien, le plus grand des trois bassins sédimentaires français. Cette vaste dépression, occupée dans le passé par des mers peu profondes et des lacs, a été comblée, au fur et à mesure que son socle s’affaissait, par des sables et des argiles, issus de l’érosion des reliefs alentours, ainsi que des calcaires d’origine biologique, formant ainsi une succession de couches géologiques[1].

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant du Cénozoïque, l'ère géologique la plus récente sur l'échelle des temps géologiques, débutant il y a 66 millions d'années. Les plus anciennes sont : Calcaire de Brie stampien et meulières plio-quaternaire indifférenciées, remontant à l’époque Oligocène de la période Paléogène. Les plus récentes sont : Colluvions polygéniques, éboulis, remontant à l’époque Holocène de la période Quaternaire. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles « n°257 - Etampes » et « n°258 - Melun » de l'Essonne[13],[3] et leurs notices associées.

Carte géologique de la commune.
Ère Période Époque Nature des sols
Cénozoïque Quaternaire Holocène
CE  : Colluvions polygéniques, éboulis
CF  : Colluvions de versant et de fond de vallon
OE C  : Loess calcaire, limon calcaire
LP  : Limon des plateaux
Fz  : Alluvions récentes : limons, argiles, sables, tourbes localement
Pléistocène  non présent
Néogène Pliocène  non présent
Miocène  non présent
Paléogène Oligocène
g1ME  : Faciès marneux du Calcaire d'Etampes
g1CE  : Calcaire d'Etampes (Essonne), meulières, marnes, Calcaires du Gâtinais
g1GF  : Grès de Fontainebleau en place ou remaniés (grésification quaternaire de sables stampiens dunaires)
g1SF  : Sables de Fontainebleau, accessoirement grès en place ou peu remanié (versant)
g1CB  : Calcaire de Brie stampien et meulières plio-quaternaire indifférenciées
Éocène  non présent
Paléocène  non présent

Relief modifier

La superficie cadastrale de la commune publiée par l’Insee, qui sert de références dans toutes les statistiques, est de 33,8 km2[14],[Note 3]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 33,69 km2[3]. L'altitude du territoire varie entre 60 m et 135 m[17].

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[5],[6]
  2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[10],[11]
  3. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[15],[16]

Références modifier

  1. a b et c « Histoire géologique du Bassin parisien », sur le site du Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie (consulté le ). Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : le nom « BasPar » est défini plusieurs fois avec des contenus différents.
  2. « Carte géologique de Rosny-sur-Seine » sur Géoportail (consulté le 13 juin 2022).
  3. a b c d e et f « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Rosny-sur-Seine », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le ) Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : le nom « SIGES » est défini plusieurs fois avec des contenus différents.
  4. Insee, « Comparateur de territoire - Commune des[[Yvelines]] », sur le site de l'Insee (consulté le )
  5. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le )
  6. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le )
  7. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com
  8. « Carte géologique de Blaru » sur Géoportail (consulté le 13 juin 2022).
  9. Insee, « Comparateur de territoire - Commune des[[Yvelines]] », sur le site de l'Insee (consulté le )
  10. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le )
  11. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le )
  12. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com
  13. « Carte géologique de Milly-la-Forêt » sur Géoportail (consulté le 12 juin 2022).
  14. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de l'[[Essonne (département)|Essonne]] », sur le site de l'Insee (consulté le )
  15. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le )
  16. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le )
  17. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com