Utilisateur:Pradala/Reva Stone

Reva Stone (né en 1944) est un artiste canadien connue pour ses œuvres numériques.[1] [2] [3]Le travail de Stone explore comment la technologie change le relation entre les humains et notre environnement, et comment ces relations ont le potentiel de façonner notre avenir.[4] Elle fusionne les concepts de l'art de la performance, rendu populaire dans les années 1960, avec imagerie numérique et autres formes modernes d'expression. Comme l'une des premières femmes être impliqué dans la arts des nouveaux médias au Canada, ses projets d'envergure influencé de nombreux artistes elle a encadré.

Début de carrière

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Pierre graduée de l'Université du Manitoba en 1985.[5] En école d'art, elle a commencé comme peintre, "mais ça n'a pas duré longtemps" (selon Stone). Beaucoup de milieu et de fin Philosophes du XXe siècle et des artistes dont le travail est centré autour de la collision de l'art, la science et l'humanité ont inspiré Stone. Elle a commencé à travailler sur les pièces interactives en 1989, après les encouragements de Richard Dyck, un compatriote de Winnipeg, artiste axé sur la technologie, et la pièce Legacy est née.[6] Legacy, terminé en 1993, est une chambre d'enfant, un mur représentant une fille stéréotypée et l'autre représentant un garçon stéréotypé, explorer les rôles de genre des jeunes enfants. Le spectateur peut interagir avec l'installation par un jeu d'ordinateur qui crie "Viens jouer avec moi," mendier pour interaction humaine.

Travail

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Depuis le début des années 1990, Stone s'est concentré presque exclusivement sur interactif, basé sur la technologie formes d'art, utilisant la technologie isoler et explorer spécifique propriétés de l'homme vivre. Notamment, elle a fait travailler avec " le misogyne monde des jeux vidéo, les effets disciplinaires de la science médicale, la stimulation de intelligence humaine et affecter dans robotique, et le visuel modélisation de molécules de protéines."

Son, "pièce la plus ambitieuse" (selon Robert Enright) est l'expression imaginaire, qui est apparu dans une exposition vedette à la Winnipeg Art Gallery en 2004.[7] Dans ce morceau, elle a façonné des parties de son propre corps (cheveux, peau, doigts) en molécules de protéines projetées sous forme d'images animées sur un écran 9' x 48'. La pierre voit Expression imaginaire comme une forme visuelle de Potentiel pour "re-cartographie et réingénierie génétiques."

Carnaval 3.0, terminé 2002, reflète la conscience humaine en prenant des photos des téléspectateurs dans la galerie qui sont soit stockés, soit "oublié" comme moyen pour simuler la mémoire humaine. La figure du robot est inspiré d'une photo de Stone, elle-même, en tant que jeune fille. Ce choix était très intentionnel, selon Pierre, et tentatives de travaux contre la "l'image de la femme dans la cyberculture."

corps sensible, 1998, utilise le propre désincarné de Stone respiration assortie images d'eau et de sable "pour réaliser à la fois et dématérialiser l'existence du corps" (selon Enright). La pierre a été mise en vedette dans de nombreuses expositions personnelles ainsi que de nombreuses expositions collectives. Elle est également à l'honneur dans six collections publiques partout au Canada et aux États-Unis.

Récompenses et reconnaissances

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Stone a été intronisé à l'Académie royale des arts du Canada en 2007.[8] Carnevale 3.0 a été reconnu par Life 5.0, Concours International Art & Vie Artificielle, Fondation Telefónica à Madrid, Espagne avec une mention honorable. En 2015, elle a reçu un Prix du Gouverneur général en arts visuels et médiatiques.[9]

Références

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  1. « Artist/Maker Name "Stone, Reva" » [archive du ], sur Canadian Heritage Information Network, Government of Canada (consulté le )
  2. James Adams, « Eight Canadian visual and media artists win Governor-General Awards » [archive du ], sur The Globe and Mail (consulté le )
  3. « Curriculum Vitae » [archive du ], sur Reva Stone (consulté le )
  4. (en) Amy Karlinsky, Reva Stone: Displacement, Canada, The Winnipeg Art Gallery, , 15–21 p.
  5. « Reva Stone » [archive du ], CCCA (consulté le )
  6. (en) Robert Fulford, « 'Issues art' thrives in a vacuum », The Globe and Mail (Canada),‎
  7. Enright, Robert, « The Incredible Lightness of Machines: an interview with Reva Stone » [archive du ], Border Crossings, (consulté le )
  8. « Cross-section of artists lauded » [archive du ], The Windsor Star, (consulté le )
  9. « Reva Stone » [archive du ], sur Governor General's Award, Canada Council for the Arts (consulté le )