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Le terme de Relaxation psychosomatique singularise la méthode du Docteur [[Marcel Rouet]] ; ce fut le premier ouvrage lui ayant été consacré et dont la première édition fut publiée en 1962, après qu’un manuscrit concernant ces mêmes méthodes, mais relatives aux obésités et cellulites d’origine psychique, ait été déposé à la Société des Auteurs le 17 novembre 1942, ce qui assure incontestablement à la méthode la paternité en ce domaine. Méthode de Relaxation et de Suggestion Psychosomatique déposée à la S.P.A.D.E.M. sous le numéro 2 317.[1]

Une méthode révolutionnaire

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Les ressources du subconscient

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La relaxation psychosomatique se singularise d’abord par des techniques qui apparurent dès 1960 révolutionnaires. C’est à cette période que les médecins découvraient la relaxation dont Marcel Rouet avait fait état en 1936 dans son ouvrage Santé et Beauté Plastique Dans le milieu médical, la méthode en application et la méthode autogène de Johannes Heinrich Schultz (1884 – 1970), d’origine allemande. Mais les médecins rencontrent beaucoup de difficultés dans l’application et connaissent de ce fait bien des déboires, par suite de l’inconstance des sujets dont les progrès sont extrêmement lents.[2]

Mais le véritable obstacle de la thérapie autogène de Johannes Heinrich Schultz réside dans la conception méthodologique de sa méthode, dite autoconcentrative. Celle-ci a pour but de conduire à certains états, par l’intermédiaire d’une authentique concentration. Or, par définition le sujet qui a besoin de réduire ses tensions est un nerveux ; il a par conséquent beaucoup de mal à fixer son attention et ne parvient pas à se concentrer. Ce n’est donc pas aux facultés conscientes qu’il fallait s’adresser.

Rompu aux techniques de l’hypnose, connaissant les étonnantes ressources du subconscient, Marcel Rouet s’écarte de ces principes, ne faisant aucunement appel à la concentration et à la volonté. Il recherche un état voisin de l’hypnose, effaçant le conscient afin d’imprégner le subconscient de formules dont la résurgence dans le conscient modifierait ensuite le comportement. Il s’emploie donc à rendre possible l’application. Les ressources de la technique allaient le permettre.

Une synthèse méthodologique

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La relaxation psychosomatique est une synthèse des méthodes hindouistes, des techniques d’isolement et de dédoublement des occultistes, ainsi que des étonnantes possibilités de l’hypnose. D’autre part un appareillage conçu pour l’application de la méthode permet d’éliminer tous les inconvénients que l’on pouvait reprocher à l’hypnose et de faire passer cette pratique du domaine de l’empirisme à celui de l’application scientifique.[3] Les fondements de la méthode de relaxation psychosomatique sont très différents des méthodes autoconcentratives, dont la thérapie autogène, en voici les grandes directives :[4]

  • Elle s’adresse au subconscient pour forger des réflexes conditionnés de détente neuromusculaire.
  • Elle procède ensuite de la prise de conscience qui se trouve facilitée par les mécanismes ainsi créés. La relaxation s’opère ainsi en fin d’éducation, globalement par simple commande volontaire
  • Elle procède à une détente topographique graduellement accélérée pour arriver à une détente instantanée musculaire et psychique en fin de cure
  • Elle recherche le vide mental comme préambule aux suggestions de sommeil qui effacent plus ou moins le conscient
  • Elle permet de se détendre et de parvenir à l’hypnose fruste par induction post-suggestive.
  • Elle développe les facultés volontaires en état d’hypnose fruste par suggestion et post-suggestion
  • Elle effectue la prise de conscience que lorsque le sujet est devenu apte par l’éducation réflexe à se détendre en quelques instants.
  • Elle enseigne l’introspection et le contrôle intra-organique en l’état d’auto-hypnose au cours des deux dernières séances de la cure
  • Elle procède à la résurgence de la conscience qui provoque l’éveil par des suggestions de bien-être, de dissipation de la fatigue, d’euphorie et de besoin dynamique.

Une technologie avancée

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Des enregistrements adaptés

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Marcel Rouet associe des sons et musiques spécifiques à l’enregistrement de paroles. Il fait composer par le grand compositeur Jean Yatove (1903 – 1978) des musiques qui devaient être inconnus du sujet (pour éviter que les mélomanes soient pris par l’audition d’un musicien préféré), cela réduisant d’après lui l’impact de la suggestion parlée sur le subconscient. Les musiques devaient donc être inconnues du sujet, fragmentées et renouvelées en des termes courts et bien adaptés sans susciter un intérêt passionné. Elles ne devaient qu’éveiller certains états d’âmes dans le subconscient, renforçant la suggestion sans la nuire, en ne s’adressant qu’à l’inconscient.[5]

Des moyens techniques exclusifs

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Marcel Rouet crée un appui-nuque à bas-parleurs qui présente l’intérêt de soutenir parfaitement la région cervicale. Le corps se trouvant ainsi placé comme il convient pour détendre la nuque et éviter l’ensellure compensatrice que ne manque pas de produire la position à plat. Ce dispositif, le Relaxophone, est immédiatement adaptable à n’importe quel fauteuil de relaxation.

Pour la première fois au monde, Marcel Rouet innove en associant la respiration complète et rythmée à la relaxation au cours des premières minutes d’audition. Après une initiation directe, les mouvements respiratoires sont guidés par l’enregistrement, le sujet percevant le temps de l’inspir et le souffle de l’expir pendant les directives qu’il auditionne.

Il innove encore en associant les inhalations d’oxygène, la notion de prâna et la relaxation dans son concept baptisé Pranoxygéno-relaxation. C’est l’oxygénation ou oxygénothérapie en applications médicales. Il conçoit un dispositif qui permet des inhalations d’oxygène délivré avec un manodétenteur relié à une bouteille d’oxygène, pendant la première phase de la séance de relaxation psychosomatique. Comme la respiration complète est guidée, le sujet bénéficie pleinement de cette application qui dure 8 à 10 minutes. Toutefois certaines séances intercalaires peuvent être consacrées à la suroxygénation et à la désintoxication, par exemple dans le cas de tabagisme. Egalement en Amaigrissement psychosomatique et en Reconditionnement psychophagique concernant la cellulite ; l’épuration du milieu intérieur n’en sera que plus rapide.

Des applications spécifiques

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Marcel Rouet complète sa méthode de relaxation et de suggestion psychosomatique par des méthodes spécifiques élaborées pour vaincre l’insomnie, lutter contre l’asthénie, préparer aux méthodes d’accouchement sans douleur, libérer l’homme ou la femme des complexes et inhibitions d’origine sexuelle, apporter une aide efficace à la lutte contre l’alcoolisme et le tabagisme, etc.

Ces applications se font dans des centres diversifiés, les Psycho-Center, et par des médecins, des kinésithérapeutes, des psychologues, etc. Egalement, en association avec les soins d’esthétique corporelle en Institut de beauté, dans le domaine qui leur est spécifique, le rajeunissement et l’entretien de la ligne féminine. Il met également au point à l’usage des spécialistes voulant exercer une action directe par l’hypnose, sa méthode d’Hypnophorèse.

La science de la relaxation

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Des connexions étroites

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La science de la relaxation est vieille comme le monde. Du temps de Confucius (551 av. J.C.- 479 av. J.C.), la méditation devait s’effectuer dans le recueillement et le silence le plus absolu. Les yogis de l’Inde, les lamas du Tibet pratiquent la relaxation. On affirme que Napoléon Bonaparte (1769 – 1821), épuisé par les fatigues des campagnes militaires, se retirait sous sa tente et se relaxait au milieu du bruit de la bataille. Un quart d’heure après cet isolement, il était à nouveau dispos, le cerveau lucide.[6]

La relaxation nous apprend à nous reposer à volonté. Elle peut se définir en ces termes : la libération de la tension mentale par le relâchement de la tension physique. Elle consiste à supprimer tout mouvement, involontaire, à relâcher la musculature, à abolir toute tension, à ne plus penser, ce qui est plus difficile qu’il ne paraît. Le tourbillonnement d’idées disparu, la détente musculaire élargit la respiration, le sang circule mieux, les tissus mieux nourris, travaillent sans fatigue, les tics, les crispations disparaissent, l’équilibre revient, la mémoire est rafraîchie, la force se reconstitue. Toute une gamme d’exercices pratiques permet d’obtenir les repos partiels ou complets et de recharger les nerfs. On raconte que Franz Liszt (1811 – 1886) avant des concerts, somnolait, s’affaissait sur sa chaise dans un demi-sommeil. Il se relaxait.[7]

Les psychiatres reconnaissent les étroites connexions qui relient le moral au physique et inversement. Personne ne songe à nier que certains états moraux peuvent à la longue donner naissance à des maladies graves. Dans la relaxation, le moral et le physique sont étroitement liés. Il faut par conséquent cultiver la science de la relaxation sur le double plan physique et moral, pour harmoniser ensuite ces deux aptitudes. Cette maîtrise apporte le pouvoir de s’isoler complètement, pouvoir qui constitue le premier jalon dans la voie du contrôle des organes et de l’énergie nerveuse.

Une approche originale

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Cette méthode originale semble apporter une solution aux problèmes que posait jusqu’ici la relaxation, tant sur celui de l’efficacité que sur celui de l’application professionnelle. En voici les grandes options confrontées avec les insuffisances et difficultés d’application de méthodes, dont les médecins eux-mêmes ont signalé les écueils :[8]

  • Une position du corps fonctionnelle : Importance extrême apportée aux appuis segmentaires, alors que la méthode du Training autogène de Johannes Heinrich Schultz recommande l’utilisation du lit d’examen.
  • Une éducation et une prise de conscience respiratoire préambulaire : Cette éducation peut ou non être associée à l’oxygénothérapie sous cockpit de sa conception. Elle ne fait pas que développer la capacité vitale ; elle opère la prise de conscience d’une fonction dont le contrôle conduit aux pouvoirs organo-psychiques.
  • Une méthode enregistrée : Les directives et les suggestions inductrices sont enregistrées sur un fond sonore (musiques et bruitages spécifiques)
  • Le principe des enregistrements : Outre le fond sonore, ils apportent les effets de la voix spécialement enregistrée pour obtenir une puissante action suggestionnante. C’est cette association et une structuration formelle de la méthode de relaxation psychosomatique qui explique la rapidité et la constance de ses effets.
  • La diffusion est confidentielle : Un appui-nuque spécial muni de bas-parleurs a été conçu par Marcel Rouet pour assurer la détente de la région cervicale. L’écoute est confidentielle et ne gêne pas l’environnement, même dans les applications de groupe.
  • Principes de la méthode : Dans la majorité des cas, la relaxation psychosomatique s’adresse à des sujets au seuil du surmenage ou de la dépression nerveuse : qui sont par conséquent incapable de se concentrer. C’est ce qui explique la longueur, voire les échecs des méthodes autoconcentratives. La relaxation psychosomatique dans sa phase initiale ne requiert aucune attention du sujet ; afin de favoriser l’accès au subconscient. Ce n’est que lorsque les réflexes conditionnés de détente se sont développés – après 7 à 10 séances – qu’intervient la prise de conscience. C’est avec les effets de la suggestion enregistrée, ce qui différencie la méthode et en assure la prééminence.
  • La présence du praticien n’est pas indispensable : la méthode étant enregistrée libère le spécialiste pour d’autres soins ou applications. On observe que la déconnexion du conscient s’opère beaucoup plus facilement hors la présence du praticien relaxologue.
  • Les effets observés : Ils sont éloquents ; la relaxation psychosomatique, en tant que discipline régulière, se trouve maîtrisée en des cures de 12 à 15 séances. La relaxation psychosomatique – également appliquée par des médecins – apporte une importante contribution aux traitements médicaux. Nombre d’affections, dites fonctionnelles, sont souvent guéries sans recherche thérapeutique particulière, du seul fait de la détente nerveuse qui régule le sympathique.

Une médication naturelle

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Depuis Claude Galien (129 – 216), Pline l’Ancien (23 – 79), Dioscoride (20/40 – 90), sans oublier Hippocrate (460 – 377 av. J.C), les hommes se sont penchés sur les remèdes naturels pour guérir les maladies dont le corps est affecté. Alors que les remèdes allopathiques frappent le mal brutalement pour tenter de l’anéantir, parfois sans discernement (c’est le cas avec les antibiotiques ou les sulfamides administrés à doses massives afin de compenser l’imprécision du diagnostic). Es-ce à dire que nous devons rejeter tout l’arsenal de la médecine allopathique ? Certainement pas. Mais nous ne devons pas nous laisser aller à la solution de facilité qui, consiste, par exemple, dans l’insomnie, à absorber chaque soir des drogues pour dormir, alors que la relaxation psychosomatique permet de retrouver le sommeil rapidement. Administrer des antibiotiques pour une rhinopharyngite, c’est assécher brutalement un catarrhe qui ressurgira sous une autre forme : abcès, eczéma suintant, écoulement hémorroïdaire, leucorrhée, etc. Puis quand l’existence sera en péril, qu’il s’agira de vaincre l’infection, antibiotiques et médications diverses seront moins efficaces.[9]

La relaxation psychosomatique en régulant les centres de la commande hypothalamique, équilibre tout le système neuro-endocrinien et par voie psychosomatique le viscéral, apportant une réponse prophylactique, et parfois curative. Sa maîtrise est destinée à constituer un bouclier contre les états névrotiques et les maladies psychosomatiques. L’harmonie organique repose sur les trois piliers suivants : l’équilibre émotionnel – l’équilibre végétatif – l’équilibre hormonal. Un seul vient-il à se détraquer, cela retentit sur les autres et ainsi se trouve rompue cette harmonie qui se résume dans cet état vulnérable qu’est la santé.[10]

Les disciplines physiques

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Une autre conception, des disciplines physiques, s’inspire de l’orientalisme culturel pour en faire une sorte de yoga occidental adapté aux conditions du milieu, vient renforcer les méthodes de culture physique de Marcel Rouet, c’est la kinélaxie.[11]

La kinélaxie (terme innové par Marcel Rouet) comprend quatre grandes classes de disciplines : la surrespiration, l’élongation, l’exercice relaxant et la relaxation proprement dite. L’influence des quatre catégories d’exercices sur la beauté est considérable :

  • La surrespiration épure le sang, oxyde les graisses superflues, élimine la cellulite
  • La relaxation évite les rides précoces, fait disparaître les crispations tissulaires de la cellulite, en apaisant le système nerveux
  • L’élongation favorise la circulation, décontracte, lutte contre les mauvaises attitudes
  • Les exercices relaxants en mobilisant doucement tous les muscles, assouplissent et réveillent les énergies endormies.

Beaucoup de personnes ne pouvant être soumises à des exercices intensifs, la culture physique dépassant le seuil de leurs forces nerveuses et musculaires, trouvent dans ces quatre classes de disciplines une transition entre une atonie de tous les mécanismes organiques et une culture physique qui peut être dangereuse si elle est mal dosée. Cette méthode permet, tout en procurant un parfait contrôle de soi, de développer suffisamment les formes pour réaliser une éducation physique et sportives normales.

L'aspect occulte de la relaxation

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Les lois universelles

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La relaxation psychosomatique ne consiste pas seulement dans l’apprentissage de la détente physique et morale, elle englobe tous les rouages de notre intellect, elle concerne le climat moral tout entier. Dans la pratique, elle ne se limite pas à certains exercices, elle demande au pratiquant à devenir le maître absolu de sa pensée. Pour régner sur l’esprit, elle apporte à la connaissance les lois qui nous gouvernent. Elle enseigne que pour vivre relaxé, il faut acquérir par une discipline particulière une certaine philosophie de la vie qui n’a que des rapports lointains avec l’enseignement orthodoxe de cette science.[12]

La connaissance même sommaire des lois de l’occultisme permet de mieux ordonner la pensée en apportant à l’adepte de la relaxe la lucidité de l’enchaînement des événements qui marquent les étapes de sa vie. Pour l’occultiste, la pensée est un acte, le vide n’existe pas. Il est en quelque sorte le centre et le prolongement d’un principe universel. La relaxation psychosomatique montre les rapports étroits qui existent entre la force pensée et l’enchaînement des faits qui conditionnent le destin individuel. La pleine relaxation dépend de la réussite de son destin. En apportant les connaissances qui permettent d’agir sur son destin, elle donne les moyens de vivre conformément à ses aspirations les plus légitimes, donc de vivre heureux.

La maîtrise du Moi

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La relaxation psychosomatique désigne une technique de détente neuromusculaire et psychique. La somation est obtenue par l’approche du subconscient en des états précurseurs nommaient l’hypnose frustre. Cette méthode développe tout l’éventail nécessaire des réflexes conditionnés. Ce n’est qu’après avoir obtenu cet automatisme, que le néophyte effectue une prise de conscience qui lui d’aborder sans obstacles l’auto-déconnexion en faisant intervenir les facultés conscientes.[13]

La relaxation n’est que l’A B C d’une maîtrise du moi dont les occultistes des civilisations les plus reculées, bien avant qu’on ne redécouvrit l’hypnose, utilisaient les pouvoirs infinis. En recherchant systématiquement à obtenir ces états par soi-même, on accède dans un domaine qui paraissait réservé de tout temps à quelques privilégiés.

La relaxation psychosomatique fond ainsi dans le même creuset les disciplines ancestrales qui allaient dans la maîtrise du corps et de l’esprit, bien au-delà des applications d’aujourd’hui, et les techniques actuelles qui ont levé le voile sur les rouages psychologiques.

Notes et références

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  1. Marcel Rouet, Manuel de relaxation psychosomatique et d’autohypnose, Editions Amphora, Paris, 1963, Chapitre II, p. 34.
  2. Marcel Rouet, Psychosomatique de la cellulite par l'hypnose, la relaxation, la sophrologie, Maloine S.A. Editeurs Paris , Paris, 1981, Troisième partie, Chapitre 9 p. 95.
  3. Marcel Rouet, Manuel de relaxation psychosomatique et d’autohypnose, Editions Amphora, Paris, 1963, Chapitre premier, p. 28.
  4. Marcel Rouet, Psychosomatique de la cellulite par l'hypnose, la relaxation, la sophrologie, Maloine S.A. Editeurs Paris , Paris, 1981, Troisième partie, Chapitre 9 p. 97-98.
  5. Marcel Rouet, Psychosomatique de la cellulite par l'hypnose, la relaxation, la sophrologie, Maloine S.A. Editeurs Paris , Paris, 1981, Troisième partie, Chapitre 9 p. 96.
  6. Marcel Rouet, La vie recommence à 40 ans, Editions N.O.E , Paris, 1972, Quatrième partie p. 173-174.
  7. Edmond Desbonnet, Relaxons-nous, La Culture Physique (40e année), juillet 1936, n° 555 p. 220. Enfants, nous appris quantité de choses vraiment indispensables. Nous avons compris sans peine l’importance ou la nécessité de l’éloquence, du travail, du savoir-faire. Il n’y a qu’une chose que personne n’ait jamais songé à nous enseigner, c’est l’art de se reposer. Cet art existe pourtant, même il porte un nom : relaxation
  8. Institut de Relaxologie Marcel Rouet, Cours d’Enseignement Professionnel de Relaxologie, Formation aux qualifications de Relaxologue, Hypnoticien(ne), Psycho-praticien(ne), Psycho-Relaxologue-Hypnoticien(ne), 1975, Paris, Septième leçon, P. 2. Pour Schultz, Jacobson, les sophrologues, l’attention, la volonté agissante, ou au moins l’attention expectante (sic), doivent intervenir pour détendre les muscles, pour procéder à la déconnection du mental.
  9. Vincent d’Auffrey, Guide pratique des plantes médicinales, Editions N.O.E, Paris, 1973, Avant-propos p. 8-9.
  10. Institut de Relaxologie Marcel Rouet, Cours d’Enseignement Professionnel de Relaxologie, Formation aux qualifications de Relaxologue, Hypnoticien(ne), Psycho-praticien(ne), Psycho-Relaxologue-Hypnoticien(ne), 1975, Paris, Quatrième leçon, P. 5. Les glandes endocrines sont particulièrement sensibles au déséquilibre nerveux. Toutes les glandes endocrines étant reliées entre elles, le déséquilibre de l’une retentit sur les autres. La thyroïde, les ovaires, les testicules, les surrénales, l’hypophyse (le foie également, glande à sécrétion interne) voient leurs fonctions se déséquilibrer. Comme elles président au fonctionnement de tous les systèmes organiques : musculaire, adipeux, sexuel, cérébral, etc., on comprend tous les troubles de la forme et de la santé que leur altération provoque.
  11. Marcel Rouet, Relaxez-vous, Beauté et Jeunesse par la Relaxation, Editions J. Oliven, Paris, 1958, Préface p. 7.
  12. Marcel Rouet, L’art de se relaxer- Le guide de la médecine, Editions de l’Acropole, Lyon, 1954, Chapitre I p. 4-5.
  13. Marcel Rouet, Manuel de relaxation psychosomatique et d’auto-hypnose, Editions Amphora, Paris, 1963, Préface p. 10. Ces techniques ouvrent à la médecine psychosomatique de nouvelles perspectives et reculent les bornes de la simple relaxation pour lui permettre de s’engager sur le domaine encore en friche de l’hypnose et de l’auto-hypnose expérimentales.

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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