Utilisateur:Sizito/Brouillon

Télécommunications

modifier
Logo d'Algérie Télécom.

En 2000, l'Algérie entame un processus de réforme et de libéralisation du secteur des télécommunications, avec la mise en place de l'Autorité de régulation de la poste et des télécommunications, la création d'Algérie Télécom et sa filiale Mobilis, et l'entrée des operateurs privés Djezzy et Ooredoo sur le marché.

En septembre 2023, le marché de la téléphonie mobile compte plus de 50,57 millions d’abonnés, reparties entre les trois opérateurs du secteur : Mobilis (22,11 millions d'abonnés), Djezzy (15,55 millions) et Ooredoo (12,91 millions). Quant à la téléphonie fixe on dénombre 6,14 millions d’abonnés.

AAPI

Tributs et présents obligatoires

modifier

La régence d'Alger imposait des tributs aux pays occidentaux en échange de la liberté de navigation dans le bassin occidental méditerranéen. Ces tributs étaient payées en numéraire ou en nature, généralement tous les deux ans, et on en distinguait deux sortes :

  • la lezma (arabe : اللازمة, l'obligatoire), redevance qui résultait d'une obligation expressément formulée dans un traité ;
  • les aoauïd (arabe : العوايد, les coutumes), redevances qui provenaient de la coutume,

texte

explanation of tribute (en) (fr) translation]


En outre, ces pays devaient périodiquement offrir au dey des présents obligatoires à chaque changement de consul, qui devait s'effectuer tous les deux ans à partir de 1764.

VALEUR MONNAIE SEQUINS VALEURS MONNAIE

comme le montre le tableau suivant[1],[2] : ADD THIS "tribut"+"régence+d'alger"&pg=RA2-PA5&printsec=frontcover ADD THIS THIS NEW ESPAGNE AUTRICHE ENGLAND :

valeurs tribut

présents obligatoires

MORE ABOUT PRESENTS

deux ans consul

1764 chaque deux ans presents

LOTS OF DATA Values, Lemza, types of tribute, etc.

venise sequins presents

Tributs et présents obligatoires imposés par la régence d'Alger au XVIIIe siècle et au début du XIXe siècle
État Valeur
Royaume d'Espagne Il paie 180 000 francs (14 000 000 réaux[3]) pour conclure la paix en 1785. Il contribue à hauteur de 12 000 piastres en 1807.
Royaume de Portugal Tribut annuel de 24 000 doubles piastres (240 000 francs), et des présents consulaires annuels de la valaur de 20 000 doubles piastres (200 000 francs)[4].

Il paie 1 470 000 francs et des présents annuels de 50 400 fr. pour conclure la paix en 1810[5].

Grand-duché de Toscane En vertu d'un traité conclu en 1823, elle n'est sujette à aucun tribut ; mais son consul est obligé de faire en arrivant un présent de 25 000 doubles piastres (l'équivalent de 250 000 francs).
Royaume des Deux-Siciles Tribut annuel de 24 000 doubles piastres (240 000 francs), et des présents consulaires annuels de la valaur de 20 000 doubles piastres (200 000 francs)[4].
République de Venise Elle paie 40 000 sequins barbaresques pour conclure la paix en 1763, en plus d'un tribut annuel de 10 000 sequins[6].
Royaume de Sardaigne Elle paie 216 000 francs pour conclure la paix en 1746, en plus d'un tribut annuel de 54 000 francs jusqu'à 1816[7].
Royaume de France Avant 1790, elle payait 37 000 livres, et après 1790, elle s'est engagée à payer 27 000 piastres (108 000 francs). Et en 1816, elle s'est engagée à payer 200 000 francs.

160 000 francs en présents obligatoires en 1811.

Royaume-Uni Il s'engage à verser 100 000 piastres (267 500 francs) en échange de certains privilèges.??
600 livres sterlings (150 000 francs) chaque mutation consulaire
États-Unis d'Amérique Elle a payé en 1795 la valeur de 1 000 000 de dollars, dont 21 600 dollars sous forme d'équipements en échange de privilèges spéciaux. En 1822, elle s'engage à payer 22 000 dollars.
Provinces-Unies Suit à un traité conclu en 1726 ils paient un tribut annuel en matériel de guerre (planches, poudre, boulets, cordages, etc.) d'une valeur d'environ 50 000 florins pour le reste du siècle[8], ainsi que des présents consulaires de plus de 30,000 livres.
Empire d'Autriche La valeur des redevances payées au cours de l'année 1807 est estimée à 200 000 francs. ?? Tribut 40 000 piastres / 20 000 francs
Royaume de Danemark
Royaume de Suède réduit à 108000 francs en 1791
Royaume de Norvège
Régence de Tunis Tribut annuel entre 1756 et 1807[9], composé de jarres d'huile, de montegue et de savon, ainsi que des présents, le tout d'une valeur de 150 000 francs ou 50 000 écus[10].


  • (ar) Nasreddine Saidouni, ورقات جزائرية: دراسات وأبحاث في تاريخ الجزائر في العهد العثماني [« Cahiers algériens : études et recherches sur l'histoire de l'Algérie à l'époque ottomane »], Alger, Dar el-Bassair,‎ , 2e éd. (1re éd. 2000), 534 p. (lire en ligne)
  • Thomas Shaw (trad. de l'anglais par Jacques Mac Carthy), Voyage dans la régence d'Alger : ou description géographique, physique, philologique, etc., de cet état, Paris, Chez Marlin, , 405 p. (lire en ligne)
  • Eugène Plantet, Correspondance des deys d'Alger avec la Cour de France, 1579-1833, Paris, Félix Alcan, , 619 p. (lire en ligne)
  • Louis-Antoine-Augustin Pavy, Appel de Monseigneur l'Evêque d'Alger en faveur de la chapelle et du pélérinage de Notre-Dame d'Afrique, Alger, Bastide libraire-editeur, , 79 p. (lire en ligne), p. 25




Rachid Tabti (en arabe : رشيد تابتي), parfois orthographié Rachid Thabti, né le 17 mai 1930 à Constantine et mort le en juillet 2009 à Alger, est un espion, boxeur, avocat et acteur algérien.

Il est connu pour avoir contribué a la nationalisation des hydrocarbures en Algérie en infiltrant des institutions souveraines françaises et en obtenant des documents secrets qui ont aidé la partie algérienne dans ses efforts.

Biographie

modifier

Rachid Tabti et né le 17 mai 1930 à Constantine au sein d'une famille aisée. Adolescent, il part poursuivre ses études secondaires en France chez son oncle Hussein Belaloufi. Une fois son baccalauréat décroché, il s’inscrit à la faculté de droit de l’université de Paris.



==================================
modifier

Le minaret d'Agadir est un minaret historique à Tlemcen, Algérie.

Histoire

modifier

Le minaret a été érigé par le sultan zianide Yaghmoracen Ibn Ziane vers l'an 1280, à l'emplacement de l'ancienne Grande Mosquée d'Agadir construite par Idris Ier en 790. De cette mosquée, il ne reste que quelques vestiges archéologiques, ainsi que le minaret.

Architecture

modifier

De forme quadrangulaire, haut de 26,60 m, il est composé d'un soubassement constitué de pierres de taille de six mètres de haut empruntées aux édifices romains de l'ancienne Pomaria. Des inscriptions latines sont encore visibles sur certaines de ces pierres. Au-dessus se dresse une tour en briques dont les quatre façades se voient rythmées de faibles défoncements garnis d'arcatures et de réseaux. On y distingue les petites ouvertures destinées à éclairer l'escalier. Sur la plate-forme d'où le muezzin lançait l'appel à la prière, les quatre faces du lanternon qui couronne l'ensemble présentent un décor de réseau losangé. Des arcs à festons et un encadrement de zellige vert terminent le tout.








Farid Ali (singer)


https://books.google.dz/books?id=eUUhBQAAQBAJ&pg=PT137&dq=azzaba&hl=en&sa=X&ved=2ahUKEwiozvm4pdP7AhWdTaQEHc8XAesQ6AF6BAgJEAI#v=onepage&q=azzaba&f=false

https://www.atmzab.net/index.php?option=com_content&view=article&id=1299&Itemid=586

https://www.asjp.cerist.dz/en/downArticle/90/25/1/143832

https://www.persee.fr/doc/rfsp_0035-2950_2003_num_53_1_395688

Expédition d'Alger
en 1516

Informations générales
Date 30 septembre 1516
Lieu Alger
Issue Victoire de la régence d'Alger
Belligérants
Régence d'Alger Espagne
Commandants
Arudj Barberousse Diego de Vera
Forces en présence
1 500 hommes entre 7 000 et 15 000 hommes
Pertes
aucunes 3 000 morts ou blessés
400 capturé

L'expédition d'Alger de 1516, est une opération de débarquement menée par l'Empire espagnol pour renverser la présence ottomane à Alger.

L'émir d'Alger, Salim at-Toumi, est assassiné en 1516 par Arudj Barberousse qui s'empare du pouvoir. Les Espagnols craignent la montée en puissance des Barberousse et veulent les chasser d'Alger et les remplacer par le fils de l'émir assassiné, qui avait pris refuge chez eux.

L'expédition comprend 10 000 ou 15 000 troupes, tant que les forces d'Arudj ne comprennent que 1 500 hommes.

En 1516, la flotte d'invasion met le cap sur Alger. Cependant, une tempête fait échouer la flotte en cours de route. Lorsque les survivants atteignent Alger, ils sont facilement mis en déroute par les forces de Barberousse.

Les Espagnols subissent des pertes de 3 000 tués ou blessés et 400 capturés.

Eugène Daumas et Georges Yver, Les correspondances du Capitaine Daumas, consul de france à Mascara: 1837-1839, Alger, Editions el Maarifa (réimpr. 2008) (1re éd. 1912), 640 p. (ISBN 978-2013423021, lire en ligne), p. 102


Expedition to Mostaganem (1547)

  1. Saidouni 2009, p. 140-141
  2. Shaw 1830, p. 210-212
  3. [1]
  4. a et b Vincent-Yves Boutin, Apercu historique statistique et topographique sur l'Etat d'Alger, Paris, Ch. Picquet, , 238 p. (lire en ligne), p. 223.
  5. Pavy 1862, p. 25
  6. Louis Piesse, Itinéraire historique et descriptif de l'Algérie, comprenant le Tell et le Sahara, Paris, L. Hachette, , 735 p. (lire en ligne sur Gallica), p. 25
  7. Pavy 1862, p. 29
  8. (en) Magnus Ressel, « The Dutch-Algerian War and the Rise of British Shipping to Southern Europe (1715-1726) », Cahiers de la Méditerranée, no 90,‎ , p. 237-255 (DOI 10.4000/cdlm.8011, lire en ligne, consulté le ).
  9. (en) Bethwell Allan Ogot, Africa from the Sixteenth to the Eighteenth Century, California, James Currey Publishers, , 491 p. (ISBN 9780852550953, lire en ligne), p. 131
  10. Jean Michel de Venture de Paradis, Alger au XVIIIe siècle, Alger, E. Fagnan, , 178 p. (lire en ligne sur Gallica), p. 141