Utilisateur:Steven De Oliveira/Brouillon

Wolfenstein
The New Order

Développeur
Éditeur
Compositeur
Mick Gordon

Date de sortie

INT :

Genre
Mode de jeu
Plate-forme
Ordinateur(s) :
Console(s) :

Langue
Moteur

Évaluation
ESRB : M ?
PEGI : 18 ?

Wolfenstein: The New Order est un jeu de tir à la première personne sorti le , développé par MachineGames et édité par Bethesda Softworks. Il utilise également le moteur de jeu id Tech 5 conçu par id Software.

L'action de Wolfenstein: The New Order se déroule en Europe dans les années 1960, dans un univers uchronique où les Nazis ont remporté la Seconde Guerre mondiale et conquis le monde entier. Le joueur incarne un ancien soldat américain nommé William « B.J. » Blazkowicz qui, avec le soutien d'un groupe de résistants, se donne pour mission de renverser le régime nazi.

Wolfenstein: The New Order est la suite du jeu Wolfenstein, sorti en 2009.

Trame modifier

Univers modifier

Wolfenstein: The New Order prend place en 1960, dans un monde uchronique où la Seconde Guerre mondiale est remportée non pas par les Alliés, mais par les Nazis. Cet univers est le résultat d'évènements fictifs décrits dans le jeu.

Durant la Seconde Guerre mondiale, l'armée allemande découvre l'existence d'une société secrète fictive, la « Da'at Yichud », détentrice de connaissances et de technologies très avancées[c 1]. Ses membres sont capturés et forcés de partager leurs travaux avec ceux qu'ils considèrent comme leurs ennemis, et ce malgré les efforts qu'ils effectuent pour contacter les forces armées alliées[c 2]. Ainsi, le savoir accumulé au fil du temps par la Da'at Yichud couplé aux recherches de l'ingénieur Wilhelm Strasse, ministre de l'armement du Troisième Reich[pas clair], permettent aux Nazis d'obtenir une supériorité technologique, au grand dam des Alliés[c 3],[c 4],[c 5]. Cette supériorité se caractérise par la création de « Super-soldats » et de « Panzerhunds ». Les premiers sont des soldats génétiquement modifiés par Strasse pour les rendre plus puissants et les seconds sont des bergers allemands dont le corps a été renforcé par un alliage de métal[c 6],[c 7]. Le 16 juillet 1946, une dernière tentative désespérée des Alliés destinée à retourner la situation en leur faveur se solde par un cuisant échec, provoquant la défaite des États-Unis trois ans plus tard[n 1],[c 8].

Au sortir de la guerre, les forces de l'Axe mettent en place leur impérialisme : fortes des connaissances techniques obtenues, elles inventent un matériau nouveau de couleur blanche qu'ils nomment « super-béton ». Il leur permettent de construire rapidement des villes nouvelles à partir d'autres qu'ils ont détruites, telles que Pékin[c 9]. Le super-béton sert ainsi de matériau de base à la construction de tous les bâtiments publics[c 10]. Toujours sur le plan technologique, les Nazis amorcent la conquête lunaire dès 1956, en créant sur l'astre lunaire une base d'expérimentation[c 11]. Les expérimentations en question sont essentiellement tournées vers la conception de nouvelles armes. De nouvelles versions de Super-soldats y sont ainsi développées[réf. nécessaire].

Mais la domination de ces derniers n'est pas que militaire ou technologique, elle est également culturelle. La musique est notamment contrôlée par le biais d'un producteur musical appartenant aux Nazis, le « label Neumond ». Il propose l'intégralité de la musique vendue dans le monde, qu'elle soit patriotique ou bien dans l'air du temps[c 12],[c 13]. Néanmoins, ce label discographique impose toutefois l'utilisation de l'allemand dans les textes des artistes qu'il produit, la langue anglaise étant considérée comme une « langue morte »[c 14].

Le schéma de perfection aryenne imaginé par Adolf Hitler est appliqué à l'échelle mondiale. Il oblige la population à respecter un code strict et encourage la délation, notamment en terme de sexualité[c 15]. Les individus ne respectant pas ce schéma sont faits prisonniers dans des camps de concentration, un concept imaginé dès la Seconde Guerre mondiale et toujours en vigueur en 1960[n 2].

Personnages modifier

Le joueur incarne le personnage de William Joseph Blazkowicz, dit « B.J. », un ancien soldat américain sortant d'un coma de quatorze ans provoquée suite à une blessure durant la Seconde Guerre mondiale, en 1947. Il avait été touché à la tête par des tirs de shrapnel en tentant de s'évader d'une prison avec ses camarades, Fergus Reid et le soldat Probst Wyatt III. Blazkowicz rencontre par la suite Anya Oliwa, une jeune infirmière polonaise travaillant dans un asile familial et dont il tombe amoureux.

  • Agent William Joseph "B.J." Blazkowicz : Personnage principal du jeu.
  • Anya Oliwa : Infirmière polonaise qui travaillait dans un asile tenus par ses parents. Après l’assassinat de ces derniers par les nazis, elle sera sauvée par Blazkowicz.
  • Irene Engel (information trouvée sur le site officiel de Wolfenstein) : Second antagoniste du jeu. Elle est la commandante du camp de travail de Belica en Croatie.
  • Wilhem Strasse : Également surnommé "Le Boucher". C'est l'antagoniste principal durant tous le jeu. C'est notamment lui qui a permis aux Nazis de gagner la seconde guerre mondiale grâce à ses inventions comme le super-soldat ou les Panzerhunds (sorte de chiens mécaniques).
  • Bubi: Antagoniste mineur du jeu. Il est le compagnon de Engel
  • Fergus Reid (à noter que le joueur peut faire un choix s'il le sauve de Strasse au début du jeu alors le soldat Wyatt sera tué à sa place) : Né en 1907 dans les Highlands d'Écosse, Fergus Reid a connu une vie relativement difficile ce qui lui a donné un sens plutôt cynique et sarcastique de la vie. Dans les années 1930, il trouve un travail dans la marine marchande mais la grande dépression a mis un terme à ses projets. Ce n'est qu'après avoir bu un certain nombre de verre qu'il s'engagea dans la R.A.F
  • Soldat Probst Wyatt III (peut être sauvé par le joueur, si ce dernier a choisi Fergus) : Né en 1928 aux États-Unis, Wyatt à d'abord étudié à l'université d'Harvard avant de s'engager dans les troupe aéroportées.
  • Friedrich Keller: Officier nazi qui ordonna l'exécution de tout les patients mentaux dans l’hôpital appartenant aux parents d'Anya Oliwa.
  • The Knife: Officier nazi travaillant dans le camp Belica. Il torture les prisonniers avec des couteaux pour le plaisir et pour obtenir aussi des informations
  • Caroline Becker: Chef du Kreisau Circle. Elle a survécu lors de sa dernière confrontation avec le général Strasse.

Histoire modifier

En 1946, Blazkowicz et un groupe de soldats Alliés lancent un assaut désespéré contre le château Deathshead pour stopper la production d'armes avancés qui peut mener les forces Alliés a la perte de la Seconde Guerre mondiale. Ayant presque réussi la mission, Blazkowicz échoue de détruire le complexe et tous les soldats Alliés furent massacrés par les forces de défense allemandes. L'échec de la mission provoque la chute des Alliés et la victoire des nazi de la Seconde Guerre mondiale. Plus tard en 1960, les nazis dominent la planète, le vétéran américain B. J. Blazkowicz se réveille, dans un asile, d'un coma découlant d'une blessure reçue lors d'une de ses missions passées. Il doit retourner la situation en s'attaquant aux forteresses et aux super-armes des nazis.

Système de jeu modifier

Généralités modifier

Armes modifier

  • Le Couteau de combat (le joueur peut prendre plusieurs couteaux pour faire des coups plus rapides et en lancer sur les Nazis, et en gardera un pour le corps-à-corps)
  • Le Pistolet de 1946, qui est calqué sur un Luger P08, un silencieux peut être monté sur cette arme
  • La Mitraillette, qui est calqué sur la Thompson (pistolet mitrailleur) et qui est seulement utilisable dans la première mission en 1946
  • Le Fusil d'assaut de 1946, qui est calqué sur le Stg 44, peut être manié en double si le joueur trouve un autre exemplaire de cette arme
  • Le pistolet de 1960, qui ressemble également à un Luger, mais avec un design plus "futuriste" et capable de tirer des rafales de 3 coups à l'instar d'un Beretta 93R
  • Le fusil d'assaut de 1960, dont l'apparence rappelle celle du fusil G3 et aussi celle du Stg 44, peut monter un lance-grenades intégré plus tard dans le jeu
  • Le fusil de précision, qui ressemble au fusil SCAR, peut, dans son tir secondaire, activer des canons à plasma
  • Le fusil à double canons (utilisé qu'à de rare moments dans le jeu, et apparaissant notamment pendant la mission à l'asile en 1960)
  • Le fusil automatique, basé esthétiquement sur le Benelli M4 Super 90, tire automatiquement des chevrotines et semble moins précis que le fusil à double canons
  • La grenade explosive à main de 1946, qui est calqué sur la Stielhandgranate, peut être lancée directement avec une touche ou bien être équipée pour en lancer plusieurs
  • La grenade à main Tesla, qui peut provoquer des dysfonctionnement aux machines des Nazis et créer des diversions

Développement modifier

Accueil modifier

Aperçu des notes du jeu

Critiques modifier

Ventes modifier

Postérité modifier

Un jeu servant de préquelle à Wolfenstein: The New Order, nommé Wolfenstein: The Old Blood, est sorti le en dématérialisé[réf. nécessaire].

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Évènement survenant lors du chapitre 1
  2. Évènement se produisant dans le chapitre dédié au camp

Citations issues du jeu modifier

  1. Citation jeu vidéo Niveau sous marin La boussole
  2. Citation jeu vidéo Set Niveau sous marin nous étions confiants
  3. Citation jeu vidéo Set troisième mission Base des résistants
  4. Citation jeu vidéo Biographie du Boucher, section Personnages du jeu
  5. Citation jeu vidéo BJ chapitre 1
  6. Fiche des Super-Soldats de 1946 présente dans le jeu.
  7. Fiche des Panzerhunds de 1946 présente dans le jeu.
  8. Chapitre 3, Un nouveau monde dialogue grand père-Anya Oliwa
  9. Chapitre troisième base de résistants
  10. Chapitre base de résistance partie 3
  11. Fiche concernant la base lunaire.
  12. Fiche concernant The House of the Rising Sun
  13. Fiche concernant Mond Mond, Ja Ja
  14. Citation jeu vidéo Wilhelm Strasse dernier chapitre
  15. Citation jeu vidéo chapitre troisième partie base de résistance

Manuel d'utilisation modifier

Autres références modifier

  1. Guy Moquette, Wolfenstein: The New Order - L'opium du pulp, 31 mai 2014, Canard PC n°297, p. 10-12.
  2. (en) Chris Carter, « Review: Wolfenstein: The New Order » [archive du ], Destructoid, (consulté le )
  3. (en) Paul Dean, « Wolfenstein: The New Order review » [archive du ], Eurogamer, Gamer Network, (consulté le )
  4. (en) Matt Bertz, « A New Order Following Old Rules - Wolfenstein: The New Order - Xbox One » [archive du ], Game Informer, GameStop, (consulté le )
  5. Aymeric Lallée, TEST. Wolfenstein : The New Order (PS4), 21 mai 2014, Gameblog.
  6. Stéphane Bouley (Plug_in_Baby), Test : Wolfenstein: The New Order, 22 mai 2014, Gamekult.
  7. (en) Daniel Hindes, « Wolfenstein: The New Order Review » [archive du ], GameSpot, CBS Interactive, (consulté le )
  8. (en) Ryan Taljonick, « Wolfenstein: The New Order review » [archive du ], GamesRadar+, Future plc, (consulté le )
  9. (en) Steve Boxer, « Wolfenstein: The New Order review – schlock horror hijinks » [archive du ], The Guardian, Guardian Media Group, (consulté le )
  10. (en) Colin Moriarty, « Wolfenstein: The New Order Review » [archive du ], IGN, Ziff Davis, (consulté le )
  11. Dinowan, Test du jeu Wolfenstein: The New Order, 23 mai 2014, Jeuxvideo.com.
  12. (en) Ludwig Kietzmann, « Wolfenstein: The New Order review: Nein out of ten » [archive du ], Joystiq, AOL, (consulté le )
  13. (en) Arthur Gies, « Wolfenstein: The New Order review: machine gun » [archive du ], Polygon, Vox Media, (consulté le )

Annexes modifier

Articles connexes modifier

Média externe modifier

Jaquette complète de la version PC du jeu sur FreeCovers.net

Lien externe modifier

Site officiel de Wolfenstein: The New Order