Utilisateur:SyB~Anicium/Vellaves
Vellaves | |
Période | Ier siècle av. J.-C. |
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Ethnie | Celtes |
Langue(s) | Gaulois |
Religion | Celtique |
Villes principales | Ruessium, Anicium |
Région d'origine | Département de la Haute-Loire (France) |
Frontière | Arvernes, Gabales, Ségusiaves, Helviens, Allobroges |
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Les Vellaves, en latin Vellavii ou vellavi, sont un peuple gaulois dont le territoire se situait en Gaule celtique, dans le sud-est du Massif central, correspondant à l'ancienne province du Velay[1].
Peuple fédéré aux Arvernes, les Vellaves participent à la guerre des Gaules au côté de Vercingétorix.
Géographie du territoire des Vellaves
modifierLocalisation et frontières
modifierLes Vellaves occupent à la fin de l'Antiquité un territoire situé dans le quart sud-est du Massif central, et presque intégralement situé de nos jours dans le département de la Haute-Loire.
Bien qu'aucune description antique n'en donne l'emprise exacte ou son évolution, des contours du territoire des Vellaves ont pu être proposés[2],[3] : celui-ci aurait englobé les arrondissements actuels du Puy-en-Velay et d'Yssingeaux, tout en empiétant légèrement au nord et au nord-est sur les départements actuels du Puy-de-Dôme et de la Loire.
Plus précisément, les Vellaves semblent avoir occupé un territoire montagneux à peu près circulaire, représentant les deux tiers orientaux du département actuel de la Haute-Loire, dans des limites très comparable à celles que suivra le diocèse du Puy au cours du Moyen Âge[4] :
- au sud-ouest, les gorges de l'Allier formant une frontière naturelle vis-à-vis du territoire des Gabales, depuis les environs de Saint-Étienne-du-Vigan en amont, jusqu'aux environs de Saint-Bérain en aval.
- de là, une limite se serait poursuivie vers le nord à travers les reliefs des monts du Livradois, depuis l'Allier jusqu'au col de Fix (toponyme-frontière dérivé du latin finis) vis-à-vis des Arvernes, jusqu'à Allègre, Sembadel, Saint-Jean d'Aubrigoux, Sauvessanges.
- au nord, jusqu'à Montarcher dans les monts du Forez.
- au nord-est jusqu'à Saint-Just-Malmont, Jonzieux et Marlhes, vis-à-vis du territoire des Ségusiaves.
- à l'est vis-à-vis des Allobroges, et au sud-est face aux Helviens (massif des Boutières et chaîne du Mézenc).
- au sud enfin, la limite entre Vellaves et et Helviens semble suivre et remonter le cours de la Loire (Arlempdes, Lafarre) jusqu'au Cros de Géorand (dérivé du toponyme-frontière Icoranda[5]).
Un chef-lieu identifié : Revessio à Saint-Paulien
modifierÀ reprendre entièrement : chef-lieu Ruessium, en cohérence avec l'article Revessio
Avant qu'elle ne soit transférée au Puy-en-Velay, qui constitue de tous temps la ville autour de laquelle s'articule le pays vellave, la capitale des Vellaves est RO-ESSION, Ruessio ou Revessio (signifiant « bien située » ou « très froide » selon les sources[Lesquelles ?] ; Saint-Paulien). Ruessio est mentionnée dans la Géographie de Ptolémée et sur la table de Peutinger (Revessione), appelée Ruessium, Civitas Vellavorum puis Civitas Vetula (Vieille Cité) par les Romains.[réf. nécessaire] La veuve de l'empereur romain Dèce (+ 251), Étruscille, s'est peut-être établie à Ruessium.[réf. nécessaire]
La ville prend le nom de Saint-Paulien au début du VIe siècle en l'honneur de Paulianus (fêté le ), dernier évêque de la cité (IVe siècle).[réf. nécessaire]
Puis l'évêché est transféré au Puy-en-Velay (Anicium ou Podium Aniciense, qui prend à son tour le nom de Civitas Vellavorum). Le premier évêque, envoyé par l'évêque de Clermont, est saint Evodius ou Evode ou Vosy ou Vouzy (d'une famille consulaire d'Auvergne), qui assiste au concile de Valence en 374 ; en 1711 on découvre un reliquaire d'époque carolingienne sur lequel était écrit : « Hic requiescit corpus sancti Euodii primi ecclesiae Aniciensis praesulis ».[réf. nécessaire]
La commune est nommée Vélaune de pluviôse an II à germinal an III, c'est-à-dire de à (Roger Maurin).[réf. nécessaire]
La « voie bolène », axe principal à travers le territoire des Vellaves
modifierÉtymologie et mentions dans les sources
modifierLeur nom signifierait « montagnards », ou « ceux qui dominent » (*uelna-mon, chef[6]), ou « ceux d'en haut » dominateurs, orgueilleux, « les meilleurs » (*wer-lo[7])[8].
Mentions par les auteurs antiques et confusion avec les Vélaunes
modifierUne confusion est à signaler dans l'historiographie, entre les Vellaves du Massif central et les Vélaunes des Alpes du sud.
Ces derniers figuraient en particulier sur l'imposant Trophée des Alpes à La Turbie : les Vélaunes font alors partie des peuples alpins vaincus par Auguste, et ce sont eux qui sont cités par Pline l'ancien dans sa description du monument, et non le peuple du Massif central que sont les Vellaves.
Leur similitude s'arrête finalement à cette ressemblance de gentilé en latin, plus qu'à une identité commune qu'élabore par exemple Albert Boudon-Lashermes, afin d'expliquer l'éloignement géographique de deux peuples aujourd'hui bien distingués par l'historiographie.
Dans les Commentaires sur la guerre des Gaules, par Jules César
modifierLes Vellaves sont brièvement mentionnés par Jules César dans ses Commentaires sur la guerre des Gaules, sous la forme ambiguë Vellauui, sur laquelle hésitent les traducteurs (similitude des lettres u, n, v et i).
De fait, en raison d'une ressemblance avec un autre peuple à la graphie latine proche, les Vélaunes (latin velauni ou vellavni), dont le territoire ne peut être pourtant confondu (voir plus bas), le terme est parfois traduit par Vélaunes au XIXe siècle (T. Baudement, 1865)[9], voire Vélauniens dans une édition bilingue qui fit longtemps référence (N. Artaud dès 1828, et pour toutes les rééditions suivantes, au moins de 1867[10] à 1891[11]) :
Imperant Æduis, atque eorum clientibus, Segusianis, Ambivaretis, Aulercis Brannovicibus, Brannoviis, millia XXXV ; parem numerum Arvernis, adjunctis Eleutetis Cadurcis, Gabalis, Velaunis, qui sub imperio Arvernorum esse consuerunt ;
Ce que Nicolas Artaud traduit ainsi :
Les Éduens avec leurs clients, les Ségusiens, les Ambivarètes, les Aulerques Brannovikes, les Brannoviens, durent fournir trente-cinq mille hommes ; les Arvernes avec les peuples de leur dépendance, comme les Éleutères Cadurkes, les Gabales, les Vélauniens, un pareil nombre ;
Puis, au fil de l'étude des différentes copies médiévales et des découvertes épigraphiques, la transcription évolue au plus proche du texte d'origine, rétablissant logiquement Vellaviis. Par exemple, la 10e édition de la traduction d'Eugène Benoist poursuivie par Simon Dosson (1914, mise à jour par Paul Lejay)[12] donne :
Imperant Hæduis atque eorum clientibus, Segusiavis, Ambivaretis, Aulercis Brannovicibus, Brannoviis, millia XXXV ; parem numerum Arvernis, adjunctis Eleutetis, Cadurcis, Gabalis, Vellaviis, qui sub imperio Arvernorum esse consuerunt ;
Confusions possibles Vellaves/Vellaunes
modifierIls font partie de la Confédération des Arvernes (« Velauni qui sub imperio Arvernorum esse consueverant » écrit César), mais on retrouve des traces de cette tribu ou peuple :
- - dans l'ancienne province du Velay, aujourd'hui intégré dans le département de la Haute-Loire ;
- – en Bourgogne, autour de la vallée de la Saône, et dans l'Orléanais (oppidum de Vellaunodunum, puis en latin Fano Martis : Montargis[Information douteuse])[réf. nécessaire] ;
- – parmi les Celto-Ligures des Alpes : Briançonnet (06), Saint-Vallier (06) et l'Esteron[13]. Ils sont un des peuples mentionnés sur le Trophée des Alpes (VELAVNI).
- – en Slovaquie[réf. nécessaire].
Un pays de Bretagne le Goëlo (et plus particulièrement la commune de Lanvollon) est le territoire (« Vellavensis pagus ») de la tribu des Vellavii qui fait partie de la confédération des Osismiens[réf. nécessaire].
Peut-être sont-ils apparentés aux Catuvellauni[14] (Catu-vellauni : « les Chefs-de-bataille »[15]) ?
Un Mercure gallo-romain, vénéré dans l'Isère, a pour nom Vellaunus[réf. nécessaire].
N'ayant laissé aucune trace écrite, il est difficile de connaître l'origine, l'histoire, le cheminement, la répartition de ce peuple. On ne peut qu'émettre des hypothèses sur leur lointain passé, et il n'est pas rare de voir des « spécialistes » se contredire à ce sujet. Ainsi, certains les rapprochent des Ligures, d'autres affirment qu'il ne faut pas confondre ces deux peuples.
Comme tous les peuples européens, les Vellauni sont sans doute formés de l'intégration de gens d'origines variées (peuplades préhistoriques peut-être, peuples indo-européens celtes et germains…), mêlant les apports culturels de chacun, sans doute gardant une certaine proportionnalité avec le nombre d'individus intégrés à la population autochtone.
Avant et pendant l'Antiquité, le terme vellave ou vellaune recouvre cependant une large zone géographique :
« Si nous remontons jusqu'à l'époque ligure, les Vellaunes sont alors une des peuplades primitives de la ‘Gaule' ; ils occupent encore, à l'époque du géographe grec Ptolémée, le territoire limité au nord par le Forez et le Lyonnais, à l'est par l'Helvie, au sud par le Languedoc et la région d'Auch, englobant ainsi les pagi des Cadurques, des Rutènes et des Gabales. À l'ouest, ils se confondent avec les Arvernes… Strabon parle des Vellaunes, qui à l'origine ne formait qu'un seul peuple avec les Arvernes : 'Velauni, qui olim Arvernis adscibebantur'. Entre le Lyonnais, qui faisait alors partie du peuple ségusiave, et l'Hélvie, qui suivait la fortune des Allobroges, les Vellaunes peuplaient encore la région d'Argental, le Valentinois, le Royans, le Vercors, l'Oisans, la Tarentaise. Une de ces peuplades des Alpes a également gardé le nom de Vellauni[17]>. »
L'origine ligure des Vellaunes et leur extension territoriale sont encore attestées par « la persistance des noms ligures dans le pays : ‘la toponymie des noms de lieu, écrit Gimon, tend de plus en plus à prouver que la plupart de nos localités, sources, rivières et montagnes portent des noms à radicaux ligures[18][18]… .' » « La région où les radicaux ligures sont particulièrement abondants s'étend des Alpes-Maritimes et du Var (pays des Vellaunes) jusqu'aux Hautes-Alpes, à la Drôme, au Velay, au Languedoc[19]… »
Déchelette et Gimon insiste sur les différences culturelles de ces régions ligures par rapport à celles du reste de la Gaule : « le mode de sépulture n'est pas le même, l'industrie diffère totalement, l'art se rapproche de l'art italien ou sicilien et se différencie nettement de l'art celte. »
Les arverno-vellaunes seraient donc un groupe ligure différencié des sicules (siciliens et apuliens) et des elésyques (Provence et Languedoc), et eux-mêmes « subdivisés en arvernes, vellaves, rutènes, gabales, cadurques, valentinois »[20].
« Si les Arvernes, Rutènes, Gabales, Cadurques, Vellaves et Séguso-Vellaves, et les Vélaunes alpins firent partie à l'époque ligure du même peuple arverno-vellaunes, il y avait longtemps, lorsque César envahit la Gaule, que chacun de ces peuples formait un pagus bien distinct »[21] quoique liés devant le danger en une « Confédération arverne ».
Après la défaite du roi Bituit, régnant en Arvernie, contre les romains lors de la "Bataille du confluent", la « confédération des Arvernes fut réduite à ses éléments de la rive droite du Rhône et comprit encore les Cadurques, Ruthènes, Gabales, Arvernes et Vellaves »[22]. À l'époque romaine, « la population … était presque entièrement ligure ou gauloise, l'élément romain y étant resté insignifiant »[23].
« Quant à l'apport barbare (des grandes invasions), francs, burgondes, alamans, on peut le considérer comme à peu près nul en Velay (Grégoire de Tours et Fustel, II, 455)[23] », mais pas totalement :
Après celle du IIIe siècle, les Vandales font une seconde irruption en Velay en 406, commandés par leur roi Crocus, et « renforcés de Suèves, d'Alains et de Burgondes. Une bande de ces derniers resta, semble-t-il, dans le pays. Elle a laissé son nom à Vergongeon, qui est nommé en 1220 ‘villa de Burgondione' et que nos paysans appellent encore en patois Bourgoundzu ; elle l'a laissé également à Vergonges, Vergongeac » et à quelques familles[24] tel « Raymond Burgondion, sergent d'armes du Puy en 1373 (Monicat, les grandes compagnies en Velay, p132) ou Jean et Jacques Bourgonhon en 1562 (Terrier de Saint Didier)[25] ».
Puis en 532, les fils de Clovis envahissent l'Auvergne et le Velay. Bien que « l'invasion franque, qui dans le Nord eut une influence plus profonde, n'en eut aucune dans nos régions, ainsi que le constate Jullian, citant Grégoire de Tours et ses contemporains »[23], cependant « ils séjournèrent quelque temps en Velay et en Brivadois » et y laissent quelques prénoms francs qui « sont devenus, plus tard, noms de famille (Adalbert, Adalard et surtout Baldo). L'étude de l'origine des noms de lieu vellaves permet même de se demander si les francs saliens, en se fixant sur notre sol, n'amenèrent pas avec eux d'autres barbares. Nous trouvons en effet, près d'Yssingeaux, un bourg d'Amavis, dont le nom nous vient des Chamaves, peuple franc différent des saliens[26]. »
Albert Boudon signale encore une influence vasconne :
En 613, Clotaire II reconstitue le royaume franc de Clovis que se partageaient son père et ses oncles. Puis il cède à l'un de ses fils cadets, Caribert II, l'Aquitaine, vite étendue pour recouvrir le Toulousain, l'Angoumois, le Périgord, le Quercy, le Rouergue, le Gévaudan, l'Auvergne et le Velay.
Eudes, petit-fils de Caribert II d'après la charte d'Alaon (un faux du XVIIe siècle) et duc d'Aquitaine selon la branche aînée des mérovingiens mais roi d'Aquitaine pour son peuple, Hunold fils d'Eude, Waïfre fils d'Hunold, ne cessent, grâce à la fidélité des populations de leur province, de défendre l'Aquitaine contre la double poussée des Wisigoths puis des Sarrasins au Sud, et au Nord des mérovingiens, bientôt remplacée dans leur désir d'expansion par la nouvelle dynastie régnante, les carolingiens.
Est-ce à la suite de l'alliance des Vascons et des Aquitains dans leur combat contre les Wisigoths et les carolingiens ? ou par les conquêtes de leur roi Yon ? ou par simple commerce que des Vascons s'établirent en Velay ? Toujours est-il qu'ils « laissèrent quelques noms de familles (Bayon et Touron, que l'on retrouve à la fois au Pays Basque et à Saint Didier-la-Séauve et Monistrol, Charre à Saint-Clément et Borrée, Charret à Saint-Pal-de-Chalencon) et de plus rares noms de terroir (Garay) [27] ».
Inscriptions liées à la cité des Vellaves
modifierVoir[28]
Sources et références
modifier- (fr) « Vellaves », sur arbre-celtique.com (consulté en )
- Allmer 1889, p. 452.
- Provost, Rémi et Pin-Carré 1994, p. 27-28.
- Provost, Rémi et Pin-Carré 1994, p. 27.
- Provost, Rémi et Pin-Carré 1994, p. 28.
- Delamarre, Xavier, Dictionnaire de la langue gauloise, Errance, , 311 p., p. 109-110.
- (en) John T. Koch, Celtic culture: a historical encyclopedia, vol. 1, p. 357.
- [Lacroix 20073] Jacques Lacroix, Les noms d'origine gauloise : la Gaule des Dieux, Errance, , 286 p. (présentation en ligne)
- Salluste, Jules César, C. Velléius Paterculus et A. Florus : oeuvres complètes avec la traduction en français, Didot frères, fils et Cie, coll. « Collection des auteurs latins avec la traduction française », (lire en ligne), p. 305
- Jules César (trad. Nicolas Artaud), Commentaires sur la guerre des Gaules, Paris, Garnier, coll. « Bibliothèque latine-française », (lire en ligne), p. 309
- Jules César (trad. Nicolas Artaud), Commentaires sur la guerre des Gaules, Paris, Garnier, coll. « Bibliothèque latine-française », (lire en ligne), p. 309
- Jules César (trad. Eugène Benoist, Simon Dosson), Commentaires sur la guerre des Gaules., Paris, Hachette, (lire en ligne), p. 472
- [Bretaudeau 1996] Georges Bretaudeau, Les Enceintes des Alpes-Maritimes, Institut de préhistoire et d'archéologie Alpes-Méditerranée, , 589 p. (ISBN 978-2-9508373-1-8).
- [Durand 1876] Vincent Durand, « De la véritable situation du Tractus Rodunensis & Alaudorum mentionné dans la Notice des dignités de l'Empire », Recueil de mémoires et documents sur le Forez, t. 3, , p. 158-173 (lire en ligne [sur gallica], consulté en ).
- [Delamarre 2019] Xavier Delamarre, Une Généalogie des mots, Errance, , 231 p. (ISBN 978-2-87772-634-4), p. 22.
- Histoire du Velay de Albert Boudon-Lashermes, tome sur « les vigueries carolingiennes dans le diocèse du Puy » (les pages se réfèrent à l'édition de 1930 chez Thouars (Deux-Sèvres), Imprimerie nouvelle
- Boudon-Lashermes 1930, p. 53.
- Boudon-Lashermes 1930, p. 54.
- Boudon-Lashermes 1930, p. 55.
- Boudon-Lashermes 1930, p. 56.
- Boudon-Lashermes 1930, p. 76.
- Boudon-Lashermes 1930, p. 67.
- Boudon-Lashermes 1930, p. 80.
- Boudon-Lashermes 1930, p. 97.
- Boudon-Lashermes 1930, p. 97, note 6.
- Boudon-Lashermes 1930, p. 109-110.
- Longnon, II, 331. Cité dans Boudon-Lashermes 1930, p. 114.
- Allmer 1889, p. 456.
Bibliographie
modifier- Auguste Allmer, « Note sur les Vellaves », Revue épigraphique du Midi de la France, vol. 2, no 55, , p. 452–456 (ISSN 1259-6736, DOI 10.3406/repig.1889.1605, lire en ligne, consulté le )
- Auguste Allmer, « Inscriptions 781 à 795 », Revue épigraphique du Midi de la France, vol. 2, no 55, , p. 456–466 (ISSN 1259-6736, DOI 10.3406/repig.1889.1188, lire en ligne, consulté le )
- Michel Provost, Bernard Rémy et Marie-Christine Pin-Carré, La Haute-Loire, Académie des inscriptions et belles-lettres, Ministère de la culture et de la francophonie, Ministère de l'enseignement supérieur, coll. « Carte archéologique de la Gaule. [Nouvelle série] », (ISBN 978-2-87754-029-2)
- [Baret 2022] Florian Baret, Origines de la ville dans le Massif central. Les agglomérations antiques, Tours, Presses Universitaires François-Rabelais, coll. « Villes et Territoires », (ISBN 978-2-86906-804-9)
- [Rémy 1995] Bernard Rémy, Inscriptions latines d'Aquitaine.– Vellaves, Paris, de Boccard, , 54 ill., 162.
- [Boudon-Lashermes 1930] Albert Boudon-Lashermes, Histoire du Velay, Les vigueries carolingiennes dans le diocèse du Puy, Thouars (Deux-Sèvres), imprimerie Nouvelle, , sur _ _ _.
- Claire Mitton, « Les sanctuaires arvernes et vellaves hors des chefs-lieux de cités du Ier siècle av. J.-C. au IVe siècle apr. J.-C. : approche typologique et spatiale », Revue archéologique du Centre de la France [Online], vol. 45-46, 2006-2007 (lire en ligne, consulté le ).