Utilisateur:Teddyyy/Brouillon3
Cherbourg, port d'importation de Toyota
modifierFrançois de Vriès, président de la SIDAT (Société d'importation d'automobiles Toyota), vient à Cherbourg annoncer la bonne nouvelle : « Pourquoi les Français devraient-ils aller chercher leurs voitures dans un port belge alors que l'un des plus grands quais se trouvait à Cherbourg ? » [1].
Entre 50 000 et 60 OOO Toyota chaque année [2]. 120 emplois. (entre 70 000 et 80 000 selon Les Échos, en provenance du Japon et de Grande-Bretagne, créé en 1976). Wallenius et NYK. 52 000 mètres carrés sur le port pour stocker 7 000 voitures. transportées ensuite par trains entiers dans toute la France et en Suisse.
fin 2001 Toyota choisit Zeebruges [3]. lié à l'implantation d'une usine Toyota à Valenciennes (Nord). Dernière voiture le 30 décembre 2021.
« À Cherbourg, Toyota la lever l'ancre », Libération, site internet, 3 novembre 1999. </ref>.
« Toyota envisage de ne plus faire transiter ses voitures par Cherbourg », Le Monde, 4 novembre 1999. </ref>. : annonce de la Chamco le 2 novembre. « Le président de la CCI, Benoît Le Cacheux, a souligné : « C'est une logique industrielle implacable. A partir du moment où Toyota construit une usine en France [à Valenciennes, dans le Nord] , elle souhaite regrouper autour de cette usine tout ce qui tourne autour de la commercialisation de ses véhicules. »
Une perte de recette de 6 à 7 % selon Les Échos et 90 % des recettes pour les remorqueurs.
1977 : centre national de pièces détachées Toyota, inauguré le 27 avril 1977 par François de Vriès.
Une cérémonie marque le 22 novembre 1977 le débarquement de la 100 000e Toyota [4].
- « 30 000 Toyota par an débarquées à Cherbourg ? »La Presse de la Manche, 13 octobre 1973.
- Juliette Voisin, « Cherbourg, un ancien port de transit pour des milliers de Toyota », La Presse de la Manche, site internet, 6 avril 2024.
- Jacques Dufresne, « Le port de Cherbourg perdra le trafic Toyota en 2021 », Les Échos, 3 novembre 1999.
- La Presse de la Manche, 23 novembre 1977.