Utilisateur:TitCrisse/Brouillon Sophie Fouron
| Naissance | |
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| Nationalité | |
| Formation |
Université de Montréal (maîtrise (en)) (jusqu'en ) |
| Activité | |
| Père |
Jean-Claude Fouron |
| Mère |
Pierrette Bienvenue |
| A travaillé pour |
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Sophie Fouron est une journaliste, animatrice et productrice québécoise.
Biographie
modifierNée à Montréal en 1969, Sophie Fouron est issue d'une famille multiculturelle : sa mère, Pierrette Bienvenue, était infirmière, et son père, le Dr. Jean-Claude Fouron, était un cardiologue haïtien renommé, fondateur de la première unité de cardiologie fœtale au Canada[1]. Ces racines influencent profondément son travail, où elle privilégie les récits humains et l’ouverture à l’autre[2].
Elle est reconnue pour son travail mettant en lumière la diversité culturelle et les enjeux sociaux[1]. Elle est notamment connue pour ses émissions sur TV5, telles que Tenir salon, La vie est un carnaval, Ports d’attache, et Chacun son île, où elle explore les récits inspirants de personnes issues de diverses origines[3].
En plus de ces projets, Sophie Fouron a participé à des émissions comme Cliquez, consacrée à Internet, aux côtés de chroniqueurs comme Yves Boisvert et Jacques Bertrand. Cette émission, diffusée sur TV5, proposait une exploration ludique et éducative de l’actualité et des tendances numériques, renforçant ainsi son rôle de communicatrice polyvalente[4].
À travers son travail, Sophie Fouron cherche à créer des ponts entre les communautés, encourageant la compréhension mutuelle et l’inclusion[2]. Son engagement et son empathie font d’elle une figure incontournable du paysage télévisuel québécois[3].
Références
modifier- Rima Elkouri, « Un café avec… Sophie Fouron Des racines et des ailes », sur La Presse, (consulté le )
- Guy Fournier, « Sophie Fouron, une animatrice à part! », sur Le Journal de Montréal, (consulté le )
- Cimon Asselin, « Sophie Fouron réalise un rêve pour 17 adolescents qui viennent d'arriver au Québec, Une histoire magnifique ! », sur Monde de Stars, (consulté le )
- Pierre Vallée, « Thalassa encore ? Oui ! Et les dimanches soirs deviennent des soirées de cinéma », sur Le Devoir, (consulté le ), p. 4
