Utilisateur:UFB0556/Brouillon
Klarla
modifierMeilleur vélo du monde
modifierKlarla, de son vrai nom "Bergmann Klarla" , est une bicyclette née durant l'année 2000 dans une région reculée de la chine occidentale (la contrée de "made in china") dans l'usine artisanale (entreprise familiale) de "Yang" (楊). D'abord appelé "Cheng Yang" (劉 楊) dans son pays d'origine, Klarla a ensuite été dénommé et reconnu par son identité actuelle (Bergmann Klarla) lorsqu'il/elle a été accueilli par les "Bergmann" en Allemagne.
Klarla n'est pas genré : il se considère comme "asexué". Ses créateurs l'ont toujours envisagé comme un "garçon" (de par son nom original), mais, lors de son adolescence, il s'est, grâce à une relation amoureuse avec une autre bicyclette (B'Twin 520), reconnu comme un individu n'appartenant à aucun "style" prédominant : usuellement, il est appelé "Le Klarla", mais certain l'appelle "La Klarla" (la langue française ne permettant pas vraiment la neutralité).
Année de naissance | 2000 | ||
---|---|---|---|
Date de mort | quand il sera mort | ||
Age | environ 20 ans | ||
Nombre de versions | 4 | ||
Numéro de version actuel | 4.0 |
En ces temps, le Klarla appartient au groupe "Klarlabike" siégé dans les Alpes Française (près de la ville de Gap), et plus particulièrement à ses deux patrons : PH et UG. Ces deux entrepreneurs ambitieux sont allés chercher Klarla en Allemagne durant l'année 2015, et depuis cette date ils n'ont, avec son consentement, jamais cessé d'améliorer Klarla. En effet, ils l'ont, à l'heure actuelle, "upgradé" lors de 3 modifications majeures : Klarla (initial : 1.0), Klarla 2.0 (modification du guidon et des cales), Klarla 3.0 (remplacement de la peinture et des accessoires) et Klarla 4.0 (peinture, accessoire et corrosion). Cependant, PH et UG ont, bien trop souvent, tendance à "venter" cette création vivante comme prenant ses racines dans leurs usines "Klarlabike" : ils souffrent de mythomanie à un stade sévère (stade 4) ; ainsi, il est hautement recommandé de prendre du recul vis-à-vis de leurs "dires" concernant Klarla sur leur site web, leur Instagram et dans leurs rassemblements (Klarla ne peut pas s'exprimer dans une langue intelligible par les humains, il/elle n'a donc pas pu rétablir la vérité). Ces améliorations gargantuesques ont permis d'hisser Klarla à un niveau de popularité tel qu'il/elle a dû être produit en série : de petits Klarlas sortent tous les jours des usines Klarlabike. Néanmoins, les deux "businessman" (PH et UG), ont tenus à ce que, pour des raisons de "valeurs" et d'éthique, ces petits Klarlas soient différents de la véritable légende (Klarla) sur diverses points fondamentaux : 1. les petits Klarlas sont, à l'inverse de l'authentique Klarla, inanimés (ils ne jouissent d'aucune existence comparable à celle des humains) ; 2. ils sont nettement plus petits que le "vrai" (des plaintes ont d'ailleurs été rapportées à ce sujet car beaucoup d'individus disent ne pas pouvoir en faire à cause de sa taille inadaptée) et 3. ils sont construis dans des matériaux beaucoup moins "premium" que l'irremplaçable Klarla.
Véritable ingénierie, Klarla bénéficie d'avantages techniques le différenciant foncièrement des autres bicyclettes ; il s'est démarqué sur des caractéristiques esthétiques, mais aussi, et surtout, sur des points technologiques défiant toute concurrence sur ce secteur de production.
« 1) son cadre en acier de haute technicité lui confère une stabilité, une fiabilité, une précision et une rigidité sans égale à ce jour.
2) ses petites roues lui offrent également une précision, une stabilité et une rigidité sans équivalent.
3) ses composants sont d'une qualité nettement supérieure à celle des autres bicyclettes de même génération.
4) de par la rigidité extrême du cadre, il est vivement conseillé aux amateurs de sensation forte, notamment à ceux avides de "sprints" ; en effet, ses tubes étant particulièrement courts et épais, cela lui confère un faible taux de déformation structurale (torsion, compression, flexion, etc.) ; de ce fait, l'énergie mit dans les "pédales" est bien plus propice à faire avancer le Klarla que de le déformer inutilement : un gain énorme en énergie est réalisé.
5) le guidon est finalement la pièce maîtresse du Klarla, celle qui lui donne cette singularité si prononcée ; le poste de pilotage, développé par les ingénieurs Klarlabike, a été spécifiquement pensé pour s'adapter à la position la plus courante et adéquate sur un vélo de cette taille : la "danseuse" ; en somme, le guidon est conçu pour la posture en "danseuse" : le Klarla s'utilisant préférablement ainsi. »
(Les points clés mentionnés ci-dessus ont été rédigés par les ingénieurs Klarlabike en personne, donc la véracité de ces propos ne sera pas prouvée.)