Utilisateur:WCL19 VAUBAN G5/Brouillon
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Le beffroi a une hauteur de trente toises (58,47 mètres) de hauteur et la loge du guetteur est à une hauteur de 45 mètres , au niveau des combles de l’hôtel de ville la brique disparaît pour être remplacer par la pierre de taille; deux contreforts doubles permettent de renforcer les angles de la tour le rez de chaussée du beffroi est ouvert sur la rue jules hunebelle et le passage des Hallettes[1].
Au dessus du porche d’entrée, il y a des représentations d’armoiries de la ville : un aigle aux ailes déployés , la couronne de chêne et de laurier sont visibles mais l’aigle est usée
Sur les côtés de ce beffroi, on voit de fins pilastres avec des chapiteaux corinthien ,la fausse balustrade a des motifs baroques ornée de pots a feu et de guirlandes.
En haut des 1ères assises de grès, il y a 2 corniches en pierre , la muraille de brique est percée de “quelques oeils-de boeuf” ,il y a que 2 côtés qui sont ornés, les côtés visible. Trois oeils de boeuf sont présents sur la face sud.
Une tourelle en forme de poivrière protège l’escalier de l'intérieur qui permet de se rendre dans le beffroi. , en haut de cet accès il y a une fausse balustrade ouverture, moins haute et plus étroite avec un simple cadre rectangulaire , au dessus il y a une fine tablette horizontale, on y voit des motifs sculptés qui ornaient la base des cadrans originaux.
Attention, la description se perd dans des détails et on perd de vue l’ensemble. Il faut résumer ou laisser tomber des infos. Attention aussi au morcellement des paragraphes : rassemblez plusieurs phrases autour d’une même idée : ex. la partie inférieure / les niveaux supérieurs.
La porte d’entrée du rez de chaussée mène a l’escalier qui donne sur le 1é, 2é et 3é étage du beffroi , les 2 salles voûtées de l'édifice sont facilement distinguables et la salle du loup est la seconde salle où sont stockés les chartes et sceaux de la ville , l’architecte de cette salle a fourni un pare-feu suite à l’incendie du 9 mars 1914.Au 3éme étage se trouve la salle qui débouche sur l’escalier, elle abrite les rouages de l’horloge et le tambour de ritournelle . Le plancher au 4ème étage est très épais car il soutient les cadres et la charpente des 3 grosses cloches. Concernant les trois cloches celle de gauche est le “vigneron” , celle au centre est nommée la “bancloque” , la cloche de droite sonne pour la mélodie du carillon qui est à l’étage supérieur. Les supports connus pour maintenir les cloches pesant 600 et 500 kg sont généralement en bois car cela absorbe les vibrations qui nuisent à la solidité des murs.
Le plancher du 5éme étage est aussi épais , dans la salle du carillon, le plafond contient une fente qui laisse le passage au fils métalliques et dix huit mètres plus haut cela mène aux portiques où se trouvait les marteaux frappeurs des cloches qui actionnaientles cloches , cette pièce était nommée la “ Chambre des ritournelles”.
Au 6éme étage a l’étage des cadrans, les poteaux sont longs et fixés sur des points d’ancrage, ils sortent au niveau de la galerie de la terrasse et forment l’architecture de la loge du guetteur qui est octogonale , le bulbe du dôme est coiffé d’un lanternon et les planchers de chêne ont été remplacé par des dalles de bétons , l’armature de la loge du guetteur est constitué d’éléments métalliques en 1924.Le plancher du 6eme niveau qui supportait la machinerie des horloges, était autrefois en bois mais il est aujourd’hui en béton soutenu par des rails métalliques. L'architecte Jacques Alleman est novateur en 1924. Il utilisera la technique du béton et des rails pour conjurer le risque d'incendie dans la tour , on retrouvera cette technique dans toutes les architectures désormais .
Dans le beffroi, on trouve la dernière machinerie horlogère fabriquée par les établissements Lepaute , c’est un mécanisme qui remplace en 1925 l’ancienne installation qui a été détruite durant l’incendie du 9 mars 1914.
La salle du carillon se trouve au cinquième étage , elle contient ses 14 cloches qui sont fixées sur des poutres en chêne du nouveau râtelier , elle sonnent grâce aux marteaux qui sont actionnés par les électro-aimants , cette salle est l’endroit le plus animé du beffroi , tous les quarts d’heures une mélodies sonne, toutes ces cloches sauf la couronne ont un décor qui reprend celui de la “bancloque” et du “vigneron” ( ornée de l’aigle , frises végétales).
Auparavant les cloches se soulvaient en tournant les leviers cela déclenche les fils de tirage , les marteaux qui frappent les cloches du carillon et la mélodie dépendait de la disposition des ergots sur le tambour.
En 1924 les seizes cloches du carillon sont remplacées par Ronat qui a décoré la bancloque et le vigneron de frises composées de feuilles stylisées au niveau de la panse, la partie inférieure contient une cordelette de grains de blé il a également l’aigle qui est le symbole de la cité , le poid total du carillon est de 25 000 kg et deux cloches du carillon sont équipée d’un demi volant.
- Aubert, Gérard / Fournier, Jean. Le beffroi : Hôtel de ville, Grand-Place, Aire-sur-la-Lys. [Livre]. Atelier galerie éd., 2011. 1 vol. (255 p.) ; ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. ; 27 cm.