Utilisateur:Warp3/Chat (ô brillant !)


Chateaubriand disait à son secrétaire d’ambassade, M. de Marcellus :


  • « J’aime dans le chat ce caractère indépendant et presque ingrat qui le fait ne s’attacher à personne, cette indifférence avec laquelle il passe des salons aux gouttières ; on le caresse, il fait gros dos, mais c’est un plaisir physique qu’il éprouve et non, comme le chien, une naïve satisfaction d’aimer et d’être fidèle à son maître… Le chat vit seul et n’a pas besoin de société ; il n’obéit que quand il veut, fait l’endormi pour mieux voir et griffe tout ce qu’il peut griffer. Buffon a maltraité le chat : je travaille à sa réhabilitation et j’espère en faire un animal honnête… »