Utilisateur:Zayn72/Abd Al-Rahman Al-Ntify

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Abd al-Rahman bin Muhammad bin Ibrahim al-Ntify ( Abderrahman An ntify, en arabe ( عبد الرحمن بن محمد بن إبراهيم النتيفي الجعفري ) ) ( 1303 AH - 1385 AH / 1885 AD - 15 mars 1966 AD ) est un juriste marocain, un spécialiste des hadiths et un commentateur linguistique, un éminent savant marocain du XXe siècle, qui se distinguait en tant que défenseur acharné du salafisme et de la Sounna. Il a joué un rôle majeur dans la préservation et la propagation de l'islam orthodoxe et a écrit de nombreux ouvrages pour défendre la foi traditionnelle contre les hérésies et les déviations qui devie de l'orthodoxie islamique

Sa carrière

Sa naissance et sa lignée

Son cheikh, le savant Ahmad ibn al-Khayyat al-Fassi, où il a été déclaré dans le texte de son autorisation de Cheikh al-Natifi : « J'ai approuvé l'éminent juriste, enseignant, performant, bénéfique, béni et idéal, Monsieur. Abd al-Rahman ibn Muhammad al-Natifi, dans ce qui m'est permis et en mon nom de le raconter, et sa connaissance de ce qui est transmis et raisonnable, et des branches et origines, m'est attribuée, avec complète, complète et absolue ". Approbation. Général". Et son cheikh, l'érudit Abu Shuaib al-Dakali, dit en son approbation : « Notre frère en Dieu, l'érudit, l'érudit intelligent, le hafiz al-Lawdī'i, le juriste, Sayyid Abd al-Rahman ibn Muhammad. al-Natifi, m'a demandé la permission concernant tout ce qu'il m'est permis de raconter, que ce soit raisonnable, ce qui est transmis, les branches ou les principes.

Apprentissage de la science islamique

Voici les titres de certains de ses livres, dont seuls quelques-uns ont été publiés :

Les érudits le félicitent

Le savant Abu Shuaib Al-Dakali avait l'habitude de mentionner Cheikh Al-Natifi lors de ses réunions avec connaissance et vertu, et a déclaré à plusieurs reprises qu'il était un rubis unique. Un jour, il dit à son chambellan : « Ne me bloquez pas le Hajj Abdul Rahman, peu importe combien il vient demander la permission de jour comme de nuit. »

Le cheikh a de nombreux étudiants, parmi lesquels :

Malgré son travail d'enseignement, d'imamat et de prise de parole en public, ses livres étaient au nombre de plus de soixante-dix ; La plupart d’entre elles sont des réponses à des innovateurs et à des gens désireux, et un soutien à la Sunna, en plus de la recherche scientifique jurisprudentielle.

Cheikh Imam Abdul Rahman bin Muhammad bin Ibrahim Al-Natifi Al-Jaafari, sa lignée se termine avec Muhammad Al-Jawad bin Ali Al-Zaynabi bin Abdullah bin Jaafar bin Abi Talib, et Ali Al-Zaynabi est le fils de Zainab, fille de Fatima. Al-Zahra, fille du prophète Mahomet .</img> . Le cheikh est né en 1303 AH dans le village d'Al-Maqadid de la tribu Hantifa de la province d'Azilal.

Ses disciples

Cheikh Muhammad Zahal a expliqué la raison qui a empêché la diffusion des livres du savant Al-Natifi : "Le Cheikh, que Dieu lui fasse miséricorde, manque de personnel. Il n'a aucun assistant pour l'aider à réaliser ce qu'il voulait. Plus de vingt ans se sont écoulés depuis sa mort - que Dieu lui fasse miséricorde - et ses œuvres n'ont pas encore vu le jour, et elles sont toutes... La plupart sont en ma possession maintenant, et j'espère que ses distingués descendants, professeurs, coopéreront avec nous pour présenter aux lecteurs estimés ce que nous avons pu imprimer d'eux après y avoir annexé des recherches et des commentaires utiles qui ouvrent la voie entre les mains du lecteur ordinaire afin qu'il ne soit pas privé d'en bénéficier. " D'après ce qu'il lit. Et Dieu est le Consolateur, et sur lui est le moyen de transport, et il n'y a de puissance. Il n'y a de puissance qu'en Dieu. "

• Son fils est l'érudit Hassan bin Abd al-Rahman al-Natifi : le juriste et écrivain al-Nahrir. Il a étudié auprès de son père et d'autres cheikhs. Il a dirigé l'imamat et a enseigné à la mosquée Al-Yousufi de la ville de Casablanca. Il possède plusieurs livres, dont : « Le chef-d'œuvre des messages sur les types de problèmes » et « Alerte aux personnes insouciantes de la part des croyants concernant certaines des nouvelles du Prophète concernant cette époque. » Il possède un recueil de poésie et un livre. sur la philosophie de la législation islamique, et il possède également une traduction de son père. Il mourut en 1398 AH. Il possède des cassettes audio, dont certaines ont été publiées par Abu Abdullah Yusuf Al-Zakuri. Editeur du livre « Le point de vue du sac en réponse à Jahmiya al-Bayda et Fès » du savant Abd al-Rahman al-Natifi.
• Son fils, Cheikh Ahmed bin Abdul Rahman Al-Natifi : Il était l'élève de son père et il a plusieurs livres, dont : « Gouverner par l'épée et frapper après avoir giflé celui qui nie ou n'aime pas la position et l'élever » et « Nazm Al -Shama'il » et il possède un recueil de poésie.
• Le juriste Haj Abbas Al-Tadali : Il accompagnait le cheikh et ses compagnons au Hajj, et il enseignait au cheikh sur le bateau des leçons sur les rituels. Pendant le voyage, il souhaitait que Dieu l'emmène à la mort à La Mecque, alors Dieu a répondu à sa prière.
• L'érudit et historien Muhammad bin Ahmad al-Abdi al-Kanuni : Il a étudié avec le cheikh à Fès, et l'a accompagné en 1338 AH à Zayan, puis à Marrakech en 1339 AH, et a acquis beaucoup de connaissances auprès de lui. Il a assumé les fonctions de juge, d'imamat, de prédicateur et d'orientation dans la ville de Safi, et il est l'auteur des livres « Safi et ce qu'il y a derrière, ancien et moderne » et « Le sport en Islam ».
• L'érudit Ahmed bin Qasim Al-Mansouri : Il est l'un des étudiants les plus prolifiques de l'érudit. Il est impliqué dans plusieurs arts, notamment la littérature, la jurisprudence et la jurisprudence. Il est l'auteur du livre « Kabaa Al-Anbar du Grands de Zayan et Atlas des Berbères », et il possède plusieurs recueils de poésie.
• Le juriste Allal Al-Aishi Al-Tadli : C'est lui qui a succédé au cheikh sur ses élèves lors de son Hajj, il a donc accompli sa mission de la meilleure façon possible.
• Hajj Abed Al-Susi : C'est lui qui a soutenu le cheikh, dépensé pour lui et ses étudiants et l'a encouragé à diffuser son appel.
• Le juriste Abd al-Rahman bin al-Hajj : Il a prêché et guidé la mosquée de Khénifra, consulté les ordres soufis et rendu de grands services à la cause nationale.
• Le juriste Muhammad bin Nasser Al-Zayani : Il est diplômé du Cheikh et a voyagé avec lui à Fès. Il a prêché et guidé les régions berbères du pays de Zayan.
• Le juriste Al-Jilali bin Muhammad Al-Natifi : frère du savant Abd al-Rahman. Il était opposé à l'occupation française. Les Français l'ont arrêté et emprisonné, puis il a contracté la tuberculose. Il a été libéré à condition qu'il quitte Ziyan. Il s'installe donc à Casablanca et continue à souffrir de sa maladie jusqu'à sa mort.
• Le juriste Muhammad bin Muhammad al-Natifi: également le frère du savant. Il a pris les connaissances de son frère et en est diplômé. Il s'est distingué en littérature et en poésie avec intelligence et perspicacité. Il a assumé la justice à Casablanca et a ensuite représenté le juriste, Le juge Al-Hashimi bin Khadra, jusqu'à ce que les Français l'empêchent d'agir, il est donc resté chez lui jusqu'à l'annonce de l'indépendance.
• Le juriste Mohamed Hajji : a repris le pouvoir judiciaire de Salé et de Tanger.

Ses écrits

Cheikh Muhammad Zahal a expliqué la raison qui a empêché la diffusion des livres du savant Al-Natifi : "Le Cheikh, que Dieu lui fasse miséricorde, manque de personnel. Il n'a aucun assistant pour l'aider à réaliser ce qu'il voulait. Plus de vingt ans se sont écoulés depuis sa mort - que Dieu lui fasse miséricorde - et ses œuvres n'ont pas encore vu le jour, et elles sont toutes... La plupart sont en ma possession maintenant, et j'espère que ses distingués descendants, professeurs, coopéreront avec nous pour présenter aux lecteurs estimés ce que nous avons pu imprimer d'eux après y avoir annexé des recherches et des commentaires utiles qui ouvrent la voie entre les mains du lecteur ordinaire afin qu'il ne soit pas privé d'en bénéficier. " D'après ce qu'il lit. Et Dieu est le Consolateur, et sur lui est le moyen de transport, et il n'y a de puissance. Il n'y a de puissance qu'en Dieu. "

• « Considération par Al-Kais de la réponse à Jahmiya al-Bayda et à Fès » : qui est une interprétation de la parole du Tout-Puissant :

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