Utilisatrice:BeatrixBelibaste/Brouillons/bac40
- brouillons liés : Jean-Baptiste Côté
- wikidata : d:Q47089479
- commons : commons:Category:Grosperrin
Grosperrin
Naissance |
Date inconnue |
---|---|
Décès |
Après |
Activités | |
Période d'activité |
- |
Grosperrin (actif entre 1864 et 1867) est un poète itinérant et auteur de chansons populaires d'origine française, actif à Québec et à Montréal au milieu des années 1860. Considéré comme une figure marquante du paysage littéraire québécois de cette décennie, il est surtout connu par le portrait qu'en dresse Louis Fréchette dans ses Originaux et Détraqués (1892).
Éléments biographiques
modifier- Guichet du Savoir
- À Lyon, en 1857, alors qu'il réside au 28, rue Tronchet, il fait imprimer chez Bajat fils une chanson sur feuille volante intitulée "Le Départ pour l'armée" qu'il adresse à un certain "Andrieux" et qu'il signe "Grosperrin, cordonnier".
- Sur l'imprimeur, Eugène Bajat : Maitron - Dict des imprimeurs-litho - Les imprimeurs des journaux canuts
- Recensement de 1856 à Lyon, rue Tronchet, aucun Grosperrin ne réside dans l'édifice no 28 ici, p. 7/9
- Au recensement de 1856, il existe un Antoine Grosperrin, cordonnier, 27 ans, célibataire, habitant seul au 82, passage de l'Argue ici, p. 6/8 - sans doute sa fiche sur Geneanet
- Léon Poulin et Jacques Turcotte, condamnés le 3 février 1865 à être pendus le 24 mars 1865 pour vol avec effraction et assaut sur Anny Langlais, tenancière d'une maison close de Québec; le 9 mars, les journaux annoncent que la peine a été commuée[1]
- John Meehan, pendu le 22 mars 1864...
- Hélène-Andrée Bizier, qui s'est penchée sur les crimes célèbres de l'histoire du Québec et en connaît bien les sources, dont les complaintes rédigées lors de ces occasions [2], dit de la complainte composée par Grosperrin pour la pendaison de Meehan : « Pour une fois, une complainte s'apitoie sur le sort du condamné. Elle fait dire à Meehan des mots qu'il ne renierait pas : "Adieu donc, mes amis, jeunes gens du village / Recevez de Mehan les adieux pour toujours; / Pardonnez ma fureur qui fit naître ma rage / Causant mon déshonneur, je le crois, sans retour".[3]. ».
- Stanislas Barreau, condamné en septembre 1865 à être pendu à Montréal, le 17 novembre 1865, pour un double meurtre, accompagné de vol et d'une tentative d'incendie, commis à Laprairie, le 28 mai 1865[4].
- Ne figure pas dans les registres d'écrous de la prison de Québec. Sur ceux-ci : Les registres d'écrou des prisons de Québec au 19e siècle - Le fichier des prisonniers des prisons de Québec au 19e siècle - Page du formulaire de recherche
Sources
modifierOeuvres
modifier- Les Crimes célèbres ou Barreau le meurtrier [vers le 17 novembre 1865] (perdu) recueil perdu de Grosperrin, publié, comme le titre l'indique, vers le temps de l'exécution de Stanislas Barreau, qui contenait notamment la première partie de « La liberté des esclaves aux États-Unis »[5]
- Les Vrais Misérables, Jersey, 1861 (perdu)
Divers, à classer
modifier- Celle-ci fut. Composé à Québec en 1863 par Grosperrin, noté dans l'un des cahiers de Placide Vigneau, Recueil de chansons et fragments de vieilles chansons. Cahier no. 3, BAnQ, P48, S1, D8.1 Fond Placide Vigneau[6]
- poème de voeux du nouvel an - mention du journal La Scie à la fin
- en ligne : BAnQ ici, images 27-28/62
- Complainte du condamné[7], 1864 Vendue dans les rues de Québec avant et après la pendaison de John Meehan, le 22 mars 1864
- Le Journal pour rire ou l'Oiseau moqueur, no 1, [Québec, M. Sauvageau, c 1864, 4 p.]Mention : "Poésie de Grosperrin"
- voir Allard 1997 pour l'attribution à Grosperrin. Indiqué 1863 dans les catalogues de bibliothèques, mais Allard parle de 1865
- Le Journal du drapeau rouge ou le Fléau de la potence, [s.l.n.é., 1865, 4 p.]
- Un discours pour l'ouverture de la Chambre, [Québec, M. Sauvageau, 1865, 1 p.]
- La Nativité du Christ : envoyé pour être approuvé de Notre Saint Père le pape, et Monseigneur l'archevêque, [1865] [lire en ligne] Mentions : "Fruit et recueillement du jubilé pour l'année 1865. Grande indulgence accordée aux lecteurs de ce livre" - "Oeuvres de Grosperrin, ouvrier-cordonnier" -Microfiche de l'exemplaire se trouvant à la McLennan Library, McGill University, Montreal
- « Le Pain de sucre de Montmorency », le Canadien, 6 mars 1865, p. 3.
- « L'Hiver à Québec », le Canadien, 6 mars 1865. p. 3.
- « Le Chant des volontaires », le Canadien, 6 mars 1865, p. 3.
- Les muses populaires : receuille [sic] des meilleures chansons françaises qui ont paru depuis 1861 jusqu'à 1866, [1866] [lire en ligne] Mentions : "Honneur à Grosperrin ..." - "Ce livre étant muni du sceau à la Grosperrinade ..."Microfiche de l'exemplaire se trouvant à la McLennan Library, McGill University, Montreal
- Le petit chanteur canadien : poésie de Grosperrin; recueil de 19 chansons [v. 1867 ?] [lire en ligne]Microfiche de l'exemplaire se trouvant à la McLennan Library, McGill University, Montréal
- Enfouissement de l'excommunié Joseph Guibord[8], s.l., s.n., s.d. [v. 1870[9] ou 1875[10]], 1 p. Seul exemplaire connu conservé à la Bibliothèque de l'Université Laval[10], Québec
- Note de travail : Lortie, si elle attribue ce texte à Grosperrin dans Lortie 1975, ne semble pas en parler dans Les Textes poétiques du Canada français (p.q. la série s'arrête en 1867...) : réattribution ? à consulter à UL
Liste des poèmes
modifier(TP, vol. 10) (...)
(TP, vol. 11) (toutes les datations d'après TP 11)
- « Les Scieurs quebecquois [sic] », [écrit vers le 17 février 1865, publié 30 juin 1865] (édité Textes poétiques, vol. 11, no 39, p. 91-92, d'après sa 1re publication dans La Scie illustrée, vol. 1, no 20, 30 juin 1865, p. 3)
- "Chanson composée par Grosperrin, du temps que M. Normand était propriétaire de la Scie, l[a]quel[le] est tombé[e] en décadence; néanmoins, il nous en a permis la reproduction"
- Le Chant des volontaires, no 48 [peu avant le 6 mars 1865, paru ds Muses populaires, p. 22-23] (TP, vol 11, p. 108-109)
- L'Hiver à Québec (49) [peu avant le 6 mars 1865, paru ds Muses populaires, p. 20-22] (TP, vol 11, p. 109-111)
- Un Pain de sucre du Sault Montmorency (50) [peu avant le 6 mars 1865, paru ds Muses populaires, p. 13-15] (TP, vol 11, p. 112-113)
- Une Originalité (57) (20 mars 1865, parue dans Le Canadien, vol. 34, no 171, 20 mars 1865, p. 3) (TP, 11, p. 128-129)
- "Voici une nouvelle originalité du philosophe GROSPERRIN qui s'est trouvé à passer en vendant ses chansons chez M. BARBEAU, marchand de chaussures, rue St.-Jean, qui l'a prié s'il pouvait lui donner une preuve de son art poétique. Ci-jointe est la preuve :" [avec texte du poème s'adressant à Barbeau]
- Les Adieux des exilés. Le Chant funèbre (61) [entre le 24 et le 30 mars 1865, ds Le Drapeau rouge, p. 3 [paru vers le 17 nov 1865 selon TP 11], ]] [complainte pour Turcotte et Poulin condamnés à mort et grâciés] (TP 11, 136-138
- Les Adieux des exilés. La Grace des exilés (62) [entre le 24 et le 30 mars 1865, ds Le Drapeau rouge, p. 3 (écrit après la grâce de Turcotte et Poulin) (TP 11, 139-140)
- Vers dédiés à M. Berthelot, écr., avocat, l'un des rédacteurs du journal l’Echo des Imbéciles (147) [14 juil. 1865, paru ds La Scie illustrée, vol. 1, no 22, 14 juil. 1865, p. 2] (TP 11, 322-323)
- Vers dédiés à Grosperrin par un poète inconnu (148) (entre 14 et 31 juil. 1865, dans Le Journal pour rire ou l'Oiseau Moqueur, p. 1 (TP 11, 323)
- Les Amours d'un Émigré (149) (entre 14 et 31 juil. 1865, dans Le Journal pour rire ou l'Oiseau Moqueur, p. 1 (TP 11, 323-325)
- Le Marcheur (150) (entre 14 et 31 juil. 1865, dans Le Journal pour rire ou l'Oiseau Moqueur, p. 1 (TP 11, 326-327)
- Le Danseur de Corde (151) (entre 14 et 31 juil. 1865, dans Le Journal pour rire ou l'Oiseau Moqueur, p. 2 (TP 11, 328) (allusion à Cartier, Cauchon et la Confédération...)
- L'Ivrogne [Fêtons le Saint-Jean-Baptiste...] (152) (entre 14 et 31 juil. 1865, dans Le Journal pour rire ou l'Oiseau Moqueur, p. 2 (TP 11, 329)
- Les trois positions d'un Esbrouffeur (153) (entre 14 et 31 juil. 1865, dans Le Journal pour rire ou l'Oiseau Moqueur, p. 2-3 (TP 11, 330)
- Les types canadiens (154) (entre 14 et 31 juil. 1865, dans Le Journal pour rire ou l'Oiseau Moqueur, p. 3 (TP 11, 331-332)
- La Liberté des Esclaves aux États-Unis (155) (entre 14 et 31 juil. 1865, dans Le Journal pour rire ou l'Oiseau Moqueur, p. 3 (TP 11, 332-333)
- Mes Voyages à Paris (156) (entre 14 et 31 juil. 1865, dans Le Journal pour rire ou l'Oiseau Moqueur, p. 3 (TP 11, 333)
- Les célèbres guerriers qu'on exerce à Portneuf (157) (entre 14 et 31 juil. 1865, dans Le Journal pour rire ou l'Oiseau Moqueur, p. 4 (TP 11, 334)
- La Folle par Amour (158) (entre 14 et 31 juil. 1865, dans Le Journal pour rire ou l'Oiseau Moqueur, p. 4 (TP 11, 335)
- À mes Amours (159) (entre 14 et 31 juil. 1865, dans Le Journal pour rire ou l'Oiseau Moqueur, p. 4 (TP 11, 336-7)
- Le Cheval et son maître (160) (entre 14 et 31 juil. 1865, dans Le Journal pour rire ou l'Oiseau Moqueur, p. 4 (TP 11, 337-8)
- Un discours pour l'ouverture de la Chambre (199) (entre le 6 et le 8 août 1865) (feuille volante, [Québec], M. Sauvageau, imprimeur, [entre le 6 et le 8 août 1865]) (TP 11, 463-466)
- Le Chant des honorables représentants (200) (feuille volante "Un discours pour l'ouverture de la Chambre", [Québec], M. Sauvageau, imprimeur, [entre le 6 et le 8 août 1865]) (TP 11, 467-468)
- Complainte de Barreau (236) (vers le 17 nov. 1865 ?, Drapeau Rouge, p. 1) (TP 11, 534-536)
- Oraison funèbre de Barreau sur la potence (237) (vers le 17 nov. 1865 ?, Drapeau Rouge, p. 1) (TP 11, 537-538)
- L'Aspect pittoresque de la cité de Québec, ou Le Miroir québeccois [sic] (238) (vers le 17 nov. 1865 ?, Drapeau Rouge, p. 1-2) (TP 11, 538-548)
- Hommage à la « Chronicle » (239) (vers le 17 nov. 1865 ?, Drapeau Rouge, p. 2-3) (TP 11, 548-550) (par. pour remercier les journalistes, en particulier ceux du Chronicle, 1er journal à avoir parlé de Grosperrin)***
- Les Adieux de Louis Pelletier, à la boisson (240) (vers le 17 nov. 1865 ?, Drapeau Rouge, p. 3) (TP 11, 550-551)***
- Le Chant du Bourreau (241) (vers le 17 nov. 1865 ?, Drapeau Rouge, p. 3) (TP 11, 552-553) (commentaire contre la peine de mort...)***
- La Liberté des esclaves aux États-Unis (Suite et fin) (242) (vers le 17 nov. 1865 ?, Drapeau Rouge, p. 4) (TP 11, 554-560)***
- La Nativité du Christ (264) (1865, ds La Nativité du Christ, p. [2]-4) (TP 11, 605-607)
- Chant à la Sainte Vierge (265) (1865, ds La Nativité du Christ, p. 4-5) (TP 11, 607-609)
- Les Marins naufragés (266) (1865, ds La Nativité du Christ, p. 5-9) (TP 11, 609-613)
- Le Départ des pêcheurs (267) (1865, ds La Nativité du Christ, p. 9-11) (TP 11, 614-616)
- La Prière d'un émigré (268) (1865, ds La Nativité du Christ, p. 11-15) (TP 11, 616-620)
- Une épouse courageuse (269) (1865, ds La Nativité du Christ, p. 15-16) (TP 11, 620-622)
- Au plus célèbre écrivain de notre siècle (342) (25 mai 1866) (L'Électeur, vol. 1, no 2, 25 mai 1866, p. 4 (TP 11, 769-622) [adressé à Victor Hugo]
- note de la rédaction méprisante accompagnant le texte : "Pauvre Grospérin, vous ne vous apercevez donc pas qu'en vous mettant de niveau avec le grand Hugo vous paraissez aussi petit qu'une fourmi au pied de la colonne Vendôme."
- Hommage à St. Jean Baptiste (363) [Après le 23 juin 1866] (Le Petit Chanteur Canadien [après le 23 juin 1866], p. 3-4) (TP 11, 800-802)
- L'Aspect de Montréal, Ou le Miroir viridique (sic) (364) [Après le 23 juin 1866] (Le Petit Chanteur Canadien [après le 23 juin 1866], p. 5-7) (TP 11, 803-805)
- Le Pont de glace (365) [Après le 23 juin 1866] (Le Petit Chanteur Canadien [après le 23 juin 1866], p. 7-9) (TP 11, 806-808)
- L'Hermite et l'Orphelin (366) [Après le 23 juin 1866] (Le Petit Chanteur Canadien [après le 23 juin 1866], p. 10) (TP 11, 808-909)
- Les Compliments de la Nouvelle Année ou le Canadien respectueux (367) [Après le 23 juin 1866] (Le Petit Chanteur Canadien [après le 23 juin 1866], p. 11-12) (TP 11, 810-811)
- Les Voltigeurs de Québec (368) [Après le 23 juin 1866] (Le Petit Chanteur Canadien [après le 23 juin 1866], p. 13-15) (TP 11, 812-814)*** peut-être en hommage à leur action lors de l'incendie du quartier Champlain, le 22 juin 1865 (récit (selon TP, vol. 11, p. XXIII) ou du grand incendie du 14 octobre 1866 (récit) au cours duquel, notamment, Jean-Baptiste Côté perd son atelier et sa maison dans Saint-Roch.
- Les respects au Chapeau du vieux Major Salaberry (369) [Après le 23 juin 1866] (Le Petit Chanteur Canadien [après le 23 juin 1866], p. 24) (TP 11, 815)***
(TP, vol. 12) (1er juil 1866-31 déc 1867)
- « L'Ouverture de la navigation, ou les Hommages à la compagnie du Richelieu » [1866 ?][11] (seule publication connue dans Les Muses populaires, p. 2-3; édité Textes poétiques, vol. 12 (1866-1867), 2000, no 101, p. 203-205)
- « Les Patineurs du St. [sic] Laurent » [1866 ?][12] (seule publication connue dans Les Muses populaires, p. 4-7; édité Textes poétiques, vol. 12, no 102, p. 205-208)
Influence et postérité
modifierLe spécialiste de littérature Jean Levasseur[13] place Grosperrin parmi les « personnalités ayant marqué leur époque » dans le domaine de l'humour politique[14].
René Bouchard le range parmi les « poètes mineurs (...) peu productifs »[15]
- centralité du personnage de Grosperrin dans la pièce de théâtre "Pauvres originaux, beaux fous détraqués", texte de Yves Labbé d'après Originaux et détraqués de Fréchette, produite par les Pichous (1977), Centre d'essai de l'Université de Montréal
Iconographie
modifier- Le Philosophe Grosperrin, vendant sa complainte, La Scie, 21 janvier 1865 (sur cette gravure, Allard 1997, Béland DBC, Allard-catalogue d'expo, p. 45
- Grosperrin, caricature (gravure sur bois) publiée dans le journal humoristique "La Scie illustrée", publié à Québec, 29 mars 1866, accompagnant un article consacré au personnage.
Bibliographie
modifierSources littéraires
modifier- Louis Fréchette, Originaux et détraqués; douze types québecquois: Oneille, Grelot, Drapeau, Chouinard, Cotton, Dupil, Grosperrin, Cardinal, Marcel Aubin, Dominique, Burns, George Lévesque, Montréal, Louis Patenaude, 1892 [lire en ligne] Avant la publication en recueil en 1892, ces portraits d'« orignaux et détraqués » avait été fait l'objet de publications séparées à de nombreuses reprises dans les périodiques de l'époque. Pour les éditions de Grosperrin, voir Louis Fréchette, Masques et fantômes et les autres contes épars, Fides, 1976, p. 366
- texte de Grosperrin en ligne
- notamment : Louis Fréchette, « Entre nous », la Justice, 12 mai 1888, p. 3 [lire en ligne] (en ligne sur BAnQ) (version un peu plus "sobre" du chapitre "Grosperrin" par Fréchette)
- autres versions (d'après Masques et fantômes, ici p. 366)
- Louis Fréchette, « Entre nous », L'Électeur, vol. VIII, no 247 (12 mai 1889), p. 1
- Canada-Revue, vol. III, no 18-19 (22 et 29 oct. 1892), p. 281-283; 297-300
- Originaux et détraqués, 1892, p. 193-220
- L'Électeur, vol XIV, no 119 (2 déc. 1893), p. 3-4
- etc.
- Rémi Tremblay, Pierre qui roule, Montréal, Librairie Beauchemin, 1923, [lire en ligne] évocation de la figure de Grosperrin, p. 86-89
Francisca Gagnon, « Grosperrin aux pays des merveilles », dans Les Chercheurs d'aube : nouvelles, Montréal, Lévesque éditeur, coll. « Réverbération », (ISBN 978-2-923844-20-6 et 2923844203, OCLC 794618955), p. 83-86.« Grosperrin incarne sans s’en douter un poème de Prévert. »[16]
Journaux
modifier- faire rech. dans Canadiana
- à voir, d'après Allard - Berthelot
- La Tribune, 10 mai 1864
- Le Canadien, 20 au 31 mars 1865; (dispo Canadiana / Notre mémoire en ligne)
- Le Perroquet (Montréal),
- 29 avril 1865, p. http://eco.canadiana.ca/view/oocihm.8_06481_17/3?r=0&s=3 66 (i.e. p. 2), 2e colonne] brève description, mention d'un ouvrage
- 6 mai 1865, p. 70 (p. 2), 2e colonne, allusion à un "Arabe", peut-être un concurrent de Grosperrin (?)
- L'Echo des Imbéciles, 26 juillet 1865
- L'Électeur, 25 mai et 14 juillet 1866. (dispo Canadiana)
- 25 mai 1866, p. 4, publication de vers de Grosperrin dédiés à Victor Hugo : "Au plus célèbre écrivain de notre siècle"
- 14 juillet 1866, p. 4, 3e colonne : comparaison d'Arthur Casgrain avec Grosperrin pour le colportage
- 1ère année, no 10 (21 juil. 1866), p. 4, 3e col. (Grosperrin semble maintenant avoir une adresse fixe, et apparaît dans l'Almanach des adresses Cherrier : "Grosperrin, poëte-savetier, rue Signai, St-Sauveur
- Vérification sur BAnQ : Annuaires Marcotte, Cherrier, etc.
- Ne paraît pas dans l'Almanach Cherrier pour 1865-1866 (http://bibnum2.banq.qc.ca/bna/marcotte/pdf/1865-66/03/E-I/1173800_1865-1866_0165.pdf p. 167]
- Apparaît en 1866-1867, p. 171 : "Grosperrin, — poët-cobler, Signai st St. Sauveur (The Quebec Directory for 1866-1867, containing a complete list of all the inhabitants of the city, with full descriptions of their businesses and professions..., edited by G. H. Cherrier. Quebec : Printed for the proprietor by John Lovell, 1866, p. 171.) (ico potentielle) nouveau lien après migration des ressources numériques
- À noter qu'aucun prénom n'est donné (seulement un tiret), alors que les autres entrées indiquent les prénoms...
- Rue Signaï bien attestée (nommée en l'honneur de Joseph Signay), existe tjrs dans le quartier Saint-Sauveur : Fiche toponymie - post Facebook - dépliant hist St-Sauveur
- Ne paraît plus dans l'édition 1867-1868, p. 147
- Ni en 1864-1865, p. 163
- Vérification sur BAnQ : Annuaires Marcotte, Cherrier, etc.
- La Scie
- Vol. 2, no 8 (14 janv. 1865), p. 3 (plaisanteries peu significatives concernant Grosperrin, bof)
- 21 janvier 1865, p. 1-2 Canadiana BAnQ, portrait littéraire détaillé de Grosperrin, avec la 1re caricature de Grosperrin**
- Vol. 2, no 15 (11 mars 1865), p. 4, 3e col., annonce - Grosperrin est en train de faire un "poème épique sur la Chambre d'Assemblée, de mercredi dernier", qui sera intitulé "Le coup de patte d'un député pour rire" (complet)
- La Scie illustrée
- Vol. 1, no 6 (24 mars 1865), p. 3 (1re colonne), "Le Philosophe Grosperrin mystifié" (anecdote concernant Grosperrin, qui croyait (à tort) qu'on chantait ses chansons)
- Vol. 1, no 20 (30 juin 1865), p. 3 (3e colonne), Reproduction de la chanson de Grosperrin (avec sa permission) "Les Scieurs québecquois", "Chanson composée par Grosperrin, du temps que M. Normand était propriétaire de La Scie, lequel est tombé en décadence..." (inutile de voir le reste)
- Vol. 1, no 35 (13 oct. 1865), p. 1 (col. 2 et 3), Lettre adressée au rédacteur pour se plaindre du manque de talent de Grosperrin et de Blain de Saint-Aubin**
- Vol. 2, no 11 (9 févr. 1866), p. 4, 2e col (commentaire concernant un législateur, qualifié de "Grosperrin judiciaire) - complet
- 29 mars 1866, p. 1. (2e caricature + portrait littéraire)
- 2e année, no 19, 6 avril 1866, p. 3, 3e colonne (entrefilet ironisant sur le fait qu'Hector Berthelot s'est fait photographe, et évoquant en passant, avec le retour du printemps, le retour des soirées de Grosperrin) (bof, inutile de revoir)
- Le Journal de Québec, jeudi 24 mars 1864 [lire en ligne]
- 30 janvier 1865, présence de "Gros Perrin" sur le pont de glace la veille
- Morning Chronicle, 23 mars 1864, p. 2 [lire en ligne]
- exécution de Meehan, avec description de Grosperrin*** et publication de la complainte (pas signalé par Textes poétiques)
- image couleur de la complainte de Grosperrin (Morrin Center)
- image du titre
- dépouillement BAnQ
Grosperrin-Gros Perrin
- Montreal Herald and Daily Commercial Gazette, jeudi 24 mars 1864, p. 2 [lire en ligne] (repro couleur d'un original, récit de l'exécution de Meehan (from an Extra of the Quebec Chronicle), avec description de Grosperrin et reproduction de sa complainte
- « Among the many curious characters collected by the occasion, one in St. John street, facing the gaol, attracted considerable attention. He was a stout, low set, seedy looking fellow, in a suit of grey tweed, surmounted by a sailor’s glazed hat. His face, apparently unacquainted for a long time with the virtues of soap and water, was garnished with a long beard of the Elizabethan era, which was balanced on the other side of the head by a large straggling mass of unkempt hair, reaching down to the coat collar. This worthy, economical of physical exertion, stood in an indolent position, and with a ludicrous air of assumed gravity called the attention of the crown, in bad French, to the following production which he sold for the trifling sum of 5 cents a copy ; and which we subjoin as a specimen of Gallows' literature : [reproduction de la Complainte du condamné] »
- même texte que le Morning Chronicle ?
- The Quebec Daily Mercury, samedi 23 avril 1864, p. 2, 4e colonne "A Peripatetic Poet" [lire en ligne]
- « A Peripatetic Poet - A Frenchman, named Grosperrin, man of indisputable genius and of odd appearance, has paid us a visit more than once. Indeed we have printed for him several song of his own composition which as a contemporary remark are "indicative of genuine talent." We may yet take the opportunity of translating a portion of Grosperrin poetry for the benefit of our readers. »
- Morning Chronicle and Commercial and Shipping Gazette [Québec], samedi 14 mai 1864, p. 2, 2e colonne [lire en ligne] : annonce d'une lecture par Grosperrin, le soir même, au Temperance Hall, sur la rue Saint-François
- aussi annoncé dans Le Journal de Québec, mardi 10 mai 1864, p. 2, 5e colonne [lire en ligne]
- Le Journal de Québec, lundi 30 janvier 1865, p. 2, 4e colonne, "Faits divers" [lire en ligne] présence de "Gros Perrin" sur le pont de glace la veille, 29 janvier 1865
- "Le temps magnifique qu'il a fait hier, a invité la foule à diriger ses promenades sur le pont de glace. Sur les 3 ou 4 heures de l'après- midi, il ne pouvait pas y avoir moins de 8 à 10,000 piétons tant hommes que femmes, dont une partie faisait cercle autour des nombreux patineurs, pour être témoins de leurs tours d'agilité. Un tracé est déjà fait pour préparer les chevaux trotteurs aux grandes courses qui indubitablement auront lieu un peu plus tard. M. Le poète GrosPerrin, avec sa chanson intitulée, « Pont de glace, » y faisait aussi fureur. On y voyait des groupes se former autour de lui pour l'entendre chanter sa chanson qui lui attirait de nombreux applaudissements, et dont il faisait un grand débit, à raison de 3 d. par exemplaire. L ’ enthousiasme populaire, à l'endroit de M. Gros Perrin, était telle, que le poète a été obligé de rendre les armes et de déclarer qu'il n'avait plus la force de chanter, et que lorsqu'il aurait perdu la santé ce n'est pas l'argent qui la lui rendrait !"
- Morning Chronicle and Commercial and Shipping Gazette , mardi 14 février 1865, p. 2, 3e colonne [lire en ligne]
- "SONG FOR THE MILLION - The popular and eccentric Grosperrin has turned off a new batch of ballads of which copies have been sent us - including "Le Pont de Glace" - "L'Hermite et L'Orphelin" - "Les Scieurs Quebecquois" - "Le vieux Major de Salaberry" - "Les Voltigeurs de Quebec", &c. He sang all these ditties on the ice, on Sunday last, to the intense delight of thousands."
- L'Ordre [organe de l'Union catholique, Montréal : Plinguet & Laplante, 1858-1871], lundi 16 octobre 1865, p. 2, 3e colonne [lire en ligne]
- "On a bien voulu nous remettre "Les crimes célèbres" de M. Grosperrin, contenant la prière et l'examen de conscience de l'infortuné Barreau. Le ligueut[?, mot incertain] dont l'illustre poète s’est servi pour attacher Barreau au bourreau à la fin d’une dizaine de vers était de trop bonne qualité, assurément. M. Grosperrin est un de ces hommes dont la célébrité se cache dans un lointain avenir, et dont les œuvres sont incomprises de ses contemporains ; c’est une recommandation à la curiosité publique."
- Morning Chronicle and Commercial and Shipping Gazette, samedi 4 novembre 1865, p. 2, 3e colonne [lire en ligne]
- "A BATCH OF BALLADS - Our irrepressible friend, Grosperrin, sends us a broad-sheet covered with rhymes of the day. Barreau, the murderer, forms his principal dish, and our street troubadour serves him up in a variety of styles. A very long composition about the emancipation of the slaves in the United States is the most noticeable feature of the lot. Not the least amusing thing in the sheet is the following foot-note, which we translate for the benefit of our readers : "There are somme gossipping individuals who, in reading my manuscript, have had the stupidity to assert that my verses were devoid of French. I tell them boldly - they are asses, and remain their devoted Grosperrin.""
- L'Union nationale, 2 mars 1865, jeudi 2 mars 1865, p. 2-3 lire en ligne
- mercredi 1er mars 1865, p. 1-2 même récit que le 2
- 16 octobre 1865, p. 2 : Louis Fréchette critiquant dans Le Journal de Lévis la Chanson des cadets, qu'il nomme une Grosperrinade, tout en disant que Grosperrin ne voudrait pas signer cette chanson
- post de la Société historique de Québec du 30 janvier 2019 avec image de Grosperrin tirée de Wikimedia Commons (à propos de la présence de Grosperrin le 29 janvier 1865 au pont de glace)
Études
modifier- Paul-André Bourque, « Poèmes épars de Grosperrin », sur Dictionnaire des œuvres littéraires du Québec [édition en ligne], Éditions Fides, .
- <ref name="Bourque">{{harvsp|Bourque|1980}}</ref>
- pas de mention de Grosperrin dans le vol. 9 (1861-1862)
- Jeanne d'Arc Lortie, Yolande Grisé, Pierre Savard et Paul Wyczynski, Les Textes poétiques du Canada français, 1606-1867, vol. 10 : 1863-1864, Fides, , CV-842 p. (ISBN 2762119561 et 9782762119565). extraits Google Livres Grosperrin au Québec dans les années 1863-1864 d'après les journaux et ses écrits
- Jeanne d'Arc Lortie, Yolande Grisé, Pierre Savard et Paul Wyczynski, Les Textes poétiques du Canada français, 1606-1867, vol. 11 : 1865-1866, Fides, , CIII-876 p. (ISBN 2762120616). extraits Google Livres Grosperrin au Québec dans les années 1865-1867 d'après les journaux et ses écrits
- Jeanne d'Arc Lortie, Yolande Grisé, Pierre Savard et Paul Wyczynski, Les Textes poétiques du Canada français, 1606-1867, vol. 12 : 1866-1867, Fides, , CV-716 p. (ISBN 2762121876).
- Jeanne d'Arc Lortie, La Poésie nationaliste au Canada français (1606-1867), Québec, Presses de l'Université Laval, coll. « Vie des lettres québécoises » (no 13), , ix, 535. p. 389-391, 394, 396 et 482.
- John E. Hare, « Brochures québécoises du XIXe siècle : trésors découverts dans la collection de l’ICMH », Facsimile, Institut canadien de microreproductions historiques, no 13, , p. 6-8 (ISSN 0832-6045, lire en ligne). Difficulté de rassembler les poèmes de Grosperrin
- Donald Fyson, « Réforme carcérale et société carcérale : la prison de Québec de 1812 à 1867 », dans Louise Blair, Patrick Donovan et Donald Fyson, Étagères et barreaux de fer : une histoire du Morrin Centre, Québec, Septentrion, (ISBN 978-2-89448-776-1), p. 15-104. (exécution de John Meehan, ceux qui étaient emprisonnés et relâchés le jour même ne figuraient pas sur le registre d'écrou, explication pourquoi Grosperrin n'y figure pas ?)
- André Beaulieu et Jean Hamelin, La Presse québécoise des origines à nos jours, vol. 2 : 1860-1879, Québec, Presses de l'Université Laval, (notices sur les journaux des années 1860 avec lesquels Grosperrin interragit; p. 36 (Echo des imbéciles - datation 1863 ou 1865, utilisé pour daté Le Journal pour rire ou L'Oiseau moqueur - p. 48 notice Le Journal pour rire ou L'Oiseau moqueur - Grosperrin serait un pseudo selon eux)
- Mylène Bédard, « Quand le féminin se mêle à la satire politique. Le cas de la petite presse humoristique de Québec dans les années 1860 », Médias 19, (lire en ligne, consulté le ). (Contexte de la petite presse humoristique - date fictive de l'Écho des imbéciles)
- Rémi Tremblay
- Jean Levasseur, « La poésie humoristique : Rémi Tremblay et les relations amoureuses au XIXe siècle canadien », dans La comédie de l’amour. Actes du colloque du CORHUM organisé en 2005 par Lucie Joubert, @nalyses, printemps-été 2006 [lire en ligne] Grosperrin dans les écrits de Louis Fréchette (Originaux et Détraqués, 1892) et Rémi Tremblay (Pierre qui roule, 1923); influence éventuelle de Grosperrin sur R. Tremblay
- Jean Levasseur, « La chanson satirique, la littérature et l'Histoire au XIXe siècle : Rémi Tremblay et le Chansonnier politique du Canard (1879) », dans Lucie Hotte, dir., Se raconter des histoires : Histoire et histoires dans les littératures francophones du Canada, Sudbury, Éditions Prise de parole, collection Agora, 2010, (ISBN 9782894232538) p. 17-34 [lire en ligne] Grosperrin dans les écrits de Louis Fréchette et Rémi Tremblay; influence éventuelle de Grosperrin sur R. Tremblay pour la rédaction du Chansonnier politique du Canard, p. 21
- Aurélien Boivin, « Pierre qui roule, souvenirs de Rémi Tremblay », Dictionnaire des œuvres littéraires du Québec [édition en ligne sur BAnQ], Éditions Fides, (édition papier, 1980)
- Louis Fréchette
- Pascal Brissette, « Le poète malheureux au Canada : Fréchette, lecteur de l’abbé Pinard » Mémoires du livre, volume 3, numéro 2, printemps 2012. [lire en ligne] DOI 10.7202/1009344ar Fréchette fait de Grosperrin l'antithèse de Gilbert, qui est le modèle du poète malheureux
- Maurice Lemire, « Originaux et Détraqués, recueil de contes de Louis Fréchette »,
- André Lamontagne, « Originaux et détraqués: La ville hétérodoxe et mémorielle de Louis Fréchette », Benjamin Authers, Maïté Snauwaert et Daniel Laforest, éd., Inhabiting Memory in Canadian Literature / Habiter la mémoire dans la littérature canadienne, 2017
- Jean-Baptiste Côté
- Nicole Allard, « Un graveur et caricaturiste à l'aube de la Confédération », dans Mario Béland, Jean-Baptiste Côté, caricaturiste et sculpteur : catalogue d'exposition, Québec, Musée du Québec, (ISBN 2-551-17080-X), p. 33-65.
- Nicole Allard, Hector Berthelot (1842-1895) et la caricature dans la petite presse satirique au Québec entre 1860 et 1895, Mémoire de maîtrise (histoire de l'art), Université Laval, 1997 [télécharger]
- Mario Béland, « Jean-Baptiste Côté », sur Dictionnaire biographique du Canada [en ligne], University of Toronto / Université Laval, 2003- Article encyclopédique publié d'abord dans le Dictionnaire biographique du Canada, vol. 13, Presses de l'Université Laval, Québec, 1994.
- Hélène-Andrée Bizier, La Petit histoire du crime au Québec, vol. 1, Montréal, Stanké, , 222 p. (ISBN 2760401170).
- Chanteurs ambulants
- Chanteur des rues
- Heintzen, Jean-François. « Chanter le crime au xixe siècle », Romantisme, vol. 200, no. 2, 2023, pp. 20-32.
- Joseph Le Floc’h, « Chanteurs de rue et complaintes judiciaires, Quelques remarques à propos des complaintes françaises », Le Temps de l’histoire, 2001, hors-série, p. 93-103.
- Delarue Georges. La longue errance d'un chanteur ambulant au XIXe siècle. In: Le Monde alpin et rhodanien. Revue régionale d'ethnologie, n°1-4/1982. Croyances, récits & pratiques de tradition. Mélanges d'ethnologie, d'Histoire et de Linguistique en hommage à Charles Joisten (1936-1981) pp. 359-368.
- base de données Spectacles de curiosités
- base de données Complaintes criminelles en France, 1870-1940
- Actes du colloque : Les complaintes criminelles en France après 1870 : inventaire, problématisation, valorisation d’un corpus méconnu
- Musiciens ambulants, Encyclopédie canadienne
Liens externes
modifier- Donald Fyson, « John Meehan », Prisonniers, élèves et penseurs, sur Morrin Centre, (consulté le ) Récit de la pendaison de John Meehan à Québec, le 22 mars 1864. Mention de la « Complainte du condamné » vendue sur les lieux de l'exécution par Grosperrin, avec image de la chanson tirée du Morning Chronicle
- Vicky Lapointe, « La dernière pendaison publique à Québec [1864 »], sur Patrimoine, Histoire et Multimédia, 20 mars 2015. Récit de la pendaison de Meehan, avec renvoi vers les sources de l'époque. Aucune mention de Grosperrin.
- Publications de Grosperrin sur Internet Archive
- auteur Grosperrin sur Worldcat (avec mention d'écrits similaires publiés en France, peut-être dans les années 1880 ?)
Notes de travail
modifier- pistes à explorer
- fou littéraire ?
- études sur La Scie, La Scie illustrée
- https://archipel.uqam.ca/11695/1/M15670.pdf
- fait
auteur Grosperrin sur Worldcat (voir les mentions de publication en France)Faire une recherche "Grosperrin" dans les journaux et périodiques numérisés québécois
- mythe/personnage du cordonnier philosphe / politisation des cordonniers...
- HOBSBAWM Eric J, SCOTT Joan Wallach, « Des cordonniers très politiques », Revue d’histoire moderne & contemporaine, 2006/5 (n° 53-4bis), p. 29-50. DOI : 10.3917/rhmc.535.0029.
- PALPACUER Florence, « De l’activisme politique des cordonniers », Revue Projet, 2018/5 (N° 366), p. 35-41.
- à faire
- Facsimile (infolettre du Canadian Institute for Historical Microreproductions), Numéro 13, 1995, p. 7 et 33
- UL : Rayonnage compact Z 1370 F142 14 1995 (pas certaine qu'ils ont le numéro, à voir)
- dispo en ligne : http://www.canadiana.ca/publications_fr
- le bulletin en question renvoie à une page d'erreur, à voir (p. e. voir page équivalente anglaise?)
- défectueux aussi ici, les contacter? http://www.canadiana.ca/publications/archive
- finalement trouvé sur Wayback machine (version anglaise)
- et fr Wayback machine
- défectueux aussi ici, les contacter? http://www.canadiana.ca/publications/archive
- le bulletin en question renvoie à une page d'erreur, à voir (p. e. voir page équivalente anglaise?)
- dispo en ligne : http://www.canadiana.ca/publications_fr
- UL : Rayonnage compact Z 1370 F142 14 1995 (pas certaine qu'ils ont le numéro, à voir)
- La Clef de Paradis (pas sur Bnf)
Notes
modifier- Bizier et 1981 p. 66-71 (chap. "Le viol de la maison close 1864")
- Pour d'autres affaires criminelles où l'auteure a travaillé sur des complaintes : Bizier 1981, p. 58-65; 93-100, 101-106, 124-132, 133-150, 159-165, 166-173.
- Bizier 1981, p. 73.
- Bizier 1981, p. 79-81. (chap. Crime à Laprairie 1865)
- Textes poétiques, volume 11, p. LXXIII, 554.
- Pierre-Philippe Landry, « Liste des chants des cahiers de monsieur Placide Vigneau » [archive du ], sur Société historique de la Côte-Nord (consulté le ), d'abord publié dans Revue d'histoire de la Côte-Nord, numéros 67-68, 2019.
- Publiée dans Exécution de John Meehan : 5000 à 6000 personnes présentes, conduite du prisonnier, ses dernières paroles, complainte du condamné, Québec, Des Presses mécaniques du Canadien, 1864, p. 13-14 [lire en ligne]
- Attribué à Grosperrin par Lortie 1975, p. 390.
- Lortie 1975, p. 390
- Notice 01-1477780, Catalogue de la Bibliothèque de l'Université Laval, page consultée le 6 janvier 2018.
- datation proposée Textes poétiques, vol. 12, p. 203
- datation proposée Textes poétiques, vol. 12, p. 205
- Page institutionnelle de Jean Levasseur, Université Bishop (page consultée le 6 janvier 2017)
- Jean Levasseur, « Amérique du Nord : Québec » [Compte rendu critique de Robert Aird, Histoire politique du comique au Québec, Montréal, VLB Éditeur, 2010], Nouvelles Études Francophones, vol. 26, no 2, Automne 2011, [lire en ligne] DOI 10.1353/nef.2011.0057, p. 218.
- René Bouchard (dir.) et al., Culture populaire et littératures au Québec, Saratoga (Californie), Anma Libri, coll. « Stanford French and Italian studies » (no 19), (ISBN 0915838206), p. 95
- Georges Desmeules, « J'ai lu - Les Chercheurs d'aube » (compte rendu critique), Hebdo Garneau, Direction des communications et des affaires corporatives du Cégep Garneau, vol. 45, no 14, , p. 2 (lire en ligne).