Venasque

commune française du département de Vaucluse

Venasque
Venasque
Venasque.
Blason de Venasque
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Vaucluse
Arrondissement Carpentras
Intercommunalité Communauté d'agglomération Ventoux-Comtat Venaissin
Maire
Mandat
Dominique Plancher
2020-2026
Code postal 84210
Code commune 84143
Démographie
Gentilé Venasquais
Population
municipale
1 050 hab. (2021 en diminution de 0,76 % par rapport à 2015)
Densité 30 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 59′ 49″ nord, 5° 08′ 50″ est
Altitude Min. 137 m
Max. 639 m
Superficie 35,01 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Carpentras
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Pernes-les-Fontaines
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Venasque
Liens
Site web venasque.fr

Venasque est une commune française située dans le département de Vaucluse, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Venasque est l'un des 168 adhérents[1] de l'association Les Plus Beaux Villages de France.

Géographie modifier

Localisation modifier

Le village est à environ 11 km au sud-est de Carpentras par le CD 4, puis le CD 28 et à une trentaine de km d'Avignon.

Géologie et relief modifier

Le village de Venasque est situé sur un éperon rocheux aux flancs abrupts, au débouché des gorges de la Nesque. Le territoire de la commune comprend des terres cultivables vers la plaine de Carpentras, et des zones de garrigue sur les hauteurs des monts de Vaucluse.

La commune occupe donc un emplacement facile à défendre, permettant dans la plaine des cultures irriguées grâce à la Nesque, possédant des zones de garrigue fournissant le bois et permettant l'élevage des moutons. Enfin, c'est le début de la route qui mène à la vallée du Calavon, par Murs et la combe de Vaulongue vers Gordes. Passage défendu par la tour de Pinet qui se voit toujours sur une hauteur. Cette situation favorable a conduit très tôt à une occupation humaine.

Son sol calcaire bien mis en valeur par l'irrigation, a permis la création d'immenses jardins spécialisés dans la production de primeurs expédiés dans la France entière.

Voies de communications et transports modifier

Voies routières modifier

Transports en commun modifier

La gare la plus proche est la gare d'Avignon TGV.

La gare TER la plus proche est Carpentras. Petite navette en bas du village permettant de se rendre jusqu'à Carpentras.

Sismicité modifier

Les cantons de Bonnieux, Apt, Cadenet, Cavaillon et Pertuis sont classés en zone Ib (risque faible). Tous les autres cantons du département de Vaucluse sont classés en zone Ia (risque très faible). Ce zonage correspond à une sismicité ne se traduisant qu'exceptionnellement par la destruction de bâtiments[2].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 731 mm, avec 6 jours de précipitations en janvier et 2,7 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Murs », sur la commune de Murs à 9 km à vol d'oiseau[5], est de 13,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 757,8 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 42,4 °C, atteinte le ; la température minimale est de −13,2 °C, atteinte le [Note 1],[6],[7].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[8]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Hydrographie et les eaux souterraines modifier

Cours d'eau sur la commune ou à son aval[10] :

  • La commune de Venasque est arrosée par la Nesque,
  • ravin du défend,
  • combe de la fontaine du rupt.

L'eau courante fut définitivement installée, dans la commune, entre 1959 et 1965, auparavant il fallait aller à la fontaine.

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Venasque est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[11],[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Carpentras, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 21 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (68,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (69,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (63,8 %), zones agricoles hétérogènes (18,6 %), cultures permanentes (9,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,6 %), zones urbanisées (3,3 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie modifier

Le nom de la localité est attesté sous les formes Vindasca au IVe siècle, castro Venasca en 982[17], Vennasca en 1044[18].

Il s'agit d'un type toponymique en -asque (autrement -asc, -ache), terminaison que l'on rencontre du sud de la France jusqu'en Italie (-asca) et à laquelle les spécialistes attribuent une origine ligure, sous la forme d'un suffixe -asca[19].

Le premier élément Ven- peut représenter une racine préceltique *vĭn- ou *ven- ayant le sens de « montagne »[19]. Elle se retrouve en Provence dans Venanson (Alpes-Maritimes, Venacione 1067), peut-être Venelles (Bouches-du-Rhône, Venellis 973), en Corse dans Venaco (Ouenikion, IIe siècle) et aussi dans le Piémont, où on note un Venasca ainsi que dans les Pyrénées avec le Port de Venasque et Benasque qui a aussi donné son nom à la vallée de Bénasque. Cependant, comme dans le cas de Venelles, l'anthroponyme gaulois Venna est possible[19].

Une variante dotée d'une dentale *vĭn-t- / *ven-t- se retrouve dans le mont Ventoux et la montagne Sainte-Victoire, qui étaient tous deux des Mons Venturi, ainsi qu'en région provençale dans Venterol (Alpes-de-Haute-Provence), Venterol (Drôme), Vence, Ventabren, Ventavon[20].

Histoire modifier

Préhistoire et Antiquité modifier

Pierre tombale de Bohetius, évêque de Carpentras.

Dès l'époque paléolithique, puis surtout au Néolithique, on constate une intense fréquentation des grottes de la vallée de la Nesque, comme l'attestent :

  • le gisement de plein air néolithique ancien de Céron ;
  • la grotte de Unang, à mi-pente des falaises de la Nesque, dans laquelle un enseignant, Maurice Picard, découvrit en 1947 des vestiges de l'époque néolithique ;
  • la grotte des dents, vestiges de l'âge du bronze.

Venasque faisait partie du territoire des Memini, tribu gauloise dont le chef-lieu était Carpentras (Carpentorate Meminorum). L'archéologie et la toponymie montrent que Vindasca fut l'une des principales places fortes de cette tribu. Le territoire de la tribu des Meminiens s'est conservé dans celui de l'évêché de Carpentras, et celui du Comtat Venaissin.

Au Bas-Empire, le site de la ville actuelle eut ses défenses naturelles améliorées par une muraille barrant l’éperon, renforcées par trois tours semi-circulaires à pédoncule et doublées par un large fossé sec. Pour les fondations de ces remparts, on utilisa des blocs de pierre ouvragés, provenant probablement d'un édifice démoli pour ses pierres.

Le quartier de Notre-Dame-de-Vic (de vicus, bourg — aujourd'hui Notre-Dame-de-Vie) a livré des vestiges gallo-romains et surtout la pierre tombale de Bohetius, évêque de Carpentras (583-604).

Moyen Âge modifier

L'histoire de Venasque suit celle du comtat Venaissin. En 1125 il devient la propriété des comtes de Toulouse. En 1229, au cours de la Croisade des Albigeois, Raymond VII de Toulouse est vaincu par les troupes de la croisade et celles du roi de France et cède le comtat au pape. Le comtat resta aux papes jusqu'au , date à laquelle il fut réuni à la France.

Renaissance modifier

La Crucifixion, tableau de l'école d'Avignon, daté de 1498, orne l'église paroissiale Notre-Dame.

Le village eut à souffrir des guerres de religion, et fut assiégé en 1562 puis en 1564 par les troupes protestantes de François de Beaumont, baron des Adrets. Venasque ne fut jamais conquise : lors de ces deux sièges, des traîtres, achetés par les Réformés, furent découverts. Certains furent pendus à Avignon, un autre roué en place publique à Carpentras.

Époque moderne modifier

Venasque a été chef-lieu de canton durant la Révolution (du au 8 Pluviôse an IX ()).

Après la réunion à la France, Venasque subit aussi les effets de la Terreur : en 1793, dix-huit habitants, dont le premier maire J.-J. Cortasse et son prédécesseur le dernier consul J.-A. Morel, furent guillotinés à Orange[pourquoi ?].

Époque contemporaine modifier

L'histoire de Venasque est depuis lors l'histoire de France. La population de la commune diminua : il y avait 1 723 habitants en 1723, et seulement 371 en 1946. De plus, les habitants du village, dont beaucoup étaient exploitants agricoles, eurent tendance à descendre s'installer dans la plaine, près de leurs terres. Il y eut de plus en plus de maisons vides qui tombaient en ruine. Le mouvement s'inversa dans les années 1960, de nouveaux venus de France ou d'Europe vinrent s'installer et remirent en état ces maisons, soit pour y vivre en permanence : les « étrangers d'ici », ou seulement une partie de l'année : les « étrangers d'ailleurs ».

Politique et administration modifier

Hôtel de ville.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1790   J.-J. Cortasse    
1969 1975 Julien Ruel   Agriculteur
1975 1981 Rémi Rapetti   Commerçant
1981 En cours
(au 30 avril 2014)
Gaby Bezert UMP - Les Républicains Agriculteur, puis retraité

Population et société modifier

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[22].

En 2021, la commune comptait 1 050 habitants[Note 4], en diminution de 0,76 % par rapport à 2015 (Vaucluse : +1,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 1941 1171 0501 0931 0541 057983942984
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
9501 007938885830735680700646
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
595545524442422420410371407
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
5065195266567859661 1311 1721 017
2021 - - - - - - - -
1 050--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement modifier

  • Écoles maternelle et primaire[25].
  • Collège à Pernes-les-Fontaines et Mazan.
  • Lycées à Carpentras.

Santé modifier

Professionnels et établissements de santé[26] :

  • Médecins, dentistes, kinésithérapeutes à Malemort-du-Comtat et Saint-Didier,
  • Ostéopathes à Venasque,
  • Centre hospitalier à Carpentras et Avignon[27].

Cultes modifier

Culte catholique église Notre-Dame, paroisse de Saint Didier, Diocèse d'Avignon[28].

Économie modifier

Agriculture modifier

Cerisiers près de Venasque, le mont Ventoux en fond.

Les Venasquais se sont spécialisés dans la cerise (label Cerise de Venasque) et le raisin de table (muscat de Venasque, AOC muscat du Ventoux). De nos jours, la commune est essentiellement vigneronne et produit du raisin de table et un peu de vin AOC Ventoux. Les fourrés de yeuses et les chênaies sont producteurs de truffes.

Tourisme modifier

La plaine du comtat bénéficie de l'attrait touristique qu'engendre l'histoire de ses villages, le Mont Ventoux qui la domine au sud de son relief particulier, la richesse de ses sols et le résultat de son agriculture (œnotourisme en plein développement) et bien sûr son ensoleillement.

L'Institut Notre-Dame de Vie attire régulièrement de nombreux fidèles (et curieux) sur la commune.

L'on peut aussi ajouter comme attrait la proximité des gorges de la Nesque ou de la vallée du Luberon.

Petite hôtellerie, chambres d'hôtes, locations vacances, etc.

L'église Notre-Dame de Venasque.
Baptistère de Venasque.

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

Patrimoine religieux :

Patrimoine civil :

  • Enceinte du Bas-Empire romain[33] et remparts (à tort indiqués comme « Sarrasins »).
  • Bories et murs en pierres sèches : 240 bories sur la commune.
  • Mur de la peste.
  • La tour de Pinet.
  • Venasque possède sur le territoire de la commune plusieurs dizaines de bories abritant des cuves vinaires rupestres. Elles ont été découvertes et étudiées au cours des années 1990 par Michel Bouvier.
  • La fontaine[34].

Personnalités liées à la commune modifier

Héraldique modifier

Blason de Venasque

Les armes peuvent se blasonner ainsi[35] :

De gueules à la croix vidée, cléchée et pommetée d'or[36]

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. « Découvrez nos villages | Les plus beaux villages de France - Site officiel », sur www.les-plus-beaux-villages-de-france.org, (consulté le )
  2. Zonage sismique réglementaire de la France, classement des cantons (découpage fin 1989) de la région PACA, page 48
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Venasque et Murs », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Murs », sur la commune de Murs - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Murs », sur la commune de Murs - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  10. L'eau dans la commune
  11. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Carpentras », sur insee.fr (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  17. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France - Volume 1 - Page 63 Liren en ligne
  18. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 704a.
  19. a b et c ibidem
  20. Ibid. p. 704ab
  21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  25. Établissements d'enseignements
  26. Professionnels et établissements de santé
  27. Centre hospitalier de Montfavet
  28. Église Notre-Dame
  29. a et b « Eglise et le bâtiment (couloir voûté en plein cintre) qui la relie au baptistère », notice no PA00082205, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  30. Église Notre Dame
  31. Notice no PM84000643, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture tableau : la Crucifixion
  32. « Baptistère (actuellement église funéraire épiscopale de forme quadrilobée, appelée à tort) », notice no PA00082204, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  33. « Enceinte romaine », notice no PA00082206, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  34. La fontaine
  35. Ventoux - Comtat Venaissin (Sud) : Venasque, Vexillologie Provençale, sur le site personnel de Dominique Cureau
  36. Malte-Brun, in la France illustrée, tome V, 1884

Voir aussi modifier

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Bibliographie modifier

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Articles connexes modifier

Liens externes modifier