Wikipédia:Oracle/semaine 12 2016
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Tourniquet ou 360
modifierBonjour,
Comment appelleriez vous ce que fait la route a cet endroit 45° 24′ 51″ N, 5° 41′ 00″ E, sur la Route de Saint-Roch à ou près de Pierre Plate ou de Pierre Chave ?
J'appelais cela un 360° mais j'ai lu tourniquet, qui n'est pas mal non plus.
Dans tous les cas, j’ai peut-être mal cherché mais je n'ai rien trouvé dans Wikipédia, et un tout petit peu dans des guide touristiques.
Je n'ai pas vu si le modèle {{Coord}} insérait des catégories et autre problèmes dans le mode d'emploi. --CQui (discuter) 21 mars 2016 à 14:48 (CET)
- Cqui : bonjour. L'IGN le nomme Tourniquet de Pierre-Chave[1]. Père Igor (discuter) 21 mars 2016 à 15:23 (CET)
- Je connaissais celui-là (près de Savona en Italie...) qui est quand même sur une autoroute... --Serged/♥ 22 mars 2016 à 07:37 (CET)
- Les chemins de fer miniatures et les parkings urbains ont leurs rampes hélicoïdales, qui permettent de franchir des dénivelés importants sur des surfaces au sol réduites. Blue [ -02- ] 22 mars 2016 à 10:18 (CET)
- Voici les articles approchants qu'on a : boucle hélicoïdale plutôt axé ferroviaire, Boucle de Tehachapi qui est un cas particulier du précédent et sur laquelle les grands trains peuvent passer par-dessus eux-mêmes, et pour la partie routière Pont en spirale (où il est fait référence à l'autoroute italienne A6 près de Savone pour reprendre l'exemple de Serged). Blue [ -02- ] 22 mars 2016 à 16:17 (CET)
- Pont en spirale ne correspond pas vraiment vu que là, la route est le long de la montagne, une vallée très étroite, il n'y a que le passage au dessus de la route elle-même qui est un pont. Il faut que j'essaye d'y repasser pour faire des photos. --CQui (discuter) 23 mars 2016 à 15:53 (CET)
- En fait c'est le titre de l'article qui me trouble, la plus part des ouvrages présentés ne sont que partiellement des ponts, l'exemple de l'autoroute italienne est clairement un mélange de ponts et de tunnels, au croisement même la voie du bas étant dans un tunnel. Je renommerais bien tourniquet routier. --CQui (discuter) 23 mars 2016 à 16:29 (CET)
- <ma vie>J'ai emprunté le pont en spirale d'accès au pont de Nanpu, j'ai failli vomir dans le taxi...</ma vie> Mais malgré le fait que le pont donne un accès un pont (sic), la désignation "pont en spirale" est la seule qui renvoie des photos de ce qu'on cherche sur google image. Bertrouf 23 mars 2016 à 17:04 (CET)
- Pont en spirale ne correspond pas vraiment vu que là, la route est le long de la montagne, une vallée très étroite, il n'y a que le passage au dessus de la route elle-même qui est un pont. Il faut que j'essaye d'y repasser pour faire des photos. --CQui (discuter) 23 mars 2016 à 15:53 (CET)
- Je connaissais celui-là (près de Savona en Italie...) qui est quand même sur une autoroute... --Serged/♥ 22 mars 2016 à 07:37 (CET)
- « Tourniquet de Pierre-Chave » sur Géoportail.
Livres intégraux
modifierBonjour ! Il y a une dizaine d'années j'avais pris l'habitude de lire des livres entiers appartenant au domaine public sur un site appartenant à Wiki et dont je ne me souviens plus du nom. On y trouvait toutes les lettres de l'alphabet, on cliquait sur la lettre correspondant à l'auteur voulu et tous les auteurs commençant par cette lette apparaissaient. On cliquait ensuite sur l'auteur et tous ses romans apparaissaient. Il suffisait alors de cliquer sur le titre voulu et on pouvait lire le roman choisi dans sa totalité. J'ai recherché aujourd'hui ce programme mais ne l'ai pas retrouvé, ni dans Wikibooks, ni dans Wikisource : cet excellent outil aurait-il disparu ? Si oui, pourquoi ? Si non, comment puis-je de nouveau y accéder ? Je vous remercie par avance de votre réponse. Meilleures salutations, Luc Stiévenard 64000 PAU
- Wikisource. Index des auteurs.Dhatier discuter 21 mars 2016 à 17:19 (CET)
- Index des auteurs, le même en lien wikifié. --CQui (discuter) 25 mars 2016 à 15:26 (CET)
L'architecte G. Lobbé ou Lobbée
modifierBonjour tout le monde, A Paris, dans le XIIe arrondissement, Rue Fabre-d'Églantine, au numéro 9, il y a un étonnant immeuble de style néogothique, il a été construit sur la parcelle cadastrale 11 qui donne aussi sur la rue Jaucourt où on découvre une façade arrière (sans porte d'accès) d'un bâtiment de même style. Ces trois immeubles, il y en a un autre entre deux cours, ont été édifiés en 1896 d'après les plans d'un architecte peu connu G. Lobbé ou Lobbée. Je n'ai rien réussi à trouver sur ce personnage sauf la publication de l'annonce de son mariage en 1880 : « Publications de mariage du 6 juin 1880 », Journal des débats politiques et littéraires, 10 juin 1880, p. 3 : "M. Lobbé architecte, boulevard Voltaire, 141, et Mlle More, rue Béranger, 7". Cf. : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k461188m/f3.item.r=Lobbe.zoom. Est-ce que l'une ou l'un d'entre vous auriez des informations sur cet architecte ? Merci d'avance. Philippe Nusbaumer (discuter) 23 mars 2016 à 09:31 (CET)
- Il a eu pas mal de permis de construire déposés entre 1876 et 1939 : Paris 1876-1939 : les permis de construire (je n'ai pas cherché les dates limites d'activité, il m'aurait fallu parcourir toutes les pages du blog). L'adresse 141 boulevard Voltaire est confirmée. Bertrouf 23 mars 2016 à 16:06 (CET)
Terres cultivables
modifierBonjours les Oracles, quelle est la surface totale de terre cultivable dans le monde et combien d'hectares faut-il pour pouvoir nourrir un être humain durant une année ? Merci d'avance pour votre réponse . --Michelvincenzo (discuter) 23 mars 2016 à 22:11 (CET)
- Questions posées il n'y a pas longtemps. Voir les réponses ici Dhatier discuter 24 mars 2016 à 00:00 (CET)
- En fait, je pense qu'il est impossible de répondre correctement à cette question. Par exemple, les poissons ne se cultivent pas. Tout dépend de ce qu'on choisit de manger. --Lupercus (discuter) 24 mars 2016 à 01:51 (CET)
- En plus il n'y a pas d'absolu pour le sens du mot "cultivable", tout dépend du prix des productions végétales (comparées à d'autres usages du sol), lequel est en gros régi par l'interaction de l'offre et de la demande. De vastes superficies semi-arides ou au sol ingrat, aujourd'hui consacrées au pastoralisme, ne seraient propres à la culture que si la demande était très forte, alors que les grasses prairies de Normandie seraient facilement converties. — Ariel (discuter) 24 mars 2016 à 11:02 (CET)
- Salut Michelvincenzo, la réponse à la première question ne permet pas de répondre à la seconde. Ce que disait Le Grand Célinien dans la précédente question est exact, dans l'état actuel des choses le besoin en terres cultivables excède les ressources disponibles, c'est une chose que savent et disent depuis quelques temps les personnes intéressées par la question de l'empreinte écologique. Cela posé, la surface nécessaire pour nourrir un être humain dépend de ce qu'on y fait pousser, comment et pourquoi. Par exemple, une légumineuse a le triple intérêt d'un rendement élevé, de besoins faibles ou nuls en ressources et d'une efficacité énergétique haute, tout le contraire du maïs, ergo si on se nourrissait plus de légumineuses et moins de maïs, ça ferait baisser la surface nécessaire à nourrir un humain. De même, si l'humain moyen divisait par deux sa consommation de viande et autres produits animaux, il disposerait d'un coup d'une surface supplémentaire non négligeable ou, dans l'autre sens, aurait besoin d'une surface bien moindre pour assurer sa subsistance. Bref, et les exemples donnés (environ 9 ha pour un nord-américain hors Mexique contre moins de 2 ha pour une large part des Asiatiques) le montrent, il n'y a pas de surface précise pour nourrir un humain. >O~ ♦M♦ ~H< 24 mars 2016 à 22:23 (CET)
- Mais il y a sûrement une surface minimale, à nature du sol, climat et technologie donnés. — Ariel (discuter) 25 mars 2016 à 10:16 (CET)
- Salut Michelvincenzo, la réponse à la première question ne permet pas de répondre à la seconde. Ce que disait Le Grand Célinien dans la précédente question est exact, dans l'état actuel des choses le besoin en terres cultivables excède les ressources disponibles, c'est une chose que savent et disent depuis quelques temps les personnes intéressées par la question de l'empreinte écologique. Cela posé, la surface nécessaire pour nourrir un être humain dépend de ce qu'on y fait pousser, comment et pourquoi. Par exemple, une légumineuse a le triple intérêt d'un rendement élevé, de besoins faibles ou nuls en ressources et d'une efficacité énergétique haute, tout le contraire du maïs, ergo si on se nourrissait plus de légumineuses et moins de maïs, ça ferait baisser la surface nécessaire à nourrir un humain. De même, si l'humain moyen divisait par deux sa consommation de viande et autres produits animaux, il disposerait d'un coup d'une surface supplémentaire non négligeable ou, dans l'autre sens, aurait besoin d'une surface bien moindre pour assurer sa subsistance. Bref, et les exemples donnés (environ 9 ha pour un nord-américain hors Mexique contre moins de 2 ha pour une large part des Asiatiques) le montrent, il n'y a pas de surface précise pour nourrir un humain. >O~ ♦M♦ ~H< 24 mars 2016 à 22:23 (CET)
- En plus il n'y a pas d'absolu pour le sens du mot "cultivable", tout dépend du prix des productions végétales (comparées à d'autres usages du sol), lequel est en gros régi par l'interaction de l'offre et de la demande. De vastes superficies semi-arides ou au sol ingrat, aujourd'hui consacrées au pastoralisme, ne seraient propres à la culture que si la demande était très forte, alors que les grasses prairies de Normandie seraient facilement converties. — Ariel (discuter) 24 mars 2016 à 11:02 (CET)
- En fait, je pense qu'il est impossible de répondre correctement à cette question. Par exemple, les poissons ne se cultivent pas. Tout dépend de ce qu'on choisit de manger. --Lupercus (discuter) 24 mars 2016 à 01:51 (CET)
Bois des îles
modifierBonjour à tous,
Je suis tombé sur une description de presse à taille-douce dans laquelle il est fait mention de sa matière : elle serait faite en « bois des îles ».
Est-ce que quelqu'un a une idée de ce dont il s'agit ? Un arbre, un assemblage ?...
Merci pour tout éclaircissement.
Cordialement, --Daehan [p|d|d] 24 mars 2016 à 00:42 (CET)
- AMHA, c'est pas ça : [1] --Serged/♥ 24 mars 2016 à 07:40 (CET)
- Les bois des îles viennent principalement des Antilles, parfois d’Amérique centrale ou latine : bois de rose et de violette, ébène, amarante, palissandre, utilisés en marqueterie, ébénisterie fine ou lutherie. Souvent qualifiés par leur couleur, ils le sont aussi par leur odeur (violette, rose, sental) ou leur texture (satinés, veinés, marbrés). — Hautbois [canqueter] 24 mars 2016 à 08:38 (CET)
- Super, merci ! Est-ce que t'as une source, quelque part, stp ?
- Cordialement, --Daehan [p|d|d] 24 mars 2016 à 11:59 (CET)
- Il semblerait que cela soit un terme générique pour les bois exotiques, Philippe Nusbaumer (discuter) 24 mars 2016 à 14:01 (CET)24 mars 2016 à 13:30 (CET)
- Bonjour Philippenusbaumer,
- J'ai jeté un oeil à l'url que t'avais filé dans un deuxième temps. On y trouve :
- que le bois des îles est le bois de campêche : [2]
- les bois destinés à l'ébénisterie : acajou, ébène, palissandre, gayac, etc. (au contraire du bois destiné à la construction et autres) [3]
- Cette seconde source me paraissant plus convaincante, je penche en effet plutôt pour un terme générique pour les bois exotiques destinés à l'ébénisterie.
- Cordialement, --Daehan [p|d|d] 24 mars 2016 à 15:53 (CET)
- Il semblerait que cela soit un terme générique pour les bois exotiques, Philippe Nusbaumer (discuter) 24 mars 2016 à 14:01 (CET)24 mars 2016 à 13:30 (CET)
- Les bois des îles viennent principalement des Antilles, parfois d’Amérique centrale ou latine : bois de rose et de violette, ébène, amarante, palissandre, utilisés en marqueterie, ébénisterie fine ou lutherie. Souvent qualifiés par leur couleur, ils le sont aussi par leur odeur (violette, rose, sental) ou leur texture (satinés, veinés, marbrés). — Hautbois [canqueter] 24 mars 2016 à 08:38 (CET)
Des sources ?
- Lire p. 949 (« les essences rares provenant des forêts d'Asie et d'Amérique et des îles tropicales de l'Atlantique, de l'Océan Indien et du Pacifique, que l'on nomme pour cette raison les Bois des îles. »
- Lire l'article de Wp Meuble de port avec ses "Essences" et sa ref « Françoise Maillet, le mobilier Nantais, l’Estampille, avril 1985 et Décor Nantais de l’armateur au XVIIIe et son mobilier en bois des isles, 1984. »
- Lire Les bois d'ébénisterie.
- Certains spécifient le « bois des îles » en ébène --> linternaute
- ou en grenadille (ébène rouge) --> CNRLT.
Comment et quand est devenu Bruxelles francophone?
modifierLa plupart de toponymes (Molenbeek, Anderlecht) à Bruxelles sont néerlandais d'origine. Et beaucoup de bruxellois francophones ont de noms de familles néerlandais. Apparemment, la ville a parlé jadis néerlandais. De quelle manière et à quelle époque a changé la ville a parler français? Pardonnez mon mauvais français; je suis des Etats-Unis. Merci pour vos réponses. Marco polo (discuter) 25 mars 2016 à 18:33 (CET)
- Marco polo : Si tu sais lire en français, il faut aller sur l'article Francisation de Bruxelles (au moins lire le résumé introductif). Sinon, un copain te fera un rapide topo... C08R4 8U88L35Dire et médire 25 mars 2016 à 18:43 (CET)
- L'article équivalent en anglais 'en:Francization of Brussels' semble également très développé. -- Xofc [me contacter] 26 mars 2016 à 05:02 (CET)
Qui paie le concert des Stones à Cuba ?
modifierBonjour. Cette question car j'ai entendu au JT de France 2 ce soir que ce concert était gratuit, que le matériel resterait à Cuba etc.. Si on compte le voyage de pas mal de monde avec les stars, leur hébergement, ça doit faire une jolie ardoise. Même s'il sont plein au as, je ne vois pas comment c'est possible. Je vous remercie pour vos cogitations.--Jojodesbatignoles (discuter) 26 mars 2016 à 00:43 (CET)
- Non seulement, "ils sont pleins aux as", comme tu dis, mais il y a les retombées indirects. Comme, par exemple, pour le festival de Woodstock, qui finit par être gratuit, il y aura des retombées médiatiques et des "produits dérivés", comme les retransmissions télés, les CD et DVD du concert etc. Mais n'oublions pas que les Stones ont déjà fait des concerts gratuits (comme le tristement célèbre concert d'Altamont). --Serged/♥ 26 mars 2016 à 08:37 (CET)
Ententes frontalières
modifierBonjour, je recherche un article une fois trouvé par hasard sur Wikipedia à propos d'ententes historiques entre les communautés de part et d'autres de frontières nationales en Europe. Il s'agissait d'ententes pour régulariser les relations locales en cas de conflit national. Dans un cas il s'agissait d'une entente vielle de plusieurs centaines d'années (500?) et dont une communauté Française, je crois bien, était une des parties. L'affaire était célébrée par un monument. C'est un peu flou tout ça, et ça explique probablement ma difficulté à retrouver cet article en passant par des concepts généraux comme "frontière", "relations internationales", etc. Quelqu'un ici sait peut-être de quoi il s'agit. Merci pour lire ceci et pour le travail que vous faites ici. — Saveur (d)
- Bonsoir, il y a plein d'articles sur ce sujet dont le titre commence par Frontière entre...., voir celui-ci par exemple Frontière entre l'Espagne et la France, voir aussi l'article Tripoint. Philippe Nusbaumer (discuter) 26 mars 2016 à 18:47 (CET)
Pratique ouvrière consistant à cacher les bottes sur le chantier
modifierBonjour chères Pythies,
Aujourd'hui, dans le cadre du WP:MC, nous avons organisé une visite des Archives nationales du Québec à l'édifice Gilles-Hocquart. Nos guides Derfgiuliano et Fdaveau, archivistes de BAnQ, nous ont présenté ces bottes ci-contre trouvées sous l'escalier de la maison Jodoin lors de sa réfection, maison annexée à l'édifice Gilles-Hocquart et construite en 1871. Derfgiuliano disait qu'une pratique ouvrière de l'époque consistait à cacher la paire de bottes du dernier ouvrier à quitter le lieu d'un chantier.
J'aimerais en parler dans l'article, mais je ne trouve aucune source relatant cette pratique ; je ne sais même pas si c'est propre au Québec. Peut-être qu'avec votre savoir sans fin chères Pythies, vous pourriez trouver une source ? Merci à l'avance pour votre aide. Cordialement, Benoit Rochon (discuter) 27 mars 2016 à 01:41 (CET)
- Dans les traditions du bâtiment, on a aussi le bouquet final. (J'ai vu récemment une émission sur les toits de Paris (?) où les couvreurs-zingueurs retrouvaient souvent des vestiges du passé lors des réfections (mais je ne me souviens plus si certains avaient été laissés à dessein...)) -- Xofc [me contacter] 27 mars 2016 à 05:55 (CEST)
- Je notifie Fdaveau et Derfgiuliano, archivistes de BAnQ, ils pourraient peut-être avoir des sources sur cette pratique qui nous échappent. Je trouve cette histoire digne de mention, et j'aimerais bonifier les articles concernés avec des sources. Cordialement, Benoit Rochon (discuter) 27 mars 2016 à 07:39 (CEST)
- T'as des bottes, mon pote, elles m'bottent. Syrdon (discuter) 27 mars 2016 à 14:54 (CEST)
- @Benoit Rochon. Les offrande pour les « mauvais esprits » étaient assez courantes. J'ai lu, je ne sais plus dans quel ouvrage, qu'en Alsace (et plus largement dans l'espace allemand) on pratiquait l'offrande du chat. Cependant on pouvait aussi aussi enterrer d'autres petites choses (verres, bouteilles). Le félins était enterré sous seuil de la porte d'entrée de la maison ou dans le grenier sous la charpente. Lors de la rénovation de la Mairie de Bouxwiller deux chats momifiés ont été découvert dans les combles (photo). Ce bâtiment a été construit entre 1658 et 1663. Pour les liens entre la maison et ses hôtes surnaturels, lire : Claude Lecouteux, La maison et ses génies, Paris, éditions Imago, 2000, 202 pages. Ses autres ouvrages sont pas mal non plus pour qui s'intéresse aux croyances issues du Moyen-Âge voire de l'Antiquité (sorcière, fantôme, loup-garou). Plus en lien avec notre sujet : Démons et génies du terroir au Moyen Âge, 1995, 230 pages. Soutekh67 (discuter) 28 mars 2016 à 10:15 (CEST)
- L’article La Colombe (cabaret) (cabaret situé dans l’île de la Cité à Paris) indique : « Un squelette de chat découvert entre plafond et plancher au 1er étage atteste de l’âge de la maison : en Île-de-France au XIIIe siècle, on y emmurait un chat noir vivant pour conjurer le malin à chaque construction nouvelle. » PCC Alphabeta (discuter) 28 mars 2016 à 20:40 (CEST)
- Je n'ai pas eu de mal a trouver une ou deux sources pour cette tradition des chaussures au Canada, par exemple mais rien pour la France. --CQui (discuter) 30 mars 2016 à 14:48 (CEST)
- L’article La Colombe (cabaret) (cabaret situé dans l’île de la Cité à Paris) indique : « Un squelette de chat découvert entre plafond et plancher au 1er étage atteste de l’âge de la maison : en Île-de-France au XIIIe siècle, on y emmurait un chat noir vivant pour conjurer le malin à chaque construction nouvelle. » PCC Alphabeta (discuter) 28 mars 2016 à 20:40 (CEST)
- @Benoit Rochon. Les offrande pour les « mauvais esprits » étaient assez courantes. J'ai lu, je ne sais plus dans quel ouvrage, qu'en Alsace (et plus largement dans l'espace allemand) on pratiquait l'offrande du chat. Cependant on pouvait aussi aussi enterrer d'autres petites choses (verres, bouteilles). Le félins était enterré sous seuil de la porte d'entrée de la maison ou dans le grenier sous la charpente. Lors de la rénovation de la Mairie de Bouxwiller deux chats momifiés ont été découvert dans les combles (photo). Ce bâtiment a été construit entre 1658 et 1663. Pour les liens entre la maison et ses hôtes surnaturels, lire : Claude Lecouteux, La maison et ses génies, Paris, éditions Imago, 2000, 202 pages. Ses autres ouvrages sont pas mal non plus pour qui s'intéresse aux croyances issues du Moyen-Âge voire de l'Antiquité (sorcière, fantôme, loup-garou). Plus en lien avec notre sujet : Démons et génies du terroir au Moyen Âge, 1995, 230 pages. Soutekh67 (discuter) 28 mars 2016 à 10:15 (CEST)
- T'as des bottes, mon pote, elles m'bottent. Syrdon (discuter) 27 mars 2016 à 14:54 (CEST)
- Je notifie Fdaveau et Derfgiuliano, archivistes de BAnQ, ils pourraient peut-être avoir des sources sur cette pratique qui nous échappent. Je trouve cette histoire digne de mention, et j'aimerais bonifier les articles concernés avec des sources. Cordialement, Benoit Rochon (discuter) 27 mars 2016 à 07:39 (CEST)
A lire : chaussure cachée (en) --CQui (discuter) 30 mars 2016 à 14:54 (CEST)
Bernard Accoyer
modifierVous indiquez : Bernard Accoyer possédait un garage à Annecy-le-Vieux en mars 1989. Où est la preuve ? — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 89.158.159.197 (discuter), le 27 mars 2016 à 22:54 (CEST/UTC+0200)
- Il vaut mieux utiliser la page de discussion de l'article Bernard Accoyer (d · h · j · ↵) (lire Aide:Discussion) et, éventuellement, utiliser le modèle {{refnec}} ou {{refsou}} dans l'article. Notez cependant qu'il y a plus d'un millions d'articles et quelques milliers de contributeurs qui ne s'intéressent pas tous à cet article (lire Aide:Liste de suivi). Si c'est urgent, éventuellement aussi, passer par le Bistro (WP:LBDJ). Si c'est une erreur flagrante, vous pouvez également corriger l'article lui-même (WP:BOLD). -- Xofc [me contacter] 28 mars 2016 à 07:25 (CEST)