Wikipédia:Oracle/semaine 24 2009

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Comment Google classe-t-il ses pages ? modifier

(repris de la page de la semaine précédente)

Salut,

L'explication de l'article PageRank ne répond qu'en partie à mon interrogation, et celle sur Google n'y répond pas vraiment. Je me pose cette question, suite à celle de la semaine passée sur le mastermind multijoueur, par le constat que le moteur actuel n'indexe plus comme il le faisait il y a quelques années, quand j'avais observé son fonctionnement pendant quelques semaines.

À l'époque (fin 2004-début 2005), sauf pour la partie Google News, le délai de mise à jour d'une page indexée était de l'ordre d'une semaine, plus ou moins trois jours ; désormais certains sites sont actualisés en temps réel ou peu s'en faut, dont Wikipédia. Je présume que les autres pythies auront constaté comme moi qu'une recherche sur une question qui vient tout juste d'être posée fait apparaître presque toujours la page de l'Oracle où elle figure dans les tous premiers résultats, et plus spectaculaire (de mon point de vue), les multiples copies des pages de WP qui traînent sur le Net entrent assez vite dans la liste des pages trouvées.

Par contraste, j'ai pu constater que les délais de mise à jour pour les sites plus confidentiels sont à peine inférieurs à ceux d'il y a quatre ans, et sont de l'ordre de trois à six jours, ce qui fait une différence...

Quelque augure saurait m'indiquer une étude sérieuse, et récente (si possible en français mais en anglais, espagnol, italien et portugais acceptés), sur la manière dont fonctionne actuellement le moteur de Google, et s'il existe des sortes de contrats entre cette société et certains sites (hors ceux de Google News) pour effectuer ces mises à jour rapides, ou s'il s'agit d'un choix stratégique ?

Merci d'avance pour vos éclaircissements. -O.M.H--H.M.O- 8 juin 2009 à 06:04 (CEST)[répondre]

PageRank est la partie publique de la méthode Google. Dans la pratique, il est modulé par des recettes de cuisine qui sont bien sûr secrètes... ceci dit rien n’empêche de chercher à les deviner... rv1729 8 juin 2009 à 07:48 (CEST)Un bon mot clef : web crawl ou web crawling[répondre]
Mon expérience dans la matière montre que les robots de Google passent avec une période proportionnelle à la période de mise à jour. Un site mis à jour continuellement (comme Wikipédia) va être indéxé quasiment en temps réel, alors qu'une page personnelle qui n'est jamais mise à jour ne verra pas souvent le robot Google. Après, il est tout à fait possible que Google adapte cette stratégie en fonction des gros sites (je n'appellerais pas ça "partenaires"). Arnaudus (d) 8 juin 2009 à 10:44 (CEST)[répondre]
Ça paraît logique. Il me semble d'ailleurs que ça correspond à une majorité des algorithmes qui définissent les stratégies des robots d'indexation et qui visent à optimiser leur charge de travail. Merci de ta réponse. -O.M.H--H.M.O- 8 juin 2009 à 10:54 (CEST) – Tiens ben, du coup ça a orienté ma recherche vers des pages décrivant le travail de Googlebot, et sur celle-ci, il y a une explication (en français en plus) du phénomène, qui correspond bien à ton observation : « [...] une bonne partie des pages sont mises à jour de temps en temps. D'ailleurs la fréquence de visite de GoogleBot sur une page web dépend de son PageRank : plus il est grand, plus il l'indexera souvent ». -O.M.H--H.M.O-[répondre]
Rien à voir : le PageRank n'est pas proportionnel à la fréquence des changements sur un site. Un site complètement figé peut très bien avoir un gros PageRank. rv1729 8 juin 2009 à 11:12 (CEST)[répondre]
Quelque chose à voir quand même : il semble que la mise à jour des index tienne en partie compte du PageRank des sites et des pages, mais l'explication que j'ai trouvée en premier est à l'évidence insuffisante. Du coup j'ai mieux cherché, et trouvé un petit article intéressant sur le sujet qui dans sa deuxième partie expose des techniques d'indexation optimisées dont l'auteur suppose que, au vu de l'évolution des méthodes de GoogleBot, il doit avoir été modifié pour fonctionner d'une manière similaire. -O.M.H--H.M.O- 8 juin 2009 à 11:30 (CEST)[répondre]
Oui, mais ça n’est plus le PageRank « classique »... Google utilise sans doute plusieurs scores différents, de toutes façons. rv1729 8 juin 2009 à 11:58 (CEST)[répondre]
D'autres sources [1] & [2] à picorer.--Doalex (d) 8 juin 2009 à 13:54 (CEST)[répondre]
Merci pour tout et merci à tous. -O.M.H--H.M.O- 9 juin 2009 à 23:47 (CEST)[répondre]

team fps modifier

bonjour a tous!

Je souhaiterais faire un article sur une team de joueurs opérant sur tactical ops 3.4 ( fps en ligne ) Je ne dispose que de leur website officiel comme source pour l'article : http://www.vikings.frbb.net/ est-ce suffisant ? Comment puis-je être certain que l'article ne sera pas effacé ? Puis-je citer la team dans l'article wikipedia tactical ops : assault in terror ou est-il reservé uniquement aux caractéristiques techniques du jeu ?

merci d'avance pour les réponses (posté par Cb13racing (d · c · b) le 8 juin 2009 à 11:44)

Salut. La page de l'Oracle n'est pas l'endroit adapté pour poser ta question : sont rôle est de répondre à des interrogations sur des sujets à caractère (plus ou moins...) encyclopédique et non de donner des conseils sur la création ou la modification d'articles. Je vais donc te donner une réponse sur ta page de discussion. -O.M.H--H.M.O- 8 juin 2009 à 12:06 (CEST)[répondre]

ok merci beaucoup

Un team pour un jeu vidéo c'est non admissible sauf si elle a gagné des championnats importants. Koko90 (d) 8 juin 2009 à 16:40 (CEST)[répondre]

Vendre un site internet utilisant une partie de code sous licence GPL modifier

Bonjour très chères Pithyes !

Je suis créateur de site Internet que je vends à des entreprises. Actuellement sur un projet, je souhaite intégrer dans le site une partie d'un code JavaScript développé et distribué sous licence GPL. Puis-je utiliser ce code dans mon site et vendre celui-ci ? Sauriez-vous me dire, omniscientes Pithyes, s'il y a des règles particulières que je doive suivre ?

Dans l'attente de votre réponse éclairée, je sacrifierai en votre honneur 42 ornithorynques vierges lors de la prochaine pleine lune.

Fred BBM

Salut. Les licences libres ! C'est l'usine à gaz... Il n'y a pas de réponse simple à ta question car il n'y a pas de manière unique d'utiliser une licence. Dans ton cas, celui d'une licence GPL, il te faut vérifier sous quelle variante précise le code est placé. À la fin de l'article tu trouveras plusieurs liens vers des pages d'information en français et en anglais (notamment une FAQ) sur la licence. En tout état de cause, une chose est impérative pour la réutilisation de code GPL : qu'il soit inclus dans un objet sous licence GPL. -O.M.H--H.M.O- 8 juin 2009 à 12:49 (CEST)[répondre]
Il y a en effet une différence entre la GPL v2 et la GPL v3 sur ce point précis.
  • Si le code est sous GPL v2, la situation est relativement simple: le code est transmis à votre client. Vous devez donc fournir à votre client les sources de ce code, les sources de l'ensemble du "module" (difficile de définir ce qu'est un programme dans le sens de la GPL quand on parle d'applications web, mais je pense qu'on peut raisonnablement penser qu'il s'agit de l'ensemble du module qui inclut le code GPL, il faut que le truc soit fonctionnel et autonome), et il faut placer l'ensemble de ces sources (c'est à dire le code GPL et le reste de votre code) sous GPL v2 (ou une version ultérieure si autorisé par la licence initiale).
  • Si le code est sous GPL v3, ça peut être plus compliqué. Je ne suis pas sûr d'avoir bien compris les subtilités de la v3, mais il est possible que votre client doive également fournir le code sous GPL à ses utilisateurs (c'est à dire aux gens qui utilisent le site).
Dans tous les cas, vous pouvez vendre ce que vous voulez et faire autant d'argent que vous pouvez, la GPL est une licence libre. Les conditions de la GPL portent simplement sur la redistribution du code à vos clients (et éventuellement à leurs propres clients/utilisateurs); la GPL va "contaminer" votre propre code (l'ensemble du projet passe sous GPL) et vous donnez à vos clients les mêmes libertés que celles que vous avez eu (modification, utilisation et distribution du code GPL). Pour les détails, il faudrait consulter un juriste, surtout si vous essayez de faire des choses pas forcément très propres avec (comme d'essayer d'empêcher vos clients de redistribuer le code comme ils le souhaitent, ou d'isoler le code GPL dans un module à peine fonctionnel pour mettre le reste sous une licence de votre choix, c'est à dire des choses qui ne sont pas dans l'esprit de la GPL mais qui peuvent se concevoir du fait que la GPL v2 n'a pas été conçue pour les applications web. Arnaudus (d) 8 juin 2009 à 14:35 (CEST)[répondre]
Tu ne vends pas des sites internet : tu crées des sites internet pour des clients. Tu as tout à fait le droit de facturer ton expertise, ton travail etc., même si tu utilises et installes des logiciels libres. C'est d'ailleurs comme ça que vivent de nombreuses sociétés qui distribuent des logiciels libres (Canonical, Mandriva etc.). --Serged/ 8 juin 2009 à 14:48 (CEST)[répondre]
Peut-être, mais de toutes manières tu as parfaitement le droit de vendre des logiciels libres, donc le problème ne se pose pas. Arnaudus (d) 8 juin 2009 à 16:12 (CEST)[répondre]

statistique d'usage d'articles lois répressives modifier

Bonjour bonjour

Relisant eugénisme, j'y ai vu que en France, en théorie, c'est interdit et réprimé (sévèrement : on peut prendre 30 ans voire perpet' si c'est en bande organisé !) par les articles L 214-1 et L 214-3 du code pénal. Je doute fort que cette loi ait fait la moindre application (sinon, je vois mal comment les députés qui ont rendus possible les avortements thérapeutiques et les équipes qui les réalisent échappent à la prison...), mais comment puis-je m'en assurer ?

Autrement dit : existe-t-il quelque part un catalogue des dispositions répressives, avec le nombre et les références des jugements qui les ont utilisé au cours d'une année (dans l'exemple : nombre de jugements faisant références à l'article L 214 : zéro ; L 222 : N milliers...) ?

gem (d) 8 juin 2009 à 16:08 (CEST)[répondre]

Salut.
Je ne pense pas que ce genre de documents soit disponible librement sur Internet (autant que je me souvienne, la publicité des jugements au pénal est interdite). Pour les « dispositions répressives », elles sont dans la loi (pas de dispositions réglementaires pour ces articles, voir sur Légifrance le Code pénal en ligne). Il existe de nombreux ouvrages pour juristes qui contiennent des arrêts et des éléments de jurisprudence – un éditeur assez connu dans le domaine est Dalloz ; il y a peut-être ce que tu recherches dans son catalogue.
Sinon, de fait la France est un État qui accepte, y compris par la loi, et parfois encourage des pratiques eugéniques, qu'elles soient négatives, comme dans le cas de l'avortement l'IVG thérapeutique, ou positives comme dans celui des méthodes de procréation médicalement assistée, mais il s'agit dans tous les cas de pratique individuelles qui nécessitent le consentement des personnes qui s'y soumettent ou les réclament. Ce que vise l'article 214-1 est « une pratique eugénique tendant à l'organisation de la sélection des personnes », c'est-à-dire une pratique systématique réalisée par une autorité individuelle ou collective (médecin, clinique, responsable politique, État) ou par un groupe, à l'insu des personnes qui y sont soumises ou contre leur consentement. La partie du Code pénal où se trouve cet article est un sous-titre du titre traitant des « crimes contre l'humanité et contre l'espèce humaine » et se place plutôt dans la continuité des lois inspirées par celles définies pour ou peu après le procès de Nuremberg. -O.M.H--H.M.O- 9 juin 2009 à 01:28 (CEST)[répondre]

Les méthodes de procréation assistées ne sont pas eugéniques !! rv1729 9 juin 2009 à 09:54 (CEST)[répondre]

Bien sûr que si. Comme le précise l'article de Wikipédia « L’eugénisme peut être désigné comme l’ensemble des méthodes et pratiques visant à améliorer le patrimoine génétique de l’espèce humaine » ; de ce fait il y a donc un eugénisme « négatif » (au sens neutre de soustractif), éliminer la part de la population qui n'a pas un « bon patrimoine » ou l'empêcher de se reproduire, comme ça se fait par exemple en Inde, et un eugénisme « positif », inciter la population qui a un « bon patrimoine » à se reproduire, comme ça se fait à Singapour.
L'eugénisme pose un problème simple : quels sont les critères objectifs pour définir un « bon patrimoine » et un « mauvais patrimoine » ? Une réflexion sur ce sujet conduit à comprendre assez vite qu'il n'y en a pas : pour les nazis le « bon patrimoine » est celui qui favorise la naissance de personnes grandes et blondes ; à l'évidence, ça ne peut pas être un critère pertinent en Inde ou à Singapour. Dans une société qui met en valeur la force et l'agressivité le « bon patrimoine » est celui qui produira des personnes fortes et agressives ; dans celle qui met en avant les capacités intellectuelles et l'habileté manuelle, on aura d'évidence d'autres considérations sur ce qu'est un « bon patrimoine ». Etc.
Partant de ce constat, on doit comprendre que les eugénistes sont amenés à déterminer des critères objectivables et, dans tous les cas où l'on observe une politique d'État eugéniste explicite (Inde, Singapour) ou implicite (France, Suède, Canada) durable, il apparaît que le déterminant pour un « bon patrimoine génétique » est... non génétique. Le cas général, qui pour les reprendre est celui à la base des politiques eugénistes officielles de l'Inde et de Singapour, est de considérer que la détention d'un capital économique ou/et culturel élevé est l'indice d'un bon patrimoine génétique, raison pour laquelle en Inde on incite les pauvres à se faire stériliser, et à Singapour, quand elles procréent on favorise financièrement (par des baisses d'impôts) et socialement les personnes ayant déjà les positions les plus favorables dans la société.
La procréation médicalement assistée (la PMA) n'est pas en soi eugénique, mais de fait les personnes qui peuvent y faire appel sont celles qui ont les meilleures ressources financières et culturelles ; dès lors, un État qui incite les couples infertiles ou difficilement fertiles à procréer par les méthodes de la PMA favorise implicitement les tendances eugénistes de type spencérien. -O.M.H--H.M.O- 9 juin 2009 à 11:32 (CEST)[répondre]
PS. Conprends bien qu'il ne s'agit pas d'un jugement de valeur mais d'un simple constat, pour moi je n'ai pas d'opinion sur la légitimité ou l'illégitimité des politiques eugénistes (même si je suis philosophiquement et aussi d'un point de vue pragmatique assez peu favorable à ça), simplement il est évident que, sans en faire une politique officielle, la France (à l'instar de la plupart des sociétés développées) tend à favoriser, par sa législation et par l'organisation de ses services de santé, un eugénisme individuel tant négatif que positif. -O.M.H--H.M.O- 9 juin 2009 à 11:39 (CEST)[répondre]

Bien sûr que non. La PMA est connue pour être, au contraire, dysgénique. L’exemple le mieux documenté est celui de la mucoviscidose : grâce à la PMA des familles ayant un enfant atteint continuent à faire des enfants (dont deux sur trois sont hétérozygotes pour la mutation) alors qu’avant que les techniques utilisées soient disponibles, la majorité de ces familles cessaient d’avoir des enfants.
Quant à ton argumentation sur le niveau des ressources financières et culturelles... il est possible que tu penses que ce niveau est déterminé par les gènes. Dans ce cas, je pense qu’il est préférable d’interrompre immédiatement cet échange de vues. Dans le cas contraire, tu conviendras que la PMA n’est pas eugénique. rv1729 9 juin 2009 à 11:53 (CEST)[répondre]

Il y a un problème : tu sembles croire que l'eugénisme s'appuie réellement sur des critères génétiques, ce qui n'est que rarement le cas. Ne m'attribue pas une opinion qui n'est pas la mienne : je ne crois ni ne pense que le « niveau [de patrimoine économique et culturel] est déterminé par les gènes », et pour tout dire, je ne crois ni ne pense qu'une telle chose que le « bon patrimoine génétique », existe. Je constate simplement que les politiques eugénistes durables ont pour critère de détermination principal le niveau de ressources culturelles et financières, ce qui ne préjuge en rien, ni de leur validité ni de leur efficacité.
Objectivement, la PMA est en effet dysgénique, ce qui n'arrête pas pour ça les eugénistes et spencéristes d'estimer que les méthodes de procréation qui favorisent les favorisés sont « eugéniquement efficaces ». Là-dessus, mon cher, si tu te prends à croire que les pythies adhèrent aux théories ou pratiques qu'elles exposent, il y a un problème. -O.M.H--H.M.O- 9 juin 2009 à 12:05 (CEST)[répondre]
Il y avait 2 questions en fait, dont une en trop...--Doalex (d) 9 juin 2009 à 13:06 (CEST)[répondre]
Donc nous sommes d’accord. Pour ma part je n’ai aucune lumière sur « les eugénistes et spencéristes », je me réfère à l’usage de la PMA en France, où tout le monde est bien conscient qu’il est dysgénique (à part quelques curetons pas bien réveillés). rv1729
Dommage, c'est un domaine de connaissance à découvrir. Quand on s'intéresse au sujet on apprend des choses assez surprenantes pour les conceptions de l'époque actuelle sur la question, notamment que l'eugénisme est au départ un projet progressiste (on pourrait dire de nos jours « libéral de gauche ») qui se distingue en cela du spencérisme, abusivement dénommé « darwinisme social », qui est une doctrine conservatrice voire réactionnaire. Ce n'est qu'au XXe siècle que les deux courants ont en partie convergé.
Même si les choses se brouillent donc par après, l'eugénisme se rattache au départ à l'hygiénisme et vise aussi à une amélioration générale de la santé publique, en ce cas par la sélection des meilleures lignées, tandis que le spencérisme se rattache au malthusianisme et vise à la « survie des meilleurs » par l'élimination des « bouches inutiles ». Dans un cas comme dans l'autre, et aussi dans le cas des idéologies eugénistes plus récentes, il ne faut de toute manière pas chercher de rationalité réelle ; comme l'écrivit Gregory Bateson à propos d'autre chose, mais ça vaut aussi pour ce cas, « d'un ensemble inconsistant d'axiomes, on ne peut pas déduire un corpus consistant de théorèmes »
Quand on part de l'idée qu'il existe des lignées ou des individus « génétiquement meilleurs » et qu'on postule que la position sociale des individus ou lignées est l'indice de cette qualité génétique, il devient alors normal d'en conclure que des méthodes de procréation facilitant leur reproduction sont « eugéniques », même si la simple logique permet de comprendre que la conséquence évidente de la PMA est de permettre la reproduction de personnes qui ont des problèmes génétiques entravant leur fertilité... -O.M.H--H.M.O- 9 juin 2009 à 15:44 (CEST)[répondre]
En complément. Je n'avais pas relevé ta remarque sur le fait que en France « tout le monde est bien conscient qu’il est dysgénique (à part quelques curetons pas bien réveillés) » ; étant moi-même peu favorable aux religions je comprends ton anticléricalisme mais il te fait passer à côté de ce fait : la plupart des Églises chrétiennes et en premier lieu celle catholique sont assez défavorables au méthodes de la PMA, préférant les méthodes naturelles de procréation, la stérilité étant l'une des nombreuses « croix à porter » qui nous guettent, nous autres pauvres pécheurs. Et bien sûr, les fortes dépenses que consent le corps social pour financer des méthodes de très faible efficacité montre que la conscience de ce dysgénisme est assez minoritaire.
Pour l'efficacité, à une époque où je m'étais penché sur la question j'ai constaté que le taux de réussite des techniques de PMA varie de 40% pour celle qui ne fait qu'aider la nature, l'insémination artificielle, à moins de 15% pour la plupart des autres, et à peine 25% pour l'ovulation forcée. Avec ce problème que le taux de réussite n'évolue plus depuis des années, et pour les deux (relativement) plus efficaces, depuis des lustres. Comme je l'écrivais à l'époque, « ça ne marche pas terrible. Vous imagineriez qu'on présente comme un succès le fait qu'un chirurgien réussisse, selon les cas, entre 5% et 35% des ses interventions ? C'est pourtant ce que l'on fait pour la PMA ». Ce qui rejoint mon constat précédent : il ne faut pas chercher de logique rationnelle dans la pulsion des humains à accomplir certains actes dont on peut prévoir aisément l'inefficacité. -O.M.H--H.M.O- 11 juin 2009 à 11:25 (CEST)[répondre]
Je crois que c’est toi qui passe à côté de ce fait : « la plupart des Églises chrétiennes et en premier lieu celle catholique sont assez défavorables au méthodes de la PMA » et crient à l’eugénisme pour justifier leur position.
Les professionnels de la santé au moins sont conscient du dysgénisme de la pratique. Je ne vois pas pourquoi la conscience de ce dysgénisme serait un obstacle au financement de ces pratiques. rv1729 11 juin 2009 à 11:51 (CEST)[répondre]
Mmm... Tu attends plus de cohérence de la part des Églises que de celle des eugénistes ? Émoticône sourire -O.M.H--H.M.O- 11 juin 2009 à 12:53 (CEST)[répondre]

Pourquoi le beurre est-il jaune ? modifier

La Motte de beurre par Antoine Vollon.

Le beurre vient de la crème, blanche. Qu'est-ce qui lui donne cette couleur jaune ? Merci.

C'est indiqué dans l'article beurre, vers la fin du premier paragraphe.... un tout petit peu de lecture vous aurait répondu si facilement. Dhatier jasons-z-en 8 juin 2009 à 22:31 (CEST)[répondre]
Je sais lire, mais merci tout de même d'avoir essayé de me répondre (quoique je sente poindre une once de mépris dans votre réponse ;-) ) , je répète donc ma question, pourquoi, alors que la crème est blanche, le beurre est-il jaune ? (l'alimentation de la vache est certes intéressante, mais n'explique pas ce changement de couleur lors du passage de la crème au beurre ) Merci
Puisque vous demandez pourquoi la crème est blanche et le beurre est jaune, je subodore que la proportion de matière grasse/eau y est pour beaucoup, et surtout la préparation: le battage mécanique doit faire le même effet qu'un peu de cuisson. Il est même possible que les molécules de graisse se combinent autrement ( comme pour le sable/verre ). Le "beurre spécial" de ma belle-mère, fait de la peau se formant sur le lait, soigneusement recueilli, stocké puis chauffé, est brun. ViZiT (d) 8 juin 2009 à 23:04 (CEST)[répondre]

Bonjour, je crois que la cause en est le β-carotène contenue dans l'alimentation. C'est la raison pour laquelle le beurre de ferme est plus pâle en hiver qu'en été. Certains producteur en rajoute pour avoir un beurre bien jaune. Le beurre de chèvre est tout blanc (j'en ai fabriqué pendant des années). Le barattage ne provoque pas une élévation telle de la température que la couleur de beurre changerait. C'est la composition du lait qui est en cause. Mes chèvres qui recevaient le même type d'alimentation au point de vue fourrage ou pâturage que ma jersey produisait du beurre blanc. D'ailleurs le fromage de chèvre est blanc tandis que le fromage de vache est plutôt jaune voir très jaune. A terme le fromage de chèvre jaunit également, mais probablement pas pour les mêmes raisons. Bonne journée --Kkbs (d) 9 juin 2009 à 07:01 (CEST)[répondre]

Je pense que l'hypothèse de Kkbs, jaunissement par adjonction de β-carotène (qui est confirmée par notre article sur le beurre) est la bonne, d'autant quand on peut comparer les beurres industriels et ceux de fabrication artisanale : les premiers ont les mêmes caractéristiques de couleur et de consistance quelle que soit la saison ; les autres varient selon le moment : un peu plus jaunes et opaques en hiver, presque blancs et légèrement translucides en été. Ont peut donc supposer que la régularité des premiers est due à l'adjonction de colorants et de stabilisants plutôt qu'au processus de fabrication.
Sinon, essaie ceci : fabrique ton propre beurre avec de la crème fraîche, et tu constateras que le résultat est beaucoup moins jaune et opaque que ne le sont les beurres industriels. Je parle par expérience. -O.M.H--H.M.O- 9 juin 2009 à 11:49 (CEST)[répondre]

Bonsoir. Excusez moi, mais je comprends mal: Kkbs dit que "le beurre de ferme est plus pâle en hiver qu'en été" et O.M.H. que les beurres de fabrication artisanale ( ce serait la même chose que le beurre ce ferme, non?) sont "plus jaunes et opaques en hiver, presque blancs et légèrement translucides en été". Si je comprends bien, le beurre artisanal est plus clair en hiver pour Kkbs, et plus foncé en hiver pour O.M.H. D'autre part, je ne me souviens plus clairement de ce qu'est le béta-carotène; je crois que c'est la substance qui brunit sous l'action du soleil, c'est ça? Alors Kkbs aurait raison en disant que le beurre artisanal (sans adjuvant de bétacarotène) serait plus foncé en été? Mais en fait, je n'en suis pas certain du fait que je ne me rappelle plus très bien de la nature et de l'action du béta-carotène. Si vous le voulez, quelques précisions seraient bienvenues. En tout état de cause, je vous souhaite à tous une bonne soirée. Francis MARTIN (d) 10 juin 2009 à 20:24 (CEST)[répondre]

Bonsoir a vous , j'ai trouvé après quelques recherches sur le net une réponse très convaincante et plutot que de la copier bêtement , je vous y envoie tout autant C'est ici. PoupinouX [►○ Discuter ○◄] 11 juin 2009 à 03:16 (CEST)[répondre]

L'article cité par Poupinoux, rejoint ce que j'ai écrit. Chez un fermier producteur de beurre, le beurre varie en intensité de couleur suivant la saison à laquelle le beurre est produit. Il faut distinguer "beurre de ferme et beurre fermier" ce dernier étant produit industriellement. Comme aujourd'hui on mélange un peu tous les termes techniques dans tous les domaines, ce manque de précision est responsable de mauvaises interprétations. C'est pour ce dernier que l'on ajoute le B carotène en hiver. Le fermier producteur ne le fait pas à ma connaissance, je crois même qu'il pourrait perdre sa licence. Donc le beurre de vache est jaune à cause du B-carotène au même titre que les flamants roses sont roses à cause des crevettes qu'elles mangent. --Kkbs (d) 11 juin 2009 à 07:03 (CEST)[répondre]

Ps après relecture de O.H.M. (qui est généralement très précis) moi je comprend que le beurre industriel est constant quand à sa couleur justement à cause de cet apport en B carotène. D'un producteur industriel à l'autre cette couleur peut varier sans doute. Et puis qui garde un échantillon de son beurre pour vérifier qu'il a d'une fois à l'autre une conformité quand à sa couleur, ce n'est pas le critère retenu. --Kkbs (d) 11 juin 2009 à 07:11 (CEST)[répondre]

Bonjour; merci et bonne matinée. Francis MARTIN (d) 11 juin 2009 à 07:14 (CEST)[répondre]

Reste à améliorer encore et sourcer Beurre... Émoticône --Égoïté (d) 11 juin 2009 à 07:19 (CEST)[répondre]
Merci pour ton touchant hommage, Kkbs. Quant à la variation de couleur des beurres non industriels, il semble que tu as bon et l'article de WP (qui ne semble pas encore guetté par le label AdQ, comme un certain autre Émoticône, mais mériterait cependant une évaluation BA) va dans ton sens.
Pour les beurres industriels, je ne sais si c'est un critère des consommateurs, enrevanche cette constance dans l'aspect des produits fait partie de la mystique de l'agro-industrie qui vise, comme toute industrie, à diffuser des produits standardisés et sans surprise. Quoi qu'il en soit on sait désormais pourquoi le beurre est jaune et la crème... crème (sinon que celle industrielle est blanche). -O.M.H--H.M.O- 11 juin 2009 à 10:53 (CEST)[répondre]

une question : chasse modifier

Bonsoir. J'envisage de chasser le petit gibier pour ma casserole. Pourriez vous me dire, si vous avez plus facile que moi pour chercher ce renseignement ou si vous le savez déjà, s'il faut faire une démarche particulière (mairie, préfecture, que sais-je) ou s'il faut un permis quelconque, autorisation, pour acheter un fusil de chasse dans un magasin ou une armurerie, ou si l'on peut simplement entrer dans le magasin et acheter un fusil de chasse, en France, sans papiers ni permis? Merci. Francis MARTIN (d) 9 juin 2009 à 00:47 (CEST)[répondre]

En tapant "permis de chasse" sur gogolle, on obtient des réponses. Émoticône --Kkbs (d) 9 juin 2009 à 07:34 (CEST)[répondre]

Il est obligatoire d'avoir un permis pour chasser avec une arme en France, renseignez vous sur internet pour les formalités nécessaires. Au passage je ne peux que vous conseiller également de vous renseignez sur les dates d'ouvertures pour la chasse autorisée ainsi que sur la liste des espèces menacées dans votre région.
Cordialement, --Jay (d) 9 juin 2009 à 08:10 (CEST)[répondre]

Thank you Francis MARTIN (d) 9 juin 2009 à 08:17 (CEST)[répondre]

Tu trouveras sur cette page une synthèse de la législation sur les armes en France (qui au passage est réglementaire, et n'émane donc pas du législateur). Tu y apprendras que depuis 1998 il faut être détenteur d'un permis de chasse ou d'une licence de tir sportif et avoir au moins 18 ans, avec la possibilité cependant, dans certaines conditions, d'en acheter une dès 16 ans. -O.M.H--H.M.O- 9 juin 2009 à 08:52 (CEST)[répondre]
Voilà, pour chasser il faut un permis qui est décerné suite à un examen au cours du quel on vérifiera que vous connaissez les consignes de sécurité liées à l'usage d'une arme à feu, le cycle de reproduction des principales espèces autorisées à la chasses, la liste des espèces protégées, le règlement (il est interdit de tirer sur un oiseau qui n'est pas en vol, par exemple) et les formalités administratives et où obtenir la listes des espèces protégés et des quotas annuels dans votre département. Ensuite il faut une vignette annuelle pour son permis, vignette qui coûte de l'argent. Koko90 (d) 9 juin 2009 à 09:26 (CEST)[répondre]
Et, qui l'eût cru? ...Il y a même un article « Chasse en France » sur Wikipédia avec une page spéciale sur le règlement. Tssss!... Toujours demander à Wikipédia avant d'aller (perdre son temps) sur Google. Toujours.  ;-) -- Xofc [me contacter] 9 juin 2009 à 09:31 (CEST)[répondre]
Sur ma commune, il faut aussi acheter un "droit de chasse" à la mairie. La mairie n'en décerne qu'un par an et il n'est valable qu'un an, ce qui signifie qu'il ne peut y avoir qu'un seul chasseur autorisé à chasser sur le ban communal. Pour l'anecdote, en ce moment c'est un chasseur qui chasse à l'arc... Mitch-mitch (d) 9 juin 2009 à 09:51 (CEST)[répondre]
Ultime démarche l'adhésion à un parti politique (sauf France écologie) dans lequel les chasseurs sont bien choyés, sinon devenez restaurateur pour la bouffe c'est l'idéal et toujours l'adhésion etc....(y compris France écologie).Émoticône sourire--Doalex (d) 9 juin 2009 à 12:59 (CEST)[répondre]

Où lire les oeuvres de Savary de Mauléon ? modifier

Bonjour très cher Oracle, Je me passionne pour les écrits anciens, notamment ceux des poètes et troubadours du XIIème siècle. Je cherche à lire des écrits de Savary de Mauléon. J'ai trouvé des infos à son sujet, mais j'ignore s'il est possible de lire ses écrits. Et si c'est le cas, où les lire ? Merci infiniment de votre réponse. Isidore Duncan

Rien trouvé, à part une ou deux biographies, sur Amazon. J'ai regardé chez Klincksieck, mais on dirait qu'il y a bien moins de choses sur le Moyen-Âge qu'autrefois ? Sinon, ce "poète aimable" semble avoir consacré plus de temps à se bagarrer et à se vendre au plus offrant qu'à écrire des vers... Félix Potuit (d) 9 juin 2009 à 12:05 (CEST)[répondre]
Rien non plus pour l'instant. Mais je continue un peu mes recherches, ne serait-ce que pour voir ce que vaut ce prince-poète. Il me semble que cette question a déjà été posée, d'ailleurs. -O.M.H--H.M.O- 9 juin 2009 à 12:11 (CEST)[répondre]
Gagné ! Wikipédia:Oracle/semaine 43 2007#Où lire les oeuvres de Savary de Mauléon ? Malheureusement, on n'avait rien trouvé non plus, cette fois-là. Serait-ce un proto-poète maudit ? -O.M.H--H.M.O- 9 juin 2009 à 12:15 (CEST)[répondre]
Sinon, il y en a d'autres oeuvres de troubadour du XIIe siècle sur wikisource : s:Catégorie:Troubadours (trouvé via Savary de Mauléon -> Catégorie:Troubadour -> Troubadour -> ...) (peut-être y-a-t-il là des spécialistes de la question à contacter?)-- Xofc [me contacter] 9 juin 2009 à 12:26 (CEST)[répondre]
Même si c'est une biographie, l'ouvrage Savary de Mauléon : Un prince poète au XIIIème siècle (toutes références sur cette page) comporte probablement des exemples de son œuvre et en tout cas, à coup sûr une bibliographie qui doit comporter quelques références sur ses poèmes publiés, s'il y en a. Pour mémoire, une recherche sur le catalogue du SUDOC peut te permettre de repérer si un ouvrage est disponible dans les bibliothèques universitaires et dans quelques autres. Et pour info, celui-ci l'est. -O.M.H--H.M.O- 9 juin 2009 à 12:38 (CEST)[répondre]
Autres possibilités de recherche : le Catalogue collectif de France et l'association des directeurs de bibliothèques départementales de prêt où tu peux repérer celles de ton coin, qui mettent possiblement leur catalogue en ligne. -O.M.H--H.M.O- 9 juin 2009 à 14:05 (CEST)[répondre]
Le problème, c’est qu’il est difficile de trouver la trace d’une édition des œuvres de ce brave homme... Ont-elles seulement jamais été réunies ? rv1729 9 juin 2009 à 14:10 (CEST)[répondre]
Il existe au moins un [rare] ouvrage "Recueils" de La Curne de Sainte-Palaye, par ailleurs auteur d'un dictionnaire d'ancien français (1876), qui contiendrait des poésies de ce troubadour (de toute façon, il en reste peu). Savary fut beaucoup loué en son temps et certains littérateurs du XIXe qui ont eu connaissance de ses poèmes sont d'avis que son talent encensé était surtout dû à un mécénat généreux qui fit le bonheur de troubadours de tout poil. Pour résumer: expression d'une passion vulgaire et d'innombrables obscurités, même une fois traduites du romano-provençal en français le plus clair...
Tout de même un échantillon trouvé:
« Dompna, be sai que jamais fora razos
Que pois qe tot vos conqueron rauban,
Queus conqueses bes ai fait ai tant
Caiostar n'ai Bascles, e Brabanzos
La mee ta que be hen cinc cen.
Que farem tot lo vostre mandonem;
Et mandatz nos la nostra voluntat:
Car montarem que tot avem selat. »
Bonne extase. Attaleiv (d) 10 juin 2009 à 01:53 (CEST)[répondre]

Problematique de l'eau dans le monde modifier

Bonjour je dis d'abord merci aux gens qui auront le temps de me repondre et encore merci pour l'aide Parler du:: Problematique de l'eau dans le monde expliquez et proposez des solutions? Merci de tout coeur et je vous souhaite une tres agreable journee

Le sage Oracle ne fait pas les devoirs à la place des étudiants. Bonne chance dans ta recherche…

Dans le doute, on peut globalement dire que la répartition de l'eau douce n'est pas en adéquation avec les besoins de l'humanité, et que les réserves de la planète en eau douce potable diminuent chaque jour un peu plus...--SuperManu SuperMessage 9 juin 2009 à 14:46 (CEST)[répondre]

(Conflit de Cresson)

Mmmh ca sent le {{Devoirs}}, mais je suis d'humeur sympa.
Le principal problème c'est que 98% de l'eau sur terre est salée, et parmi les 2% restant, 70% sont inaccessibles à la population (eaux sous terraines, glaciers, banquise). Donc le peu d'eau qui reste (enfin, ca fait quand même pas mal de litres, faut pas croire) est utilisé par l'homme, qui la salit et la rend donc impropre à la consommation. Commence alors une guerre entre ceux qui sont à l'amont le la rivière et qui ont de l'eau propre à outrence et ceux qui sont en aval et qui n'en ont plus. Lire par exemple des articles comme celui sur la mer d'Aral, qui est significatif
Et puis évidemment en fonction de la géographie on est plus ou moins bien lotis (désert ou croissant fertile, même combat?? non bien sûr). La culture joue aussi beaucoup : quand on n'a qu'à tourner le robinet, c'est facile de laisser couler l'eau, en revanche quand on n'a qu'un puits qui est parfois à sec on économise les ressources. Je me souviens avoir vu un reportage ou la nana lavait ses enfants dans un baquet et gardait l'eau pour passer la serpillère avec après! Aujourd'hui c'est encore mal assimilé, mais l'eau est précieuse, donc il faut aussi réfléchir à tous les produits qui nécessitent des quantités colossales d'eau comme le papier. Donc comme solutions, déja faire des économies. Ca ne veut pas dire se priver, mais éviter de gaspiller (fermer le robinet quand on se brosse les dents, chasse d'eau à capacité réduite... et puis faire attention à la pollution de l'eau en retraitant les eaux usées et en limitant les rejets de polluants type mercure, pesticides... directement dans les rivières, la mer ou les nappes phréatiques. Mitch-mitch (d) 9 juin 2009 à 14:53 (CEST)[répondre]
Le corps humain étant composé d'environ 2/3 d'eau, d'après mes calculs, pour 6 milliards d'êtres humains de 50 litres chacun en moyenne, ça nous donne une réserve d'eau de 200 milliards de litres, donc de quoi voir venir. Il suffit de trouver un moyen simple de presser les gens pour en extraire l'humidité (on les pressait déjà pour en extraire du travail ou de l'argent, donc ça ne semble pas irréalisable). Félix Potuit (d) 9 juin 2009 à 15:18 (CEST)[répondre]
Ca c'est bougrement intelligent! On pourrait faire ca aussi avec les limaces et les escargots, qui contiennent beaucoup plus d'eau (en pourcentage) Mitch-mitch (d)
Et les éponges, les éponges nom de dieu, voila la solution!!!Cobra Bubbles Dire et médire 9 juin 2009 à 16:53 (CEST)[répondre]
Il y a aussi un portail sur l'eau et un article « Géopolitique de l'eau » -- Xofc [me contacter] 9 juin 2009 à 15:34 (CEST)[répondre]
Je crois que le 2e répond parfaitement à la question. Pendant les épreuves du bac, doit-on s'abstenir de répondre, en effet des petits malins pourraient, via leur téléphone, solliciter l'Oracle, sans aucun scrupule Mitch-mitch (d)
Théoriquement l'usage du téléphone est interdit dans une salle d'examen... mais bon si les salles sont aussi bien surveillées qu'à mon époque (pas si lointaine), le risque n'est pas nul effectivement. Devons-nous rappeler qu'en France, tricher à un examen est passible d'une interdiction de se présenter à tout examen (et ça inclue le permis de conduire) pendant 5 ans ? (loi du 23 décembre 1901, ça date ! le texte n'est pas disponible sur Légifrance) Asheka [la vie est belle] 10 juin 2009 à 11:49 (CEST)[répondre]
Oui, mais... --Madlozoz (d) 12 juin 2009 à 18:25 (CEST)[répondre]
Le compte de Mitch-mitch un peu plus haut n'est pas tout-à-fait exact : l'eau salée constitue 98% de l'eau terrestre, mais il y a aussi les environ 12.000 milliards de tonnes d'eau atmosphérique qui par nécessité est non salée. Ce qui ne change rien, cela dit, à la validité de celles des réponses précédentes en rapport avec la question. -O.M.H--H.M.O- 9 juin 2009 à 22:13 (CEST)[répondre]
D'excellents débats et informations sur www.terre.tv (site exemplaire à mon goût) au sujet de l'eau mais de plein d'autres choses. J'y ai passé des soirées passionnantes. Bluelagoon (d) 9 juin 2009 à 23:19 (CEST)[répondre]

Archadie langage modifier

Bonjour,


Je n'ai trouver aucun article,theme traitant du langage ancien archadien. Peut etre ai je mal orienté mes recherches mais cela fait depuis plusieurs jours que je m'efforce de chercher peut etre avez vous ou connaissez vous un lien pour me permettre de traiter ma demande. Le langage d'Archadie ; c'est un langage ancien tres certainement sous forme de symboles.

Je viens de minscrire et souhaite apporter ma collaboration.

Merci de votre comprehension

Marc meigneux (d · c · b)

Voulez-vous dire arcadien, un ancien dialecte grec?? Mitch-mitch (d) 9 juin 2009 à 14:57 (CEST)[répondre]
Il peut aussi s’agir de l’archadien dans l’univers de fiction de Final Fantasy XII (quelques infos ici [3]). Cdlt, VIGNERON * discut. 9 juin 2009 à 15:38 (CEST)[répondre]
En supposant une petite incertitude dans la prononciation, on peut aussi supposer que cela serait le français acadien. — Jérôme 10 juin 2009 à 01:17 (CEST)[répondre]
Comprenne qui pourra mais en attendant ce même utilisateur a créé cette page Utilisateur:Marc_meigneux/Livres/archadie.Émoticône--Doalex (d) 10 juin 2009 à 09:53 (CEST)[répondre]

Bonjour les Pythies ! Je me pose une question existentielle, que votre sagacité et votre érudition sortant de l'ordinaire du commun des mortels vous permettront sûrement de résoudre ( j'espère que j'en ai fait assez ) . Quand on utilise une fonction "random", par exemple pour tirer un nombre au hasard , comment l'ordinateur fait-il pour choisir ce nombre ? Parce que, précisément, il me semble que l'ordinateur étant programmé par l'homme, tout comme il est très difficile de lui donner la notion d'infini, il doit être quasiment impossible de définir le hasard !

Sauriez-vous donc comment s'y prennent les informaticiens ?

Loïse [patati] 9 juin 2009 à 17:32 (CEST)[répondre]

Il me semble que c'est une sombre cuisine avec l'horloge interne, et en gros l'"heure" (à la micro seconde près) à laquelle la fonction random a été interrogée. Mitch-mitch (d) 9 juin 2009 à 17:41 (CEST)[répondre]
Voir Générateur de nombres pseudo-aléatoires. La fonction est en général pseudo-aléatoire (ce qui permet de reproduire le même résultat au besoin). Les fonctions de type "random()" doivent être initialisées par une fonction de type "seed()". On met d'habitude n'importe quoi, comme l'heure en millisecondes. --Serged/ 9 juin 2009 à 17:44 (CEST)[répondre]
Un générateur de nombre pseudo-aléatoires est une fonction mathématique f(x) qui fournit un nombre y qui, selon de nombreux critères, a toutes les propriétés qu'aurait un nombre aléatoire. Il est évident que le même x va toujours donner le même y; la solution est en général d'utiliser le résultat du générateur pour obtenir le nombre suivant, ainsi, y = f(x), et le prochain nombre aléatoire sera z = f(y), etc.
Un problème est de choisir le premier x. Si à chaque fois qu'on redémarre l'ordinateur, x = 12345, la séquence de nombres sera toujours la même, ce qui n'est pas souhaitable. Il est donc commun d'initialiser le générateur avec l'heure au moment du redémarrage (l'heure des systèmes informatiques étant en général le nombre de secondes écoulées depuis une certaine date, il est impossible d'avoir deux fois le même x). On peut aussi sauvegarder le dernier résultat avant d'éteindre l'ordinateur, ou obtenir le premier nombre (la "graine") à partir de n'importe quelle source de hasard apparent (les mouvements de la souris, le nombre de caractères sur le Bistro du jour etc).
Il reste quand même un gros problème quand ces nombres sont utilisées dans des contextes sensibles (cryptage, jeux d'argent en ligne, etc): si on connait x, on peut prédire la séquence de nombres à venir. Il y a pas mal de manières efficaces d'empêcher cela, comme par exemple l'utilisation de source de hasard réelles (les parasites de la carte réseau, une antenne captant le rayonnement cosmique, etc).
Au passage, une petite anecdote: l'utilisation de l'horloge système pour initialiser le générateur de nombres aléatoires peut entraîner de grosses erreurs, et je ne ferai plus jamais ça :-) La plupart du temps, le générateur est initialisé au lancement du programme; avant d'exécuter les instructions, le programme récupère l'heure du système et initialise le générateur. Cela ne fonctionne bien que si une seule instance du programme est suceptible d'être lancée. J'ai mis très longtemps avant de comprendre pourquoi des simulations lancées en parallèle sur plusieurs processeurs par un script donnaient des résultats très étranges; toutes les instances du programme lancées la même seconde vont utiliser la même suite de nombres aléatoires. Depuis, le stocke la graine dans un fichier qui est mis à joue à chaque lecture; la probabilité que les instances du programme lisent le fichier à la même milliseconde est légèrement plus faible...  :-) Arnaudus (d) 9 juin 2009 à 18:04 (CEST)[répondre]
Il y a beaucoup mieux : prendre la graine dans /dev/random
Le piège suivant est l'utilisation de générateurs congruentiels linéaires, qui sont auto-corrélés ; je conseille généralement MWC256 de Georges Marsaglia ; le truc très in c’est le Mersenne Twister, mais il est un peu lent. rv1729 10 juin 2009 à 09:36 (CEST)[répondre]
C'est pas un peu contradictoire de choisir un algo rapide mais de piocher de temps en temps dans /dev/random, qui bloque en lecture jusqu'à avoir assez de bits aléatoires? Bon, de toutes manières, ça dépend des applications, pour ma part je n'ai jamais été limité par la vitesse du générateur; j'imagine que pour des applications statistiques (MCMC etc), on peut se trouver dans des situations où le choix du générateur peut être vraiment critique. Arnaudus (d) 10 juin 2009 à 10:27 (CEST)[répondre]
Tu ne pioches dans /dev/random que tout au début, normalement... bien sûr si tu lances le même programme des centaines de fois, ou que ton générateur a besoin de beaucoup de graines, tu as intérêt à choisir /dev/urandom. rv1729 10 juin 2009 à 10:31 (CEST)[répondre]
Merci beaucoup à tous de vos explications ! Loïse [patati] 9 juin 2009 à 18:50 (CEST)[répondre]
Toute programmation avec des nombres (ou des chaînes de caractères) pris au hasard doit être murement réfléchie, cette notion n'étant pas entièrement intuitive. Juste un exemple : si on prend deux réels au hasard, entre 0 et 1, leur somme est un réel aléatoire entre 0 et 2, leur produit est un nombre entre 0 et un, mais l'aléa n'est plus réellement respecté : il y a 3 chances sur 4 qu'il soit inférieur à 0,5. Etonnant. --Seymour (d) 10 juin 2009 à 17:01 (CEST)[répondre]
Pas tellement, non... rv1729 10 juin 2009 à 17:27 (CEST)[répondre]
Je jette un dé, il donne des nombres équiprobables entre 1 et 6. Je jette un deuxième dé, il donne des nombres équiprobables entre un et 6. Je fais la somme des dés (Déééédéééé!), ça me fait des nombres entre 2 et 12 qui ne sont pas du tout équiprobables. Ça me semble être une base important si on ne veut pas se prendre une volée au Monopoly :-)
Le côté positif, c'est que si cette constatation triviale a le pouvoir de t'étonner, je pense que tu dois être agréablement surpris de nombreuses fois tous les jours :-) C'est pas un hippie des années 0030 qui disaient que les simples d'esprit étaient bienheureux? :-D Arnaudus (d) 10 juin 2009 à 19:41 (CEST)[répondre]
Bonjour à tous . C'est étrange , je me posait la même question , après de nombreuses nuit insupportables , j'ai finalement trouvé une solution qui me convenait parfaitement. Je commence par le début , la définition d'un nombre aléatoire , dit 'random' Définition : Nombre produit indépendamment de ses critères de génération. A partir du moment où l'on écrit un code source pour générer un nombre aléatoire , celui-ci n'est donc , par définition, pas aléatoire. L'ordinateur ne produit donc qu'un semblant de nombre aléatoire dont 'l'aléatoirbilité' Oh c'est joli ce mot dépend de ses critères de génération, plus les critères sont complexes, et leur récurrence très éloignée entre deux mesures et plus le nombre sera aléatoire , mais pour répondre concrètement , un ordinateur n'est pas capable de produire un nombre aléatoire dans le sens strict du terme. L'ordinateur est donc tout simplement dans l'impossibilité de produire un nombre aléatoire. Notre heure n'est pas encore venue En espérant que tu passes a présent de bonnes nuits :) PoupinouX [►○ Discuter ○◄] 11 juin 2009 à 03:09 (CEST)[répondre]
Oui, on parle de nombres pseudo-aléatoires.
Mais tu n’as pas tout à fait raison, il y a /dev/random. Lis le manuel, tu verras que c’est du 'vrai aléatoire (mais comme le disait Arnaudus, c’est très lent, on ne peut pas utiliser que ça si on a besoin de beaucoup d’aléa). rv1729 11 juin 2009 à 07:30 (CEST)[répondre]
Ah mince, t'es toujours plus rapide que moi :-) Du point de vue philosophique, les sorties du générateur de nombres pseudo-aléatoires ne sont pas aléatoires. On pourrait vous accuser d'enfoncer des portes ouvertes puisque c'est exactement pour cette raison que ces algorithmes sont appelés générateurs de nombres pseudo-aléatoires. Si le générateur est bon, ces nombres ont les mêmes propriétés que des nombres aléatoires, et peuvent donc être utilisés dans toutes les applications où des nombres aléatoires sont nécessaires (simulations, jeux, etc). Quand de vrais nombres aléatoires sont nécessaires (cryptographie, jeux d'argent) on peut utiliser l'entropie du système (les anglophones ont même un article sur en:/dev/random, c'est pas magnifique?), pour produire cette fois des nombres réellement aléatoires (dans la mesure où le hasard existe vraiment, mais la réponse à cette question n'a aucune conséquence pratique). À ma connaissance, les techniques de production de nombres aléatoires ou pseudo-aléatoires ne sont plus vraiment limitantes pour les applications pratiques, et il est probable que la recherche actuelle puisse améliorer l'efficacité et la non-prédictabilité des algorithmes existants. À ma connaissance, il n'y a pas moyen de pouvoir déterminer avec certitude si une séquence de nombres aléatoires vient d'un générateur ou sont vraiment aléatoires sauf pour de très, très longues séquences. Arnaudus (d) 11 juin 2009 à 10:39 (CEST)[répondre]
Les anglosaxophones ont aussi en:Diehard tests, sur une batterie de tests développée par Georges Marsaglia. Tous les générateurs ne passent pas tous les tests ! rv1729 11 juin 2009 à 11:25 (CEST)[répondre]
A cesujet, je ne peux que vous recommander la lecture d'un article [4] de Science et Avenir du mois de décembre. Ou comment la physique quantique est plus forte que les programmeurs.Aristoi (d) 11 juin 2009 à 17:57 (CEST)[répondre]
L’utilisation d’un laser pour générer du vrai hasard n’a vraiment rien de très nouveau... (la première fois que j’en ai entendu parler, c’était il y a plus de 10 ans). C’est vaguement stupide de la part des casinos en ligne, une tambouille basée sur un Blum Blum Shub avec une bonne graine suffirait, mais je suppose que c’est plus de la comm’ qu’autre chose.
Et puis, ça n’a pas de sens de supposer que les programmeurs ne sont pas assez « forts ». Un ordinateur n’a qu’un nombre fini d’états possibles : ça induit certaines limites, en particulier l’impossibilité de produire du vrai hasard, ça n’est pas la faute des programmeurs. rv1729 11 juin 2009 à 21:16 (CEST)[répondre]
Je suis d'accord avec vous sur le principe, les ordinateurs sont parfaitement capapable de créer des nombres pseudos aléatoires tout a fait satisfaisant pour les besoins actuels , mais pour répondre a la question posée, et je pense que c'est avant tout le but , les ordinateurs ne sont pas capables de sélectionner des nombres aléatoirement , c'est juste un algorithme plus ou moins complexe qui se charge de calculer un nombre et vous le ressortir a l'écran PoupinouX [►○ Discuter ○◄] 12 juin 2009 à 00:14 (CEST)[répondre]
tu n’as pas tout à fait raison, il y a /dev/random. Lis le manuel, tu verras que c’est du vrai aléatoire. rv1729 12 juin 2009 à 10:08 (CEST) (au moins si l’ordi est allumé depuis plus d’une heure)[répondre]
Je ne vais pas encore en rajouter , mais le /dev/random se rempli avec les bruits en provenance des périphériques, on en vient donc a la même chose : Lorsqu'un système Linux démarre sans interaction avec un opérateur humain, le réservoir d'entropie peut se trouver dans un état relativement prédictible., l'aléatoirbilité dépend donc des interactions avec l'être humain et les périphériques , ce ne sont donc pas des nombres aléatoires au sens propre , même si je ne conteste pas le fait qu'il aient exactement les mêmes propriétés que ceux-ci. J'en reviens encore a la même chose , j'ai relu la question plusieurs fois , et je pense que la réponse est qu'un ordinateur n'est pas capable seul de produire des nombres aléatoires , j'entends par seul sans environnement extérieur, mais on sait qu'il peut utiliser des informations provenant de l'extérieur qui sont susceptible d'être aléatoires , et encore. Pour ma part , je pense que si on peut influencer l'environnement afin que les nombres qui sortent soient prévisibles , ce ne sont pas des nombres aléatoires ( cf définition d'un nombre aléatoire), et c'est le cas du /dev/random. PoupinouX [►○ Discuter ○◄] 12 juin 2009 à 17:46 (CEST)[répondre]
Un ordinateur (et non un processeur) peut produire de l'aléatoire. Il lui suffit d'enregistrer ses propre parasites (par exemple en utilisant une antenne wi-fi de manière détourné). Si les parasites était prévisibles, ils constituerais de l'information, or la quantité d'information est limité => il y a forcément une composant imprévisible dans les parasites. Je crois que dev/random utilise les entré analogique si il en a à disposition --Madlozoz (d) 12 juin 2009 à 18:12 (CEST)[répondre]
Histoire d'attirer les philosophes dans ce débat, la production de nombres aléatoires par les ordinateurs présuppose que le hasard peut exister dans le monde. Des nombres générés à partir de bruits extérieurs captés par l'ordinateur ne peuvent être plus aléatoires que ces bruits, qui dépendent de phénomènes physiques régis par des lois. Deux indices :
  • « Une intelligence qui, pour un instant donné, connaîtrait toutes les forces dont la nature est animée et la situation respective des êtres qui la composent, si d'ailleurs elle était assez vaste pour soumettre ces données à l'analyse, embrasserait dans la même formule les mouvements des plus grands corps de l'univers et ceux du plus léger atome : rien ne serait incertain pour elle, et l'avenir, comme le passé, serait présent à ses yeux. » (Pierre-Simon Laplace)
  • Liberté, j'écris ton nom (conformément au scénario inscrit de toute éternité dans le jeu des atomes, quartz...) Seudo (d) 12 juin 2009 à 18:28 (CEST)[répondre]
Parfois, la conculsion d'une reflexion philosophique peut être « aujourd'hui, je lit un bouquin de physique » Émoticône. Je parlait effectivement de bruit au sens du traitement du signal ce qui implique l'absence totale d'information et donc une rupture avec sa causalité. Car, oui, le Principe d'incertitude enfonce le démon de Laplace. --Madlozoz (d) 12 juin 2009 à 18:41 (CEST)[répondre]

tradution modifier

bonjour quelqu'un pourrait il me traduire( λι τσε ελ συλπ δναργ ρυερεπμε κεργ )en francais merci beaucup

Une recherche de ce texte dans google donne [5]. C'est un canular. -- Xofc [me contacter] 9 juin 2009 à 18:08 (CEST)[répondre]
Voir aussi Wikipédia:Oracle/semaine 10 2008#quelle langue? rv1729 10 juin 2009 à 09:39 (CEST)[répondre]
Autre exemple, on enlève une lettre dans chaque mot ce qui peut donner:traduction=tradution.Émoticône.--Doalex (d) 10 juin 2009 à 09:47 (CEST) - Et aussi : cherchez l'erreur. Sur le site http://www.elgoog.fr il y a une ligne dont le texte est « à l'endroit ». Comme par hasard, c'est une pub... -O.M.H--H.M.O- 10 juin 2009 à 11:53 (CEST) C'est pas mal ça, dommage que ce soit une pub.--Doalex (d) 10 juin 2009 à 16:00 (CEST) [répondre]


origine d'une appelation modifier

Situé sur les hauteurs de Cassis (13) un majestueux rocher surplombe le village; il est appelé " la couronne de Charlemagne". pourquoi cette dénomination? Par avance merci de l'intérêt que vous porterez à ma question.

Aucune idée, par contre le vin Domaine de la Couronne de Charlemagne fait partie de l'AOC de Cassis qui est la première Appellation d'origine contrôlée française. Ça ne t'aidera pas, certes, mais il est toujours bon d'apprendre des choses nouvelles. -O.M.H--H.M.O- 9 juin 2009 à 21:10 (CEST)[répondre]
Moi aussi je veux savoir ! C'est vrai, quoi, rien de plus détestable qu'une question sans réponse. Et ma foi, il n'y a rien sur Internet à ce sujet. Du coup, j'ai écrit à l'office du tourisme de Cassis, et suis en attente d'une réponse que j'espère éclairante. -O.M.H--H.M.O- 11 juin 2009 à 11:39 (CEST)[répondre]
Désolé, la réponse de l'office de tourisme n'éclaire pas : on l'appelle Couronne de Charlemagne parce qu'elle a une forme de couronne mais « le lien avec Charlemagne est par contre plus flou et nous regrettons de ne pouvoir vous donner une explication précise ». C'est ainsi... -O.M.H--H.M.O- 12 juin 2009 à 12:21 (CEST)[répondre]
Émoticône Ça me rappelle l'explication donnée par l'ambassade d'Italie à Bruxelles sur l'origine des Bouches de Lion. Aussi efficace... --Égoïté (d) 12 juin 2009 à 15:32 (CEST)[répondre]
Peut-être doit-on y voir seulement une allusion concernant la différence entre la couronne ouverte et la couronne fermée et que le nom de Charlemagne associé à un rocher dont le sommet ressemble à une couronne ouverte (malgré le fait que le port de la couronne ouverte par Charlemagne soit un autre débat) est plus marquant que la Couronne à Dudule. Si j'ose dire, c'est plus porteur Émoticône sourire, d'ailleurs dans la question il y a l'expression un majestueux rocher.--Doalex (d) 12 juin 2009 à 17:16 (CEST)[répondre]

Paroles de "Pas Toi" par Jean-Jacques Goldman modifier

Bonjour, Oracle. Je suis australien, mais quelquefois, j'écoute la musique francais. Dans la chanson "Pas toi", par Jean-Jacques Goldman, il y a des paroles, "J'ai beau me dire," (ou, en tout cas, il s'ecrit comme ca sur touts les sites Internets que j'ai vu). Mais quand je l'entends, il semble être "J'ai pu me dire." Est-ce que les sites Internets sont juste?

Finalement, si l'on pouvait corriger mon francais, je vous remercierais tres bien pour ca, et aussi pour repondre a cette question. 202.89.166.179 (d) 9 juin 2009 à 18:42 (CEST)[répondre]

Salut. Par acquit de conscience j'ai écouté la chanson, mais comme 1) il est peu vraisemblable que tous les sites qui proposent les paroles de la chanson aient une source unique, 2) il est peu vraisemblable que tous se trompent, 3) les vers qui suivent celui-ci indiquent que cette phrase est la bonne, je me doutais du résultat : il chante bien « J'ai beau me dire », expression qui signifie... Et bien, ça n'est pas simple de donner une équivalence courte à cette expression. Elle signifie quelque chose comme « Je peux tenter autant que possible de faire des efforts pour essayer de croire ». Pour le reste, ton français me semble très correct. -O.M.H--H.M.O- 9 juin 2009 à 20:11 (CEST)[répondre]
Pour ce qui me concerne « j'ai beau me dire«  signifierait « bien que je me dise avec insistance », « j'ai beau faire » « quoi que je fasse en persévérant », ce genre de truc. Mais je parle surtout le lyonnais. Bluelagoon (d) 9 juin 2009 à 23:36 (CEST)[répondre]
Ma proposition d'équivalence vaut pour le contexte de la chanson. Pour moi, et probablement pour toi, « j'ai beau » signifie « j'ai beau » et il n'y a pas d'équivalence exacte, le mieux qu'on puisse dire est que l'expression indique que son émetteur doit faire un effort pour réaliser une certaine action ou accepter un certain fait, avec la notion complémentaire de persévérance dans cette tentative. -O.M.H--H.M.O- 10 juin 2009 à 00:12 (CEST)[répondre]
Pour cette expression, voir aussi :
On a beau faire on a beau dire
Qu`un homme averti en vaut deux
On a beau faire on a beau dire
Ça fait du bien d`être amoureux ...
de Jacques Brel... --Serged/ 10 juin 2009 à 09:41 (CEST)[répondre]
Bluelagoon et OHM ayant déjà répondu, précisons :
le "beau" en l'occurrence c'est le "bien" (classiquement, le beau et le bien sont équivalent, à quelque paradoxe près) , et, à quelques nuances évidemment,
l'expression "avoir beau + verbe " est équivalente à "bien que + verbe au subjonctif " ;
Dans le second emploi du subjonctif, ie : Le subjonctif sert aussi à exprimer un fait réel, mais en le présentant comme une pensée ou une idée envisagée en:Subjunctive_mood#To_express_a_hypothesis
"j'ai beau me dire que..." ~ "bien que je me dise que...",
Votre français est très correct, (vous avez bien utiliser il y a par exemple), et si vous êtes capable d'écouter une chanson et de bien distinguer une expression que pourtant vous ne comprenez pas, c'est que votre niveau est bon ; on peut corriger des bricoles toutefois
On dit ça s'écrit et non il s'écrit ; internet est invariable (un site internet, des sites internet) ; le pluriel de tout est tous ;
gem (d) 10 juin 2009 à 12:25 (CEST)[répondre]
En général, ceux qui s'excusent de ne pas écrire en français correct, sont ceux qui font le moins de fautes Émoticône sourire. --Serged/ 10 juin 2009 à 13:30 (CEST)[répondre]
Il y a malgré tout une belle connotation de désespoir dans l'expression « On a beau faire » alors que dans « J'ai beau me dire » on garde un espoir.Bluelagoon (d) 10 juin 2009 à 23:57 (CEST)[répondre]
however much I'm telling myself Félix Potuit (d) 14 juin 2009 à 08:23 (CEST)[répondre]

Créer un article modifier

Bonjour,

j'aimerais savoir comment mettre un article sur ce site.... Quelqu'un pourrais m'aider svp !!!

Merci beucoup (posté par Brad23800 (d · c · b) le 9 juin 2009 à 19:16)

Passe par l'aide de Wikipédia où toutes les informations nécessaires sont disponibles. -O.M.H--H.M.O- 9 juin 2009 à 19:54 (CEST)[répondre]

Prise du casino de Ouistreham en 1944 modifier

Bonjour, une petite question d'histoire et de stratégie militaire, assez d'actualité... En 1944, pendant le débarquement, le commando Kieffer prend le casino de Riva Bella à Ouistreham. Pourquoi est-ce que les alliés ont envoyé un commando pour prendre cette cible déjà désignée comme difficile, plutôt que de la bombarder ? Y avait-il quelque chose à y prendre ? Merci d'avance si vous pouvez m'éclairer sur cet épisode. --- Eusebius [causons] 9 juin 2009 à 23:21 (CEST)[répondre]

Ce lien sur une carte de la ville te permettra je pense de comprendre quelle est la cause probable : à l'époque, les bombardiers ne faisaient pas de « frappe chirurgicale » (pour autant que ceux d'aujourd'hui en fassent...), ce qui signifie que s'ils avaient lâché leurs bombes sur un bâtiment en pleine ville en cours d'occupation par les armées débarquées, ils auraient tué autant et probablement plus de civils et de troupes amies que d'ennemis. Les bombardements, ça se fait sur les endroits où on n'a que des adversaires. -O.M.H--H.M.O- 10 juin 2009 à 00:05 (CEST)[répondre]
Sinon, ils n'auraient pas eu assez de bombes pour raser Caen et Saint-Lô ? (Smiley: triste). Désolé. HaguardDuNord (d) 9 juin 2009 à 23:49 (CEST) Ce qu’ils sont rancuniers, ces normands, hein ! rv1729 Je ne dirais pas rancuniers vu l'accueil qu'on y fait a longueur d'année aux libérateurs et aux descendants. J'ai même failli ne pas pouvoir rentrer en Normandie le WE dernier, parce que les vétérans et les journalistes étaient prioritaires dans le train ! Émoticône sourire. Même dans les villes martyrs, il n'y a pas vraiment de ressentiments envers les bombardements, et c'est un historien anglais, pas normand, qui dit auj. que le bombardement de Caen est une erreur stratégique (plus facile auj. qu'il y a 60 ans, c'est probable). Au delà, mon mot n'était qu'un tait d'esprit, que je ne pouvais ponctuer par une sourire ! Mais je rejoins l'analyse d'Olivier ci-dessous, Caen et Saint-Lô sont dès le 6 juin des noeuds à détruire, puis des poches à vider, alors que l'utilité logistique d'un port comme Cherbourg, l'a, un peu plus, préservé. HaguardDuNord (d) 10 juin 2009 à 21:38 (CEST) [répondre]
Je comprends l'explication, mais je comprends aussi la dernière remarque, il y en a eu des frappes en ville ! Mais les intérêts stratégiques étaient sans doute différents. Merci ! --- Eusebius [causons] 10 juin 2009 à 08:02 (CEST)[répondre]
Précisément, la bataille de Caen et, dans la bataille des Haies, le cas de Saint-Lô, illustrent mon propos : les soldats allemands se replient sur le casino parce que la ville est déjà largement investie ; le problème des Alliés à Caen et Saint-Lô est de parvenir à prendre ces villes dont ils font le siège ; ces bombardements se font donc sur des adversaires et ont pour but de permettre leur prise.
Il ne faut pas voir cette histoire avec le filtre de la fable construite après guerre à l'initiative des gaullistes et de communistes parce que ça les glorifiait, acceptée par les autres courants politiques parce que ça leur permettait de glisser sous le tapis leur comportement durant l'Occupation : pour les Alliés, en juin 1944 la France est un pays ennemi dont le gouvernement officiel soutien l'effort de guerre de l'Axe. Le Débarquement n'a pas pour but premier de « libérer la France » mais de l'envahir et de couper l'Allemagne d'une source importante de ressources qui contribuent à lui permettre de continuer sa guerre. Pour mémoire, les Alliés avaient prévu de mettre en place, après le Débarquement, une administration civile et militaire d'occupation dirigée par des Américains et des Britanniques, comme ils le firent dans tous les autres pays alliés aux puissances de l'Axe. Dans ce contexte les bombardements de Caen et Saint-Lô sont donc effectués contre un adversaire, les dégâts subis par les populations civiles étant, comme l'on dit désormais, un « dommage collatéral ».
J'en suis désolé pour les Normands qui ont reçu ces bombes sur la tête mais la guerre c'est toujours comme ça : tous les moyens sont bons pour affaiblir l'adversaire, y compris les bombardements massifs de villes assiégées. -O.M.H--H.M.O- 10 juin 2009 à 09:48 (CEST)[répondre]
Y avait pourtant pas ministère du pétrole à Ouistreham ? rv1729 10 juin 2009 à 09:41 (CEST)[répondre]

Chlorure de mercure (II) modifier

Selon l'article en anglais de wikipédia sur le chlorure de mercure HgCl2 (mercuric chloride), on peut synthétiser ce composé en faisant réagir du mercure à l'état élémentaire (ou encore du nitrate de mercure) avec de l'acide chlorhydrique. J'aimerais donc savoir si l'on peut obtenir cette meme substance en faisant réagir du mercure à l'état élémentaire avec du dichlore, et, le cas échéant, s'il y a une procédure et/ou des proportions particulières à respecter. Merci d'avance.— Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 74.59.93.37 (discuter)

Je ne saurai vous répondre précisément, mais l'acide chlorhydrique et surtout le dichlore sont des réactifs dangereux. Le plus judicieux pour vous est de vous renseigner auprès d'un spécialiste qui pourra aussi vous mettre à disposition des équipements de protection (hotte entre autres). Mitch-mitch (d) 10 juin 2009 à 09:00 (CEST)[répondre]
De plus le mercure et le chlorure de mercure sont des produits excessivement toxiques et polluants ! --Serged/ 10 juin 2009 à 09:46 (CEST)[répondre]

Petit frère modifier

Bonjour à tous. Je voulais vous demander, la chanson " Petit Frère " de Vox Angeli, que signifie t - elle ? Merci d'avance.

Les paroles sont ici, ca me semble clair : on a des rêves, on fait des projets, on croit pouvoir faire des choses, mais la réalité est tout autre, les gens ne sont pas comme on l'espère, rien ne se déroule aussi bien qu'on le voudrait... Mitch-mitch (d) 10 juin 2009 à 10:24 (CEST)[répondre]
De mon point de vue, pas grand chose.
Le thème général semble « Le monde est incompréhensible, les adultes oublient leurs rêves d'enfants et sont tristes, et si on s'aimait plus les uns les autres ça irait mieux ». Sans le jurer, dans l'esprit de l'auteur le « petit frère » à qui on demande « si aussi vu du ciel tout se mélange » est probablement le Christ, ou alors François d'Assise, surnommé le « petit frère des pauvres », en tout cas une figure chrétienne dont on espère une réponse céleste.
En ce qui concerne le sens du texte de la chanson en soi, il est faible : on y aligne au long des vers des lieux communs vaguement reliés entre eux, certains distiques n'étant sensiblement là que comme des chevilles dont le but semble surtout de fournir des rimes au distique précédent, par exemple :
       Mais quand on regarde le monde
       Il nous parait tellement grand,
       Nos rêves à chaque secondes
       S'envolent alors au gré du vent
Et un peu plus loin :
       On voudrait voir tous les gens
       Se parler autrement
       On voudrait voir nos parents
       Se sourire plus souvent
Bref, ne cherche pas trop : il n'y a pas de sens, juste un sentiment, du genre « le monde serait mieux s'il n'était pas ce qu'il est ». Enfin, là je donne trop de sens à une chanson qui n'en a guère... -O.M.H--H.M.O- 10 juin 2009 à 10:33 (CEST)[répondre]
C'est vrai que souvent les paroles de chanson, faut pas trop chercher... Cela dit à l'époque,une chanson de même titre, mais chantée par IAM était pleine de sens et de réflexion. Mitch-mitch (d) 10 juin 2009 à 11:09 (CEST)[répondre]

Se débat-on ? modifier

Salut ! Hier, ma prof de lettres, d'humeur à philosopher, nous a sorti que nous ne sommes (nous, les Hommes, et nous en tant qu'individus) rien. Sur ce point, je suis globalement d'accord. Elle a enchaîné en demandant à quoi servait de (je cite) "se débattre pour obtenir son bac, faire des études, etc...". Là n'est pas ma question, qui est : "se débat-on réellement ?". Je n'ai nullement l'impression de me débattre pour quoi que ce soit. Qu'en pensez-vous ? Kiljaeden (d) 10 juin 2009 à 13:54 (CEST)[répondre]

Je dirais que ça dépend du tempérament de chacun. Certains se "laissent couler" et ne font que "passer le temps", d'autres effectivement se "débattent" pour obtenir des choses qui, sans effort, ne seraient pas à leur portée... Asheka [la vie est belle] 10 juin 2009 à 16:54 (CEST)[répondre]
Pour faire mon politiquement correct, parlant des individus de l'espèce je dis « les humains », réservant « les hommes » à la part masculine de l'espèce. Pour le reste, si l'on n'est rien, deux solutions : soit l'on n'est vraiment rien, dès lors on s'agite pour ce que tu dis, mais on ne se débat pas réellement car peut on escompter de devenir quelque chose si l'on n'est rien ; soit l'on n'est pas rien, ou du moins l'on est une chose en devenir et l'on ne se débat pas mais l'on aspire à devenir quelque chose, un moyen parmi d'autres étant d'obtenir son bac, de faire des études, etc. Bref, conseille à ta prof de lettres de ne pas se limiter à Cioran pour étayer sa culture en philosophie. Sinon, sache qu'il te faut choisir entre « et cetera » et les points de suspension, les règles de la typographie proscrivent de faire suivre « etc. » par des points de suspension. -O.M.H--H.M.O- 10 juin 2009 à 22:43 (CEST)[répondre]
Elles proscrivent aussi d'employer des guillemets anglais " " au lieu des guillemets français «  ». Et cetera. Morburre (d) 11 juin 2009 à 09:49 (CEST)[répondre]
Elle voulait dire « se battre pour obtenir son bac, etc. » Mais on ne va demander à une prof de lettres de parler bien le français. C'est comme si on demandait à un philosophe d'être sage ou à un wikipédien d'être neutre. Sur le fond, nous ne sommes pas grand chose, elle a raison, mais les choses auxquelles nous nous intéressons : bac, études, vie professionnelle, n'ont pas non plus beaucoup de valeur. Notre vie, notre confort et notre plaisir n'ayant pas de signification, nous pouvons tous les gâcher, sans que cela occasionne aucune perte pour le monde, à poursuivre des objectifs eux-mêmes sans valeur. D'ailleurs je clique sur « Modification mineure ». La même chose, patron ! Seudo (d) 11 juin 2009 à 10:18 (CEST)[répondre]
Tu peux expliquer en quoi « se débattre pour obtenir son bac » serait moins correct que « se battre pour obtenir son bac » ? rv1729 11 juin 2009 à 11:56 (CEST)[répondre]
À mon sentiment, on se débat pour sortir d'une situation difficile et, dans une certaine mesure, anormale. Les entreprises se débattent pour sortir de la crise, les débiteurs se débattent pour rembourser leur dette. Le bac et les études, en revanche, constituent un parcours que l'on suit et non une situation dans laquelle on est empêtrée, un parcours difficile mais normal et non une situation de crise temporaire. Donc on se « bat » pour y parvenir. Mais on peut bien sûr débattre de l'usage de ce terme... Seudo (d) 11 juin 2009 à 12:37 (CEST)[répondre]
De l'autre côté, si Kiljaeden nous rend bien compte des propos de sa prof, comme elle part de la prémisse « nous ne sommes rien » et qu'elle développe en semblant considérer que nos efforts pour devenir « quelque chose » sont vains, se battre pour atteindre ce but est inutile et revient alors à se débattre, et en pure perte par dessus ça. -O.M.H--H.M.O- 11 juin 2009 à 12:50 (CEST)[répondre]
Celui qui dans la vie, est parti de zéro pour n'arriver à rien dans l'existence, n'a de merci à dire à personne. (Pierre Dac). Ben oui, c'est un peu mon cas, dans le fond... Félix Potuit (d) 11 juin 2009 à 13:38 (CEST)[répondre]
Ben elle a raison ta prof, à quoi ça sert de se débattre pour avoir son bac ? A quoi ça sert de faire des études supérieures pour trouver un métier qui te permettra de gagner l'argent <smal>malheureusement nécessaire pour vivre ? Puisque nous ne sommes rien, puisque tu n'es rien, abandonne tout ça et ne fait rien... ... ...Je plaisante bien sûr : je ne comprends pas qu'un prof puisse donner de telles idées...Bon alors évidemment, libre à toi de faire ce que tu veux, tu peux décider de vivre en ermite loin de notre société de consommation, mais ce n'est pas un chemin facile, intéressant, mais pas facile.--Deva (d) 13 juin 2009 à 17:08 (CEST)[répondre]
Et bien moi je trouve salutaire qu’un prof de philo donne de telles idées (d’ailleurs c’est son métier, dans la mesure où il s’agit de rendre vivant un cours de philo). Mais tu peux aussi fermer ton esprit à tout ce qui ne concorde pas avec les clips publicités que tu vois à la télé. Ce n’est pas un chemin intéressant, quant à savoir s’il est facile... rv1729 14 juin 2009 à 21:18 (CEST)[répondre]
En fait c'était sa prof de lettre, pas la prof de philo. M'enfin ça revient au même. Il serait évidemment salutaire de se sortir de la société de consommation, de clips, de télé, de désinformation et j'en passe, mais malheureusement on a pas trop le choix aujourd'hui de "suivre le mouvement" car sinon, je persiste, c'est très dificile de s'en sortir.--Deva (d) 15 juin 2009 à 16:26 (CEST)[répondre]
Je veux surtout dire que c’est salutaire de confronter des lycéens à ces idées. Ça ne veut pas dire qu’il est salutaire d’y adhérer... rv1729 15 juin 2009 à 17:01 (CEST)[répondre]

Claude Leron modifier

Mesdames, messieurs, ayant voulu voir l'article concernant Claude Leron, je n'ai pu le trouver. A-t-il été supprimé? Si oui, pourquoi? Quel sont les critères qui ont amené à supprimer cet article sur Leron qui fût champion d'Europe des poids lourds en 1977 dans la discipline:catch.

Merci à l'avance pour vos réponses. Avec mes salutations

claude leron

A priori page supprimée vers le mois de mai. Pas trouvé trace de la discussion. Je suppose qu'il manque de notoriété (voir Wikipédia:Notoriété des sportifs et que surtout dans la discussion, aucun spécialiste en catch n'était là.
Sinon des conseils pour qu'un article paraisse "sérieux" :
  • S'inscrire, comme cela, il y a des chances que vous soyez prévenu quand une discussion commence.
  • Éviter d'écrire sur soi-même : voir Wikipédia:Autobiographie. Demandez à un ami, un spécialiste de votre discipline etc. de le faire pour vous.
--Serged/ 10 juin 2009 à 14:49 (CEST)[répondre]
La discussion a eu lieu à Discussion:Claude Leron/Suppression. Voyez les arguments qui y sont évoqués. Si vous pouvez apporter de nouvelles références (ouvrages spécialisés le mentionnant, journaux lui consacrant un article en entier...) susceptibles de changer les avis des personnes s'étant exprimées dans le débat de suppression, vous pouvez faire une WP:demande de restauration de page. — Jérôme 10 juin 2009 à 14:53 (CEST)[répondre]
À noter : [6]. site officiel [7] ? --Serged/ 10 juin 2009 à 14:58 (CEST)[répondre]

patricia kass album kabaret modifier

bonjour,apres avoir écouté l'album de patricia kass et plus precisement la chanson kabaret il me semble que la musique de ce morceau est connue et chantée par un homme.A vrai dire je recherche depuis longtemps ce morceau et je vous serai tres reconnaissant si vous pouviez me renseigner.je sais que cette musique a aussi servie pour un film avec Alain Delon mais je ne me souviens pas du titre.je vous remercie de votre amabilité et attend votre réponse salutations

Salut. Quel morceau ? Pour une bonne part, ceux qui composent l'album sont des créations, donc chantés seulement par une femme pour l'heure, en l'occurrence Patricia Kaas ; et les reprises ont été auparavant chantées aussi bien par des femmes que des hommes. Bref, si tu nous dis quel titre fait l'objet de ta question ça pourra (peut-être) nous permettre de t'aiguiller vers des pistes. -O.M.H--H.M.O- 10 juin 2009 à 22:56 (CEST)[répondre]
En mettant quelques attributs typographiques, le monsieur, ou la dame, dit : la chanson Kabaret. J'ai pensé tout de suite à Joel Grey et à la chanson du film Cabaret, mais j'avais faux. Notez que je n'ai pas employé une seule fois l'adjectif « éponyme ». Morburre (d) 11 juin 2009 à 08:10 (CEST)[répondre]

Continuité des nombres réels modifier

Bonjour
J'aimerais savoir quelle propriété mathématique de correspond intuitivement à sa continuité (l'ensemble est "continu", contrairement à ).Il semblerait, d'après l'article Nombres réels que ce soit la complétude de mais pourquoi? (Pourrais-je avoir une explication précise de ce fait?)
Merci d'avance.--193.49.144.8 (d) 10 juin 2009 à 15:39 (CEST)[répondre]

Moui, c’est la complétude.
Bon, une idée simple pour comprendre pourquoi la droite rationnelle a des trous : tu prends le graphe de la fonction x ↦ x²-2. Tu peux le dessiner dans Q×Q, ok ? il semble traverser l’axe des x. Les endroits où il traverse ça devrait être ±√2, or ça n’est pas danq Q : la parabole a traversé la droite rationnelle « à travers un trou ».
Ça ne peut pas arriver dans R. Est-ce que ça suffit à te convaincre ? rv1729 10 juin 2009 à 16:06 (CEST)[répondre]

En effet, je suis convaincu, mais quel est le lien entre la complétude et la "continuité" ? --193.49.144.8 (d) 10 juin 2009 à 16:38 (CEST)[répondre]

Et oui : tu as flairé l’entourloupe.
Pour avoir une continuité « minimale », on peut se contenter du corps des nombres constructibles : ça permet que les cercles et les droites se coupent « vraiment ».
Si on veut que les polynômes qui changent de signe entre deux points s’annulent quelque part entre ces deux points, il faut passer au corps des réels algébriques. Bon.
Je vais finir au culot : si tu veux que ça soit vrai pour toutes les fonctions continues, il faut que le corps soit complet. Si, si, je t’assure. rv1729 10 juin 2009 à 17:01 (CEST)[répondre]

le réve : la théorie de l'autre modifier

L'équipe de nettoyage a fait un peu de rangement. Elle a tout entreposé ici.

Supprimé une question qui n’entre pas dans les compétences de l’Oracle. rv1729 10 juin 2009 à 21:17 (CEST)[répondre]

Entrelac brunnien et matrice jacobienne dans le domaine des interactions sociales de type gagnant-gagnant modifier

Bonjour,

Je dois présenter dans quelques temps un topo à mon CA dans le cadre d'un projet de structure un peu particulier. En effet, il s'agit dans le cas présent de présenter une approche d'intervention et de coordination dans un jeu à acteurs multiples (5 intervenants au total sur un sujet type).

Le modèle serait le suivant : Acteur A intervient en premier lieu sur x et conditionne l'intervention de B C D et E sur x. B C D et E interviennent de façon difuse et conjointe dans un second temps.

la relation stabilisée de A B C D E doit déboucher en condition pure et parfaite sur un jeu à somme positive (A excite B qui excite A reproduit pour tous) et produire un état d'homéostasie)

Cependant la relation est de nature imparfaite et instable et soumise à des interactions extérieures nécessitant une coordination du travail partenariale (A B C D et E sans la présence de l'un des acteurs, ou avec une présence dégradée de l'un d'entre eux, dégrade l'intégralité du travail) d'où l'idée des entrelacs bruniens.

Voilà l'état de ma réflexion...

Comment dois-je alors considérer :

- L'usage d'une matrice jacobienne pour représenter la structure en position stabilisée ?

- La représentation de l'entrelac brunien (A intervient puis laisse place à B C D et E qui s'appuient sur le travail antérieur sans que A interviennent nécessairement de nouveau) ?

- L'usage des finalité représentatrice à visée diagnostic (utilité dans le cadre d'une transmission du projet prévue plus tard et essaimage)?

/tend un comprimé de paracétamol et un verre d'eau. C'est malheureusement tout ce que je peux faire pour t'aider... mais quelqu'un d'autre pourra sûrement faire mieux ! En attendant, je te souhaite bon courage ! Asheka [la vie est belle] 11 juin 2009 à 12:34 (CEST)[répondre]
ouh là, tu es bon pour un bandeau, toi :
Le sage Oracle ne fait pas les devoirs à la place des étudiants. Bonne chance dans ta recherche…
Néanmoins, l'Oracle aime aussi s'amuser (?). La matrice jacobienne s'impose, ne serait-ce que pour vérifier la stabilité du système. Je ne vois pas ce que peut apporter de parler d'entrelacs brunnien. "finalité représentatrice à visée diagnostic", c'est du jargon inutilisable pour l'Oracle, qu'il convient de sacrifier à la prochaine pleine lune.
La pythie pense qu'il est inutile de t'aiguiller vers équilibre de Nash, mais qu'en revanche un détour par Espace des phases peut être profitable.
gem (d) 11 juin 2009 à 14:41 (CEST)[répondre]

Je vais me permettre de rappeler que je ne suis (hélas, je me dis des fois)plus étudiant (et depuis bientôt un lustre).

L'utilité de la finalité diagnostic : une fois la représentation mise en place (que tout le monde comprend bien que sans un des partenaire tout se pete la gueule comme dans tout entrelac brunnien) ben l'objectif serait : d'arriver en partant de la situation parfaite d'équilibre (d'où la matrice) de prendre en compte les réalités du terrain pour bâtir un point d'étape...

Quel pourcentage ? modifier

Frukosten, par Amalia Lindegren (1866).

Quel pourcentage de Français disent-ils « petit déjeuner » pour le premier repas de la journée, celui qui est pris le matin et rompt le jeûne ? Tenant compte que les Occitans ne le disent pas... Il va de soi, Ô Oracle, que je souhaite des réponses sourcées... Émoticône Non, ce n'est pas un troll, c'est pour parvenir à ôter des parenthèses dans un article. Merci de ton grand dévouement à la tâche. --Égoïté (d) 11 juin 2009 à 13:28 (CEST)[répondre]

pourcentage de Français ou bien de francophones ? non moi non plus je ne trolle pas Asheka [la vie est belle] 11 juin 2009 à 13:32 (CEST)[répondre]
De Français. Les francophones canadiens, belges et suisses n'utilisent pas cette expression particulière à la France. --Égoïté (d) 11 juin 2009 à 13:54 (CEST)[répondre]
Français vivant en Suisse romande, je ne serai pas si catégorique que cela.... (disons que j'ai parfois (ça dépend des cantons) noté "dîner" et "souper" pour midi et soir mais j'ai jamais tiqué sur le ptit dèj...) Erdrokan - ** 11 juin 2009 à 16:53 (CEST)[répondre]
Nous autres le matin, on brespalhe. Un reste de soupe, un coup de rouge, un peu de boudin, saucisson, pâté, à la rigueur foie gras, un autre coup de rouge, un café avec la goutte d'Armagnac pour le gnac. Mais si on nous dit petit déjeuner, on comprend. Morburre (d) 11 juin 2009 à 15:04 (CEST) Pris d'un horrible doute, je réalise que brespalh, ou vrespalh, c'est le repas de midi, ou le goûter, et pas le (petit) déjeuner. Ou je suis gâteux, ou mes ancêtres et concitoyens ont fait acte d'indépendance vis-à-vis de l'Académie gasconne. Je préfère la dernière hypothèse.[répondre]
conflit d'éditionMais tu n'es pas en France, toi ! Émoticône Tu es en Occitanie Émoticône... Ceci dit, qu'est-ce que le « gnac » ? Oh ! --Égoïté (d) 11 juin 2009 à 15:20 (CEST)[répondre]
Oui je sais, de quoi je me mêle ! Mais voir ici [8] et regarde nhac ou là Liste de mots et expressions limousines à gnac.--Doalex (d) 11 juin 2009 à 17:04 (CEST)[répondre]
C'est, plus globalement que limousin, occitan (quoique très porté en Gascogne) et c'est ce que certains Français ont trouvé malin d'appeler la gnaque (ou la niaque) sans rien comprendre. Morburre (d) 11 juin 2009 à 18:25 (CEST)[répondre]
Merci pour ces infos. Apparemment, gnac n'est pas encore passé dans le langage courant en Belgique francophone... Amitiés à tous deux, --Égoïté (d) 11 juin 2009 à 18:37 (CEST)[répondre]
En fait, je ne crois pas que la séparation soit tant géographique que temporelle. Dans mon jeune temps (pas si lointain mais c'était tout de même le millénaire précédent, plus précisément la décennie 1960) on usait encore beaucoup, quelle que soit la région, de « déjeûner » pour le repas du matin, « dîner » pour celui de mi-journée et « souper » pour le soir. La normalisation de la langue, plus importante qu'auparavant du fait de l'évolution de la société (notamment, temps de scolarité de plus en plus long, brassage massif des populations, beaucoup plus mobiles que dans le passé, forte prégnance des médias audiovisuels, au premier chef la télévision), tend à imposer un peu partout la trinité nouvelle, héritée m'a-t-on dit d'un usage propre à la bourgeoisie parisienne moyenne et haute, pour laquelle il y avait quatre repas : petit déjeûner du matin, déjeûner de la mi-journée, dîner du soir et souper d'après la sociabilité mondaine du soir. Sinon, l'usage ordinaire en oïlitanie est plutôt de parler du p'tit déj'. -O.M.H--H.M.O- 12 juin 2009 à 06:36 (CEST)[répondre]

Pourquoi il serait "petit" le déjeuner du matin. C'est le repas le plus important de la journée d'après les nutritionnistes.

PS. Si on consulte le Larousse ou Le CNRTL, on peut constater qu'il est difficile de déterminer un terme précis pour ces différents repas. Le terme change suivant, le siècle, la catégorie sociale et la région à laquelle appartient celui qui s'exprime. Tout cela ne répond pas à la question Émoticône --Kkbs (d) 13 juin 2009 à 07:06 (CEST)[répondre]

Merci à tous. Et bon appétit pour votre repas matinal Émoticône sourire, --Égoïté (d) 15 juin 2009 à 07:58 (CEST)[répondre]

Le bug de l'an 2038 modifier

Bonjour à tous et à toutes,

En furetant sur notre site préféré, je suis tombé sur les "nouvelles" de l'an 2038, et notamment sur le fait que tous les ordinateurs planteront du fait d'un bug. D'après ce que j'ai compris, le fait d'utiliser le système binaire interviendrait dans le problème, mais ça reste bien confus...

Quelqu'un pourrait-il m'expliquer cela comme si j'étais totalement novice en informatique ? Dois-je me faire du souci ? Dois-je faire des réserves de bougies dès maintenant pour éviter la pénurie ?

Merci de votre réponse.--Tadeo (d) 11 juin 2009 à 13:45 (CEST)[répondre]

Moi aussi, j'ai essayé de comprendre, mais je bute. Si je reprends ce qui est expliqué dans l'article Bogue de l'an 2038, mais en version "simplifiée" (enfin, j'espère): imaginons que le temps soit compté en secondes, depuis un instant to, et que pour définir ce temps, on a droit à 3 cases exprimant, en binaire, le nombre de secondes écoulées depuis le temps to. A 0 secondes, les cases affichent 000. Au bout d'une seconde, tu as le temps t1 qui est représenté par 001. 2 secondes, en binaire donnent t2=010, puis t3=011, t4=100, t5=101, t6=110, t7=111. C'est à partir de là que ça coince. En effet, 8 en binaire = 1000, autrement dit il n'y a plus assez de place pour écrire t8. L'ordinateur peut bugger. Jusque là je suis sans problème.
Mais si on passe à 32 "cases (bits), ça donne 2^32 possibilités, de 0 à 2^32-1 = 4 294 967 295 (soit 11111111 11111111 11111111 11111111 en binaire ) logiquement. Donc je ne comprends pas pourquoi le bug surviendrait, non à la 2^32 ème seconde à partir du temps to= 1er janvier 1970 à 0 heure, mais à la 2^31 ème seconde, qui correspond au 19 janvier 2038 à 3 h 14 min 8 s ? Loïse [patati] 11 juin 2009 à 14:09 (CEST)[répondre]
(Piaf contre Cresson) Le bogue de l'an 2038 ne fera pas planter tous les ordinateurs, pas plus que celui de l'an 2000. La norme POSIX qu'utilisent la majorité des systèmes d'exploitation des ordinateurs actuels représente la date comme le nombre de secondes écoulées depuis le premier janvier 1970. Comme la plupart des systèmes d'exploitation utilisés sont 32 bits, pour simplifier, par défaut les nombres entiers sont représentés par un nombre binaire à 32 chiffres, sachant qu'un bit est utilisé pour le signe (je le met en gras pour Utilisateur:Loïse) les valeurs possibles vont de -2 147 483 648 à 2 147 483 647 (soit -2³¹ à 2³¹-1). Or en comptant 2 147 483 647 secondes depuis le premier janvier 1970 on arrive au 19 janvier 2038. Ensuite chaque application qui utilise cette date deviendra erronée et le comportement n'est pas défini. Jaymz Height-Field (d) 11 juin 2009 à 14:20 (CEST)[répondre]
Un bit est utilisé pour le signe quand on veut des nombres signés. Il paraît quand-même naturel de compter le temps écoulé depuis le premier janvier 1970 par un unisgned int... rv1729 11 juin 2009 à 14:26 (CEST)[répondre]
~Merci pour cette explication de signe Loïse [patati] 11 juin 2009 à 17:52 (CEST)[répondre]

Si j'entretiens bien mon ordinateur actuel, j'espère bien qu'il fonctionnera en 2038. Ou alors, il faudra le changer en 2037 ? Morburre (d) 11 juin 2009 à 14:58 (CEST)[répondre]

En tout cas il existe déjà des gens pas trop scrupuleux qui te proposent d'acheter l'explication! voir[9] Smiley Colère --Doalex (d) 11 juin 2009 à 15:32 (CEST)[répondre]
Cette histoire de bug est obsolète pour plusieurs raisons : 1) comme dit plus haut la plupart des micro-ordinateurs actuels ne comptent pas le temps de cette manière ; 2) la plupart des BIOS ne respectent pas la norme énoncée, et prennent une date plus récente (1991, 1996, 2003 pour certains que je connais) ce qui reporte d'autant le problème ; 3) contrairement à ce qu'affirme notre article, il y a très peu de logiciels actuels concernés par ce problème ; 4) tous les micro-ordinateurs sortis depuis le milieu des années 1990 sont dotés d'un BIOS sur EEPROM ou sur Mémoire flash et le moment venu on pourra les mettre à jour pour corriger le problème ; 5) étant donné la durée de vie des unités centrales, même avec un bon entretien et de grandes précautions il est peu vraisemblable (pardon : il est invraisemblable) que les micro-ordinateurs actuels soient encore en fonctionnement en 2038, donc le problème sera résolu. -O.M.H--H.M.O- 11 juin 2009 à 18:25 (CEST)[répondre]
En 2038, nous serons tous morts depuis longtemps de misère et de la grippe A, alors le bug, hein... Félix Potuit (d) 11 juin 2009 à 20:31 (CEST)[répondre]
Sans compter le passage aux processeurs et applications 64 bits. Sinon rv, utiliser un unisgned int est sympathique sur l'idée, mais moins pratique quand on veut manipuler des dates qui ne sont pas celle d'aujourd'hui (et qui donc sont antérieures à 1970). --83.145.89.123 (d) 12 juin 2009 à 12:38 (CEST)[répondre]
Hum, il s’agit de la date que donne l’OS, pas d’une norme pour toutes les manipulations de date. Heureusement ! parce qu’en suivant ton explication, on s’aperçoit qu’on ne peut pas remonter avant 1902 ! rv1729 14 juin 2009 à 21:21 (CEST)[répondre]

Pour info j'ai déjà vu une application PHP gérant des plannings (!) donner des dates fantaisistes lorsque l'on dépasse la date en question. Turb (d) 19 juin 2009 à 18:58 (CEST)[répondre]

Tableur hexagonal modifier

et ça, c’est de la merde ? rv1729 11 juin 2009 à 14:29 (CEST) ooops, comme il a dit 4 directions j'ai pensé octogone Jaymz Height-Field (d) 11 juin 2009 à 14:34 (CEST)[répondre]
Trois axes ayant un sens sur un plan, oui Monsieur c'est possible :-) Jérôme 11 juin 2009 à 23:40 (CEST). Non monsieur, vous faites un contresens, il n'y en réalité que deux axes + une contrainte gem 12 juin 2009 à 11:10 (CEST)[répondre]

Youhou Oracle, comment vas-tu, yau de poële, pas mal et toi, porisateur, haha, bon maintenant qu'on a bien ri, ma question : depuis longtemps je me demande si ça aurait un intérêt quelconque de réaliser un tableur dont les cellules seraient hexagonales et non pas rectangulaires, ce qui donnerait 4 axes possibles pour effectuer des totalisations ou autres. Je suis sûr que cette idée est géniale mais je n'arrive pas à trouver en quoi (je ne suis pas matheux). Peux-tu m'aider à m'éclaircir les idées ? Saint-Cloud very moche ! pardon aux Clodoaldiens, je ne le ferai plus Félix Potuit (d) 11 juin 2009 à 14:12 (CEST)[répondre]

Je suppose que le plus gros problème est que l'on ne peut pas faire un pavage régulier du plan avec des hexagones. N'importe quoi comme l'a justement fait remarqué rv alors j'avance une autre explication Parce que les claviers n'ont pas de touches haut-gauche/haut-droit/bas-gauche/bas-droit.Jaymz Height-Field (d) 11 juin 2009 à 14:28 (CEST)[répondre]
J’aime beaucoup l’explication alternative ! Émoticône
C'est tout à fait impressionnant de constater à quel point le pavage carré (ou rectangle) s’impose à nous. Mais j’ai le sentiment que nous avons déjà débattu de cette question... non ? rv1729 11 juin 2009 à 14:58 (CEST)[répondre]
Je suppose que c'est surtout sans intérêt, pour au moins deux raisons, dans le désordre :
un pavage hexagonal n'est rien d'autre qu'un pavage rectangle dont on utilise seulement une cellule sur deux (A1, A3, B2, B4, etc.). Ou si on préfère (c'est équivalent), dont on a fusionné les cellules deux par deux (A1 avec A2, A3 avec A4, B2 avec B3, B4 avec B5, etc.)
sur un plan il n'y a que deux axes qui ont un sens, au sens sémantique du terme ; par exemple tu peux mettre les types de légumes (carotte, choux, pois, tomates...) en ligne, le temps (janvier, février, etc.) en colonne, et les quantités récoltées à l'intersection : les totaux récoltés par légumes ou par période de temps ont un sens, mais qu'est-ce que ça peut bien signifier de faire le total des carottes de janvier avec les choux de février, les pois de mars, les tomates d'avril, etc. ?
gem (d) 11 juin 2009 à 15:00 (CEST)[répondre]
l'humain communiquant plus en deux dimensions qu'en trois, un pavage rectangle est plus intuitif et pratique qu'un pavage hexa ou plus qui demande un effort conceptuel ( le coup du monde en deux dimensions dans lequel atterrit un avion...). L'idée d'augmenter les axes est peu pratique car la transcription de la réflexion ( ou bien la pseudo intelligence artificielle ) se fait en une dimension ( la lecture d'un texte est linéaire, la programmation en assembleur aussi ) ou au mieux en deux dimensions ( tableurs, hyper-liens ). Une telle augmentation est utile si on recherche une récurrence ( n-1 , n+1 en diagonales par exemple ) d'une colonne a l'autre, si on cherche à montrer que des causes différentes donnent des effets identiques à un moment donné puis divergent ou bien écrire trois tableaux différents en un tableau avec rotation. A ce sujet je peux te conseiller de lire "Curiosités et récréations mathématiques , par Gaston Boucheny , éditions Larousse, 1939" qui indique des approches différentes dont l'un permet de calculer une multiplication posée en lignes et colonnes, en faisant une somme en diagonale, peut-être transcriptible en tableau hexagonal ( page 8 ), mais je n'ai pas essayé Émoticône. Un exemple ( moins évident graphiquement ) de la "multiplication musulmane" est proposé ici. ViZiT (d) 11 juin 2009 à 16:16 (CEST)[répondre]
Pas la peine de chercher si loin, on a tout ce qu'il faut à la maison : technique de multiplication, Technique de la multiplication par jalousies gem (d) 11 juin 2009 à 20:09 (CEST)[répondre]
Bon, j'ai peut-être été optimiste en suggérant que l'hexagone permettait 4 axes, c'est plutôt 3 en effet. En revanche, un clavier permet parfaitement des déplacements de type "vers le haut et vers la gauche" (sur mon pavé numérique, c'est la touche 7). Je songeais vaguement à des applications du type "Jeu de la vie", où la valeur d'une cellule dépend de celles des cellules voisines; mais il y a peut-être d'autres possibilités. Je ne pense pas non plus que l'intelligence artificielle, pseudo ou pas, soit condamnée à fonctionner en mode linéaire, il doit y avoir des théories connexionnistes où autres qui proposent d'autres approches. Mais bon, merci pour ces réponses, je vais continuer à réfléchir, et si je trouve une utilisation, je vais me dépêcher de la breveter avant qu'on ne me la pique, si ce n'est déjà fait. Félix Potuit (d) 11 juin 2009 à 20:28 (CEST)[répondre]
Ah mais de mon point de vue l'intelligence artificielle doit fonctionner matériellement et logiciellement au moins en deux dimensions pour exister ( plusieurs processeurs fonctionnant en parallèle, dont les résultats a chaque instant influent sur les résultats des voisins ( le jeu de la vie ) ). Le souci actuellement est qu'un processeur fait une action, puis une autre...selon des consignes et des données restreintes et trop précises ( tellement précises qu'une fonction Aléatoire est intégrée pour simuler l'influence des processeurs voisins ). C'est linéaire et insuffisant pour une intelligence artificielle, c'est pourquoi je précise "pseudo-". C'est évident si tu discutes avec un Agent conversationnel: au bout de quelques minutes tu as fait le tour. ViZiT (d) 12 juin 2009 à 02:36 (CEST)[répondre]
Bah, il y a une chose qui me frappe quand même: il n'y a pas du tout trois dimensions dans un pavage hexagonal. Essayez donc de faire un tableau à trois dimensions, c'est juste impossible. Il y a bien trois axes de symétrie, mais pas moyen de mettre trois axes de tableau là-dessus. Arnaudus (d) 11 juin 2009 à 23:20 (CEST)[répondre]
Je crois qu'on peut faire un tableau en trois dimensions : lignes = nombre de questions, colonnes = nombre de pythies , troisième dimension = heure de la journée par exemple et au croisement la vitesse de réponse. Un tableau en 3D n'étant qu'une superposition de plusieurs tableaux 2D traditionnels. ViZiT (d) 12 juin 2009 à 02:36 (CEST)[répondre]
Nan mais oui, évidemment qu'on peut faire un tableau en N dimensions, mais ma remarque concernait trois dimensions dans un plan à pavage hexagonal. Prenez juste le pavage hexagonal, mettez trois axes dans les trois axes de symétrie, et vous verrez bien qu'il est impossible de croiser les axes. La différence avec le diagramme triangulaire est évidente, les hexagones ont toujours la même taille, alors que le diagramme change l'échelle des axes. Arnaudus (d) 12 juin 2009 à 10:01 (CEST)[répondre]
Demandez aux abeilles, depuis le temps, elles doivent savoir. Morburre (d) 12 juin 2009 à 00:24 (CEST)[répondre]
C'est un poil plus compliqué : en mathématique comme en informatique, un tableau à une , deux ou N dimension c'est la même chose. Un tableau en dimension N est toujours représentable par une ligne à une seule dimension (et réciproquement), et en pratique c'est bien comme ça qu'il est représenté dans une mémoire informatique.
Rien ne s'oppose donc à définir un troisième (quatrième, etc.) axe sur un tableau. C'est pas évident et c'est pas la meilleure façon de faire, mais c'est possible.
gem (d) 12 juin 2009 à 11:06 (CEST)[répondre]
Au-delà du fait, longuement discuté ci-dessus, que des cellules hexagonales créent l'illusion d'un tableau à trois axes, les tableurs de type Excel (c'est-à-dire presque tous ceux actuels disponibles sous les interfaces graphiques) ont déjà trois axes, et même quatre. La possibilité d'empiler des feuilles de calcul fait qu'un « classeur » de tableur est un volume, et la possibilité d'intégrer des fonctions dynamiques et des macros qui réagissent à des événements y ajoute la dimension du temps. -O.M.H--H.M.O- 12 juin 2009 à 13:31 (CEST)[répondre]
oui enfin, traiter ensemble toutes les cases "B47" des différentes feuilles ou jouer avec les macros, ça n'a rien à voir en terme de facilité à la gestion d'une ligne ou d'une colonne. Un tableur multi-onglet reste un mille-feuilles, pas un cube. gem (d) 12 juin 2009 à 16:32 (CEST)[répondre]
Je pense qu'un tableur hexagonal ne serait pas un tableur à 3 dimensions (effectivement, les feuilles Excel seraient un meilleur exemple), il n'empêche qu'il apporte quelque chose de plus puisqu'on peut par exemple sommer, non seulement les lignes et les colonnes, mais 3 types de lignes. Je cherche une application pratique... Félix Potuit (d) 12 juin 2009 à 15:56 (CEST)[répondre]
Es-tu bouché ousuis-si peu clair ? Encore une fois, je me répète, un tableur hexagonal n'est rien d'autre qu'un tableur rectangle ordinaire dont tu n'utilises qu'une case sur deux (edit : et réciproquement ), par conséquent il n'apporte rien de plus (c'est juste un cas particulier), et ce n'est pas la peine de te prendre le chou pour chercher un exemple de truc que tu pourrais faire avec l'un et pas l'autre : tu n'en trouvera pas. gem (d) 12 juin 2009 à 16:32 (CEST)[répondre]
Tu sais où est le problème ? Les limites de l'esprit humain (et la patience des humains parfois). Il est peut-être envisageable de disposer de plus de deux axes sur un plan mais il est difficile et probablement impossible de se les représenter autrement que de manière statique. Dès lors, ça na pas grand intérêt pour un tableur, nécessairement dynamique. -O.M.H--H.M.O- 12 juin 2009 à 16:34 (CEST)[répondre]
la patience, ouais, c'est vrai... notamment le vendredi après une dure période de boulot. gem (d) 12 juin 2009 à 18:58 (CEST)[répondre]
Hé ho du calme, je ne voulais pas provoquer une Guerre du Feu... Mais j'ai du mal à saisir vos arguments. Quelle est la différence entre un tableur en 3 dimensions et un tableur "mille-feuilles" ? (à part peut-être que le nombre de feuilles est en pratique limité, mais en pratique seulement). Pourquoi n'y a-t-il pas 3 axes dans un plan divisé en cellules hexagonales ? Puisque je les vois sous mes yeux dans l'illustration proposée ci-dessus par rv. Comment peut-on dire qu'un tableur hexagonal est similaire à un tableur rectangulaire dont on ne prendrait qu'une cellule sur deux ? Si on parle bien des cellules contigües par un coté (et non: par un angle), il y a bien 2 axes dans un tableau rectangulaire, et 3 dans un tableau hexagonal; chaque axe ayant par ailleurs 2 directions. En fait, ce qui m'a fait penser aux cellules hexagonales, c'est un test que j'ai fait dans le temps, basé sur le Jeu de la Vie, au cours duquel j'ai constaté (trivialement) que si l'on veut tenir compte des cellules qui entourent une cellule donnée, on s'aperçoit que certaines sont contigües par un côté et d'autres par un angle, et manifestement cela n'a pas la même valeur dans les 2 cas (une cellule contigüe par un côté est "plus contigüe", si on peut dire). Dans le cas de l'hexagone, arrêtez-moi si je me trompe, mais il n'y a plus que des cellules contigües par un côté, donc elles ont toutes (toutes les 6) même valeur de contigüité. Certes, peut-être qu'on s'éloigne du tableur, mais à l'origine, j'avais bien fait mes tests sous Excel (tableur rectangulaire)... Félix Potuit (d) 13 juin 2009 à 06:53 (CEST)[répondre]
La différence entre un mille feuille et un cube : par exemple, il existe une fonction collage spéciale / transposition qui permute les axes X et Y, essaye un peut de faire la même chose entre axes X et Z, pour rire...
Pour le reste : si tu voit hex dans ce qui suit ça répond à ta question, dans le cas contraire on ne peut rien pour toi. ( - pour une case vide)
a-b-c-d-e-f-
-a-b-c-d-e-f
a-b-c-d-e-f-
-a-b-c-d-e-f
a-b-c-d-e-f-
gem (d) 15 juin 2009 à 16:08 (CEST)[répondre]
La leçon difficile, par William-Adolphe Bouguereau (1884).

salut a vous derrière l'écran!!!

comme vous devez le savoir , le bac général commence dans une semaine et je suis candidate.

je suis devant mes livres depuis ce matin mais je n'arrive pas à me concentrer !

donc si quelqu'un peut me dire ce que je peut faire :( car c'est comme si mon cerveau ferme sa porte dés que je me met à lire et c'est très énervant!!

merci

Tu passes un short et tu vas courir. En revenant tu te bottes mentalement le cul et tu bosses. rv1729 11 juin 2009 à 15:00 (CEST)[répondre]
Après tu relis ta question et tu corriges toutes tes fautes d'orthographe.Émoticône sourire --Doalex (d) 11 juin 2009 à 15:14 (CEST)[répondre]
conflit d'éditTu commences par un bouquin de grammaire et tu révises en premier les accords sujet-verbe, les homophones grammaticaux et la ponctuation de la phrase. Cobra Bubbles Dire et médire 11 juin 2009 à 15:37 (CEST)[répondre]
Faut relativiser, le boulot de la dernière semaine ne peut pas représenter plus de quelque % de celui de l'année entière, ce n'est donc pas le moment de vouloir tout reconstruire.
En tout cas, si tu veux t'y mettre, tu ferais déjà bien de fermer internet (et la radio, la télé, le téléphone, les revues de mode, etc.). Quand il ne te restera le choix qu'entre dormir (très utile !) et lire tes bouquins, tu feras bien l'un ou l'autre...
On a des articles qui peuvent t'intéresser : attention, motivation, motivation scolaire, distraction, divertissement . Mais à regarder après le bac.
gem (d) 11 juin 2009 à 15:30 (CEST)[répondre]
Le stress d'avant examen est une chose assez commune, et si tu en discutes avec d'autres futurs bacheliers tu verras que beaucoup sont dans ton cas. Il n'y a pas de remède décisif. Tu peux manger du chocolat, boire une tisane de camomille le soir, de tilleul-menthe dans la journée, suivre le premier des deux conseils de rv, ou enfin mettre de côté tes bouquins et tes notes de cours parce que de toute manière, et comme le dit gem, ça ne changera pas grand chose de réviser dans les derniers jours avant l'examen.
Si maintenant tu tiens vraiment à relire tout ça, il te faut procéder de manière méthodique. Si par exemple tu te sens quelques faiblesses en Histoire, n'essaie pas de relire tout ton manuel : consulte la table des matières, interroge-toi sur ta connaissance de chaque partie et ne relis que celles où tu te sens des faiblesses. Même chose pour les autres matières. C'est simple : dans les derniers jours il est impossible de tout réviser, donc les deux meilleures solutions sont de ne rien réviser et de s'occuper de choses plus plaisantes, ça pourrait contribuer à limiter ton stress, ou de ne réviser que ce qui vaut le coup de l'être.
En tout cas, je te souhaite une bonne réussite. -O.M.H--H.M.O- 12 juin 2009 à 06:54 (CEST)[répondre]
Autre conseil, vérifie bien à quelle heure les épreuves démarrent, et tâche d'y être à temps (sans compter sur la ponctualité des transports en commun, notamment)... Félix Potuit (d) 13 juin 2009 à 13:53 (CEST)[répondre]
Je suis assez d'accord avec -O.M.H-, tu peux juste te reposer et décompresser. Mais ne va pas non plus faire la fête et te saouler tous les soirs, parce que s'il est impossible de tout réviser en si peu de temps, il est possible de tout oublier en si peu de temps Émoticône. Bon courage pour tes épreuves.--Deva (d) 13 juin 2009 à 17:23 (CEST)[répondre]

Trotsky fut-il le gendre d'un explorateur polaire ? modifier

Bonjour, J'avoue ne pas avoir le courage d’effectuer moi-même des vérifications pourtant nécessaires, alors je fais appel aux érudits d’Oracle... Voir les articles Sedov et Natalia Sedova : cette dernière (deuxième femme de Trotsky) est-elle vraiment la fille d’un explorateur polaire ? Merci d’avance. Alphabeta (d) 11 juin 2009 à 15:51 (CEST)[répondre]

Pas de chance avec les interwikis : lien rouge ou pas de nom des parents – enfin pour les langues que je peux lire.
cette page apparemment sérieuse donne la même information. Par contre, curieusement on trouve sur cette autre page, après la mention qu'elle est la fille d'Ivan Sedov, un renvoi vers de:Georgi Jakowlewitsch Sedow, qui est certes un explorateur polaire, mais n'est pas Ivan. Sur cette autre page, on apprend que « sa famille appartenait à la petite noblesse pauvre. Son père, Iván Sedov, était d'origine cosaque ; sa mère OIga Kolchevsky d'origine polonaise » (« Su familia pertenecía a la pequeña nobleza pobre. Su padre, Iván Sedov, era de origen cosaco; su madre OIga Kolchevsky de origen polaco »), ce qui ne ressemble pas à la bio de l'explorateur, roturier et fils de pêcheur. Pour le reste, la grande majorité des pages qui parlent de Natalia comme fille d'un explorateur polaire mais donnent Ivan comme prénom se basent sur les articles de Wikipédia. Bref, tout ça n'est pas clair. M'est avis qu'on ne devrait pas mettre cette indication jusqu'à ce qu'on trouve une source fiable de chez fiable. -O.M.H--H.M.O- 11 juin 2009 à 16:34 (CEST)[répondre]
(conflit) À cause du nom il semble facile d'y associer le fameux explorateur Georgiy Sedov pour lequel on trouve beaucoup d'informations comme ici [10] mais il semble que Natalia Sedova et Trotsky firent connaissance à Paris en 1902-1903 selon cette page [11], il est peu probable qu'il existe un lien de parenté quelconque entre cet explorateur et l'épouse de Trotsky, mais à part le fait que son père se prénommait Ivan, évidemment, rien ne prouve qu'il n'a jamais été lui aussi un explorateur mais j'en doute (pas de sources,désolé).--Doalex (d) 11 juin 2009 à 16:49 (CEST)[répondre]
Merci pour les réponses : du coup dans l’art. Natalia Sedova j’ai mis en commentaires la mention des « fonctions » de son père. Alphabeta (d) 11 juin 2009 à 18:37 (CEST)[répondre]
Au fait, Doalex n'a pas pensé à l'expliciter mais la filiation avec l'explorateur est impossible pour une raison chronologique simple : il est né en 1877, et Natalia en 1882. CQFD. -O.M.H--H.M.O- 12 juin 2009 à 13:39 (CEST) Voilà qui est fait, merci.--Doalex (d) 12 juin 2009 à 14:58 (CEST)[répondre]

image de ramoneur modifier

Petit ramoneur savoyard

Bonjour,

Je vais m'installer en temps que ramoneur en septembre et je souhaiterais savoir si je peux me servir de l'image du petit ramoneur savoyard dans les publicités et sur les logos pour créer mon entreprise.

En espérant une réponse favorable et rapide

merci d'avance

C'était le logo de « Publicité Jean Mineur » je pense (j'adorais l'animation sur le num. de tél. « Balzac 00 01 » !), donc il faut voir avec Médiavision. -O.M.H--H.M.O- 11 juin 2009 à 17:40 (CEST) – Mince ! C'était un petit mineur ! Donc, question subsididiaire : quel image de petit ramoneur savoyard ? -O.M.H--H.M.O- 11 juin 2009 à 17:41 (CEST)[répondre]
de celui de Utilisateur:Morburre, je pense. Créé tout spécialement pour faire plaisir à quelqu'un que je connais bien Émoticône sourire. --Égoïté (d) 11 juin 2009 à 18:24 (CEST)[répondre]
En ce cas, il faut demander à l'auteur. -O.M.H--H.M.O- 11 juin 2009 à 23:40 (CEST)[répondre]
C'est plus élégant, mais ce n'est pas obligatoire. J'ai dû placer ce dessin sous licence libre, et une immense fortune va me passer sous le nez. Morburre (d) 12 juin 2009 à 00:20 (CEST)[répondre]
(Smiley oups) --Égoïté (d) 12 juin 2009 à 06:37 (CEST)[répondre]
Négocie un ramonage gratuit, remarque, avec ton bol, t'es au chauffage électrique...Cobra Bubbles Dire et médire 12 juin 2009 à 10:31 (CEST) Gagné. Morburre (d) 12 juin 2009 à 12:16 (CEST)[répondre]
Le dessin a été placé par son auteur sous une licence libre, cela signifie que vous pouvez le réutiliser pour votre publicité en respectant les conditions suivantes : indiquer sur votre publicité (par exemple à côte de l'image) que le dessin a été réalisé par Morburre et qu'il est (l'oroginal ou toute version modifiée par vos soins) disponible sous licence CC-BY-SA 3.0. Vous ne pouvez pas empêcher vos concurrents de réutiliser la même image, que ce soit l'original ou une version modifiée.
Pour un logo, c'est plus compliqué, je ne saurais pas dire. — Jérôme 12 juin 2009 à 11:01 (CEST)[répondre]
Un logo, en principe et dans sa logique même, c'est réservé à son propriétaire, aucun intérêt de piquer un logo ! Morburre (d) 12 juin 2009 à 12:16 (CEST)[répondre]
Ce serait surtout encombrant pour ce ramoneur de devoir placer toutes les mentions requises par la licence, même la CC (le nom de l'auteur, le titre de l'image donné par l'auteur, le lien vers l'image source, le lien vers la licence), sous chaque utilisation de son logo (encore heureux pour lui que tu n'aies pas placé ton dessin seulement sous la GFDL Mort de rire). Et c'est précisément là que tu peux te rattraper ! : en négociant entre vous un prix mutuellement avantageux pour lui accorder ton autorisation d'utiliser le dessin, non sous licence CC, mais par contrat ad hoc sans clause d'obligation des mentions ci-dessus. Et voilà, tout le monde est content ! -- Asclepias (d) 13 juin 2009 à 18:31 (CEST)[répondre]
Je me permets de souligner ce que Jérôme vous a écrit : Vous ne pouvez pas empêcher vos concurrents de réutiliser la même image, que ce soit l'original ou une version modifiée. Il ne me semble pas intéressant, commercialement parlant, de prendre ce risque. Votre logo ne doit pas risquer d'être copié ! Le mieux serait de demander à l'artiste de créer une œuvre pour vous uniquement. Morburre, je fais ce que je peux pour me rattraper !. Bien à vous, --Égoïté (d) 13 juin 2009 à 08:09 (CEST)[répondre]
Bien joué. On discute de ta commission en privé. Ceci dit, une illustration quelconque (comme celle-ci) n'est pas destinée à devenir un logo, un logo c'est un travail spécifique, assez compliqué parce que ça doit être simple, et rien n'est compliqué comme la simplicité, et c'est pour ça que ça fait hurler les gens quand on sait le prix que coûtent certains logos (surtout que ceux-là ont dû être faits, justement, en cinq minutes). Morburre (d) 13 juin 2009 à 11:25 (CEST)[répondre]

Autoroute modifier

L'autoroute française A6, sens « autoroute des nuages ».

Bonjour Grand Oracle

sais tu pourquoi l'autoroute A6 qui est l'autoroute des vacances utilisées par tous les français et les européens pour descendre dans le sud passe a seulement deux voies au niveau du département allier.

je suis surpris qu'une telle voie de circulation si utilisée n'ai pas trois voies sur toute sa longueur.


peux tu éclairer ma lanterne s'il te plait?

En fait d'après Liste des autoroutes de France l'A6 ne traverse pas l'Allier mais est à 2×2 voies entre Auxerre et Beaune durant la traversée du Morvan.
D'après Autoroute française A6 l'autoroute a été construite initialement en 2x2 voies et élargie en 2x3 entre Beaune et Lyon puis entre Auxerre et Paris depuis 1982 (c'est donc assez récent).
Quand savoir pourquoi la section entre Auxerre et Beaune est restée en 2x2 je suppose que la réponse se trouve dans le déficit budgétaire de la France.
D4m1en (d) 11 juin 2009 à 23:49 (CEST)[répondre]
C'est assez pénible d'ailleurs cette portion à 2X2 voies Émoticône. Parce que du coup, le trafic est nettement plus dense les jours de grand départ, et qu'alors on entend l'autoroute à plusieurs kilomètres de distance... Ça trouble mes vacances aux bords du Serein Émoticône --Serein [blabla] 12 juin 2009 à 09:41 (CEST) C'était la section "je raconte ma vie", promis j'arrête [répondre]
Notons que cette partie est aussi celle qui a le moins de traffic. Ayant récemment fait un aller-retour Paris-Marseille, ce n'est pas sur ce tronçon que c'était le plus pénible ! --Serged/ 12 juin 2009 à 10:07 (CEST)[répondre]
La photo ci-dessus me fiche le cafard en me rappelant le cauchemar des retours de week-end par l'A6, et toutes les fois où j'ai raté ma sortie pour me retrouver paumé dans Arcueil, dont il est rigoureusement impossible de s'extraire ensuite... Félix Potuit (d) 13 juin 2009 à 06:59 (CEST)[répondre]
Je l'aime bien moi, cette sortie Arcueil qui me permet d'échapper à l'enfer de la porte d'Orléans (et de toute façon d'aller chez moi). --Serged/ 13 juin 2009 à 11:35 (CEST)[répondre]
« l'autoroute A6 qui est l'autoroute des vacances utilisées par tous les français et les européens pour descendre dans le sud » ??? Moi je prends l'A6 pour monter vers le nord. Pour descendre vers le sud, je prends l'A7. Mais, bon je suis légèrement au sud de Lyon, ça doit expliquer Émoticône. Bluelagoon (d) 13 juin 2009 à 11:53 (CEST)[répondre]
Le but de l'autoroute A6 est de rançonner au passage les Belges, Hollandais, Allemands, Anglais, Scandinaves qui ont décider de snober notre beau pays pour aller s'entasser sur les plages espagnoles et italiennes. Remarquez qu'en ce qui concerne les Hollandais, c'est tout ce qu'on arrive à leur soutirer, même quand ils viennent chez nous... Félix Potuit (d) 14 juin 2009 à 08:29 (CEST)[répondre]
Au passage, une devinette : pourquoi ne trouve-t-on de place ni en hôtel ni en camping à Langres en été ? J'ai dû changer 3 fois d'hôtel en une semaine un certain mois de juin, pour le boulot, et jusqu'à 60 km. Eh bien, paraît-il que c'est pile-poil à mi-chemin des Pays-Bas et de la Côte d'Azur. Bluelagoon (d) 14 juin 2009 à 13:10 (CEST)[répondre]

Faut dire pour leur décharge (hollandais) que beaucoup de produits sont nettement plus cher ici que chez eux ou chez nous en Belgique. Je ramène également pas mal de marchandises pour mon usage ou pour des voisins. Vous ne connaissez rien d'autre et par conséquent tout vous semble normal, et vous n'allez pas faire la route. Voyez lz frontaliers ou ceux qui régulièrement se rendent à Andorre (en faisant 300 bornes pour cela (aller). Pour nous à part l'eau, les pâtes, le parfum, tout est plus cher. Même commerce, même produit, même emballage, même pays producteur, même producteur (ce qui est marrant, un produit français est généralement moins cher en Belgique qu'en France, ce n'est pas rare. Où est l'os ? Faudrait peut être chercher à comprendre qui s'en fout plein les fouilles. Je connais la réponse régulièrement proposée "c'est à cause du transport" mais cela ne tiens pas la route.--Kkbs (d) 15 juin 2009 à 13:42 (CEST)[répondre]

Maupassant et les partouzes modifier

Cher Oracle, il se dit que Maupassant partouzait volontiers avec les dames du temps, mais dans quel ouvrage biographique puis-je obtenir des détails croustillants sur la chose ? Merci. M. Question (d) 12 juin 2009 à 02:59 (CEST)[répondre]

Non que ça ramène tellement de résultats sur Maupassant partouzeur, mais ça parle de Maupassant et de partouzes, et il y a parfois des détails croustilleux. Sinon, tu peux essayer ce site qui, à partir de cette page, propose la correspondance de l'auteur : autant que je sache il fut, comme son mentor Flaubert, assez libre dans ses échanges épistolaires et plutôt disert sur les détails de ses exploits sexuels. -O.M.H--H.M.O- 12 juin 2009 à 07:15 (CEST)[répondre]
Flaubert fut beaucoup plus chaste que Maupassant. DocteurCosmos (d) 12 juin 2009 à 15:18 (CEST)[répondre]
Certes, mais sa parole (écrite) était assez verte. -O.M.H--H.M.O- 12 juin 2009 à 15:38 (CEST)[répondre]
Ca ne ramène aucun résultat sur Maupassant partouzeur, j'avais déjà essayé plusieurs fois. La correspondance n'est pas très concluante pour l'instant. Merci pour croustilleux. M. Question (d) 12 juin 2009 à 16:01 (CEST)[répondre]
Le Bon Dieu l'a puni, il est mort de la syphilis. Félix Potuit (d) 13 juin 2009 à 07:01 (CEST)[répondre]

Image informatique modifier

Bonjour, Lorsque je veux graver un cd ou un dvd, on me propose parfois de graver une "image". Je ne comprend pas a quoi cela sert ni comment cela fonctionne. Une pythie peut elle m'éclairer à ce sujet ou m'envoyer vers un article compréhensible pour un profane. Lorsque je grave cette "image" et que j'essaie plus tard de lire le disque, il y quelque chose, mais je n'y ai pas accès (ou je n'ai pas trouvé comment y accéder). Merci Pleure --Kkbs (d) 12 juin 2009 à 06:58 (CEST)[répondre]

Une Image disque CD ou DVD est un fichier ou un ensemble de fichiers (deux ou trois, rarement plus) qui contient la totalité du contenu du disque et les informations nécessaires pour y accéder. Ces « images » ont plusieurs usages.
Le premier, qui a motivé l'invention de ces fichiers, est de permettre de copier un disque sur une machine qui ne dispose que d'un seul lecteur-graveur, ce qui était la norme au début du siècle. Ensuite, ça permet faire plusieurs copies du même disque plus rapidement et de manière plus fiable que par la copie directe de lecteur à graveur, l'accès aux données sur un disque dur étant plus rapide et moins sujet à erreurs de lecture que sur un lecteur CD/DVD, et aussi de pouvoir refaire une copie ultérieure même si on ne dispose plus du CD original et de sa première copie.
Plus récemment, le développement de disques durs de très grande capacité (plusieurs centaines de gigaoctets et même, désormais, plus d'un téraoctet) alliée au fait que de plus en plus d'ordinateurs portables n'ont pas de lecteur CD/DVD interne a répandu un usage nouveau de ces images disques, les « lecteurs virtuels » : on installe un logiciel qui émule des lecteurs CD/DVD (personnellement j'utilise Daemon Tools mais il existe d'autres émulateurs de disques) ; on stocke sur son disque dur des images disques et on les « monte », ce qui permet de disposer d'un nombre fini mais grand de CD/DVD virtuels sans l'inconvénient de l'encombrement des disques réels. -O.M.H--H.M.O- 12 juin 2009 à 07:34 (CEST)[répondre]
J'oubliais : il existe aussi un certain nombre de logiciels, gratuits ou payants, qui permettent de lire et le plus souvent d'extraire les données de ces fichiers. Pour exemple, le logiciel de compression 7-Zip est capable de lire les images ISO. Problème, comme te l'indique l'article il y a beaucoup de formats d'images disques différents, pour la plupart des formats « propriétaires » (NRG pour Nero, MDS/MDF pour Alcohol, etc.) ou propres à tel système d'exploitation, et le plus souvent les logiciels ne savent traiter ou lire qu'un nombre limité de ces formats. -O.M.H--H.M.O- 12 juin 2009 à 07:46 (CEST) Pour précision : les logiciels gratuits ; certains logiciels payants couvrent presque tous les formats. Et cela ne s'applique pas aux émulateurs, gratuits ou payants, qui sont généralement très efficaces. -O.M.H--H.M.O- 12 juin 2009 à 12:25 (CEST)[répondre]
Une autre utilisation des "images ISO" de CD ou de DVD est de pouvoir transférer par Internet des CD ou DVD. Le destinataire n'a plus qu'à graver l'image qu'il a récupérée. Ainsi les distribution Linux sont diffusées comme ça. --Serged/ 12 juin 2009 à 10:04 (CEST)[répondre]

Bonjour, comme je suis un peu dur de comprenure (excusez moi)je vais résumer ce que j’ai compris suite à la lecture des différents articles sur le sujet : On stocke les données principalement

  1. D’abord sur le disque dur.
  2. On copie ces données sur disquettes, ou sur clé Usb par simple transfert
  3. On grave ces données sur un CD(DVD)±R ou CD (DVD)±RW ,
  4. On copie ces données sur un disque dur externe ou sur un bloc média.

(Je suppose que l’enregistrement sur bande magnétique n’est plus d’actualité pour le moment). On peut également stocker de suite les données sur les différents supports sans passer par le disque dur). En cas de besoin, ces supports vont servir à être rechargés sur un ordinateur.

Dans le cas de la sauvegarde ou copie par « image », on ne copie ou grave pas les fichiers, mais une « image de ceux-ci » si j’ai bien compris. L’avantage serait la rapidité et la fiabilité. Comment une « image » est elle capable de restituer ensuite un fichier ? Pour faire une « image » il faut utiliser un logiciel. Est ce que c’est le même logiciel qui permet ensuite en partant de l’« image » de recréer le fichier ou l’ensemble des fichiers « image ».

Cas concret : je sauvegarde toutes mes données dans un fichier principal nommé « A ». Régulièrement je sauvegarde « A » et son contenu, soit sur une clé Usb soit je le grave sur un cd, ensuite je le recopie dans un autre ordinateur. Dans le cas où je formate mon disque dur et réinstalle les programmes il me suffit de recharger mon fichier « A » et je retrouve l’intégralité de mes données. Je n’utilise donc jamais les possibilités de stockage offertes pas Windows. Si je possède maintenant une « image » de mon fichier « A » est ce que j’obtiens le même résultat mais de manière plus simple et plus fiable pour la même manœuvre ?

Je comprends le terme virtuel, mais pas disque virtuel. On dispose d'un disque qui n'existe pas mais qui se comporte comme si j'avait un disque réel. Ce disque virtuel ainsi crée reste en mémoire ou s'efface lorsque l'on éteint l'appareil?

Tout cela coule de source pour certains, mais pour moi c'est de l'hébreu. Merci de m'éclairer car je souhaite comprendre ce que je fais. --Kkbs (d) 13 juin 2009 à 06:35 (CEST)[répondre]

Il y a une manière très simple de comprendre comment une chose peut fonctionner : en étudier le fonctionnement. Ce qui commence par l'étude de sa structure générale.
Tous les périphériques de stockage de masse de type disque ont une structure physique similaire : une galette avec un trou au centre, qui tourne sur axe et sur laquelle des emplacement prédéterminés, appelés « bits », dans des états binaires (électriquement positif ou négatif, renvoyant ou ne renvoyant pas la lumière) sont placés sur des pistes circulaires, de quelques centaines (disquette) à quelques centaines de milliers (DVD, disque dur de grande capacité). Une tête de lecture/écriture capable de « lire » ou « écrire » ces états binaires parcourt, piste par piste, la surface de ces galettes.
Pour pouvoir faire quelque chose de ces états binaires, de ces pistes et de ces galettes, il faut les organiser de manière qu'on puisse leur attribuer une signification. L'organisation de plus bas niveau est l'attribution d'une valeur compréhensible par un humain, et on dit qu'un certain état «vaut 0 » et l'autre état possible « vaut 1 ». À un niveau un peu moins élémentaire, on déterminera une suite d'un certain nombre d'emplacements binaires comme un ensemble analysable d'éléments : dans les micro-ordinateurs actuels l'élément de moindre dimension compte quatre emplacements et permet de définir seize états différents, ce qui explique que les ordinateurs utilisent la numération hexadécimale. Vient ensuite le byte ou octet qui dans les mêmes micro-ordinateurs contient deux groupes hexadécimaux, puis le « mot » qui contient, selon les machines, de deux à huit bytes, enfin le « double-mot » (de quatre à seize bytes).
Tout ce qui se trouve au-delà du bit est organisé logiquement en ce qui concerne les disques, même si ça a quelque chose à faire avec l'organisation physique des processeurs, des mémoires vives et de quelques autres composants des ordinateurs. Pour le système d'exploitation, la manière dont les bits sont fixés sur leur support, la manière dont les têtes de lecture les lisent et les écrivent, et plus généralement tout ce qui a trait à la manière dont fonctionne le matériel est indifférent, pour la simple raison qu'il n'y accède jamais directement : il envoie des informations vers ou en reçoit d'un programme spécial appelé « pilote informatique », une métaphore assez juste en ce cas car ce programme « pilote » le matériel auquel il se rattache : il lui donne des ordres et reçoit en retour des rapports sur l'exécution de ses ordres, ou le résultat de ses ordres. Le pilote ne dirige pas directement le matériel, il sous-traite à un processeur ou à un circuit intégré dédié, c'est-à-dire un composant similaire à ceux du processeur principal mais dont la tâche unique est de gérer un périphérique. Tu peux regarder le dessous d'un disque dur ou d'un lecteur de CD/DVD, tu verras qu'il comporte, en plus rudimentaire, tout ce que comporte la carte-mère de ton ordinateur, y compris un processeur et une « puce BIOS » ou pour être plus exact un firmware.
Du point de vue du système d'exploitation, le contenu d'un disque est organisé en bytes, groupés en « secteurs » d'au minimum 128 bytes, eux-mêmes groupés en « clusters » (« grappes ») d'au moins deux secteurs, ceux-ci groupés en « cylindres » d'au moins quatre clusters. Tous ces noms remontent à la proto-histoire de l'informatique, à l'époque où les disques étaient bel et bien des cylindres comportant un certain nombre de pistes parcourues par une paire de têtes de lecture qui pouvaient se déplacer un certain nombre de fois le long du cylindre, et jamais l'organisation physique des disquettes, disques durs et lecteurs CD/DVD n'a correspondu à cette organisation logique. Toujours du point de vue du système, tout ça n'a pas grande importance, car il considère un disque comme une seule longue ligne de valeurs binaires et se fiche de savoir si dans les faits le disque est formé d'une, deux, vingt ou cinquante galettes, si chaque galette a une ou deux faces exploitables, si chaque face a une ou deux ou quatre couches exploitables, etc. Dès lors que l'on comprend, que 1) pour le système d'exploitation les données stockées sur un périphérique sont linéaires, et 2) il n'a aucun rapport direct avec les périphériques, on peut alors comprendre comment on peut créer et lire des images disques et « émuler » des lecteurs.
Autre point important à comprendre, qui aura son importance pour ce qui va suivre, l'organisation logique des disques ayant un certain contenu est toujours la même : tous les CD-audio sont similaires, tous les DVD-vidéo sont similaires, tous les CD ou DVD de données sont similaires. Ça me paraît évident mais je pense utile de te le préciser, surtout donc pour ce qui est à venir.
Un logiciel de création d'image disque va simplement lire séquentiellement le disque du premier bit de la première piste jusqu'au dernier bit de la dernière piste, et créer un fichier qui stockera les valeurs lues dans l'ordre des pistes. Comme, tous les disques de même type ont le même nombre de pistes et le même nombre de bits par piste pour les CD et DVD, reconstituer un disque à partir de son image consiste à écrire (n) bits par piste sur (n) pistes. Les CD/DVD occupent rarement la totalité de l'espace de stockage disponible mais ça importe peu : on écrira autant de pistes complètes qu'il est possible à partir de l'image disque, plus le début de la dernière piste utilisée, et voilà. La seule chose qui importe est de diviser l'image disque en autant de parties entières de pistes que possible et de les graver dans l'ordre.
Les logiciels d'émulation de lecteurs CD/DVD tirent partie de quatre faits : le système d'exploitation ne travaille pas directement avec un périphérique mais passe par un pilote ; une image disque est la copie exacte bit à bit d'un CD/DVD ; tous les disques d'un même type ont la même organisation matérielle ; l'organisation logique d'un disque est toujours la même selon son type de contenu.
Le système d'exploitation traitant ses requêtes vers les périphériques et en recevant des informations par le biais d'un pilote, l'émulateur va donc installer un pilote qui simulera la présence d'un lecteur CD/DVD. Ces lecteurs virtuels étant « vides » au départ, ça ne troublera pas le système qui se contentera d'informer, en cas de tentative de lecture de ce pseudo-CD/DVD, « Lecteur indisponible ». L'émulateur installera un pseudo-firwmare, en réalité un logiciel capable d'analyser une image disque et d'en reconstituer le contenu logique (comme 7-Zip plus haut évoqué) puis de « monter » cette image ou, dit autrement, de créer un point d'accès à l'image « comme si » c'était un disque, et enfin de passer ces informations au pilote ; le système d'exploitation « verra » alors l'image comme un CD/DVD réel. Le pseudo-firmware recevra des requêtes du pilote, et fera toutes les translations nécessaires entre ce que croit demander le système, ce que croit voir le pilote et ce qui se trouve effectivement dans l'image disque. Au bout du compte, ça ne différera pas de ce qui se passe avec les lecteurs CD/DVD réels : le système d'exploitation sait comment s'adresser au pilote ; le pilote sait comment s'adresser au firware ; et in fine seul le firmware sait comment gérer le périphérique...
Tout ça est fort intéressant pour les imbéciles de mon genre, ceux qui ont une intelligence du niveau de celle des ordinateurs, mais l'utilisateur un peu ou beaucoup plus intelligent se contente ordinairement de ces faits : il existe des logiciels en état de créer des « images disques » de CD/DVD, d'autres ou les mêmes capables de les écrire sur des CD/DVD, ou de montrer ce qu'ils contiennent, enfin des logiciels qui permettent d'utiliser ces « images de disques » de telle manière qu'ils ont toute l'apparence d'être des CD/DVD réels. Et bien sûr, qui se contentent de lire les modes d'emploi pour savoir comment faire fonctionner tout ça.
Sans vouloir t'inciter, bien au contraire, à en rester à la surface des choses, sache ceci : bien qu'ayant de bonnes connaissances en matière d'informatique et d'électronique je n'ai jamais tenté de savoir comment les traitements de textes gèrent leurs documents : ils les lisent, ils les écrivent, ils les impriment, et ce que je souhaite obtenir est bien ce que j'obtiens, voilà qui me suffit. Et si par hasard je n'obtiens pas ce que je désire je consulte leur aide, qui m'indiquera comment obtenir cela, sans m'expliquer comment cela est réalisé à un niveau plus élémentaire. Selon moi, il est inutile de chercher à comprendre ce qui n'a aucune incidence sur ce qu'on cherche à obtenir, ça crée des blocages inutiles. Quand j'enregistre un morceau de musique au format MP3 je me fiche royalement de savoir le pourquoi du comment et ne m'intéresse qu'à une chose : est-c e que je pourrai écouter ce morceau et avec quel logiciel ? -O.M.H--H.M.O- 14 juin 2009 à 23:15 (CEST)[répondre]
En complément. Dans une première version de ma réponse je comptais te préciser ceci : l'informatique repose sur le « comme si ». On fait comme si deux états physiques équivalaient à deux valeurs symboliques (0 ou 1, VRAI ou FAUX), comme si une série de (n) états physiques équivalait à une valeur numérique complexe (un nombre), comme si le nombre décimal 65, hexadécimal 41, équivalait à a lettre "A", comme si... Bref, les ordinateurs traitent des séries de données binaires et les organisent logiquement pour que ça prenne un sens pour des humains. Lesquels ne devraient, sauf pour des types aussi bizarres que moi, n'avoir d'autre intérêt que leur utilité. -O.M.H--H.M.O- 14 juin 2009 à 23:45 (CEST)[répondre]

C'est plus qu'un grand merci que je dois t'adresser pour toutes ces informations. Je recopie l'intégralité de l'article dans un traitement de texte afin de le relire plus tard sans trop de difficulté. Je ne cherche pas spécialement à tout comprendre, je n'aurai pas fini pas plus en informatique que dans d'autres domaines mais il faut quand même (d'après moi) posséder un petit bagage afin de ne pas fonctionner comme un abruti. Ce qui me manquait c'était le programme pour récupérer l'image. Mon ordi travaille d'origine avec une produit nommé Roxio. Dans mon boulot, il était indispensable pour produire correctement de connaitre tous les tenants et aboutissants pour obtenir un produit fini conforme au cahier des charges. D'où mes questions. ÉmoticôneÉmoticône--Kkbs (d) 15 juin 2009 à 13:32 (CEST)[répondre]

stratégie de gamme modifier

une gamme.

Bonjour, Je voudrais savoir quand est-ce que une gamme est "courte"?Et quand est-ce que une gamma est "longue"? Veuillez me donner aussi les objectifs,les avantages et les inconvénients respectifs si possible.

Le sage Oracle ne fait pas les devoirs à la place des étudiants. Bonne chance dans ta recherche…
Sinon, une gamme est courte quand elle n'est pas longue, et longue quand elle n'est pas courte. Et réciproquement. -O.M.H--H.M.O- 12 juin 2009 à 09:21 (CEST)[répondre]
… le sujet est-il musical ? (ce qui ne veut rien dire) ou marketing ? (là, tu t'es mal vendu !)
S'il n'est pas interdit d'utiliser Wikipédia, il existe un article 'Gamme de produits' (mais qui ne semble pas (encore; à première vue) donner les avantages et inconvénients liés à la longueur). -- Xofc [me contacter] 12 juin 2009 à 11:04 (CEST)[répondre]
Peut-être du côté de 'Stratégie marketing' ou 'Segmentation (sciences humaines)'?... -- Xofc [me contacter] 12 juin 2009 à 11:08 (CEST)[répondre]

R-espace vectoriel R modifier

Bonjour chers amis, Je vous serais infiniment gré de rassasier mes questionements relatifs aux structures algébriques, mais plus particulièrement aux espaces vectoriels. Voici ma question. Étant donnés l'espace vectoriel R sur R (autrement dit, R-espace vectoriel Rn où n=1) et le corps commutatif (R,+,x), qu'est-ce qui les distingue, exception faite de la loi de composition x , externe à l'espace vectoriel ?

Pour compléter votre réponse, considérée avec gratitude, j'aimerais compléter avec des questions subsidiaires, pourtant non moins tracassante et intéressante !

  • Est-ce que, justement, la loi de composition x devient interne, dans le cas en question, parce que RxR --> R ?
  • Qu'est-ce qui, dans les axiomes (cf. espace vectoriel), confère aux éléments de l'espace vectoriel leurs propriétés leur étant attachées intuitivement, c-à-d une flèche ayant une longueur, une direction et un sens ? (cette question porte sur tous les ensembles vectoriels, pas seulement sur le cas spécifique précédent)
  • Est-ce qu'il suffit d'un ensemble de n-uplets (sur K) muni d'une loi de composition interne + et d'une compatibilité avec l'opération x pour <<fabriquer>> un espace vectoriel ? (Cette question se rapporte alors avec la précédente : où sont la longueur, la direction et le sens ? Dans le n-uplet ? Et pour Rn, n=1 ? Est-ce, avant tout, un espace vectoriel ?)

Encore une fois : merci de votre aide. La terminologie mathématique, surtout en algèbre des structures, me pert facilement ! Cordialement,

On peut effectivement identifier R en tant qu'espace vectoriel et R en tant que corps commutatif ; mais c'est maladroit : il faut voir l'un comme un objet de base dans la théorie des R-ev, le procédé permettant d'obtenir d'autres objets de cette théorie est alors d'ajouter des dimensions ; tandis que si on s'intéresse aux objets de la théorie des extensions de corps de R, ajouter des dimensions ne suffit pas, il faut prendre garde à étendre la multiplication.
Dans l'axiomatique des ev, il faut distiinguer deux choses : le sens et la longueur ne sont pas des notions de cette théorie, il faut aller à la théorie des espaces vectoriels normés. Quant à la direction, elle s'interprète via la multiplication par des scalaires : x et y ont même direction s'ils sont non nuls et qu'il existe un scalaire (c'est-à-dire un nombre réel ici) tel que  ; il n'y a en fait de notion de direction qu'à partir de cette définition du terme avoir même direction.
Oui, on fabrique effectivement un ev en considérant les n-uplets, l'addition terme à terme, et la multiplication naturelle par les scalaires. Encore une fois, pour parler de sens et longueur, il faut rajouter une norme. Cordialement, Salle (d) 12 juin 2009 à 13:58 (CEST)[répondre]

Merci de votre aide. C'est apprécié. Si certains veulent ajouter et préciser certaines choses, je serai ravi de vous lire. Par exemple, il me semble que la 2e question n'ait été que partiellement répondue. un grand merci

Pour les « propriétés leur étant attachées intuitivement » il me semble que tu penses à l'espace affine, une généralisation du plan euclidien. 200.77.144.21 (d) 13 juin 2009 à 02:36 (CEST)[répondre]
Je n'en sais fichtre rien, mais je me permets de faire remarquer qu'on dit "je vous saurais gré" et non "je vous serais gré". Faute à peu près aussi répandue que la confusion entre sensé et censé, et qui montre bien dans quelle décadence intellectuelle et culturelle notre beau pays plonge à la vitesse d'un vol d'Air France dans les eaux de l'Atlantique. Félix Potuit (d) 13 juin 2009 à 07:05 (CEST)[répondre]
Bonjour, tu fais bien de te poser ce genre de question ; elles aident à clarifier les concepts. Je te félicite de ta démarche !
L’espace vectoriel réel R1 (je note l’exposant pour plus de clarté) et le corps R sont à considérer comme des objets distincts. Leur « identification » n’aurait aucun sens (et là le prof s’énerve : il écrit en caractères gras sans rime ni raison). On identifie des structures algébriques isomorphes, et ça n’est pas du tout le cas ici. Pour préciser, tu ne peux pas multiplier des éléments de R1 entre eux. Quand tu considères R1 tu ne le munis pas de la multiplication de R, c’est tout ! Ça n’a pas plus de sens de multiplier des éléments de R1 entre eux que ça ne l’aurait de multiplier des éléments de R1 (avec le produit terme à terme). Si tu veux donner une sémantique à R1, dis-toi qu’il y a un isomorphisme (et même plus, une identité profonde) entre les éléments R1 et les translations de la droite affine. Est-ce que tu peux multiplier deux translations ? Non. Par contre tu peux les composer, et c’est ce qui correspond à l’addition dans R1.
Pour la seconde question je te renvoie à espace vectoriel euclidien, qui pourra t’éclairer. Même quand un e.v. n’est pas muni d’un produit scalaire, même quand il n’est pas de dimension finie, l’analogie avec les vecteurs (et donc les translations !) reste un outil mental très utile.
Pour la troisième question, oui, ça suffit. Mais ça n’est pas tout : si tu munis l’ensemble des fonctions continues de R dans R de l’addition usuelle, et que pour la loi externe tu prends la multiplication par un réel... tu obtiens un R-espace vectoriel également. rv1729 14 juin 2009 à 21:44 (CEST)[répondre]

Bonjour à tous

Des centaines de soldats Français ( et Anglais ) ont été tués dans cette bataille, certains sont peut-être de mes ancêtres .

Comment et oû trouve-t-on la liste si elle existe SVP ?

Merci .

Martin .

pour les archives militaires françaises c'est pas vincennes ou les invalides. non ? Chatsam (coucou) 12 juin 2009 à 17:39 (CEST)[répondre]
C'est au fort de Vincennes, oui ; ils ont un site internet : http://www.servicehistorique.sga.defense.gouv.fr/
gem (d) 12 juin 2009 à 18:55 (CEST)[répondre]
Ouf, ça fait un bail. Je ne sais pas si on peut trouver des listes à peu près complètes à ce sujet. Par ailleurs, cela ne répond pas à votre question mais ce n'est pas seulement cette bataille qui a causé des pertes, mais de façon plus importante l'ensemble des batailles, bombardements, incendies et autres opérations de ce siège de Québec qui a duré quelque six mois ainsi que l'hiver qui a suivi et les maladies. -- Asclepias (d) 12 juin 2009 à 19:16 (CEST)[répondre]

recherche sur internet modifier

Bonsoir. Je viens de lire quelque part sur le net que la génération actuelle s'appelle "génération Y" en référence à la "Génération X" des années 80. Moi j'appartiens sans doute encore, tout juste, à la "beat generation" (good vibrations), encore que peu me chaut, finalement. Ce qui m'amène est autre chose. La génération Y a appris intuitivement à se servir du net et ce n'est pas mon cas, loin s'en faut. Je patauge et ne sais comment diriger mes recherches. Actuellement, je voudrais me renseigner sur un sujet qui me paraît, ma foi, assez délicat. Il s'agirait, je ne sais trop comment dire autrement, du domaine de la législation (du droit) relatif à l'action de filmer les gens dans la rue. Pourriez-vous, s'il vous est possible et si ma question est assez précise, me dire comment trouver des renseignements à ce sujet? Merci d'avance. Francis MARTIN (d) 12 juin 2009 à 17:55 (CEST)[répondre]

Ca devrait marcher -.Anja. (d) 12 juin 2009 à 19:23 (CEST)[répondre]

Votre question est un peu vague quant à ce que vous cherchez au juste. Mais si vous faites référence au droit à l'image, vous pouvez comme point de départ consulter l'article de WP sur le droit à l'image et, de là, suivre les liens internes et externes qui vous paraissent pertinents. Sinon, utilisez avec un moteur de recherche les mots-clés qui vous semblent correspondre plus précisément à ce que vous cherchez et explorez les résultats qui vous semblent intéressants. -- Asclepias (d) 12 juin 2009 à 19:26 (CEST)[répondre]

Merci, ma recherche se rapporte en effet sur le droit à l'image, mais pas tant sur la surveillance des lieux publics que sur les prises de vues faites dans la rue par un particulier avec une caméra numérique, par exemple, dans lesquelles des passants peuvent apparaître. Je vais donc essayer de taper, sur google, quelque chose comme: "législation droit image prises de vue lieux publics". En tout cas, j'ai l'impression d'avoir progressé en ce qui concerne la manière d'utiliser des mots clés sur Google. Bonne soirée. Francis MARTIN (d) 12 juin 2009 à 20:39 (CEST)[répondre]

Liste de vocabulaire modifier

Bonjour, Ô Racle glorieux, et Pytites Pythies infatigables
Il y a quelques années j'ai trouvé une "liste de vocabulaire" anglais à l'usage des débutants, de 500, puis 1000 puis 1500 et enfin 5000 mots. Elles étaient supposées faciliter une découverte progressive du vocabulaire de base. Aujourd'hui, je cherche de telles listes (français ou mieux français<>anglais en priorité et éventuellement français<>espagnol + français<>italien) pour des séances de soutien scolaire à lycéen en difficulté.
Je vous remercie infiniment par avance et vous adresse mes plus respectueux hommages pour votre inépuisable savoir. Ugh !
Hop ! comme on dit dans ma savane. Kikuyu 3 Sous l'Arbre à palabres 12 juin 2009 à 18:48 (CEST)[répondre]

En cherchant du côté des listes Swadesh peut-être ? Erdrokan - ** 12 juin 2009 à 20:16 (CEST)[répondre]
Vous avez aussi l'article Français fondamental signalant la Base Gougenheim 2.00 unilingue de 8774 mots, avec leur classement progressif. Piero (d) 13 juin 2009 à 02:01 (CEST)[répondre]
Mon exemplaire du "Larousse des débutants" (éd.1980) comprend en annexe un "Vocabulaire du français élémentaire"", qui contient "1126 mots lexicaux et 248 mots grammaticaux". Je suppose qu'il faudrait y ajouter désormais cédé, walkman, ipod, portable, home-cinéma et buzzz... Félix Potuit (d) 13 juin 2009 à 07:11 (CEST) et j'oubliais manga, pokémon et jeu vidéo. Félix Potuit (d) 13 juin 2009 à 07:44 (CEST)[répondre]
Jambo Tatousse zé Tatoutes depuis ma savane,
... et Grand Merci Tatousse-zé-Tatoutes : Tà toi, Grand Sahib Oracle et à vous toutes, les Memsahib Pythies, et à tous ceusses-zé-celles qui se sont creusé les méninges "jusqu'à fatiguer".
Donc, en particulier, merci à Erdrokan, d'autant que je découvre ne pas maîtriser tous les 207 mots de base !!! ((>>> GOTO humilitas.com, ne passez pas par la case départ, ne vous goinfrez pas de 20.000 Euros, discrètement détournés sur les fonds Européens).
Merci à Piero : je m'en vas creuser par là, je te "dirai quoi" bientôt, promis. En attendant, merci.
Merci aussi à Félix Potuit. Félix : touva, toulass, toupass, toucass. Rappelles-toi : les Familistères, les Coopé, les magasins de quartier à succursales multiples de ma jeunesse : tout évolue (y compris les Félin Potix). De mon temps de quand j'étais jeune et beau (ca 1660-1680 ?), on disait Méccano (C)+(R)+(TM)+(Etc) ou Circuit 24, ou encore Marklïn ou Dinky-Toy. Aujourd'hui, ça se dit Wii, Lego, PSP. Et voila tout. C'est du bas-latin qui continue de se déformer activement, à mesure que les djeunz le prennent temporairemment à leur main pour en faire profiter nos arrière-arrière-arrière-arrière-petits enfants qui continueront de les percevoir à leur tour comme de vieilles badernes, jusqu'à ce qu'eux-mêmes ....
En tous les cas, merci de tes infos, je m'en vas creuser aussi par là. Et je te dirai si la graines que tu as semé a porté germe.
Et pi je voudrai aussi remercier euuuuhhhh, mon papa,euuuuhhhh, ma maman,euuuuhhhh, mon cohatche et euuuuhhhh, euuuuhhhh, mon impressarrio aussi, sans qui euuuuhhhh, je n'auras pas pu gagner cette émission de culturelle...euuuuhhhh, Voila. Snifff.
Hop ! Kikuyu3, le bavard des brousses 83.153.212.249 (d) 13 juin 2009 à 15:39 (CEST) (All this, from Kikuyu 3 qu'a encore oublié de se logguer)[répondre]
Ben, faut arrêter le vin de palme, en tout cas. Félix Potuit (d) 13 juin 2009 à 15:57 (CEST)[répondre]

Espéranto modifier

Salut ! Je voudrais apprendre l'espéranto. J'ai globalement compris comment fonctionne le système de la conjugaison, de l'orthographe et de la grammaire, mais ce qui manque, c'est le vocabulaire, en particulier les expressions de la vie courante. (Salut, Bonjour, Merci, Bôf, etc.) Existe-t-il un site où je pourrais en trouver une liste ? Aujourd'hui, je cherche en particulier comment exprimer le regret, le "Ah, si seulement". Le "utinam" latin, en somme. Merci, 79.92.228.221 (d) 12 juin 2009 à 19:12 (CEST)[répondre]

Il y a quelques références dans l'article 'Espéranto' (dans le bas) . -- Xofc [me contacter] 12 juin 2009 à 19:23 (CEST)[répondre]
http://fr.wikiversity.org/wiki/D%C3%A9partement:Esp%C3%A9ranto. il faudrait voir sur Wikibook aussi. il existe une Portail:Espéranto sur WP aussi ;-) --.Anja. (d) 12 juin 2009 à 19:29 (CEST)[répondre]
La section de la wikiversity est pas mal. Ça résout le problème des expressions usuelles. Mais je ne sais toujours pas exprimer le regret. Une idée ? Je pose aussi ma question sur le portail de l'espéranto. 79.92.228.221 (d) 12 juin 2009 à 19:35 (CEST)[répondre]
Ma grammaire donne les exemples : Se (almenaŭ) ili estus venintaj ! = "si (au moins) ils étaient venus !" (conditionnel passé = irréel du passé), Se li nur erarus ! = "Si seulement il se trompait !" (conditionnel présent = irréel du présent), mais Ke mi nur ne eraru ! = "Pourvu que je ne me trompe pas !" (volitif = souhait réalisable). Félix Potuit (d) 13 juin 2009 à 07:30 (CEST)[répondre]

Tour TDF de Meudon modifier

Bonjour,

Je recherche la hauteur de la tour TDF de Meudon, située sur les hauteurs de Paris, et plus généralement toutes infos intéressantes sur cette tour. On trouve sur le web quelques indications sur ses émissions, mais pas vraiment sur la tour elle-même.

Merci ! — ChrisJ (d) 12 juin 2009 à 19:46 (CEST)[répondre]

Ici chez WP Tour hertzienne de Meudon.--Doalex (d) 12 juin 2009 à 20:22 (CEST)[répondre]

L'âge de Hélène Mercier-Arnault modifier

Cher Oracle, rechercher l'âge d'une femme est un acte si grossier que Google lui-même se refuse à me communiquer celui de la très belle Hélène Mercier-Arnault, femme de Bernard Arnault et semble-t-il pianiste. Quelle est sa date de naissance ? Merci. M. Question (d) 12 juin 2009 à 23:16 (CEST)[répondre]

Le Journal du Dimanche affirme qu'elle est né en 1959 à Montréal. [12]Sniff (d) 12 juin 2009 à 21:11 (HNE)
Dans ce portrait dans Libération, on dit courtoisement "années 60". --Seymour (d) 13 juin 2009 à 15:10 (CEST)[répondre]
Mais dans un autre ancien article, elle a épousé « Arnault de 15 ans son aîné ». Attaleiv (d) 14 juin 2009 à 02:13 (CEST)[répondre]

Interdiction des Carnets de Turner modifier

L'article Les Carnets de Turner dit que cet ouvrage "est resté interdit de vente et de diffusion en France jusqu'en septembre 2002". J'ai ajouté dans l'article le lien vers l'arrêté d'interdiction, mais je ne vois pas à quoi correspond la date de septembre 2002. Certes, le décret sur lequel repose l'arrêté d'interdiction a été abrogé, et même avant cette abrogation, il était caduc en raison de la jurisprudence. Mais l'abrogation date de 2004, et les premières jurisprudences citées, de 2001 et janvier 2002. Apokrif (d) 13 juin 2009 à 00:24 (CEST)[répondre]

Pattes de mouches modifier

Bonsoir,

Pourquoi les mouches se frottent-elles très fréquemment les pattes (avant et arrière, genre je vole 10 s je me pose, je me frotte les pattes avant, 5 s je vole, je me repose et rebelote) ? Vu les endroits qu'elles fréquentent, peut-être est-ce une question d'hygiène ?

Selon le document Pollénie, Mouche domestique et Drosophile du Gouvernement du Québec: « La mouche nettoie fréquemment ses yeux avec ses pattes antérieures et époussette ses pattes en les frottant ensemble. Elle fait cela car la plupart de ses récepteurs du goût et de l’odorat se situent sur les pattes. »Sniff (d) 12 juin 2009 à 21:06 (HNE)
On retrouve la même explication dans notre article Mouche domestique. Dhatier jasons-z-en 13 juin 2009 à 03:09 (CEST)[répondre]
J'allais aller sourcer cette explication sur l'article quand j'ai découvert que le document se base en autre sur Wikipédia...Sniff (d) 12 juin 2009 à 21:14 (HNE)
Les médecins aussi se frottent fréquemment les pattes, officiellement pour des raisons d'hygiène (en fait, pour rassurer le client patient). Félix Potuit (d) 13 juin 2009 à 07:34 (CEST) et ils volent aussi parfois, mais pas dans le même sens... Félix Potuit (d) 13 juin 2009 à 07:46 (CEST) [répondre]

L'accusé devant ses juges modifier

  • Cet arrêt (Soc. 29 octobre 2008, N° de pourvoi: 08-60016) de la cour de cassation française considère que l'accusé (ou avis) de réception d'une LRAR est probant s'il comporte le cachet, et non la signature, du destinataire : "alors, selon le moyen, que la lettre recommandée avec demande d'avis de réception portant à la connaissance du chef d'entreprise le nom du délégué syndical ne fait courir le délai de quinze jours pour contester la désignation qu'à la condition qu'elle ait bien été remise à une personne habilitée à la recevoir, ce qui suppose que l'accusé réception avait été signé par une personne physique[...];"
  • "Et attendu que le tribunal, qui a constaté que la lettre de désignation avait été reçue selon le cachet figurant sur l'avis de réception par le service courrier de l'entreprise le 17 juillet 2007, a légalement justifié sa décision ;"

Or, quelques années auparavant, un postier (d'ailleurs connu sur WP) soutenait le contraire : [13].

Que disent exactement les textes et la jurisprudence ? Par ailleurs, est-il exact que dans le cas d'AR perdu ou non signé, La Poste peut, en cas de réclamation, établir elle-même un document (non signé par le destinataire) qui prouve la réception ? Apokrif (d) 13 juin 2009 à 03:11 (CEST)[répondre]

Jambo, Bwana
Je ne suis pas un sépcialiste de votre droit, allègrement complexifiqué, car ici, dans notre brousse, nous sommes sans doute plus expéditif, quoique pas sans nuance. Juste pour dire qu'il me semble qu'un arrêt rendu en la cour de Cass (es-tu sûr de tes références ?) est déjà unne bonne arme. D'autant qu'il est récent ? Hop ! Kikuyu3 Sous l'Arbre à palabres 13 juin 2009 à 15:53 (CEST)[répondre]
La réglementation a changé

L'article L. 9 du code des PTT sur la remise contre décharge du destinataire a été remplacé par l'article L. 3-4 du code des PTE lequel renvoi à un décret en Conseil d'État : «  Un décret en Conseil d'Etat définit les caractéristiques du service d'envois recommandés utilisés dans le cadre des procédures administratives et juridictionnelles.

« Il détermine également les conditions dans lesquelles le prestataire du service universel et les titulaires de l'autorisation prévue à l'article L. 3 peuvent assurer ce service. ». Le mention contre décharge du destinataire ou toute personne dûment accréditée a disparu du droit postal. Le seul texte sur la partie Décrets en Conseil d'État est l'article R. 1-1-6 : « Lorsque la distribution d'un envoi postal recommandé relevant du service universel est impossible, le destinataire est avisé que l'objet est conservé en instance pendant quinze jours calendaires. A l'expiration de ce délai, l'envoi postal est renvoyé à l'expéditeur lorsque celui-ci est identifiable. » Ce texte est issu d'un décret du 5 janvier 2007. La lettre en question a été adressée le 16 juillet 2007.

On appelle cela une déréglementation avec toutes les conséquences qui en découlent. Et je pense qu'il s'agisse bien d'une modification législative qui à l'origine de cette décision. La responsabilité de la Poste est contractuelle désormais si l'en croit le nouvel article L. 9 : «  Pour les dommages directs causés par le retard dans la distribution d'un envoi postal, la responsabilité des prestataires des services postaux au sens de l'article L. 1 est engagée dans les conditions prévues par les articles 1134 et suivants et 1382 et suivants du code civil, si le prestataire a souscrit un engagement portant sur le délai d'acheminement de cet envoi postal.

« Toutefois, cette responsabilité tient compte des caractéristiques des envois et des tarifs d'affranchissement selon des modalités fixées par un décret en Conseil d'Etat qui détermine des plafonds d'indemnisation. » -- Bertrand GRONDIN → (écrire) 18 août 2009 à 18:40 (CEST)[répondre]

David Teniers modifier

Bonjour Mesdames et Messieurs les Pythies. Ma question du matin est simple : le Déjeuner de jambon est-il un chef d'œuvre de David Teniers le vieux ou de David Teniers le jeune ? Je penche pour le jeune, mais je n'ai pas de sources... Amicalement, --Égoïté (d) 13 juin 2009 à 07:42 (CEST)[répondre]
P.S. L'œuvre date de 1643 : les deux artistes étaient vivants à cette époque. --Égoïté (d) 13 juin 2009 à 07:48 (CEST)[répondre]

Les déjeuners du ténia ? Kikuyu3 Sous l'Arbre à palabres 13 juin 2009 à 16:01 (CEST) Apologizes, j'ai pas pu m'empêcher. Hop ! je disparais dans ma brousse, le feu de la honte aux joues.[répondre]
Buenas tardes, tu parles d'un chef d'œuvre (pas Hors d'œuvre) de David Teniers jeune, vieux, le père, l'ancien ou I, II et III, mais où est-il ? Ce titre renvoie dans la base Joconde, pour la période, à Cornelis Saftleven (1607-1681) [14].Peux-tu nous éclairer ? Émoticône --Doalex (d) 13 juin 2009 à 18:12 (CEST)[répondre]
Buenas tardes. Très très vite parce que je ne peux rester. C'est (3e colonne). À tantôt, --Égoïté (d) 13 juin 2009 à 20:20 (CEST)[répondre]
Je ne veux pas me mêler de ce que je ne connais pas. C'est confus. Il y a ça : [15] ; ça : [16] ; et ça [17] ; et ça : [18]; et encore ça [19] ; et bien sûr ça [20] Ahhhh! Slurp ! Mais je ne suis pas sûr que cela fasse avancer le schmilbilk... ÉmoticôneYvan23 13 juin 2009 à 21:48 (CEST)[répondre]

Cela ne le fait peut-être pas avancer, mais cela ouvre d'autres horizons ! Émoticône sourire Merci....--Égoïté (d) 13 juin 2009 à 22:27 (CEST)[répondre]

La description est parfaite sur gallica mais de toutes les peintures que j'ai vu sur la base Joconde il manque toujours un élément par contre j'ai noté qu'il s'agit d'une peinture sur cuivre ce qui réduit les recherches (?) --Doalex (d) 13 juin 2009 à 23:30 (CEST)[répondre]
Je n'ai pas pu continuer à chercher hier, mai si je trouve... cette semaine, je remettrai un mot ici. Bien à vous, --Égoïté (d) 15 juin 2009 à 08:03 (CEST)[répondre]

Un nouveau concept publicitaire modifier

Oracle, guten Morgen et tutti quanti. J'ai été abasourdi en recevant la dernière "Lettre de la Banque postale" (pub glissée avec les relevés de compte) de découvrir que la Banque postale s'y félicitait de ce que sa "campagne de communication" ait été "remarquée" et qu'elle tenait à le faire savoir à ses clients. Autrement dit, on ne fait plus de pub pour un produit ou un service, mais pour une campagne de pub : c'est de la pub au carré ! (et le tout, bien entendu, aux frais du client qui se voit scrupuleusement prélever des soi-disant "frais de gestion"). S'agit-il d'un nouveau concept, ou bien connaissez-vous déjà des exemples de ce genre d'auto-congratulation dérivée ? J'avoue que j'en suis resté estomaqué. Félix Potuit (d) 13 juin 2009 à 07:58 (CEST)[répondre]

Déjà vu ça plusieurs fois au Québec et à la TV états-unienne. C'est un dérivé d'un autre merveilleux argument publicitaire nord-américain qui indique, bien en vue sur l'emballage d'un quelconque produit dans un magasin , « tel que vu à la TV » (sic); autrement dit : Si vous l'avez vu à la télé, c'est forcément bon. Dans le cas de l'auto-congratulation, c'est : Vous avez vu que la pub a marché, donc le produit vanté est bon. Dhatier jasons-z-en 13 juin 2009 à 13:55 (CEST)[répondre]
La logique de l'affaire, c'est que les sous qu'on tire de ta poche, ou de la mienne, rapporte encore plus de sous à qui saura mieux en faire usage pour faire encore plus de gros petits sous … On a l'air content de la façon qu'a le vent de tourner ! T'es pas fier ? le sourcier de la Colline [on cause ?] 13 juin 2009 à 16:37 (CEST)[répondre]
Ben kwouôôô ? Il y a le savoir, le savoir-faire, et enfin le faire-savoir, non ? C'est bien connu. Où que t'as vu qu'il faut être utile au client ?. On a dit "efficace". Pas "utile" ! "Efficace", nom de dlà !
N'as-tu pas déjà vu des pubs dans les hypers ou les canards-TV vantant des produits "Vu à la TV" ? Le mec commence par s'offrir 180.000 Euros pour 30 secondes de temps de cerveau abruti mais disponible sur une chaîne quelconque (j'insiste, quelconque). Au 2° tour, il en remet une couche en quadrichromie, sur papier glacé. C'est de la comm, ça coco. Si avec ça tu n'es pas convainu, fais gaffe. Bientôt, c'est peut-être Big-Brother qui s'occupera de faire tes courses.
Une autre image. La morgue des discours des analystes exeuperts es-notre-jolie-crise : exactement la même que celle des experts qui nous disaient il y a si peu d'années qu'on était absolument à l'abri.
Deux éléments me semblent intéressants dans la politique de comm que tu soulignes (choquantes ? c'est selon).
D'une part,le gars qui a choisi l'agence de pub se valorise auprès de sa direction, ses actionnaires, et qui encore ? Je saiiiiis : Le-Monde-de-la-Comm !. Et il dit quoi à tout ce petit monde ? "Regardez si je suis bon ! Ah, voui, je suis LE PLUS BON !"
D'autre part, tant que le pékin lambda lit ce message en diagonale, retiens que son fournisseur communique bien, interprête qu'il doit être également cador sur les autres technicologies de pointes contemporaines (placements tordus, par exemple, ou produits de sortie de crise), le pékin-lambda, il ne pense pas à passer à la concurrence.
Il y a 3 jours, j'ai traîné au rayon nouveautés d'une librairie. J'ai fait l'inventaire des bouquins à bandelettes auto-gratte-nombrilesque. Avant, quand c'était mieux, ils mentionnaient "Prix Goncourt", ou "Grand prix de l'Académie française". Cette fois-ci, j'ai vu "10.000 exemplaires" (ou cent mille, je ne sais plus, mais le chiffre exact est sans importance). "10.000 exemplaires", c'est tout. Tu ne sais pas si c'est tiré, vendus, rêvé par l'auteur, l'éditeur, passé au pilon, tu ne sais pas. Et c'est un argument de vente. Marrant, non. L'année prochaine, on t'indiquera "Pages en papier avec des lettres dessus". L'important, finalement, c'est sans doute d'occuper le terrain. Bon, moi, je retourne occuper ma savane. Hop ! Kikuyu3 Sous l'Arbre à palabres
Oui, pour moi, c'est le service de pub, pardon, de com, qui essaie de justifier son existence. Dommage qu'il le fasse avec mon pognon (ils dépensent mon fric pour envoyer des millions de prospectus pour vanter leur propre campagne de pub, on croit rêver). Félix Potuit (d) 13 juin 2009 à 18:30 (CEST)[répondre]
Note que pour les bouquins, c'est dans le contrat quand tu acceptes un prix littéraire, tu es obligé d'autoriser la mention du prix en couverture. C'est une pub pour le prix, pas une pub pour le livre. — Jérôme 13 juin 2009 à 22:46 (CEST)[répondre]
Nous aspirons tous à une société enfin libérée de l'argent, des financiers, des banquiers et des exploiteurs en tous genres. Y a du boulot. Interdire la publicité, ça commence par interdire « Elle est belle ma tomaaaate ! » sur les marchés. Ben oui. Croire que la pub, c'est fait pour piquer des sous au pékin de base, c'est peut-être satisfaisant pour sa pensée, mais c'est un peu juste comme raisonnement. Si la pub n'avait aucun effet, il y a des malins qui s'en seraient déjà débarrassés. Mais faut croire (enfin, on n'est pas obligé) que ça permet de vendre plus, donc de gagner plus, donc de piquer moins de fric à ses clients par des moyens détournés. Si ta banque cessait de faire de la pub, est-ce qu'elle te prendrait moins de frais de gestion ? Je parierais qu'elle les augmenterait. Quand on est pourri, on est pourri, mon bon monsieur. Morburre (d) 14 juin 2009 à 11:54 (CEST)[répondre]
Mais tu n'as pas lu la question : il ne s'agit pas (pour le moment) de faire le procès de la pub, mais de s'interroger sur la pub de la pub, et les auto-congratulations que s'attribuent les publicitaires alors que le client n'en a strictement rien à f... b... carrer. Félix Potuit (d) 14 juin 2009 à 11:59 (CEST)[répondre]
Disons que j'ai trop lu la question, et que je me suis arrêté à certains aspects exprimés dans ladite question. Pour la question elle-même, je n'ai pas de réponse, mais ça s'inscrit dans le cadre « JE suis un communicant, donc je communique sur MOI ». Il n'y à qu'à voir et entendre toutes les émissions de radio et de télé où des journalistes viennent débattre de leur métier, de leurs problèmes, de leur éthique et tout ça. Je veux bien, mais on n'entend pas souvent, disons, les plâtriers, les plombiers ou autres, s'entretenir de leurs problèmes. Sont-ils moins importants ? En tout cas, ils ne détiennent pas le média. Morburre (d) 14 juin 2009 à 15:41 (CEST)[répondre]
Ah oui, un peu comme les cinéastes qui font des films sur le cinéma (j'aurais d'autres exemples, mais je ne veux pas me retrouver avec la LICRA sur le dos), ou les troupes de l'ONU qui s'occupent de préserver leur propre sécurité au lieu d'assurer leur mission de protection des populations. C'est intéressant, il y aurait une thèse à écrire à ce sujet. Félix Potuit (d) 14 juin 2009 à 16:22 (CEST)[répondre]
L'homme d'une part se méfie de la publicité, d'autre part copie un comportement qui marche. Ainsi le bouche-à-oreille marche mieux que la réclame. La campagne citée ci-dessus n'est pas irrationnelle : elle tente de faire de la publicité sans le dire, en se prévalant du choix du public. Je ne sais pas si ça marche mais assurément ça peut provoquer des réactions hostiles. Apollon (d) 14 juin 2009 à 21:49 (CEST)[répondre]
Adressée aux clients, c'est une pub d'entretien, visant à persuader les clients qu'ils ont fait le bon choix en choisissant cette belle banque, et qu'ils font bien de ne pas aller ailleurs. C'est une technique comme une autre. L'essentiel en la matière n'est pas dans ce qu'on dit, mais dans le fait d'occuper l'espace. On a vu de magnifiques campagnes qui ne disaient strictement rien, ou n'importe quoi, sinon « je suis là, et la place que je prends c'est autant que n'auront pas mes concurrents ». Un bel exemple récent, c'est la campagne des européennes (vous avez vu quelque chose d'intéressant dedans ? moi pas). Morburre (d) 15 juin 2009 à 12:43 (CEST)[répondre]
J'ai surtout dégusté la manière qu'ont eue les politiciens et les journalistes de contourner le bien embêtant chiffre de 60% d'abstention (sans compter les blancs et nuls, je n'ai même pas vu passer de chiffre à ce sujet), en faisant comme si au fond ça n'avait pas vraiment d'importance (et puis d'abord c'est rien que des mauvais citoyens irresponsables qui ont préféré partir à la pêche à la ligne, bouh, les laids). Ça devient duraille d'entretenir la fiction d'une Europe démocratique et au service des citoyens... Félix Potuit (d) 15 juin 2009 à 18:21 (CEST)[répondre]

Quatre-bras modifier

En Inde, nos enquêteurs sont sur une piste...

Bonjour. Plusieurs carrefours en Belgique portent le nom de « quatre-bras » (les plus connus sont cités ici : Quatre-Bras) ; cet article indique aussi des endroits aux Pays-Bas. Rien ailleurs. Y en aurait-il en France ou en Suisse ? Est-ce une expression courante dans ces pays ? Ni Littré, ni le CNRTL, ni le GDT n'ont d'entrée pour cette graphie. Je m'interroge... et vous aussi par la même occasion. Merci pour vos réponses, --Égoïté (d) 13 juin 2009 à 12:56 (CEST)[répondre]

C'est peut-être sans rapport, mais il existe aussi de nombreuses localités, lieux-dits ou quartiers nommés « Quatre Chemins ». Un petit tour par google me donne des résultats en Guadeloupe, à Aubervilliers, Bordeaux, Toulon, Vichy (pour la France) et à Charleroi. — Jérôme 13 juin 2009 à 15:33 (CEST)[répondre]
Merci Jérôme. Je reste à l'affut de toute autre suggestion. --Égoïté (d) 13 juin 2009 à 22:29 (CEST)[répondre]
Il existe même un "les Sept-Chemins" du côté de Lyon (commune de Vourles) [21]. --Serged/ 14 juin 2009 à 09:45 (CEST)[répondre]
Les Frères des Écoles chrétiennes « étaient familièrement surnommés les « Frères quatre bras » à cause de leur manteau qu'ils portaient sans enfiler les manches » (article dixit), ça a peut-être un rapport? Biem (d) 14 juin 2009 à 18:42 (CEST)[répondre]
Les 7 chemins y en a 2 dans la région lyonnaise. Ceux dont parle Serged, et ceux qui sont sur Bron/Vaulx-en-Velin/Chassieu, au bout de la route de Genas. Je connais aussi un hameau 3 maisons, à Frontonas (38) dont l'adresse est « 4 vies ». Les 4 vies en question sont des routes. Ou des chemins, en tout cas ça vient du latin (via). Du côté de Genas, où était né mon père (38 à l'époque, 69 depuis belle lurette, l'aéroport St-Ex devait être dans le Rhône), beaucoup de chemins s'appellent « vie ». La vie de Genas, la vie de Chassieu, etc.
Et dans la Drôme (en particulier), il y a des ruelles qui s'appellent des viols. Et dans les Pyrénées gasconnes, des chemins qui s'appellent biés. Morburre (d) 15 juin 2009 à 12:50 (CEST) Je ne connais pas de Quatre bras, mais j'imagine assez que l'image des quatre directions peut se suffire à elle-même. Dans certaines configurations, ça peut s'appeler une Patte-d'Oie. Morburre (d) 15 juin 2009 à 12:50 (CEST)[répondre]
Vos enquêteurs n'ont pas l'air de trouver... Émoticône « quatre-bras » pourrait-il avoir un rapport avec les fingerposts ? --Égoïté (d) 15 juin 2009 à 08:18 (CEST)[répondre]
En tout cas, carrefour provient du bas latin quadrifurcus "à quatre fourches" (bizarre comme expression), qui a remplacé quadruvium, lequel s'est toutefois conservé dans des noms de lieux comme Carrouges. Larousse et Tymologique dixerunt. Félix Potuit (d) 15 juin 2009 à 18:15 (CEST)[répondre]

Respiration chez les microorganismes modifier

Bonjour à tous,

Ma question est simple, est-ce qu'il existe des bactéries ou archées qui ne savent pas faire la respiration ? Je précise que par respiration j'inclus bien évidemment dedans la respiration anaérobie...

Merci pour tout éclairement ! Émoticône sourire

chtit_dracodiscut 13 juin 2009 à 22:03 (CEST)[répondre]

En attendant les spécialistes...
Je dirais non. La définition de la vie implique l'existence d'un métabolisme, et notamment une manière de dégrader les nutriments. Pour les organismes aérobies, l'accepteur d'électrons est l'oxygène. Tous les autres cas possibles d'accepteurs d'électrons sont regroupés sous le nom d'anaérobie (on ne devrait pas faire de classification négative, mais c'est trop tard, les habitudes sont prises). Si tu exclus les deux, tu exclus l'ensemble des réactions d'oxydo-réduction. Il est difficile d'envisager « la vie telle que nous la connaissons » sans aucune réaction oxydo-réductive (ou alors on supprime le métabolisme, mais ça rejoint la question de savoir si oui ou non un virus est vivant, vu notamment qu'il n'a pas de métabolisme). Quel métabolisme ne serait pas oxydo-réductif, quels processus physico-chimiques le permettrait ? J'ai tenté google:pyrolytic+bacteria, sans résultats, mais je ne suis pas très surpris. Sinon, lire en:Microbial metabolism et Type trophique. Tu peux jouer sur les mots pour savoir si certains processus oxydo-réductifs sont oui ou non un type de respiration anaérobie. — Jérôme 13 juin 2009 à 23:17 (CEST)[répondre]
Merci de ta réponse ! Cependant, la fermentation est un processus régénérateur de NAD+ autre que la respiration (et beaucoup moins efficace en termes d'énergie). L'accepteur final d'électron y est là une molécule organique, le pyruvate, qui est transformé en une autre (éthanol, lactose,...). Une bactérie capable de supporter son développement grâce à la fermentation seule pourrait donc ne pas faire de respiration, amha. Concernant les types trophiques, je pensais à un autotrophe photolithotrophe (source de carbone : CO2, source d'énergie lumineuse, source de potentiel réducteur minérale --> pas besoin de dégrader de molécules organiques complexes). Cependant, les différentes classes de bactéries en faisant partie ont l'air de toutes respirer : bactérie sulfato-réductrice qui respire avec le sulfate comme accepteur final, les cyanobactéries, les algues... Toutes les bactéries respireraient donc ? chtit_dracodiscut 14 juin 2009 à 09:40 (CEST)[répondre]

Essaie ce bouquin : Respiration in Archea and Bacteria. — Jérôme 14 juin 2009 à 15:24 (CEST)[répondre]

Archees Candidat Staphylothermus

Candidat Hyperthermus Butylicus

Bacteries

Levures

Geomicrobiology, Fifth Edition : « Rhodorula and Trichosporon can also reduce sulfur to H2S with glucose as electron donor. This is probably not a form of respiration. » (le gras est de moi). cf. en:Rhodotorula

Jérôme 14 juin 2009 à 16:28 (CEST)[répondre]

Merci pour ton aide, dommage qu'on n'ait pas su trouver de réponse claire et directe, mais ce n'est pas bien grave ! Encore merci, chtit_dracodiscut 14 juin 2009 à 21:39 (CEST)[répondre]

textes Antiphon modifier

Bonjour, Je recherche, désespérément, des textes du philosophe Grec Antiphon. En français et en ligne si possible.

Merci

Bonne soirée Le Sens Commun (d) 14 juin 2009 à 01:12 (CEST)[répondre]

Vous pouvez déjà commencer vos recherches par Gallica ( intéressant ), GoogleLivres ( en recherche avancée, mais pas probant ) et WikiLivres ( rien, désolé ).
Quel texte d'Antiphon cherchez vous ? A priori pas grand chose en ligne. Mais effectivement, sur gallica, vous en avez plusieurs éditions, comme celle-ci en grec avec une trad. latine du XIXe siècle. Une trad. anglaise des discours est aussi en ligne. L'édition de référence de la CUF avec une traduction en français est la suivante (18,90 € ou en prêt inter-bibliothèque) :
Antiphon (l'orateur et maître de rhétorique), Discours. [Suivi de] Fragments d'Antiphon le Sophiste, texte établi et traduit par L. Gernet, Les Belles Lettres, Paris, 1re éd. 1923 (ISBN 2-251-00019-4) (notice).
Piero (d) 14 juin 2009 à 10:23 (CEST)[répondre]

Merci à tous pour toutes ces informations. Il semble qu'il n'y ait que très peu de textes en français. Surtout pour ce qui est de l'œuvre philosophique. On trouve uniquement les plaidoiries. Je crois que je vais devoir me tourner vers la version papier. Bonne journée Le Sens Commun (d) 14 juin 2009 à 13:42 (CEST)[répondre]

Mais le texte de son chef d'œuvre est très connu : Antiphon, phon, phon, les petites marionnettes Dhatier jasons-z-en 14 juin 2009 à 16:23 (CEST) Mais arrêtez de me donner des coups de clavier![répondre]
Cherchons, cherchons, cherchons, le Grec Antiphon, tiphon, tiphon, ce philosophe distingué, héhé ! (Mais pourquoi me bombarder de noyaux d'olives noires ?) Félix Potuit (d) 14 juin 2009 à 18:25 (CEST) [répondre]
Ah Ah Ah. Quelle déception, j'ouvre, je me dis, super on m'a encore répondu et là je tombe sur deux potaches nostalgiques de leur enfance ....
Le Sens Commun (d) 15 juin 2009 à 10:30 (CEST)[répondre]
Si notre service ne vous a pas donné entière satisfaction, n’hésitez pas à déposer une réclamation au bureau réservé à cet effet. Si votre plainte est fondée, vous serez remboursé de l’intégralité des sommes fournies aux pythies. rv1729 15 juin 2009 à 13:30 (CEST)[répondre]
je me suis donné du mal pourtant... quelle ingratitude ! Félix Potuit (d) 15 juin 2009 à 18:11 (CEST) [répondre]

pourquoi modifier

pourquoi on est vivant

Parce que la vie est la forme sous laquelle nous existons. C'est ainsi que la notion de vie a été conçue par l'homme qui dispose d'une intelligence rationnelle, pour opposer ce qu'il est à ce qu'il n'est pas. Si nous ne sommes pas vivants, c'est que nous avons un autre mot pour dire ce que nous sommes (cf tous les non-francophones). Sinon, il y a beaucoup d'autres réponses à ta question :
  • C'est la faute (ou la grâce !) de ton père et de ta mère.(à utiliser récursivement)
  • Choux, cigognes, dieu qui t'a soufflé dans le nez, fermentation des fondrières … (facile et amusant)
  • Soupe primordiale, acides aminés etc. (difficile et quelquefois un peu frustrant)
Tu as le choix, c'est un peu ça la vie.
le sourcier de la Colline [on cause ?] 14 juin 2009 à 14:54 (CEST)[répondre]


Boule de cristal L'Oracle n'est pas devin. Comme indiqué en haut de sa page, il ne considère que les questions d'ordre encyclopédique. Compatissant néanmoins aux incertitudes humaines, il espère que vous survivrez à ces tergiversations.

--.Anja. (d) 14 juin 2009 à 17:15 (CEST)[répondre]

Parce que nos parents se sont aimés passionnément (au moins il faut l'espérer) Émoticône --82.64.136.241 (d) 14 juin 2009 à 18:03 (CEST)[répondre]

Vivant ? C'est une conception très provisoire des choses. De plus, on peut être vivant au sens médico-légal, mais à l'état larvaire sur beaucoup d'autres plans. Félix Potuit (d) 14 juin 2009 à 18:20 (CEST)[répondre]
Parce qu'on veut bien. Dans la cas contraire, il est assez facile d'y mettre un terme et certains le font ; assez peu, toutefois : comme on finira toujours par mourir, et que c'est irréversible en l'état actuel des choses, et que la vie a quand même dans bon côtés, et bien, pourquoi se presser ? gem (d) 15 juin 2009 à 17:54 (CEST)[répondre]

Bonjour,

le 7 mai 1915 le paquebot LUSITANIA (Compagnie britannique Cunard Line) a été torpillé alors qu'il effectuait sa traversée de New-York vers Liverpool.

Mes questions sont : Quel est le bateau qui a assuré la traversée suivante ? Est-ce le Mauretania ?

Connaissez-vous les dates de départ et d'arrivée du bateau en question ?

Merci d'avance,

Valérie

Bonjour Valérie. L'article Mauretania indique qu'il devait le faire mais il a été réquisitionné comme transport de troupes. Il faut donc trouver un autre candidat. Cordialement. Père Igor (d) 15 juin 2009 à 12:58 (CEST)[répondre]

175 754 feuilles de papier à lettre format A4, cela pèse combien ? modifier

Bonjour à vous. Les articles de Wikipédia que j'ai consulté (papier, grammage, en:paper density, en:paper, etc.) ne m'ont pas permis de répondre précisément à cette question (en fait j'ai trouvé le volume, 1,2m3, mais pas la masse). Vous pourriez ajouter les informations sur les articles ? --Szyx (d) 14 juin 2009 à 15:10 (CEST)[répondre]

Selon Grammage : Le papier le plus couramment utilisé dans les bureaux a un grammage de 80 g/m2, si bien qu'une feuille au format A4, qui a par définition une surface d'un seizième de mètre carré, a une masse de 5 grammes.
À votre calculette (et vos lunettes ;-). Piero (d) 14 juin 2009 à 15:19 (CEST)[répondre]
Les g/m2 ne permettent pas de répondre à la question, qui est « combien de g/m3 » (il manque l'épaisseur). (Smiley: triste)--Szyx (d) 14 juin 2009 à 15:24 (CEST)[répondre]
Ou plus précisément, j'ai l'épaisseur du papier à lettres (110µm) mais pas son grammage, et le grammage du papier classique (mais pas son épaisseur). Donc impossible d'en déduire la densité du papier. --Szyx (d) 14 juin 2009 à 15:33 (CEST)[répondre]
Il a commencé par le plus difficile, trouver le volume. De manière empirique, je suppose, en mesurant l'épaisseur d'une ramette ? Sinon, c'est comme on a dit plus haut, surface en mètres carrés multipliée par le grammage indiqué. Morburre (d) 14 juin 2009 à 15:45 (CEST)[répondre]
Pourquoi se prendre la tête ? Tu pèses une feuille format A4 et tu multiplies ce que tu trouves par 175 754...Où est le problème ?--Deva (d) 14 juin 2009 à 16:41 (CEST)[répondre]
A la poste, une feuille A4 =4 grammes. Je le sais, c'est bien pratique quand on envoie ses devoirs par courrier Émoticône --.Anja. (d) 14 juin 2009 à 17:14 (CEST)[répondre]
Non, pas de manière empirique, mais en consultant wp. --Szyx (d) 14 juin 2009 à 18:01 (CEST)[répondre]
C'est pas pareil ? Bon, je m'en vais. Morburre (d) 14 juin 2009 à 18:14 (CEST)[répondre]
Bref, ça fait 878 kilos et 770 grammes, sans tenir compte de l'encre. Je confirme qu'il faut compter 5 g/feuille en grammage normal, de sorte que si on envoie 4 feuilles, on se fait avoir pour le tarif vu qu'on a oublié de tenir compte du poids de l'enveloppe (et du timbre). Félix Potuit (d) 14 juin 2009 à 18:36 (CEST)[répondre]
Si tu me dis comment tu as abouti à cette valeur je te promets de te faire une déclaration d'amour. --Szyx (d) 14 juin 2009 à 19:17 (CEST)[répondre]
Euh, j'ai pris mon Excel d'une main et mon courage de l'autre... mais pour la déclaration, ce n'est pas à la minute... Félix Potuit (d) 14 juin 2009 à 21:04 (CEST)[répondre]

Comme il me semble toujours malhonnête de ne pas dire pourquoi j'ai posé une question, voici deux liens :

Vous n'avez pas répondu à ma question cette fois, mais cela compense les fois où je ne m'attendais pas à ce que vous le fissiez, et que néanmoins vous le fîtes. Émoticône--Szyx (d) 14 juin 2009 à 19:28 (CEST)[répondre]

[nombre de feuilles] x [poids de chaque feuille] = [poids de l'ensemble des feuilles]
ie si votre papier A4 est du 80 g/m² (sinon divisez son grammage par 16)
175 754 f. x 0,005 Kg = 878,77 Kg
Piero (d) 14 juin 2009 à 19:53 (CEST)[répondre]
PS : l'épaisseur n'intervient pas dans le calcul du poids, sauf si vous avez une masse par volume (ce que vous n'avez pas, justement)
C’est quand-même hallucinant d’échouer à résoudre cette question ! C’est un exercice pour les petites classes de calcul. rv1729 14 juin 2009 à 21:53 (CEST)[répondre]
Étrange question, puisque tu disposes de tous les éléments pour y répondre. Selon toi, une feuille A4 standard (80g) a une épaisseur de 0,11 mm, donc (et sans tenir compte du tassement probable provoqué par une telle accumulation) il faut, à un rien près, 9091 feuilles pour atteindre la hauteur de un mètre ; pour obtenir 1 m² de papier il te faut 16 feuilles A4 à 0,03 m² près ; 1 m³ de feuilles A4 en 80g comporte donc 145.757,72 feuilles. Puisque 1 m² pèse 80g et puisque tu as une pile de 9091 m² le tout pèse 727.272,73g.
Quant à tes 175.754 feuilles c'est encore plus simple : puisqu'il en faut 16,03 pour faire 1 m² et que chaque m² pèse 80g, le tout représente 876.942,16g. Bien sûr, ce résultat ne vaut pas pour les feuilles ayant un grammage différent (175.754 feuilles à 70g représentent 767.324,39g) ; par contre, quel que soit le grammage le calcul pour le m³ reste valable, sinon que la pile comptera plus ou moins de feuilles (en toute hypothèse, s'il en faut 9.090,91 en 80g, il en faudra 10.389,61 en 70g et 8080,81 en 90g).
Incidemment, 175.754 feuilles A4 en 65g rentreraient dans 1 m³ puisqu'il en faudrait, semble-t-il, 179.394,12. -O.M.H--H.M.O- 15 juin 2009 à 11:48 (CEST)[répondre]

Il faut exactement 16 pages A4 pour faire exactement 1m², par définition du format A4, non ?
Bon, mais si on prend pour base A4 = 21 × 29,7 cm, il en faut effectivement 16,0333493666827. Bon courage pour boucher les trous laissés par les 16 feuilles avec le 0,0333493666827 de feuille restant ! Émoticône rv1729 15 juin 2009 à 13:37 (CEST)[répondre]

Bon à savoir pour l'histoire des exactement 16 pages par m². Sinon, il y aurait encore plus coriace que la parcelle de feuille dans la surface : ajuster la dernière couche de feuilles pour avoir exactement 9.090,91 épaisseurs... -O.M.H--H.M.O- 16 juin 2009 à 10:11 (CEST)[répondre]

Au vu des images proposées le plus simple n'est il pas de tout peser? Ne fusse que pour vérifier si le calcul est exact.--Kkbs (d) 15 juin 2009 à 13:56 (CEST)[répondre]

Tennis sur herbe modifier

Bonjour à vous chères Pythies.

La (trop) courte saison tennistique sur herbe ayant commencé et le tournoi de Wimbledon approchant à grand pas, je me pose la question suivante : depuis quand et surtout pourquoi le tennis sur herbe est-il abandonné au profit de la terre battue et des surfaces dures. Je pensais à une question d'entretien trop difficile et couteux mais l'article tennis indique que la terre battue est également une surface nécessitant énormément d'entretien et que les surfaces dures et synthétiques sont très couteuses. Donc pourquoi avoir progressivement abandonné le jeux sur herbe qui est quand même la surface d'origine de ce sport (et à mon sens la plus "noble" de toutes)? Merci d'avance pour vos réponses

--Cornild (d) 14 juin 2009 à 16:41 (CEST)[répondre]

Cher inquisiteur, sache tout d'abord qu'il ne faut pas écouter ces ploucs de commentateurs de France Télévisions et qu'on ne joue pas au tennis sur de l'herbe mais sur du gazon, comme précisé ici.
L'article sur les surfaces de jeu au tennis (dont je constate avec regret qu'il n'a pas la neutralité attendue des articles de Wikipédia et avec tristesse que plus d'un passage a la lourdeur stylistique d'un article de journaliste sportif) fait comprendre indirectement que les surfaces autres que gazon et terre battue sont d'usage récent, apparemment les années 1960 et en tout cas après la seconde guerre mondiale.
Sinon, on ne peut pas strictement dire que le gazon a été « abandonné au profit de la terre battue » : il y a une courte période, dans la deuxième moitié du XIXe siècle, où il devient possible de jouer sur gazon aux variantes du jeu de paume qui donneront naissance au tennis, mais la terre battue apparaît en 1880, soit très peu après les débuts du tennis moderne en 1874-1875. Au fait, mes remarques sur la rédaction de l'article sur les surfaces valent aussi pour celui sur le tennis : manque de neutralité et enflure du style digne de L'Équipe. On devrait interdire aux fanatiques de sport d'écrire des articles sur leur sujet de prédilection, ça nous éviterait des horreurs pareilles... -O.M.H--H.M.O- 15 juin 2009 à 09:15 (CEST)[répondre]
Bon sang ! J'avais oublié l'autre partie de la question : pourquoi ? Et bien, parce que. Probablement pour des raisons pragmatiques et économiques : moins d'entretien et plus de fiabilité. Remarque, faire des courts en gazon dans des zones à faible pluviométrie ou/et à très fortes ou très faibles températures n'est de toute manière pas une idée formidable... -O.M.H--H.M.O- 15 juin 2009 à 13:11 (CEST)[répondre]
Merci pour ces éléments de réponses. Effectivement - oh horreur !!! - j'avais mis sans faire plus attention herbe au lieu de gazon. Après réflexion, j'imagine mal Federer jouer dans un pré ... N'empêche que la répartition des surfaces sur le circuit (dur - terre battue - dur et quelques tournois sur gazon au mois de juin) ne me semble pas très équitable. --Cornild (d) 15 juin 2009 à 15:16 (CEST)[répondre]
Juste une petite remarque parce que j'aime bien faire mon chieur rabat-joie : si l'article sur les surfaces de jeu au tennis et sur le tennis en lui-même ne vous plait pas, pourquoi ne pas le modifier pour le mieux ?...Personnellement, même si j'apprécie le tennis, je n'y connais rien, sinon je me serait atelé à la tâche.--Deva (d) 15 juin 2009 à 16:50 (CEST) La réponse est simple : je m'intéresse suffisamment à Wikipédia pour regretter la rédaction insatisfaisante de certains articles, mais suffisamment peu aux sports pour n'avoir pas désir d'améliorer ces articles-là. Il m'arrive de travailler avec LiveRC et, je dois bien l'avouer, quand des modifications sont faites sur des articles de ce domaine je ne me donne pas la peine de vérifier leur validité... -O.M.H--H.M.O- 16 juin 2009 à 10:00 (CEST)[répondre]

Bonjour. En France, en particulier dans le cadre d'une loi De Robien. La défiscalisation n'a pas été obtenue a ce jour. Comment fait on en pratique un référé? Sur quelles limites financières portent un référé? Sur quels délais? . Merci de m'apporter des éléments qui n'excluent pas que je puisse un jour consulter un avocat... mais il est possible que je doive porter plainte sans pouvoir financièrement utiliser un avocat. Un référé impose t il toujours un jugement sur le fond? Il y a des documents mails + fax garantissant un risque financier nul? une non exécution du mandat aux titres des moyens conseils informations. Un dossier présenté par le mandataire aux impôts (mise en demeure) pour le report du délai d'un an pour trouver un locataire a été refusé!

Le bandeau avocat/droit a ses limites dans la cas ou il est peu facile d'utiliser un avocat. J'ai mis personnellement le lien bleu vers l'article référé que j'ai lu aussi! Merci en tout cas.

Malgré ta dernière remarque, je suis bien obligé d'insérer cet avertissement :
Comprends que s'il nous est possible de donner des éclaircissement sur une loi ou sur un jugement, et même possible de donner un avis d'ordre général sur le type d'action judiciaire qu'une personne peut entreprendre dans une certaine circonstance, il nous est strictement impossible de donner un avis valable sur un cas précis pour la simple et évidente raison que pour en parler il nous faudrait connaître tous les éléments du dossier et les étudier assez de temps pour pouvoir nous prononcer. Je veux bien le faire, mais dans un autre cadre que la page de l'Oracle et surtout, tu comprendras je pense que que ça ne sera pas gratuit... Donc, autant t'adresser à un vrai conseil juridique (il existe même des sites de ce genre).
En ce qui concerne le référé en droit français, l'article te montre que ce n'est pas simple ; il t'indique aussi le site de référence en matière de droit français, Légifrance, et des liens directs vers les articles du code de justice administrative et du code de procédure civile qui traitent du référé.
Sinon, je peux au moins tenter de répondre à l'une de tes interrogations : dans le sommaire du Code de procédure civile disponible sur Légifrance, le chapitre II du titre XIV du livre premier traitant des « dispositions spéciales » comporte deux sections, la première concerne « les jugements sur le fond », la seconde « les autres jugements » ; les ordonnances de référé forment une sous-section de cette seconde partie, ce qui semble impliquer qu'ils ne sont pas censés juger sur le fond. -O.M.H--H.M.O- 15 juin 2009 à 12:34 (CEST)[répondre]
Sous la réserve du bandeau , le référé, c'est pour les urgences, les vraies (travaux de consolidation d'une maison qui menace ruine, saisie d'un hebdomadaire ou d'un quotidien...), pas les histoire de pognons (à l'extrême rigueur, une histoire de saisie au delà de l'insaisissable, qui ne laisserait rien pour vivre, mais c'est à peu près tout). Donc, a priori, si tu doit plaider, c'est direct le TA (si c'est administratif : pas besoin d'avocat, mais faut être solide ! et ça n'a pas l'air d'être le cas ...) ou le TGI sans passer par la case référé.
Reste l'amiable...
Consulte la répression des fraudes (DDCCRF de ton département), pas sûr que ça serve à quoi que ce soit mais ça ne peut pas faire de mal.
gem (d) 15 juin 2009 à 15:54 (CEST)[répondre]

participation projet haj kaddour maroc modifier

salam j'aimerais si c'est possible participer à ce projet ! est ce possible ? je pense pouvoir contribuer à ce projet merci beaucoup v.rousseau

Oui, c'est plus que possible, c'est souhaitable! Je vous suggère de vous rendre sur la page : Projet:Maroc et d'entrer en contact avec des participants inscrits; certains accepteront surement avec enthousiasme d'aider un nouveau contributeur, et pourraient même peut-être vous parrainer. Dhatier jasons-z-en 15 juin 2009 à 01:16 (CEST)[répondre]