Wikipédia:Oracle/semaine 36 2011

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Mitrailleuses à Reischoffen modifier

J'ai entendu dire que Krupp avait proposé à Napoléon III de lui fournir une nouvelle arme de son invention : la mitrailleuse. Mais après démonstration, Napoléon III aurait été horrifié et refusa d'utiliser cette arme diabolique. Je voudrais savoir si les prussiens disposaient de cette arme contre la cavalerie française à Reischoffen ? Merci de votre réponse. Alain AGOBERT - 77240 CESSON

Il faut peut être voir de ce côté : Bataille de Reichshoffen, sinon consulter google avec la bonne orthographe :
(Mitch)2 5 septembre 2011 à 08:35 (CEST)[répondre]
Il semblerait que les Français aient disposé de la mitrailleuse de Reffye (mais probablement pas à Reichshoffen). Voir mitrailleuse. Morburre (d) 5 septembre 2011 à 09:04 (CEST)[répondre]
Dans l'article en:Mitrailleuse, plus détaillé que le français, l'on lit que « [la mitrailleuse Reffye] devint la première arme à tir rapide déployée comme équipement standard par aucune armée dans un conflit majeur. Cela se passa lors de la guerre franco allemande de 1870 » (« [the Reffye mitrailleuse] became the first rapid-firing weapon deployed as standard equipment by any army in a major conflict. This happened during the Franco-Prussian War of 1870–71 »). On y apprend aussi que la première mitrailleuse opérationnelle ne fut pas la Gatling mais bel et bien la mitrailleuse Montigny ou plus exactement ses prototypes développés à partir de 1851 par Toussaint Fafchamps.
Pour la question posée, l'armée prussienne ne disposait pas de mitrailleuses à Reichshoffen, mais disposait de quatre fois plus de soldats que les français, avec une artillerie et une infanterie diantrement plus efficaces. Si l'on suit l'article de WP.EN, il ne devait probablement pas y avoir de mitrailleuses françaises non plus puisque, selon toute apparence, elles ne commencèrent d'être employées sur le terrain que à la bataille de Sedan ou juste après. -O.--M.--H.- 5 septembre 2011 à 10:53 (CEST)[répondre]

Philosophes mystères modifier

Bonjour!

Cela fait quelques jours que je recherche d'après une simple photographie, en vain, l'identité de deux philosophes. Ainsi je prend la liberté de vous demander vos avis sur la question, il s'agit du troisième portrait photo en partant de la gauche sur la bannière, et de son compagnon de droite à barbe.

http://www.brooklyn.cuny.edu/pub/departments/philosophy/index.htm

Merci de votre aide

Bonjour. Le premier est Willard Quine. Le second est Charles Peirce. Grasyop 5 septembre 2011 à 13:24 (CEST)[répondre]

Saint-Blancat et Moulenc, maîtres-verriers modifier

Bonjour. Toujours en quête d'informations sur les maîtres verriers du XXe siècle, j'essaie aujourd'hui de situer dans le temps Louis Saint-Blancat, maître-verrier à Toulouse et son successeur Henri Moulenc.

Selon la Notice no IM47003513, Louis Saint-Blancat aurait débuté son activité en 1878. La base Palissy (Notice no IM47000290) nous indique qu'Henri Moulenc serait le successeur de Louis Saint-Blancat sur la période 1911-1952. Cette photo montre bien qu'en 1931, Henri Moulenc apposait sa signature et l'information concernant son appartenance à l'ancienne maison Saint-Blancat.

Or, ce vitrail daté de 1913 et la Notice no IM47001899 indiquent des verrières fabriquées ultérieurement (au moins jusqu'en 1927), attribuées à Louis Saint-Blancat (signatures St-Blancat et L. St-Blancat). Se pourrait-il que, dans un premier temps, Henri Moulenc n'ait pas apposé sa propre signature, mais celle correspondant à la maison qu'il avait reprise ? Y aurait-il eu un « héritier » qui, entre-temps, aurait continué à signer Saint-Blancat ?

A-t-on d'autres précisions sur les dates d'activité et de décès de ces deux artistes ? Merci d'avance. Père Igor (d) 5 septembre 2011 à 12:12 (CEST)[répondre]

de 1842 à 1952Hautbois [canqueter] 5 septembre 2011 à 12:23 (CEST)[répondre]
Non. Si on reprend les phrases complètes, les dates 1842, 1854, 1857, 1873, 1875, etc. concernent une partie de l'information de l'édifice mais Saint-Blancat est intervenu ultérieurement, respectivement en 1900, 1900, 1903, 1902, 1878 à 1882. Père Igor (d) 5 septembre 2011 à 12:31 (CEST)[répondre]
oui, c'était sans conviction, juste pour dire ce que j'avais trouvé, cordialement — Hautbois [canqueter] 5 septembre 2011 à 12:33 (CEST)[répondre]
Pour reprendre la même référence, on lit tout de même « En 1933 : (...) aux par Moulenc et Saint-blancat de Toulouse en 1931 » (probablement le premier mot est « vitraux ») ce qui donne à croire que le nom de Saint-Blancat est encore utilisé à cette date. Sur cette page une référence plus complète (c'est bien « vitraux » le mot tronqué). Maintenant, ça ne veut pas dire que Saint-Blancat était toujours en activité à cette date, ni même vivant, c'est assez courant qu'un nom soit simplement utilisé comme argument commercial ou gage de qualité. Cela dit, cette recherche,
donne des résultats où l'on parle du travail de Saint-Blancat en 1915, 1919, 1920, sans référence à Moulenc, bien qu'on trouve en effet plusieurs fois la mention que le second a repris les activités du premier en 1911. -O.--M.--H.- 5 septembre 2011 à 14:02 (CEST)[répondre]
CQui (d) Dans certaines profession, on ne se retire pas d'un coup, l'ancien ne travaille que sur certain projet, les plus prestigieux, et le repreneur ne prend en charge les affaires que petit a petit, je ne trouve pas surprenant que même après la reprise de l'affaire, certaines pièces soient toujours de la main de l'ancien. Maintenant, est-ce que cela se fait dans ce métier ? sur une periode de 20 ans ? --6 septembre 2011 à 10:53 (CEST)[répondre]

les cybers cafés et window7 modifier

Bonjour,

Je vais souvent travailler dans les cybers cafés parce qu'ils ont la burequtique de dernière génération. Mais il y a une question que je me pose parce que cela fait la deuxième fois que cela m'arrive dans deux cybers cafés différents. Alors que j'appelle l'application word 2007, le fichier apparaît mais le clavier ne répond pas. J'ai beau tapé mais les touches ne répondent pas et c'est comme si je tapais dans la vie. Je n'ose le dire aux gérants des cybers cafés parce que j'ai peur de passer pour une imbécile... Pouvez vous me dire comment faire pour que cela fonctionne ?

merci de votre aide — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 88.173.61.160 (discuter), le 5 septembre 2011 à 15:39

Bonjour,
Je suppose que tu veux dire « taper dans le vide ». Le problème peut être dû à deux causes : ton fichier texte a peut-être été créé avec une version de Word postérieure à celle installée dans le cybercafé, ou alors le fichier est corrompu (c’est-à-dire mal sauvegardé). Ou encore, troisième cause possible, il s’agit d’un problème lié au poste utilisé (paramétrage, raccordements matériels…).
Dans tous les cas, la moindre des choses de la part du gérant est de renseigner ses clients. Peu importe que tu passes pour une débutante, il en a vu d’autres et tu auras plus sûrement une solution. -- Mister BV (d) 5 septembre 2011 à 16:44 (CEST)[répondre]
Est ce que le clavier est bien branché? Bonjour On fume le calumet 5 septembre 2011 à 18:07 (CEST) Bah oui, c'est la premiere cause de problème... [répondre]
CQui (d) Probleme de clavier qui ne repond pas... ouvre le bloc note et essaye d'entrer un texte, si cela marche, c'est que word a des problemes a ouvrir ton fichier, si cela ne marche pas, ferme les autres applications, surtout si tu est entrain d'ecouter de la musique ou visualiser une video, si just word et le bloc note sont ouvert et le clavier ne repond pas, appelle le gerant, il y a un probleme avec le clavier ou la machine... --6 septembre 2011 à 10:45 (CEST)[répondre]
Certains cyber-cafés ont des tarifs différents internet et internet+bureautique ( ex à Vesoul ). Donc faut le dire au gérant et prendre le bon forfait...

gabarit de hauteur infra-rouge modifier

Bonjour chers grands oracles, Je venais à vous pour une solution à mon gabarit de hauteur tombé en panne.Le gabarit de hauteur est chargé de controler ou détecter un véhicule chargé à une hauteur depassant 4.5m(seuil normal).Ce gabarit de hauteur est composé de 3 portiques:Portique émetteur chargée d'emettre un faisceau infra-rouge vers portique emetteur/récepteur.Portique emetteur/récepteur chargée de recevoir le faisceau infra-rouge et emettre un signal haute fréquence sans fil,en cas de coupure du faisceau infra-rouge,à la 3ème portique(panneau B12 lumineux) qui clignote(s'allume) pour indiquer une infraction en hauteur.Tout le système a été mis en oeuvre avec succès et cela a fonctionné correctement pendant près de 3 mois avant de tomber en panne.Nous avons tenté de resoudre en vérifiant d'abord les tensions des boitiers au niveau des portiques.Les tensions sont bonnes.En plus,nous avons procédé au test d'alignement optique entre emetteur et emetteur/récepteur.C'est Ok, mais seulement lorsque nous coupons le faisceau infra-rouge,le panneau B12 ne s'allume pas, soit très rarement, il prend anormalement du temps à s'allumer.

La transmission haute fréquence entre emetteur/récepteur et panneau B12 est sans fil Question:Que puis-je faire pour faire allumer le panneau B12, et dans les conditions normales du fonctionnement lorsque le faisceau infra-rouge est coupé? Dans l'attente de vous lire, recevez mes salutations distinguées. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par 196.28.247.48 (discuter), le 5 septembre 2011 à 15:47

Que voulez-vous faire d'autre que de suivre le signal de bout en bout? Est-ce que l'infrarouge est émis comme il doit? Est-ce qu'on le capte correctement? Est-ce qu'on génère le bon signal HF? Est-ce qu'on reçoit bien le signal HF? Est-ce qu'on le décode correctement? Est-ce qu'on commande bien le panneau lumineux? Est-ce que celui-ci s'allume? Il n'y a rien de très compliqué là-dedans sauf qu'il faudrait avoir les plans, éventuellement le logiciel et les bons appareils de mesure. Trois mois de bon fonctionnement, cela paraît peu. L'appareil devrait encore être sous garantie. Il faut prendre contact avec le fournisseur/installateur et l'inviter à résoudre le problème. S'ils rechignent, vous leur expliquez que vous allez être obligé de poser la question sur des forums en expliquant que votre portique de la société X ne fonctionne pas, qu'ils ne veulent pas vous aider et que vous cherchez des gens ayant déjà résolu ce genre de problème. Cela devrait les rendre plus coopératifs. -- Xofc [me contacter] 5 septembre 2011 à 16:58 (CEST)[répondre]
Une 'panne idiote' serait un encrassement des fenêtres infrarouges. Plus subtil, une soudure mal faite qui aurait lâché à cause des vibrations provoquées par le charroi, un problème de température (boîtier en plein Soleil), d'humidité, de mauvaise alimentation électrique, de foudre,... Bref, ça peut-être n'importe quoi et seul un technicien avec les connaissances et le matériel adéquat... -- Xofc [me contacter] 5 septembre 2011 à 17:52 (CEST)[répondre]

Bonjour Merci de m'avoir très bien répondu.Votre réponse me donne de grandes pistes de diagnostic de la panne. Je tiendrais à souligner que lors des tentatives de mise en marche,le panneau s'allume parfois.Encore merci de m'avoir éclairé

Nombre de victimes de la folie médiévale modifier

BonjourÉmoticône sourire. J'ai bien regardé les articles suivants (enfin j'espère) ==> Malleus Maleficarum et Chasse aux sorcières, et bien qu'ayant trouvé le nombre des victimes à déplorer de la folie furieuse de l'époque, les références et les sources exactes manquent donc je me tourne vers vous, pensant que vous en sauriez plus mes chères Pythies:

  1. Quel fut le nombre de "sorcières" et "sorcier" victimes du bûcher (et autres) au total?
  2. Quel fut le nombre en France?
  3. Quel fut le nombre en Suisse?
  4. Quel fut le nombre au début des États-Unis (il me semble intéressant de le savoir par là-bas)?

Merci d'avance pour vos réponses, bien cordialement, --Joe La Truite(Courriel Le Bar Joe) 5 septembre 2011 à 16:36 (CEST)[répondre]

Pas idée, sauf une chose : le terme « moyenâgeuse » est inapproprié. Le Moyen Âge a été un modèle de tolérance par rapport aux époques qui ont suivi quant aux « chasses aux sorcières ». Morburre (d) 5 septembre 2011 à 17:20 (CEST)[répondre]
Surtout à propos des états-unis, nés en 1787
En fait, et comme le précise l'article, la chasse aux sorcières, commençant à la toute fin du Moyen Âge et se terminant au tout début de l'Âge classique (sauf aux États-Unis où elle dura plus longtemps), eut essentiellement lieu durant la Renaissance. -O.--M.--H.- 5 septembre 2011 à 21:15 (CEST)[répondre]
À une semaine près je t'aurais donné les réponses, j'ai vu effectivement dans un hors série du "Monde des religions" présenté sous forme d'atlas, quelques statistiques concernant ce sujet, peut-être peux-tu le consulter en bibliothèque, voici à quoi ça ressemble : http://www.laboutiquelavie.fr/latlas-des-religions---edition-2011-p-839.html. --Le ciel est par dessus le toit (d) 6 septembre 2011 à 13:54 (CEST)[répondre]
Merci, Pour la période, et je ne sais pourquoi, il m'arrive souvent de mettre cet événement dans le Moyen-Âge. Merci encore, bien cordialement, --Joe La Truite(Courriel Le Bar Joe) 6 septembre 2011 à 14:10 (CEST)[répondre]
Rien que de normal, c'est du aux représentations ordinaires, la chasse aux sorcières est généralement classée du côté de l'obscurantisme et l'obscurantisme du côté du Moyen-Âge (les « âges obscurs »). De ce fait, on place habituellement la chasse aux sorcières au Moyen-Âge. En réalité, c'est un effet collatéral de la modernité. À l'inverse, au Moyen-Âge il ne s'agit pas, pendant longtemps, de chasser les sorcières mais au contraire de poursuivre ceux qui lançaient des accusations de sorcellerie, ainsi que le rappelle l'article anglophone sur la witch-hunt :
« The Council of Paderborn in 785 explicitly outlawed the very belief in witches, and Charlemagne later confirmed the law. The Council of Frankfurt in 794, called by Charlemagne, was also very explicit in condemning "the persecution of alleged witches and wizards", calling the belief in witchcraft "superstitious", and ordering the death penalty for those who presume to burn witches » (« Le Concile de Paderborn de 785 condamna explicitement la croyance en l'existence des sorciers, et Charlemagne ratifia cette loi un peu plus tard. Le synode (ou concile) de Francfort de 794, convoqué par Charlemagne, fut lui aussi très explicite en condamnant “la persécution de supposés sorciers et magiciens”, désignant la croyance dans la sorcellerie comme “superstitieuse” et ordonnant la condamnation à mort de ceux qui se seraient permis de brûler des sorciers »).
Ce qui est assez logique : à l'époque il ne s'agissait pas d'éradiquer les déviants de la religion établie mais d'éradiquer les croyances liées à la religion ancienne, entre autres la croyance en l'efficacité de la magie et la sorcellerie.
Les premiers textes de l'Église catholique sur la poursuite des sorcières sont contemporains ou suivent de peu des premières hérésies réformatrices (vaudois, cathares...) qui motivèrent la création de l'inquisition. L'article sur la Réforme protestante t'éclairera sur le contexte de l'époque. En gros, durant la période qui va d'un peu avant le grand schisme d'Orient à un peu après le grand schisme d'Occident l'Europe catholique, qui correspond à-peu-près à l'Empire romain d'Occident sauf l'Afrique du Nord, connaît de grands bouleversements sociaux, politiques, économiques, techniques et, bien sûr, religieux, qui pour l'Église débouche donc sur une pré-Réforme – les diverses hérésies qui se répandent de la fin du XIIe siècle (vaudois) au début du XVe siècle (hussites). Il y a donc une cohérence et peut-on dire une certaine rationalité, de la part de l'Église dominante, à lancer la « chasse aux sorcières » en ce sens que les dévoiements des fidèles ne peuvent, dans la logique religieuse, qu'être inspirés par le Malin.
À remarquer d'ailleurs que la deuxième vague de chasse aux sorcières a surtout lieu dans les régions où les Églises dominantes sont protestantes, qui sont aussi les endroits où, à cette époque, les sociétés connaissent de profonds changements, alors que celles où le catholicisme domine ont au contraire trouvé leur équilibre et n'ont plus nécessité à chercher en leur sein un ennemi intime, un bouc émissaire qui serait cause des désordres. Une troisième vague, plus tardive, eut encore lieu en Europe dans la première moitié du XVIIIe siècle, surtout en Grande-Bretagne et en Irlande, et un peu en Scandinavie, et quelques rares procès encore, un peu partout en Europe, jusqu'à la fin de ce siècle.
L'article anglophone toujours donne une estimation partielle des exécutions pour sorcellerie sur la période 1450–1750, soit environ 80.000 procès qui donnèrent lieu à environ 35.000 exécutions. Comme la durée de ces persécutions est un peu plus large en amont et en aval et que ça ne tient pas compte des exécutions sommaires, l'estimation qu'on trouve un peu partout d'environ 50.000 victimes me semble vraisemblable. -O.--M.--H.- 7 septembre 2011 à 17:09 (CEST)[répondre]

Comment écrit-t-on et lit-t-on des messages privés sur Wikipédia? modifier

Bonjour,

J'aimerais savoir comment on lit et on écrit des messages privés sur Wikipédia.

Merci de votre réponse. Émoticône sourire --Soument (Lui parler) 5 septembre 2011 à 16:46 (CEST)[répondre]

C'est plus pour Wikipédia:Questions techniques, mais je vais quand même y répondre. Si le contributeur l'autorise, dans la colonne de gauche de sa page d'utilisateur, dans la 'boîte à outils', il y a un lien 'lui envoyer un courriel'. Cela permet de lui envoyer un courriel sans connaître son adresse (elle ne vous sera dévoilée que s'il vous répond par courriel; par ce moyen, je pense que vous dévoilez votre adresse à vous). -- Xofc [me contacter] 5 septembre 2011 à 17:13 (CEST)[répondre]
En tout cas, sur Monobook. Sinon, c'est une page du type 'Spécial:Envoyer_un_courriel/Soument'. (en anglais, voir en:Wikipedia:E-mailing_users). Il n'est pas possible d'envoyer un courriel sans être connecté comme utilisateur. -- Xofc [me contacter] 5 septembre 2011 à 17:23 (CEST)[répondre]
Oui et il faut aussi que dans l'onglet "mes préférences" (en haut de chaque page) tu indiques une adresse de courriel perso. --Epsilon0 ε0 5 septembre 2011 à 17:25 (CEST)[répondre]
Et parfois, certains utilisateurs mettent un lien courriel dans leur signature - comme moi. -O.--M.--H.- 5 septembre 2011 à 21:03 (CEST)[répondre]

barbecue modifier

Bonjour, Est-ce que la viande blanche est grésillée plus vite que la rouge ou est-ce que c'est l'inverse ? merci

Bonjour,
merci de me faire découvrir l’adjectif grésillé, qui signifie couvert de grésil. Me voilà bien embarrassé pour vous répondre.
En ce qui concerne les temps de cuisson, le bœuf (viande rouge) se consomme saignant ou bleu, alors que le poulet ou le porc (viandes blanches) doivent être cuits davantage. rv1729 5 septembre 2011 à 21:10 (CEST)[répondre]
… et c'est parti ! — Hautbois [canqueter]
Autres sorte de barbecue...
… alors Negroni pour tout le monde ! — Hautbois [canqueter]
@rv C'est surtout selon les goûts la façon dont la viande rouge se consomme ;-) --Le ciel est par dessus le toit (d) 6 septembre 2011 à 13:58 (CEST)[répondre]
Complétons : c’est selon les goûts que la viande rouge se consomme ou pas. Je refuse de servir une (entre)côte de bœuf ou un onglet, ou du merlan, à des convives qui ne mangent pas le bœuf bleu, ou au moins saignant. À la place, je fais du veau, du poulet, du porc, du lapin, ou du bœuf en sauce, ou même pas de viandes s’ils n’aiment pas ça. Chais pas moi, en supposant que tu aimes le whisky : tu servirais un Caol Ila à quelqu’un qui va demander 4 glaçons et du coca pour verser par-dessus ? Chacun ses goûts, mais pour ces goûts-là, j'ai une (bonne) bouteille de bourbon dans mon bar. Ben c’est pareil pour la viande, faut pas gâcher. rv1729 6 septembre 2011 à 22:22 (CEST) Merde ça m’a donné soif de fachiser comme ça :)[répondre]
… j'abonde, je plussoie, je sur-approuve : faut pas gâcher. Point. Rv, dans mes bras ! — Hautbois [canqueter] 6 septembre 2011 à 23:32 (CEST) J’arrive ! 194.254.71.2 (d)[répondre]
Je disais ça comme ça, pour moi ce sera saignant, si tu m'invites, merci --Le ciel est par dessus le toit (d) 7 septembre 2011 à 09:50 (CEST)[répondre]
Mais moi aussi je disais ça comme ça. rv1729 7 septembre 2011 à 14:35 (CEST)[répondre]
… bon, j'ai ouvert un p'tit Saint-Chinian, les côtes de bœuf sont parées, qui s'occupe de l'apéro ? — Hautbois [canqueter] 7 septembre 2011 à 19:02 (CEST)[répondre]
Negroni pour tout le monde. Ça va chauffer. rv1729 8 septembre 2011 à 22:17 (CEST)[répondre]
Maillard et Amadori devraient pouvoir répondre à cette question. Bertrouf 6 septembre 2011 à 06:28 (CEST)[répondre]


Prise de son modifier

Lorsque la télé diffuse des programmes incluant des chanteurs (je pense à la retransmission récente des Chorégies d'Orange) on constate que les chanteurs d'opéra utilisent un micro situé à au moins un mètre d'eux alors que les chanteurs de variété ont besoin de lécher leur cornet de glace-micro. Or les premiers sont capables de "murmurer" tout en se faisant entendre alors que les seconds engloutissent leur cornet même s'ils sont qualifiés de chanteur "à voix".

De quels types de micro les pythies ont-elles besoin pour faire entendre leur Oracle ? Pourquoi cette différence dans les conditions d'enregistrement sur un même plateau ?

Question subsidiaire. Apparemment les chanteurs d'opéra arrivent à suivre l'orchestre sans difficulté alors que les chanteurs de variété ont besoin d'une oreillette. (Ça, j'en suis moins sûr, car on ne voit pas forcément l'oreillette sur la télé). Pourquoi ?

Pour le moment je n'ai qu'une hypothèse : certains chanteurs sont sourds et muets. D'autres suggestions plus sérieuses ? --AnTeaX (d) 5 septembre 2011 à 19:18 (CEST)[répondre]

… oulala, (trop ?) vaste question ! Lire déjà Voix (instrument) et Voix (musique classique). Pour le microphone, si son invention date de 1877, son utilisation pour amplifier la voix des chanteurs date du début des années 1950 (il ne servait quasiment qu'à enregistrer ou pour la parole)… ce qui a ouvert l'accès à la "chanson" à de nouveaux « chanteurs » incapables de tenir une scène précédemment. Pour former une voix « d'opéra », il faut (outre des dispositions certaines) des années de formations, d'exercices, pour savoir faire sonner ses cordes vocales… À noter que pour les chanteurs de variété, il ne faut pas généraliser, certains savent très bien utiliser leur voix, prennent des cours, suivent des formations et… utilisent les technologies mises à leur disposition. — Hautbois [canqueter] 5 septembre 2011 à 20:47 (CEST)[répondre]
Le premier chanteur français à user du microphone sur scène fut Jean Sablon en 1936, ce qui donna lieu à un grand scandale, comme le rappelle cette page. Cependant il était déjà assez en usage depuis quelques années aux États-Unis. Comme l'indique la page citée, à l'origine ça ne répondait pas au manque de coffre des interprètes. Aux USA c'est probablement lié au fait que beaucoup d'artistes très connus étaient aussi des vedettes de la radio et du cinéma où ils avaient pris l'habitude de chanter avec un micro.
Les chanteurs de variété vraiment « à voix » (Nicoletta, Claude Nougaro, Juliette, Gilbert Bécaud, Diane Dufresne, etc.) et même pas mal d'autres qui ne sont pas réputés tels font varier la distance du micro à leur bouche selon le volume de leur émission ; s'ils ne le font pas, ils ne sont pas vraiment « à voix » ou ils chantent en playback, malgré les apparences, car si on chante vraiment très fort et vraiment très près d'un micro, ça donne un résultat pas terrible, genre chanteurs de hard-rock...
Les microphones utilisés pour capter de l'opéra ou de la musique orchestrale avec formation moyenne ou grande ne sont pas du même genre que ceux utilisés pour la variété et les petites formations : dans un cas il s'agit de capter plusieurs voix ou instruments avec un micro, dans l'autre de capter séparément chaque voix ou instrument. Pour le second cas, on use de micros unidirectionnels de ce genre (pour la voix), ou l'on capte directement le son de l'instrument en plaçant dessus un microphone de contact. Pour le premier on utilise un micro omnidirectionnel où « aucune source sonore n'est privilégiée. Le micro capte le son de façon uniforme, dans une sphère théoriquement parfaite ». Pour capter les chanteurs dans un opéra, les micros ne sont pas strictement omnidirectionnels, cependant.
L'oreillette, ou dans des temps anciens (et pour les pauvres) les petites enceintes qui ont le même usage sont des retours de scène, ils ne servent pas à suivre l'orchestre mais à se suivre soi-même : les enceintes pour le public mixent les sons de tous les instruments et voix de manière assez égale, les retours de scènes ont des mixages différents pour chaque interprète, et mettent en avant l'instrument ou voix de chacun, c'est une méthode pour vérifier qu'on est bien dans le ton ou le temps.
Les pythies n'ont pas besoin de micros, ça ne sert à rien d'amplifier le bruit des touches de son clavier, en ce cas... -O.--M.--H.- 6 septembre 2011 à 07:23 (CEST)[répondre]
Dans le genre chanteur à voix, un ami qui travaillait dans une salle de spectacle m'a dit que Sardou utilisait une table de mixage complète pour ajuster une seule oreillette, la sienne. Et bien sûr d'autres tables pour les retours de ses musiciens.
Il ne faut pas oublier l'inconvénient majeur des micros omnidirectionnels : ils captent tout, y compris la salle. Or justement, dans un opéra, il n'y a pas de bruit dans la salle. D'une part les gens (Chuuuuut) se taisent, d'autre part il n'y a pas d'enceinte. Les micros servent pour l'enregistrement, pas pour l'amplification. L'article Voix parle de 110 à 120 dB pour une « voix d'opéra » (le murmure est un effet, mais reste très sonore), qui ajouté à l'acoustique de la salle, suffisent. Bertrouf 6 septembre 2011 à 08:27 (CEST)[répondre]
L'opéra date de bien avant l'invention du micro. Je suppose qu'à l'époque de Mozart ou même de Wagner le micro n'existait pas. Donc, normalement, avec une bonne salle, les micros sont inutiles, ils ne sont là que pour enregistrer le concert.
Le micro a été utilisé d'abord pour des salles pas très étudiées pour l'acoustique et souvent bruyantes (cabaret...) et une "balance" d'instrument défavorable à certains. Comment lutter contre une batterie ou une trompette avec une guitare par exemple ? D'où l'invention du dobro ou de la guitare électrique. Pour la voix, sauf pour les voix d'opéra demandant un certain entraînement, on a tout naturellement utilisé le micro. --Serged/ 6 septembre 2011 à 08:38 (CEST)[répondre]
… hum, une chose me gène au niveau des dates, de mémoire, j'ai lu (enfin, il me semble, vous m'avez mis le doute) et on m'a toujours dit que les sonorisations « live » pour concerts (je ne parle pas de matériel perso et de salon) micro + ampli + hauts-parleurs n'avaient vraiment été utilisées, comme je le disais plus haut, qu'à partir des années fin 40/début 50, le matériel précédent, pratiquement inexistant, ayant une reproduction du son de trop mauvaise qualité et très peu de fiabilité (les amplis particulièrement n'ayant ni la qualité, ni la puissance et des pannes de lampes récurrentes). Le matériel ne s'est vraiment développé (et utilisé, et vendu) qu'à la fin des années 50 particulièrement avec l'invention de l'ampli/haut-parleur qui a apporté qualité et fiabilité. — Hautbois [canqueter] 6 septembre 2011 à 20:07 (CEST)[répondre]
Ça dépend de quoi on parle. L'amplification de tout un orchestre est plus tardive, fin des années 1940 / début des années 1950 en effet. Mais l'amplification de certains éléments, spécialement voix, guitares, banjos et clarinettes, est plus ancienne. C'est comme dit Serged, pour pallier au faible niveau sonore de ces éléments relativement aux autres. La dobro était amplifiée autrement mais ce n'était pas par absence de guitare électrique (inventée un peu avant), plutôt par souci de ne pas dépendre d'une amplification électrique - genre, quand on joue dans un boui-boui perdu au fin fond des Appalaches. C'est suite à son voyage aux États-Unis en 1946 que Django Reinhardt découvrit et commença d'utiliser la gratte électrique, déjà répandue chez les guitariste de jazz outre-atlantique depuis quelques années. -O.--M.--H.- 6 septembre 2011 à 21:04 (CEST)[répondre]
… oui, bien compris, merci. — Hautbois [canqueter] (… tu peux venir au-dessus Émoticône)

Brutalité fraternelle : quel moyen pour agir ? modifier

Bonjour, un voisin de 14 ans brutalise quotidiennement sa petite soeur dans la rue. Nous sommes plusieurs riverains écoeurés par ce spectacle et lui avons déjà fait des remontrances mais, évidemment, rien n'y fait. La maman (célibataire) est dépassée et ne sait que faire. Quels sont les moyens de médiation pour agir, et, en dernier recours, est-ce qu'on peut déposer plainte (par exemple pour brutalité fraternelle) pour ce genre de fait (en France) ? en plus, il lui gueule dans la rue des joyeusetés du genre "tire la chasse quand tu chie" (sic !) ou "ramène ton cul" (re-sic !), ce n'est pas intrinsèquement choquant, mais ce qui l'est c'est qu'on n'impose à cet ado aucune limite dans le cadre familial alors comment le peut-on dans le cadre du voisinage ? Il n'est évidemment pas question de le punir en temps que simple voisin ni de lui donner une raclée ! Peut-on aider la mère ?

Contacter des personnes dont le métier est d'aider des personnes en difficulté : services sociaux de votre ville ou Allô Enfance en Danger au 119 ? Je dis cela mais je ne connais pas le sujet et serais aussi démuni que vous face à une telle situation. --Epsilon0 ε0 5 septembre 2011 à 22:07 (CEST)[répondre]
J'aurais répondu qu'il aurait d'abord fallu que la jeune fille soit prête à tenir tête à son frère si jamais quelqu'un débarquait comme ça... Si elle niait que son frère la "brutalise", ça ne servirait à rien... Il faut s'assurer de son appui. Ensuite, sur quoi se baser ? Harcèlement peut-être ? Comme Epsilon0, j'aurais aussi tendance à dire de contacter des services sociaux de la ville / du département. Après, il y a assistance sociale et assistance sociale, j'espère que vous tirerez le bon n° de loterie... .Anja. (d) 6 septembre 2011 à 10:56 (CEST)[répondre]
edith
C'est pas trop pour l'Oracle comme question, j'ai bien peur. Il y a des forum et des blogs de psycho-truc dont c'est plus le rayon. Après ce premier bottage en touche direct, s'il faut rentrer sur le terrain :
La première chose à faire, c'est de s'occuper de soi-même : "Ce qui trouble les hommes, ce ne sont pas les choses mais les jugements qu’ils portent sur ces choses" (Épictète cité par notre article Thérapie rationnelle-émotive). C'est à dire en l'occurrence d'être soi-même bien au clair par rapport à ce phénomène : en quoi ça vous concerne, qu'est-ce que ça remue chez vous, qu'êtes vous près à faire ... ou ne pas faire, quelles ressources et temps ressources vous êtes près à consacrer à cette affaire (qui ne se limite pas ce gamin et sa sœur, mais touche à votre propre relation avec le voisinage et la place que vous voulez ou pouvez y prendre) , et quelle est la cohérence d'ensemble ça a, c'est à dire l'équilibre entre vos sentiments, vos attentes et votre implication concrète est-il (pour vous) satisfaisant ?
La seconde, c'est de remettre les choses en perspective : l'élément central de la famille n'est pas le "voisin de 14 ans" (même si vous en parlez comme un homme ... auquel cas il va falloir le traiter comme tel ) mais la mère. C'est elle qui est défaillante, et c'est elle qui à besoin de ... quelque chose (mais quoi, ça ...), comme un moyen de gérer ses gamins, une motivation pour le faire... On est pas dans une société africaine où les "oncles" ont le droit et le devoir de s'occuper d'un gamins, y compris à coups de taloche si nécessaire, on est dans une société occidentale où s'occuper d'un gamin c'est se poser en père, ce qui implique une relation privilégiée à la mère ; en revanche s'occuper un peu de la mère ça peut se faire à titre amical.
Pour se remettre dans un contexte oraculaire, je vous propose de commencer par lire Analyse fonctionnelle (psychologie), Thérapie rationnelle-émotive, et plus généralement http://fr.wikipedia.org/wiki/Cat%C3%A9gorie:Psychoth%C3%A9rapie_cognitivo-comportementale (sachant que ça s'applique aussi bien à vous même qu'au protagonistes de cette affaire) Peut-être que ça vous aidera concrètement à trouver quoi faire, peut-être pas, mais ça vous permettra de prendre du recul (c'est une forme de fuite dans une certaine abstraction plus confortable, c'est pas très honorable mais ça reste parfaitement légitime quand on est dépassé)
gem (d) 6 septembre 2011 à 10:58 (CEST)[répondre]

Tout à fait d'accord avec ce qui vient d'être dit. Pas envie de m'impliquer mais au delà d'un certain seuil de nuisance on ne peut plus ignorer, d'autant plus que j'ai de bonnes relations avec la gamine (copine de mes filles). Bon, je vais creuser les pistes que vous m'avez fournies. Merci. l'avantage de l'Oracle sur les forum psycho, c'est qu'il y a des réponses bien plus réfléchies. Enfin je trouve.

Tout dépend de ce qu'on entend par « brutaliser », mais à lire votre premier message, il semble qu'il soit tout de même nécessaire d'intervenir. Et je suis quelque peu choqué par la réponse de Gem lorsqu'il demande en quoi ça vous concerne. Si vous jugez que la gamine souffre de la situation et que la mère est incapable de régler le problème, alors je crois que c'est un devoir que d'appeler le 119. Ça ne veut pas dire s'impliquer plus que ça : eux s'occuperont de la suite. Grasyop 8 septembre 2011 à 20:52 (CEST)[répondre]
Le message de Gem n’a rien de choquant, il propose une réflexion préalable à l’action (de façon assez saine, je trouve) ; il n’enjoint pas au questionneur de s’occuper de ses oignons. L’as-tu lu au-delà de la première phrase ?! rv1729 8 septembre 2011 à 22:16 (CEST)[répondre]
Oui, je l'ai lu. Je maintiens. Le message de Gem n'enjoint rien de ferme quant à la conduite à tenir, mais laisse entendre que ce qui compte c'est le bien-être psychologique du questionneur, plus que le problème du gamin, et surtout de la gamine. Je ne peux pas être d'accord avec ça. Ni avec la citation d'Épictète (relativisme moral ?). Ni avec la réponse, dans le même sens que Gem, du questionneur, « au-delà d'un certain seuil de nuisance » : il faudrait savoir si le problème posé par ce gamin est 1) qu'il fasse souffrir sa sœur, ou bien 2) qu'il trouble le sommeil du voisinage. Grasyop 9 septembre 2011 à 06:28 (CEST)[répondre]
hum, si tu veux je précise, pour toi parce que les autres comme le questionneur ou RV semble avoir parfaitement compris.
Non, je n'enjoins rien, et je ne vois pas au nom de quoi je devrais ou même pourrais ; ça m'arrive de donner des leçons de maths, de logique ou d'histoire (entre autres : voir infra), par contre j'évite (enfin, j'essaie...) autant que possible de donner des leçons de morale ou de comportement ; notre interlocuteur à l'air de chercher quoi faire, mais il ne demande pas qu'on lui donne des instructions, il a l'air tout à fait capable d'évaluer la situation et d'y apporter quelque chose, bien mieux que moi (ou toi !) en tout cas, vu que je n'ai qu'un très court rapport indirect ; sachant par surcroit que "les conseilleurs ne sont pas les payeurs", ça me semble hautement mal venu de lui dire quoi faire du haut de ma tour d'ivoire oraculaire alors que c'est lui qui envisage de descendre dans l'arène.
Et oui, je me préoccupe du bien-être psychologique de notre interlocuteur (et je ne vois pas ce qu'il peut y avoir de mal à ça, en plus...), parce que ça me semble bien évident que c'est primordial pour la bonne solution du problème qu'il expose : je ne vois pas comment un intervenant lui-même psychologiquement déstabilisé pourrait faire quoi que ce soit de positif, inversement, un intervenant bien ferme et bien au clair sur son objectif et ses propres bornes est en mesure de poser des limites et d'inspirer un minimum de respect pour une action efficace (que cette action suffise ou pas étant ensuite hors de son pouvoir).
Enfin, tu peux lire stoïcisme, Marc-Aurèle et quelque autres, ça t'évitera de prendre Épictète pour un suppot du relativisme moral
gem (d) 9 septembre 2011 à 12:40 (CEST)[répondre]
Peut-être t'ai-je mal compris, mais tu ne m'as pas compris non plus, ou plutôt tu ne retiens de mon message que le version déformée que tu souhaites en retenir. Il n'a jamais été question pour moi de me poser en donneur de leçons, ni de nier qu'il soit nécessaire de se préserver soi-même, mais même si tu ne donnes pas d'instructions (encore heureux), ton commentaire est quand même clairement un encouragement à l'individualisme et à l'égoïsme. Le donneur de leçon, c'est toi, et je ne donne pas de leçon au-delà de contester la tienne.
Quant à Épictète, je ne parle pas d'Épictète, je parle d'une phrase, la citation que tu en donnes, avec l'interprétation que tu en donnes, authentique ou non, et qui me semble conduire tout droit au relativisme moral. Remplace « les choses » par quelque chose de concret et clairement mal moralement comme le meurtre ou le génocide, ça donne : « Ce qui trouble les hommes, ce n'est pas le meurtre mais les jugements qu’ils portent sur le meurtre ». Donc le meurtre, ça n'est pas mal en soi, c'est les hommes (voire certains hommes, d'une société et d'une culture donnée) qui ont choisi de poser un jugement négatif dessus alors qu'ils auraient tout à fait pu décider que le meurtre c'est bien. C'est ce qui s'appelle du relativisme moral.
Et vu le pédantisme et la condescendance dont tu fais preuve, j'arrêterai cette discussion là en ce qui me concerne.
Grasyop 9 septembre 2011 à 14:18 (CEST)[répondre]
ton commentaire est quand même clairement un encouragement à l'individualisme et à l'égoïsme : non, pas du tout. Encourager à se poser la question de ce qui nous pousse à agir, avant d’agir, pour mieux agir, ne me paraît encourager ni l’individualisme, ni l’altruisme... tout dépendra de la réponse que chacun choisira de donner à cette question.
Je passe sur le reste, pour la condescendance tu n’es pas le dernier et ça n’encourage en effet guère à continuer. rv1729 9 septembre 2011 à 16:53 (CEST)[répondre]
Merci RV (cela dit je ne lui en voudrais pas de me trouver pédant et condescendant, c'est pas si faux, même quand ça dépend un peu beaucoup de la façon dont on m'interpelle) gem (d) 9 septembre 2011 à 19:06 (CEST)[répondre]
Quant à la citation, je ferais remarqué qu'elle ne fait qu'énoncer une conjecture psychologique sur l'origine du trouble ; ça n'a donc aucun sens de la juger parce qu'elle conduirait au relativisme moral : ça serait aussi con que de critiquer la théorie de Newton au motif qu'elle peut servir à produire des armes balistiques mieux conçues. La conjecture est peut-être vraie, peut être fausse, c'est tout. Sa valeur de vérité ne dépend pas du fait qu'on peut en tirer des conclusions déplaisant. Encore plus quand la conclusion que tirée est clairement fausse : si je dis que la douleur ressentie est une propriété du système nerveux sensitif plutôt que de la tuile qui me tombe dessus, c'est vrai, mais ça ne veut pas dire qu'on peut se foutre de la chute des tuiles parce qu'il suffirait d'utiliser un anesthésiant local pour ne plus ressentir la douleur ... de même, c'est pas parce que le trouble provient du jugement plus que du phénomène qu'on peut se foutre du phénomène et (par exemple) adapter le jugement jusqu'à ce que le trouble disparaisse, quitte à trouver normal tout et son contraire ...
En outre, c'est une faute logique que de prétendre qu'on remplacer un terme neutre comme "les choses" par un terme connoté comme "un meurtre" sans que ça change le sens profond de la phrase. Les interprétations qui en découlent sont erronées : qualifier une mort (par exemple) de meurtre c'est un jugement qui change totalement le vécu de la chose, par rapport à la même mort jugée comme étant un homicide involontaire, un "départ définitif", une euthanasie ou d'un accident (ce qui, incidemment, tend à démontrer la prépondérance du jugement sur la chose...).
Au risque du pédantisme et de la condescendance, et sans égard pour ton envie d'arrêter là-haut, mais bien cordialement quand même gem (d) 9 septembre 2011 à 19:11 (CEST)[répondre]
On pourrait également répondre que la réponse à l’interrogation proposée, dans le cas d’un meurtre, est que le meurtre trouble en nous notre adhésion profonde au respect de la vie humaine, notre empathie pour autrui, la perception claire que nous avons que chaque être humain nous est semblable, et qu’en conséquence de ce trouble nous sommes prêts à faire tout notre possible pour l’empêcher, y compris, si nous trouvons en nous l’énergie nécessaire à le faire, à mettre notre propre vie en péril. rv1729 9 septembre 2011 à 21:43 (CEST)[répondre]

composition approfondie modifier

Bonjour, Depuis quelques années déjà je recherche la présence ou non d'acide oxalique dans les aliments, je suis bien sûr au courant pour l'oseille et la rhubarbe. Le haricot vert en contient aussi, information que seuls mes reins ont pu me fournir (calculs d'oxalates). J'ai fouillé 'Universalis' sans résultat. Ma nièce m'a rapporté du Pérou de la kiwicha, de la maca, de l'algarrobina que l'on retrouve sur votre site mais je n'ai pas l'information escomptée ici ni même ailleurs. Comment trouver cette information s'il vous plaît, elle m'est très précieuse. Je vous suis infiniment reconnaissante pour la diligence avec laquelle vous traiterez ma question. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 78.112.159.186 (discuter), le 6 septembre 2011 à 11:37 (CET)[répondre]

Il y a déjà quelques aliments riches en acide oxalique dans Acide oxalique#Aliments à forte teneur. -- Xofc [me contacter] 6 septembre 2011 à 12:38 (CEST)[répondre]
voyez aussi Oxalate de calcium et, si vous lisez l'anglais, en:Calcium oxalate et en:raphide qui contiennent une liste (incomplète) de plantes concernées. gem (d) 6 septembre 2011 à 13:56 (CEST)[répondre]

Maladie génétique et nervosité modifier

Bonjour

J'ai remarqué que tous les membres d'une famille s'énervent rapidement, alors je me demande s'il une maladie génétique, dont l'un des symptômes est la nervosité existe ?

Merci Rabah201130 (d) 6 septembre 2011 à 13:47 (CEST)[répondre]

Peut-être dans la catégorie:Maladie génétique du système nerveux?; sinon, l'article 'Maladie de Basedow' parle de nervosité et de génétique. (Mais, je ne suis pas médecin...) -- Xofc [me contacter] 6 septembre 2011 à 17:53 (CEST)[répondre]
mais pourquoi chercher une maladie ??? quoi de plus normal que des gens qui s'énervent ? Les facteurs d'énervement sont très nombreux (hypoglycémie, fatigue, Personnalité de type A, situation angoissante ...) et le fait d'appartenir à la même famille est évidemment le signe d'une certaine proximité de comportement. gem (d) 6 septembre 2011 à 18:04 (CEST)[répondre]
Il s'agit peut-être d'une famille de contributeurs à Wikipédia qui voient leurs articles régulièrement saccagés ? (simple hypothèse). Oblomov2 (d) 8 septembre 2011 à 08:15 (CEST) [répondre]

Cerveau qui rapetisse modifier

BonjourÉmoticône sourire. Après avoir vu cela à la télévision (TSR1, Télétexte) et dans les journaux (L'Express, Le Matin), j'ai commencé à m'inquiéter (pas pour moi, je ne fais sûrement pas partie de cette génération ou de cette future génération): D'après ce que j'ai compris, le cerveau humain est en train de devenir de plus en plus petit. Cela veut-il dire que l'être humain va devenir de plus en plus stupide ou bien que des bouts et des connexions inutiles du cerveau vont disparaître et faire que l'humanité sera beaucoup plus intelligente et que le futur sera rempli d'Albert Einstein en puissance? Merci d'avance pour vos réponses, bien cordialement, --Joe La Truite(Courriel Le Bar Joe) 6 septembre 2011 à 15:02 (CEST)[répondre]

Bonjour, je suppose que tu parles de ça, dont la presse semble s’être fait l’écho ? Merci d’inclure des liens vers les articles de presse quand tu parles d’un truc comme ça, ça sera plus utile que des liens vers les articles de wikipédia traitant de ces journaux... La perte de volume dont il est question, d’environ 1,9% par décennie, a lieu au fil de la vie de chaque individu adulte, pas au fil des générations. Ta question est donc sans objet. 194.254.71.2 (d) 6 septembre 2011 à 15:40 (CEST)[répondre]
En effet...je me suis un peu trop précipité et j'ai dû mal interpréter ce que j'avais lu et entendu sur le sujet (ça fait un moment déjà). Mea Culpa, merci, bien crdialement, --Joe La Truite(Courriel Le Bar Joe) 6 septembre 2011 à 16:56 (CEST)[répondre]
Si tu veux te faire peur--> Vieillissement ;)

diplôme de rhétographie modifier

Bonjour à tous,

Où peut-on trouver des établissement qui donne une formation pour devenir rhétographe. Merci d'avance. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 79.85.113.98 (discuter), le 6 septembre 2011 à 17:14 (CET)[répondre]

Rhétographe ???? Calame (d) 6 septembre 2011 à 17:19 (CEST)[répondre]
Il y a l’École Nationale de Rhétographie et de Goniométrie Fréquentiste des Ophidiens, à Morzy-lès-Gracieuses. rv1729 6 septembre 2011 à 17:56 (CEST)[répondre]
M'enfin, Calame, tu ne connais pas la rhétographie ? Ah ben, Wikipédia non plus - ni moi, et ni Google Émoticône -O.--M.--H.- 6 septembre 2011 à 19:45 (CEST)[répondre]
Si, si...Google connaît maintenantÉmoticône, --Joe La Truite(Courriel Le Bar Joe) 6 septembre 2011 à 20:01 (CEST)[répondre]
Pour l'instant c'est un hapax, mais quand cette page (comme toutes celles de WP) sera reproduite par des dizaines de sites vampires, ça deviendra une science ou une technique connue et reconnue Sourire diabolique -O.--M.--H.- 6 septembre 2011 à 20:21 (CEST)[répondre]
Un bon physicien peut avoir besoin d'utiliser la rhéographie. Et un politicien peut apprendre la rhétorique. Merci de précisez votre question. Bertrouf 7 septembre 2011 à 03:20 (CEST)[répondre]
Du grec ancien ῥήτωρ « orateur » et γράφω « écrire, graver » : c'est donc l'art d'écrire oralement. --GaAs 7 septembre 2011 à 11:44 (CEST)[répondre]
en postillonnant sur un tableau noir ? - Cymbella (répondre) - 7 septembre 2011 à 22:37 (CEST)[répondre]
La rhétographie, c'est l'art d'écrire le latin comme le faisaient les Rhètes. Ne tenez aucun compte des suggestions malintentionnées ci-dessus. Oblomov2 (d) 8 septembre 2011 à 08:19 (CEST)[répondre]

Chute des corps modifier

Bonjour savants wikipedes. Ma reflexion va sans doute vous faire sourire mais je n'arrive pas à admettre comme je le lis souvent que c'est la résistance de l'air qui fait que les objets ne tombent pas tous à la meme vitesse comme ils le font dans le vide. Si l'on prend 2 objets semblables de forme et de volume; 2 spheres par exemple, lune en métal; l'autre un ballon d'enfant gonflé d'hélium, la premiere chutera alors que la seconde s'élevera du fait de la poussée d'Archimede supérieure à son poids.Cependant ces 2 sphères offrent la meme résistance à la pénetration dans l'air ayant des sections identiques.C'est donc la poussée d'archimede qui est cause de cette difference de comportement et non la résistance de l'air. Suis-je idiot ou ai-je découvert l'eau chaude ?

Bien sur que la densité a une influence majeure sur la vitesse de chute d'un corps. Mais la forme des objets subit différemment la résistance de l'air et on le démontre en faisant tomber deux objets de MÊME densité ET de MÊME masse (ex: Une planche de bois de 2 kg avec un rondin de 2 kg du même bois) Dhatier jasons-z-en 6 septembre 2011 à 19:43 (CEST)[répondre]
Pour être plus précis : en mécanique, dans les petites classes (les seules que j’ai suivies !), on apprend par cœur « somme des forces = m a » où m est la masse et a l'accélération. Je vais considérer un corps en chute libre verticale. Si il est dans le vide, la seule force qu'il subit est son poids, égal à m g, on a m g = m a, et a = g : l'accélération est égale à g (g = 9,81 m/s² dans nos contrées). Si il est dans l'air, il subit une force de frottement fluide dirigée dans le sens opposé au mouvement, grosso modo égale à σ v où v est la vitesse du corps, et σ dépend (principalement) de la forme du corps (donc pour deux sphères de même taille, on a le même σ). L'équation du mouvement devient m g - σ v = m a, et donc a = g - σ/m v : l'accélération du corps est d'autant plus faible que la vitesse est élevée, à cause du terme en σ/m v, où la masse intervient. Si on revient à vos deux sphères qui ont le même σ, vous voyez la plus lourde est moins influencée que l'autre par le frottement, la valeur de σ/m étant d’autant plus petite que m est élevé.
Et dans l’exemple de Dhatier, on a même masse mais des σ différents, d’où également des accélérations (et partant, des vitesses finales) différentes. rv1729 6 septembre 2011 à 22:07 (CEST)[répondre]

Je ne suis pas d'accord. Au moment du lacher la vitesse des 2 spheres est nulle et leur comportement ne sera fonction que de la poussée d'archimede. La resistance de l'air qui interviendra ulterieurement n'empechera pas le ballon d'helium de monter.

la poussée d'archimède existe, mais elle est en général négligeable ; les solides usuels ont une densité entre 1000 et 10 000 fois plus grande que l'air (voir (Masse volumique), donc en fait si tu as une bille de fer (7 860 kg / m3) qui chute dans l'air à 20 ° (1,204 kg /m3), elle va chuter comme si sa densité était 7 858,8 kg /m3 ... ça ne fera aucune différence gem (d) 7 septembre 2011 à 11:28 (CEST)[répondre]
Effectivement, on a la poussée d'Archimède, soit un terme constant à ajouter dans l’équation du mouvement ci-dessus... ça ne change pas grand chose aux commentaires nécessaires, et comme le dit Gem en général ça ne change pas grand chose tout court. Oh, j’ai lu la question trop en diagonale avant de répondre... vous ne pouvez réfléchir à la question de la résistance de l’air, qui n’est pas due à la poussée d'Archimède, en prenant l’exemple d’un ballon d’Hélium et d’une sphère en métal ! Pensez plutôt à une balle de ping pong et à une bille d’acier de même diamètre. La poussée d’Archimède ne jouera qu’un rôle mineur dans la différence de comportement, c’est bien le frottement fluide avec le coefficient en 1/m qui doit être pris en compte. 194.254.71.2 (d) 7 septembre 2011 à 11:44 (CEST)[répondre]
Pour faire court : s’il n’y avait que la poussée d’Archimède et pas de frottement, tous les corps tomberaient à la même vitesse (sauf bien sûr les plus légers que l’air). rv1729 7 septembre 2011 à 14:34 (CEST)[répondre]
non, non, non. D'ailleurs tu voit bien l'absurdité puisque tu es obligé d'introduire une exception pour les plus léger que l'air. En forces : la pesanteur ne dépend que de la masse, alors que la poussée d'Archimède ne dépend que du volume ; en accélération : la pesanteur est une constante (g) alors que la poussée d'Archimède est en raison directe dépend du volume massique. Pour avoir la même loi de mouvement ou même seulement la même vitesse limite, il faut que les corps aient la même masse volumique. gem (d) 7 septembre 2011 à 15:19 (CEST)[répondre]
Oups, n’importe quoi en effet, je ne sais pas où j’avais la tête.
Écrivons donc l’équation du mouvement : m a = m g - c, et donc a = g - c/m, où c est le poids de la masse d'air déplacée. Avec frottement fluide, ça donne a = g - σ/m v - c/m. Voilà voilà. rv1729 7 septembre 2011 à 16:00 (CEST) Et gem, c’est toi qui m’a enduit d’erreur : « si tu as une bille de fer (7 860 kg / m3) qui chute dans l'air à 20 ° (1,204 kg /m3), elle va chuter comme si sa densité était 7 858,8 kg /m3 ... » et ben non non non : si sa densité était 7 858,8 kg/m³, elle chuterait avec une accélération a = g, point ! [répondre]
Je proteste ! Je ne suis pas toujours très clair et parfois un peu approximatif, mais quand même pas au point qu'on puisse m'imputer une compréhension inverse de ce que j'ai écris, quand même ... quand j'écris que la densité intervient, c'est pas équivalent à dire ... qu'elle n'intervient pas (que c'est a = g de toute façon quelque que soit d ) ! Par ailleurs, moi aussi ça m'amuse de dire "enduire d'erreur", mais c'est une private joke qu'on peut se permettre entre nous, mais qui sur l'oracle risque d'être lue au premier degré gem (d) 7 septembre 2011 à 17:03 (CEST) Bah toujours est-il que la bille de fer dans l'air ne chute pas « comme si sa densité était 7 858,8 kg /m3 » ; en fait elle chute comme si g était un tout petit peu plus faible que sa valeur réelle. rv1729 7 septembre 2011 à 21:05 (CEST)[répondre]
m a = m g - c où c = m°g = V°d°g = m/d.d°g (m° masse de l'air déplacé, V° = V le volume déplacé, d° densité de l'air, d celle de l'objet) donc a = g (1- d°/d), donc oui elle chute « comme si g était un tout petit peu plus faible que sa valeur réelle », mais elle chute bien aussi, comme je l'ai indiqué « comme si sa densité était 7 858,8 kg /m3 ». gem (d) 8 septembre 2011 à 10:54 (CEST)[répondre]
Non, si sa densité était différente, il n’y a pas que son poids qui changerait, sa masse inertielle aussi ! et on aurait a = g (dans le vide), m’enfin quoi ! Tu ne vois pas que ce que tu es en train de dire là, c’est exactement l’erreur que tu as à juste titre dénoncée ci-dessus ?! 194.254.71.2 (d) 8 septembre 2011 à 12:28 (CEST)[répondre]
Ah oui, je vois ce que tu veux dire. Il fallait comprendre que justement tout ce passe comme si la masse pesante et la masse inertielle ne sont PAS égales (mais dans un rapport 1 - d°/d , un corps plus dense étant plus pesant à masse identique ), c'était pas tip-top mais je me comprenais et ça me semblait plus parlant (à tort manifestement). Enfin l'essentiel c'est que la loi de mouvement est a = g (1- d°/d) - terme de frottement que j'écrirais plutôt en f(v)/d. gem (d) 8 septembre 2011 à 15:08 (CEST)[répondre]
Ah ben ouais, laisser tomber l’identité entre masse inertielle et masse gravitationnelle comme ça... en pleine paix... mais t’es malade ?! rv1729 8 septembre 2011 à 22:13 (CEST) Il connaît pas Raoul ce mec ![répondre]
(Conflit d'édition) Voir aussi 'Frottement fluide' (et, particulièrement l'exemple), 'Poussée d'Archimède' et ...Apollo 15 (dont il faudra consulter la version anglophone parce qu'ici, on n'aime pas les anecdotes Émoticône; et la [vidéo] [1]). Dans le cas classique, on néglige la poussée d'Archimède; elle est d'ailleurs nulle dans le vide. -- Xofc [me contacter] 7 septembre 2011 à 11:45 (CEST)[répondre]
Ça me rappelle la fameuse polémique entre Claude Allègre et le Canard enchaîné [2] --FreCha (d) 7 septembre 2011 à 12:23 (CEST)[répondre]

distance bondissable par un écureuil modifier

Et la bondissabilité du lapin ?

Bonjour,

Quelle est la distance maximale bondissable par un écureuil ? merci 81.185.159.17 (d) 7 septembre 2011 à 09:01 (CEST)[répondre]

Bonjour,
merci de reformuler votre question (vous savez pourquoi). 194.254.71.2 (d) 7 septembre 2011 à 09:07 (CEST)[répondre]
Si on a affaire au même plaisantin qui pose des questions pour le plaisir d'inventer des mots, je lui conseille Vikidia, l'encyclopédie des 8-13 ans. 5m pour l'écureuil. Bertrouf 7 septembre 2011 à 09:28 (CEST)[répondre]
Si j’en juge par les progrès rapides de mon fils dans la maîtrise de la langue, il ferait mieux de cibler un site pour les 3-5 ans. 194.254.71.2 (d) 7 septembre 2011 à 09:30 (CEST)[répondre]
On peut lui conseiller aussi de chercher un éditeur pour la publication de son futur livre Hapax d'un anonyme poli. D'ici qu'il le trouve, on aura la paix. --Égoïté (d) 7 septembre 2011 à 10:00 (CEST) (conflit d'éd.)[répondre]
Je ne sais pas pourquoi, les contributeurs précédents ne répondent pas à la question mais selon ce site : http://www.csaffluents.qc.ca/animalier/ecurnome.htm , 30 cm environs --Le ciel est par dessus le toit (d) 7 septembre 2011 à 09:56 (CEST)[répondre]
Bertrouf a donné 5 mètres. Le site que tu indiques en donne 3, soit 300 centimètres (environ)... 194.254.71.2 (d) 7 septembre 2011 à 10:16 (CEST)[répondre]
errare humanum est --Le ciel est par dessus le toit (d) 7 septembre 2011 à 10:39 (CEST)[répondre]
Je parlerais plutôt de la bonditude d'un écureuil.--Serged/ 7 septembre 2011 à 10:35 (CEST)[répondre]
Il ne faut pas confondonfre bondissabilité et bondissance quant à bonditude, c'est réservé aux écureuils qui ont leur carte du ps. --Domingue (d) 7 septembre 2011 à 11:17 (CEST)[répondre]
pour les adhérents PS c'est pas plutôt bondage ? gem (d) 7 septembre 2011 à 11:30 (CEST)[répondre]
La question est d'évaluer la disabilité des ces mots. Émoticône--GaAs 7 septembre 2011 à 11:32 (CEST)[répondre]
Ainsi que leur supportabilité par un auditoire dont la patientitude n’est pas infinie. 194.254.71.2 (d) 7 septembre 2011 à 11:41 (CEST)[répondre]
Cool, en voilà un qui existe : supportabilité. Émoticône sourire--GaAs 7 septembre 2011 à 11:59 (CEST)[répondre]
Pour info, notre plaisantin vient de créer expensivestness sur le Wiktionnaire. Je ne suis pas CU, mais c'est le même FAI, alors si ça ressemble à un canard... --GaAs 7 septembre 2011 à 14:20 (CEST)[répondre]
Dans certains cas, je comprends bien une propension au caviardage... (au 3e sens de caviarder non repris au wiktionnaire mais bien dans Larousse, voir le CNRTL). Bon courage GaAs ! --Égoïté (d) 7 septembre 2011 à 15:39 (CEST)[répondre]
C’est effarant qu’on puisse trouver un tel plaisir à être nuisible... rv1729 7 septembre 2011 à 21:02 (CEST)[répondre]
C’est que la connitude humaine est infinie, pour citer à peu près le vieil Albert. gede (d) 7 septembre 2011 à 21:48 (CEST)[répondre]

geographie française: Poitiers modifier

… alors, à gauche, au milieu, en bas ? — Hautbois [canqueter]

Bonjour Grand Oracle,

mes amis franciliens pensent généralement que Poitiers fait partie du Sud de la France (ils doivent considérer que Paris est son centre). Pourrais-tu me dire si c'est le cas? Merci!

pour moi ça fait partie de l'ouest, ou du "grand ouest", pas du sud, mais ce n'est pas normalisé comme appellation alors chacun peut voir midi à sa porte. gem (d) 7 septembre 2011 à 17:06 (CEST)[répondre]
d'autres le voit plutôt dans le Grand Sud-Ouest, manifestement gem (d) 7 septembre 2011 à 17:14 (CEST)[répondre]
Il n’y a pas de définition officielle de ce qu’est le "sud" de la France. Il suffit donc adopter la définition que l'on veut... Mais, une définition implicite souvent admise, fait de la Loire la frontière entre le Nord et de le Sud, et Poitier se trouve bien dans le Sud, suivant cette définition. A titre personnel, cette définition me semble parfaitement abusive parce qu’elle est fondée sur un critère simple et seulement géographique. La frontière fondamentale est, pour moi, linguistique : le Sud recoupe l’ensemble des endroits de France où l’on parlait la langue d’oc, et où aujourd’hui, en raison de cela, on a "l’accent". Limoges est donc, pour moi, la frontière entre Nord et Sud. gede (d) 7 septembre 2011 à 17:21 (CEST)[répondre]
Ça me rappelle une réplique de Bienvenue chez les Ch'tis : « Dans le Nord ? à Lyon ? »... --Serged/ 7 septembre 2011 à 17:24 (CEST)[répondre]
bah, pourquoi pas... selon ce point de vue, Poitiers n'est toujours pas dans le sud (selon la carte visible dans occitanie) gem (d) 7 septembre 2011 à 17:31 (CEST)[répondre]
Le Nord commence à Valence (proverbe marseillais). --GaAs 7 septembre 2011 à 17:43 (CEST)[répondre]
Gem : on est d’accord, Poitier n’est pas dans le Sud. GaAs : ce proverbe retrouve ma définition, Valence étant la ville qui marque la frontière linguistique le long de la vallée du Rhône. Et cela renvoie à une autre (très) belle définition, celle de Georges Duhamel : "Là où l'olivier renonce, s'achève la Méditerranée". Valence est près de la limite de culture de l’olivier (Nyons) et marque donc la limite du Sud méditerranéen. gede (d) 7 septembre 2011 à 18:18 (CEST)[répondre]
Si on divise la France en quatre quartiers l'essentiel du Poitou-Charentes figure dans le quart sud-ouest, par contre le département de la Vienne est largement dans le quart nord-ouest et Poitiers pile sur la ligne qui sépare le sud du nord. Disons que c'est la capitale d'une région plutôt au sud et la préfecture d'un département plutôt au nord... -O.--M.--H.- 7 septembre 2011 à 20:13 (CEST)[répondre]
Pour Poitiers, je dirais Centre-ouest. Je ne sais pas du tout si cette dénomination existe (officiellement), mais voilà je trouve ça bien ^^ (et je précise qu'une amie du sud m'a dit que le Nord débutait pour elle à partir d'Avignon Fier) --Floflo (d) 7 septembre 2011 à 20:27 (CEST)[répondre]
Nous les Belges, avant l'invention du GPS, on utilisait les cartes Michelin pour partir en vacances : d'abord la carte 918 "France Nord - 1/1 000 000" qui s'arrête à une soixantaine de km au sud de Nantes, plus ou moins sur la ligne Châteauroux-Châlons, donc une quarantaine de km au nord de Poitiers qui se trouve sur la carte 919 "France Sud" et quand on changeait de carte, on se sentait vraiment en vacances ! - Cymbella (répondre) - 7 septembre 2011 à 22:50 (CEST)[répondre]
… ah bah oui, mais non ! Moi, ayant longtemps habité Nantes (40 ans), j'habite maintenant au sud… à + de 20 km au sud, c'est dire, et ça change tout ! Voir par exemple barbecue au dessus. — Hautbois [canqueter] 7 septembre 2011 à 23:54 (CEST)[répondre]
Pour Georges Duhamel : On vend des oliviers dans les jardineries en région parisienne, et j'ai effectivement des voisins qui ont des oliviers dans leur jardin. Il est vrai que j'habite dans la banlieue sud de Paris... --Serged/ 8 septembre 2011 à 07:42 (CEST)[répondre]
Guillaume IX d'Aquitaine, le troubadour bien connu, écrivait en oc. Et si les Arabes se sont arrêtés à Poitiers en 732 (Charles Martel peut bien se la péter, ce n’est pas à cause de lui), c’est qu’ils ont vu qu’ils avaient atteint la limite des endroits vivables. 82.242.180.24 (d) 8 septembre 2011 à 10:29 (CEST) (c’est mon nouveau pseudo, Morburre)[répondre]
Comme me le disait Moustapha, un ami perdu de vue il y a fort longtemps : c’était l’automne, il pleuvait, les chevaux étaient fatigués, y en avait marre. 194.254.71.2 (d) 8 septembre 2011 à 11:44 (CEST)[répondre]
@Morburre : le réchauffement climatique leur permet dorénavant de s'installer beaucoup plus nord … - Cymbella (répondre) - 8 septembre 2011 à 14:47 (CEST) Vive le réchauffement climatique, les « Parisiens » et autres « gens du Nord » vont arrêter de nous envahir et de faire monter désastreusement les prix de l’immobilier. Morburre (d) 8 septembre 2011 à 15:25 (CEST)[répondre]
Verrons-nous jamais revenir les jours d'Éphèse et de Cyrène ? Hélas ! le monde moderne succombe sous un envahissement de laideur. Les civilisations remontent vers le nord, entrent dans la brume, dans le froid, dans la boue. Quelle nuit ! un peuple vêtu de noir circule dans les rues infectes. À quoi pense-t-il ? on ne sait plus ; mais nos vingt-cinq ans frissonnent d'être exilés chez ces vieillards. Pierre Louÿs, préface d’Aphrodite.
rv1729 8 septembre 2011 à 22:24 (CEST) [répondre]
je remet deux balles dans la fente : la liste des comtes de Poitiers montre que la cité hésite entre le "nord" (la Bretagne et la France au sens restreint = Ile-de-France) et le "sud" (l'Aquitaine et l'Auvergne), jusqu'en 1200, date à laquelle son rattachement au "nord" ne fait plus de doute. gem (d) 8 septembre 2011 à 15:22 (CEST)[répondre]

J'y reviens, avec cette citation d'un gars du coin, qui a dû se poser la même question que moi: « Il vaut mieux pour Poitou-Charentes être au Nord du Sud qu'au Sud du Nord. » (Jean-Pierre RAFFARIN in 19|20 Poitou-Charentes, 8 décembre 2008) (et je suis assez d'accord avec ça)

Nom de commando modifier

Alors que j'étais en train de wikifier et de rediriger sur fr: et en:, je me suis demandé si on écrivait commando Trepel ou bien commando Trépel (avec un accent). Apokrif (d) 7 septembre 2011 à 17:07 (CEST)[répondre]

D'après le site de la Marine Nationale [3], c'est bien le commando Trépel, du nom du capitaine Charles Trépel. --Serged/ 7 septembre 2011 à 17:20 (CEST)[répondre]

vie privée et internet modifier

Bonjour, Jusqu'à quel point la vie privée peut être immiscée par Internet (car c'est assez inquiétant) ? merci d'avance

Je suppose que vous n’avez pas trouvé comment écrire immisçabilité ou immisceabilité ? 194.254.71.2 (d) 8 septembre 2011 à 15:25 (CEST)[répondre]
[4]. --GaAs 8 septembre 2011 à 16:49 (CEST)[répondre]
J'étais persuadé qu'on avait un article sur le buzz créé par le Tigre sur l'affaire Marc L. Cet exemple vaut mieux que toutes les explications. Bertrouf 9 septembre 2011 à 06:07 (CEST)[répondre]

ce que lon t appelle air modifier

vous pouvez maider je comprenrien sep

mouanonplu Morburre (d) 8 septembre 2011 à 15:27 (CEST)[répondre]
42 Chère visiteuse, cher visiteur, nous regrettons, mais nous n'avons pas compris votre question. Sachez tout de même que la réponse ultime est 42. Si cela ne répond pas à votre question, nous vous invitons à reformuler celle-ci de manière claire et néanmoins courtoise, afin que nous puissions tenter d'y répondre.

-O.--M.--H.- 8 septembre 2011 à 17:21 (CEST)[répondre]

Air (homonymie) ou R ? Bertrouf 9 septembre 2011 à 06:35 (CEST)[répondre]
… ou Aire, Hair, Erre… et même Р (dans les orties).Hautbois [canqueter] 9 septembre 2011 à 06:56 (CEST) … @ Morburre : on ne doit pas mettre un « m » avant les « p » ? ‘’ Di ke je fait dé fotes, tan ke t’uyé ! Morburre (d) 9 septembre 2011 à 10:01 (CEST)[répondre]

Liens verts dans Wikipédia modifier

Bonjour à vous, Je suis navrée de vous importuner avec une question qui a du être posée plus d'une fois et dont la réponse doit forcément se trouver sur le site... Réponse que je n'ai pas trouvée, n'étant pas une grande habituée des coulisses de wikipédia... Les liens rouges, je connais. Les liens bleus aussi. Par contre les liens verts, késako?

En vous remerciant par avance (et vous faite du boulot formidable merci à vous)

Seba'

Citation des archives de l'Oracle: "Bonjour, les liens verts sont des liens vers des ébauches d'articles qui pèsent moins de tant d'octets; tant étant une valeur fixe pour les IPs et réglable dans les préférences pour les contributeurs inscrits. Cordialement. Le sourcier." ViZiT (d) 8 septembre 2011 à 17:08 (CEST)[répondre]
Oui, enfin des fois ca déconne ce truc. J'ai parfois, sans rien toucher à mes préférences, des liens verts un peu partout, et le lendemain plus rien, ou d'autres... C'est épisodique mais ca surprend quand ca arrive (Mitch)2 9 septembre 2011 à 10:07 (CEST)[répondre]
Dans tous les cas merci pour cette réponse et désolée de vous avoir dérangés !! (Seba')

Les résolutions du Parlement européen modifier

Bonjour, Le Parlement européen publie des "résolutions" en réponse à des "communications" de la Commission. Ce terme de "résolution" n'est pas utilisé dans l'article de Wikipedia qui explicite les pouvoirs du Parlement européen. Peut-on le réintroduire en précisant le statut exact de ces documents? Exemple : Résolution du Parlement européen du 15 juin 2010 sur la communication de la Commission «Réexaminer la politique communautaire de l'innovation dans un monde en mutation» (2009/2227(INI)) (2011/C 236 E/06) Merci par avance de cette précision

Bonjour. Le terme n'est pas utilisé parce que ce n'est pas un "pouvoir" du Parlement européen.
Mais en réalité le Parlement européen n'a pas de pouvoir autre que de donner un avis, notamment sur des projets de directives qui sont décidées largement par ailleurs dans le cadre de la Procédure législative ordinaire, ou également sur des communications officielles de la commission : ça n'a rien à voir avec un pouvoir législatif classique. Le parlement se contente de discourir, et de manière d'autant plus grandiloquente qu'il n'a pas de pouvoir institutionnel réel : ses prises de positions ne servent guère que de relai à des groupes nationaux, faisant écho à des préoccupations de politiques nationales, auxquelles elles tentent de donner un semblant de parfum international. Si les débats européens avaient une quelconque importance, on en parlerait, non ? Sifflote
En particulier le parlement n'a pas de pouvoir d'initiative. Quand le parlement décide de prendre une position sur un sujet quelconque, il ne peut le faire que par une "résolution", qui n'a strictement aucun pouvoir officiel - c'est juste que le parlement est de cet avis et tient à le faire savoir à la face du monde, mais en général les instances de décision européennes et nationales s'en moquent autant qu'un pet de mouche Sourire diabolique.
Quand au statut exact de ces documents ... Émoticône Le parlement ne fait que donner un avis - et alors ? C'est de la gesticulation et de l'irresponsabilité institutionnalisées.
C'est la Commission européenne qui détient un pouvoir oligarchique en Europe (et on se demande sur quelle base démocratique directe?), et le Conseil européen qui détient le pouvoir formel et serait théoriquement capable de la contrôler, mais en tout cas pas le parlement élu. Le jour où ce machin aura un fonctionnement démocratique on en reparlera... Michelet-密是力 (d) 10 septembre 2011 à 09:03 (CEST)[répondre]

CO² et cie dans l'atmosphère. modifier

Bonjour les pythies. Nonobstant les discussions sur l'impact humain concernant le prévu changement climatique, je voudrais savoir:

1) Une estimation de la quantité de CO² et autres gaz à effet de serre, retirée du circuit sous forme de charbon, houille, gaz, pétrole, dilution dans les océans et permafrost, etc, que les humains ont mis et pourraient remettre dans le circuit jusqu'en 2050 ou 2100.

2) Quelle aurait pu être l'époque la plus proche de nous où l'atmosphère aurait eu une composition similaire.

Bonus) Quelles conditions climatiques probables à cette ère du futur dans notre passé? ;)

Merci. ViZiT (d) 8 septembre 2011 à 17:09 (CEST)[répondre]

Une partie de la réponse doit se trouver dans les articles 'Cycle du carbone' et 'Paléoclimatologie'. -- Xofc [me contacter] 8 septembre 2011 à 18:57 (CEST)[répondre]

Besoin de lumière / locomotive SNCF modifier

Bonjour chère pythies, Une question me tarabuste: les locomotives électriques comme ici ont simplement 2 phares à l'avant). Or, les locomotives diesel ont trois phares comme ici.

Quelqu'un saurait-il quand est utilisée la lumière en haut ? Et pourquoi il n'y en a que deux sur les locomotives électriques ?

Merci d'avance

Marcellus55 (d) 8 septembre 2011 à 18:32 (CEST)[répondre]

Salut. Pour te répondre selon tes prémisses la différence devrait être systématique, or cette locomotive diésel n'a pas trois ni deux mais un phare, cette autre en a deux, en revanche cette locomotive électrique a trois phares dont un médian et plus haut que les deux autres. En fait elle en a cinq, mais la 67000 aussi, donc ça ne change rien à mon propos. Il y a probablement une raison à la présence du phare au milieu et en hauteur, mais ça n'a pas de lien avec le type de moteur. -O.--M.--H.- 8 septembre 2011 à 19:47 (CEST)[répondre]
Tiens, une de mes photos... (pas bien cadrée, je reconnais (Smiley oups)) Bref, d'après une de mes connaissances travaillant dans les chemins de fer, les trois feux existent pour répondre à une réglementation européenne. Au cas où, j'ai tout de même fait une recherche et ce site le confirme (raison exacte mentionnée: « De plus ça répond à la réglementation Européenne qui stipule qu'avec 3 feux en triangle, on ne confond pas un engin ferroviaire avec un véhicule routier »). Cordialement, --Floflo (d) 8 septembre 2011 à 21:00 (CEST)[répondre]
… bah oui, mais du coup on peut les confondre avec les sphenodons. — Hautbois [canqueter] 9 septembre 2011 à 07:20 (CEST)[répondre]
… et avec des soucoupes volantes qui voleraient au ras du sol... --Égoïté (d) 9 septembre 2011 à 10:59 (CEST)[répondre]
Merci Olivier pour ces précisions, mais 5, ca fait beaucoup ! Floflo, il y a quelque chose que je ne comprends pas: la locomotive diesel en photo a 3 feux, l'électrique 2 seulement (au passage, la photo est très bien, et pas si mal cadrée !). Donc cette locomotive électrique ne serait pas aux normes ? Marcellus55 (d) 9 septembre 2011 à 10:48 (CEST)[répondre]
Les deux phares supplémentaires sont apparemment des voyants rouges ou dans ces tons là, peut-être pour servir de « feux arrières » quand la loco sert de pousseur au lieu de tracteur. Floflo aura j'espère des précisions mais il y a des chances que ce soit du à l'âge des véhicules : une loco a une durée de vie très longue et pas mal d'entre elles ont probablement été produites avant que cette norme soit édictée – on voit encore circuler pas mal d'automotrices pas toutes jeunes, comme la Z 100 et la Z 200, des centenaires, la Z 5300 qu'on voit en Île-de-France, comme la Z 6100.
Remarque que beaucoup de modèles promis à une prochaine réforme seront arrêtés pour des raisons diverses (plus aux normes, manque de confort, trop de consommation, etc.) mais pas parce qu'ils ne fonctionnent plus. -O.--M.--H.- 9 septembre 2011 à 11:50 (CEST)[répondre]
Oui je pense aussi que c'est dû à l'âge, car en supposant que cette réglementation date d'une quinzaine d'années (au pif j'avoue) enfin l'on remarque les matériels les plus récents possèdent désormais tous (enfin jusqu'à preuve du contraire...) les trois feux, même les électriques. Exemple avec les BB 36000 et BB 37000 (alors que leur aînée la BB 26000 n'en a pas), BB 47000. De même pour les automoteurs comme les TER 2N NG, les « Bibi » ou encore le dernier né Francilien. Après pour les très anciennes machines diesel possédant trois feux (BB 67400, CC 72000) là je ne vois pas, peut-être une folie de l'époque? Cdlt, --Floflo (d) 9 septembre 2011 à 12:41 (CEST)[répondre]

When the train left the station
It had two lights on behind
The blue light was my blues
And the red light was my mind
(Robert Johnson, "Love in Vain") --gede (d) 9 septembre 2011 à 18:01 (CEST)[répondre]

Pour Love in Vain les deux lumières sont les feux arrière du train... --Serged/ 10 septembre 2011 à 13:57 (CEST)[répondre]

Peintre Van E.O modifier

Bonjour, Je suis à la recherche d'une biographie du peintre Van E.O C'est un peintre qui a travaillé à Surabaya en Indonésie vers 1900 C'est lui aussi qui a dessiné le portrait du Roi Rama 5 de la Thailande Vous remerçiant d'avance Cordialement

cuisine en haute altitude modifier

Bonjour à tous,

je profite de la pause déjeuner pour me poser quelques questions après avoir lu le canard local disant que les candidats de Masterchef devront exercer leurs talents à l'aiguille du Midi et qu'ils seront confrontés à des difficultés de cuisson ("l'eau mettant plus de temps à bouillir"). Je me dis dans un premier temps qu'il s'agit encore d'une approximation journalistique puisque l'eau bout à moins de 100°, le temps pour parvenir à l'ébullition doit être réduit mais que la cuisson des aliments est notablement prolongée. Je me pose tout de même la question lors de l'utilisation de gaz comme moyen de cuisson : avec un même débit de gaz et moins d'oxygène, la flamme doit apporter moins de calories et le temps à parvenir à l'ébullition pourrait être ainsi plus long. Quelle est la vérité ?

Pour la chaleur apportée par la cuisson au gaz : l'oxygène est en grand excès, même en altitude, et c'est le débit de carburant (le gaz) qui fixe la quantité de chaleur produite, on doit donc considérer a priori que ce facteur reste identique ; par contre la moindre pression doit se traduire par une moindre convection et donc moins de chaleur qui arrive jusqu'à la casserole
pour la cuisine c'est la température qui compte, les temps de cuisson sont fortement allongés quand la température baisse (et à la limite il n'y a même plus de cuisson du tout) ; voir eau#Propriétés pour une formule, et en:High altitude cooking pour plus de détails

Autre question en rapport, dans le cas de l'utilisation d'une cocotte-minute, le temps de cuisson en altitude est-il identique en altitude et au niveau de la mer ? autrement dit la pression intra cocotte à l'ébullition varie t-elle suivant l'altitude ?

pour l'autocuiseur, il me semble qu'en général il fixe une différence de température entre l'extérieur et l'intérieur, donc si la pression extérieure baisse la pression intérieure aussi est plus basse. il est donc moins efficace que plus bas, mais pourtant il reste encore plus utile.

Dernière question qui n'a rien à voir avec les précédentes : pourquoi le lait déborde t-il à ébullition ? Autrement dit, quelles sont les propriétés rhéologiques du lait pour que la débordabilité (la mode est manifestement aux néologismes) soit bien supérieure à celle d'une casserole d'eau ?

Sur ce, bon appétit à tous. Nguyenld (d) 9 septembre 2011 à 13:04 (CEST)[répondre]

Pour le lait qui déborde, voir Anti-monte-lait#Pourquoi le lait déborde-t-il ? ou j'ai du lait sur le feu sur procastin - Avatar 9 septembre 2011 à 13:40 (CEST)[répondre]

Le problème de la cuisine en altitude est que la pression est moins forte (à cause de l'altitude), du coup l'eau bout à moins de cent degrés, et quand la cuisine consiste à faire cuire des aliments dans de l'eau bouillante, cette eau est à nettement moins de 100 °C et les aliments, par voie de conséquence, mettent plus de temps à cuire.

On peut éviter ce problème avec un autocuiseur, qui a pour fonction justement d'augmenter la pression, donc la température d'ébullition. L'autocuiseur est réglé pour une différence de pression, donc sa température de fonctionnement sera moindre que celle au niveau de la mer, mais ce sera tout de même mieux qu'une cuisson dans de l'eau bouillante à ~ 70 °C.

Biem (d) 9 septembre 2011 à 20:31 (CEST)[répondre]

millions d'années modifier

Bonjour, j'ai cherché un peu, sans trouver sinon je ne serait pas ici. Comment les scientifiques arrivent t-ils a imaginer la notion de millions ou de milliards d'années lorsque l'on parle de l'histoire de la terre. Je peux comprendre qu'il existe une échelle sur laquelle on positionne les événements en fonction d'une variation d'âge suivant une mesure comparable. Mais comment a t-on déterminé ce premier million ou milliard. Merci pour l'éclairage que vous pourrez m'apporter. --Kkbs (d) 9 septembre 2011 à 14:06 (CEST)[répondre]

Bonjour, pour les datations en millions ou millards d'année, on peut déjà consulter les articles Datation, Datation absolue ou Datation radiométrique - Avatar 9 septembre 2011 à 16:23 (CEST)[répondre]
Voir aussi Âge de la Terre (en anglais). -- Xofc [me contacter] 10 septembre 2011 à 06:07 (CEST)[répondre]

Merci, j'ai tout lu, sauf en anglais et je ne suis pas vraiment plus avancé. --Kkbs (d) 10 septembre 2011 à 09:05 (CEST)[répondre]

Bonjour, en tout cas tu as avancé d'un jour, jour qui s'ajoute aux milliards de milliards de jours passés, en fait ton approche est trop rapide, peut-être que le fait de lire l'article suivant te permettra de revenir en comprenant la difficulté de pouvoir faire des évaluations de l'ordre du miillion d'années Formation et évolution du système solaire. Bon dimanche --Doalex (d) 11 septembre 2011 à 10:33 (CEST)[répondre]
Je suis quand-même d’accord avec Kkbs, on saisit les grands principes, ça va encore pour le C14, mais concrètement comment date-t-on ces fichues inclusions Calcium-Aluminium — ou plutôt, comment connaît-on la composition isotopique qui était la leur à la création du système solaire ?! Je suis certain qu’on pourrait faire un petit paragraphe compréhensible sur la question, que je n’ai vu nulle part. rv1729 11 septembre 2011 à 22:36 (CEST)[répondre]
On (un bon traducteur) pourrait créer l'équivalent de Ca-Al-rich inclusions ou Calcium-aluminium-rich inclusion (✔️ Inclusions minérales riches en calcium et en aluminium) avec les sources incluses, bien sûr !--Doalex (d) 12 septembre 2011 à 10:29 (CEST)[répondre]
Un grand merci pour la traduction à Avatar discret mais efficace.--Doalex (d) 12 septembre 2011 à 16:27 (CEST)[répondre]
Oui, bravo et merci. Mais j’avais déjà lu l’article anglais, c’est même principalement celui-là que j’avais en tête quand j’ai fait la remarque ci-dessus : comment date-t-on ces fichues inclusions ?! 194.254.71.2 (d) 13 septembre 2011 à 11:20 (CEST)[répondre]

plans de tjalk modifier

Plan de forme du tjalk

Bonjour a tous Je suis a la recherche de plans de TJALK ces bateaux hollandais donc la forme arrondie est bien particuliere

J'aime bien ce type de bateaux et je voudrais faire une maquette ; aprés avoir visité plusieurs sites et magasines de maquettes ; c'est un résultat négatifs

Je compte sur les wikipédiens pour m'apporter quelques conseils et quelques vues.

En vous remerçiant par avance , recevez mes sincéres amitiés .

Yves
Logo de courriel Comme indiqué dans son en-tête, l'Oracle ne répond pas par courriel. Votre adresse a donc été effacée, d'autant qu'elle risquait d'être exploitée à des fins commerciales par le biais d'aspirateurs d'adresses (en savoir plus).
Bonjour, voir du côté du Chasse-marée, revue qui publie souvent des documents et des plans, ou qui peut vous renseigner. Et tjalk aussi, bien sûr. C’est ce que par chez nous on appelle « péniche hollandaise ». Morburre (d) 9 septembre 2011 à 15:52 (CEST)[répondre]
J'ai relayé la demande sur le Bistro du port. mitch²

Théâtre anglais contemporain modifier

bonsoir, dans la page concernant la liste des écrivains anglais - rubrique théâtre- il faudrait rajouter Sarah Kane (1971-1999) pour laquelle vous avez d'ailleurs une page merci bcp babette PS : nous espérons que la pièce 4.48 Psychose sera bientôt montée à la Réunion

… bonjour Babette de la Réunion, ✔️ , mais il ne faut pas hésiter à le faire vous-même. — Hautbois [canqueter] 10 septembre 2011 à 06:04 (CEST)[répondre]

Geographie modifier

Bonjour Oracle,

Je me pose une question dans le domaine de la géographie. L'exode rural est la population rurale qui vont dans les villes, comment appel on le contraire? la population urbaine qui ce déplace en province?

Merci d'avance !

Cali

Bonjour. L'exode urbain? --Floflo (d) 10 septembre 2011 à 15:48 (CEST)[répondre]
Bonjour Cali. La périurbanisation et la rurbanisation. Père Igor (d) 10 septembre 2011 à 15:56 (CEST)[répondre]
Dire « la population urbaine qui ce déplace en province », ça suppose qu'il n'y a pas d'urbanisation en dehors de l'Île-de-France... Émoticône HaguardDuNord (d) 10 septembre 2011 à 17:49 (CEST) Typiquement parigo : province = campagne... rv1729[répondre]
Ce à quoi j'ajoute que les rurbains d'origine parisienne ou banlieusarde se déplacent un peu en Normandie, Région-Centre ou Champagne-Ardennes, parfois un peu plus loin, mais beaucoup en Île-de-France, donc, pas en province... -O.--M.--H.- 10 septembre 2011 à 18:33 (CEST) Et la Picardie Émoticône sourire. HaguardDuNord (d) 10 septembre 2011 à 19:22 (CEST) [répondre]

je recherche article et surtout photos ...dessins ...ou plan modifier

Bonjour à toute cette équipe qui fait de si bons articles.... chapeauXXXXXXX

Je voudrais construire un bateau avec deux roues à aubes ( donc latérales ) impossible de trouver un site me donnant des photos, des dessins ou des plans. Pouvez vous me rendre ce service ? A titre indicatif il sera propulsé par un moteur à vapeur et sera mis à l’échelle de ce dit moteur

D’avance je vous remercie

Jean-Marie FOURREAUX

Charlotte Dundas 1883
… si ce n'est déjà fait, un peu de lecture : Roue à aubes, Bateau à roues à aubes. L'article allemand sur la roue à aubes (de:Wasserrad) a une médaille et plein de données, l'anglais « bateau à roues à aubes » (en:Paddle steamer) semble bien fourni. Pour les photos ici et là sur Commons — Hautbois [canqueter] 10 septembre 2011 à 18:43 (CEST)[répondre]

(conflit d'édit)

Salut. Sur cette page on te propose une « Construction pas à pas dans le détail » des roues à aubes d'un bateau. Dans la même recherche j'ai vu des pages qui pourraient t'intéresser je pense. La voici :
Probable qu'avec une recherche
ça te ramènerait aussi des résultats exploitables. Comme je dis souvent, le truc quand on cherche avec un moteur de recherche est de bien construire sa demande, de manière à restreindre les résultats à ce qui sera le mieux adapté à ce qu'on veut obtenir. -O.--M.--H.- 10 septembre 2011 à 18:53 (CEST)[répondre]
… ou ici et en images — Hautbois [canqueter] 10 septembre 2011 à 19:16 (CEST)[répondre]

Mission Apollo en 1969 modifier

Mesdames, mesdemoiselles, messieurs ! Merci d'être attentif à cette question ?

Ken Avo ! Quelqu'un voire quelqu'une pourrait-il me donner une réponse quasi-scientifique à l'interrogation suivante qui n'a pas encore trouver de réponses : Est-il avéré que la fourchette la plus raisonnable de l'estimation du budget de l'Agence spatial américaine aurait-été suffisant pour permettre aux trois astronautes de la mission Apollo en 1969 dont le but fut de fouler le sol de l'astre lunaire, notre sattelitte, en réponse à une criante victoire l'ex-URSS était parvenue à faire quitter l'athmosphère à un " satellite " puis le vol glorieux de Laïka !

Post scriptum : techniquement, le pouvait-il ou ont-ils opté pour la production holywoodienne ??

Nsl

Marronnier (« Rumeurs sur le programme Apollo ») — Hautbois [canqueter]
Pour leur permettre quoi, aux trois astronautes ? Morburre (d) 11 septembre 2011 à 09:22 (CEST)[répondre]
Techniquement ta question est mal posée et difficile à comprendre. Sociologiquement la rumeur, spécialement dans ses versions contemporaines de la légende urbaine et de la théorie du complot, est une chose très répandue pour laquelle il n'existe pas de réponses techniques. -O.--M.--H.- 11 septembre 2011 à 09:30 (CEST)[répondre]
Je plussoie car tout a été dit ou écrit et/ou filmé et refilmé sur ce sujet, l'étrangeté de la question provient, en ce qui me concerne, du fait qu'elle soit posée le jour d'une commémoration hautement symbolique surtout en ce qui concerne les rumeurs de toutes sortes. Pour les budgets voir cette phrase Le coût du programme est évalué à 25,4 milliards de dollars en 1969 (équivalent à 135 milliards de dollars, en 2006). citée dans l'article Programme Apollo et non mission Apollo. Lancement d'un troll àmha.--Doalex (d) 11 septembre 2011 à 10:13 (CEST)[répondre]
Si c’est de la « rumeur » qu’il s’agit, il y a des réponses techniques détaillées qui existent (y compris sur la façon dont une « rumeur » se propage). Morburre (d) 11 septembre 2011 à 16:45 (CEST)[répondre]
Mais vous avez compris la question ?! Quelqu’un peut reformuler ? rv1729 11 septembre 2011 à 22:31 (CEST)[répondre]
Reformulation difficile, du genre « le budget de la NASA autour de 1969 a-t-il permis un alunissage, ou était-ce une production hollywoodienne » pour ma part, je vote sans problème pour l'alunissage techniquement réussit. Biem (d) 11 septembre 2011 à 23:35 (CEST)[répondre]

oracle wikipedia modifier

bonjour,pourquoi donnez vous des réponses inutiles a des questions auxquelles on peut trouver tres facilement la réponse? merci d'avance pour votre réponse éclairée ;) — Le message qui précède, non signé, a été déposé par 90.18.14.141 (discuter), le 11 septembre 2011 à 11:00

Salut, et merci pour ton aimable remarque. Tu peux le constater, tu viens de poser une question à l'Oracle dont la réponse ne t'est pas évidente ; les autres questionneurs sont dans la même situation et ce qui paraît évident aux uns (pour moi par exemple, « pourquoi l'Oracle donne des réponses ? ») ne le paraît pas aux autres (toi, par exemple).
Sauf certaines question qui ne sont réellement pas évidentes ou pour lesquelles certaines pythies ont envie de donner leur avis, pour diverses raisons, le plus souvent nous nous contentons de donner des liens vers des articles de Wikipédia ou des pages Internet, et a posteriori nos questionneurs constateront qu'au fond la réponse était, sinon évidente du moins trouvable. On peut considérer sans hésiter ce genre de réponses, de même pour celles où l'on indique des petits trucs pour faire une recherche sur internet, comme utiles. Dans l'ensemble, toute réponse est utile, pour les personnes qui ne la connaissent pas pour la question posée.
Parfois cependant, il nous arrive, pour le libre plaisir de la discussion ou de la mise en boîte, de donner des réponses inutiles à des questions auxquelles on peut trouver facilement la réponse, comme je le fais ici. -O.--M.--H.- 11 septembre 2011 à 11:32 (CEST)[répondre]
Bonjour, lisez ceci Wikipédia:Oracle/Conseils utiles, pour le ton général de l'Oracle mais rien ne dit qu'en ce qui concerne les questions faciles (inutiles pour vous) nous ne devons pas apporter une réponse, l'esprit d'un concours permanent n'est pas non plus la misssion des bénévoles, chacun apporte un élément, pour le côté facile des questions et par humour je réponds, ce sont celles que nous préférons, mais en fait la question facile pour vous est celle qui prendra du temps à celui/celle qui la formule, elle peut être terrifiante pour une personne qui ne manie pas correctement l'orthographe ou qui qui se bat avec la syntaxe de wikipédia et selon son âge et/ou son expérience la personne peut estimer que c'est intéressant, si vous nous lisez souvent vous savez que nous écartons les questions inutiles (les vraies) si c'est nécessaire (concours, les devoirs, les questions spécialisées que nous redirigeons lorsque c'est possible, etc.).D'autres vous donneront un autre point de vue, mais à ce titre votre question est bien entendu à classer dans inutile et ma réponse également, tout dans ce domaine est subjectif et surtout relatif.Émoticône --Doalex (d) 11 septembre 2011 à 11:38 (CEST)[répondre]

Fichier génétique national modifier

Bonjour, je n'ai pas réussi à comprendre, à l'aide de l'article sur le profil génétique, si le profil du fichier national permettrait de faire autre chose que d'identifier un coupable, par exemple connaître les facteurs de risque à des maladies génétiques. C'est en effet l'une des objections faire par les opposants à ce fichier, pour qui il s'agit de bien plus qu'une empreinte digitale génétique.

merci

Les empreintes génétiques ne représentent pas l'intégralité de l'ADN d'un individu : elles représentent uniquement les séquences d'ADN propres à un seul individu, c'est-à-dire les séquences qui permettent de reconnaître une personne à coup sûr en utilisant le moins de données possibles. Ainsi, la plus grosse part du code génétique d'un individu n'est pas pris en compte par le profil génétique. De plus, les séquences utilisées ne sont jamais des gènes (trop similaires d'un individu à l'autre), mais des séquences d'ADN particulière n'ayant pas pour rôle la production de protéines (et ne pouvant donc pas être des facteurs de risque). Agrafian (me parler) 11 septembre 2011 à 15:07 (CEST) Au temps pour moi. Agrafian (me parler) 12 septembre 2011 à 16:06 (CEST)[répondre]
En fait, malgré le soin apporté pour choisir des marqueurs « neutres », un des microsatellites utilisés est lié à un gène impliqué dans je ne sais plus quel syndrome monogénique, donc dans une famille où la maladie est présente, il pourrait servir au diagnostic. C’est à ma connaissance la seule utilisation « médicale » possible à l’heure actuelle, mais au train où les découvertes de facteurs de risque s’accumulent, rien n’exclut que dans un futur proche d’autres de ces microsatellites puissent être utilisés pour des calculs de risque. (Agrafian, tu fais une erreur en supposant que les facteurs de risques sont dans des régions géniques. La majorité des facteurs de risques découverts depuis 10 ans sont dans des régions intergéniques, voire dans des « déserts de gènes » — et la plupart du temps, on ne s’explique pas les mécanismes en cause).
Une objection d’ores et déjà bien plus sérieuse à l’utilisation de l’empreinte génétique est que les marqueurs utilisés permettent de retrouver avec une assez bonne fiabilité l’« origine » de l’individu (disons : Europe, Asie, Afrique), un logiciel est même dispo « on line » : [5]. Quand les députés ont voté cette loi, ils l’ont en effet fait dans l’idée où l’empreinte génétique ne donne pas plus d’information que l’empreinte digitale (ça doit même figurer dans l’intro du texte voté), ce qu’on sait maintenant être une erreur. Je suis convaincu que si les députés devaient revoter cette loi à la lumière des connaissances actuelles, ça serait beaucoup plus délicat (même pour des députés UMP !). rv1729 11 septembre 2011 à 18:04 (CEST)[répondre]
PS: un autre truc pénible, c’est que vous n’avez pas besoin d’avoir commis un délit pour que la police ait de l’information sur votre génome : que votre frère, père, fils, soit fiché, suffit ! Bien sûr la police scientifique n’est pas folle et les calculs de probabilité qu’un apparenté proche d’un des fichés soit le « propriétaire » d’un ADN ramassé quelque part sont utilisés de façon routinière. Ceci pose également un vrai problème juridique. rv1729
Le fichier national automatisé des empreintes génétiques (en bref, FNAEG), s'il était conçu à l'origine pour centraliser les traces d'empreintes ADN de délinquants sexuels, de « coupables » comme tu dis, a depuis été étendu à toutes les personnes qui ont un rapport à certains crimes et délits, que ce soit les auteurs, les victimes ou les témoins, ou même simplement les personnes qui ont eu la mauvaise idée de laisser une trace ADN sur une scène de crime, n'auraient-elles aucun rapport avec l'affaire. Pour ta question, il y a deux réponses, celle sur l'usage actuel du fichier et celle sur son usage possible.
Pour l'usage actuel c'est simple : il sert uniquement aux forces de l'ordre dans un but d'enquête délictuelle ou criminelle aux fins d'identification des personnes, et dans ce cadre on ne s'intéresse pas à l'ADN d'un point de vue médical, il ne s'agit en rien de l'étudier en tant que lui-même mais en tant que moyen de déterminer la personne possédant cet ADN particulier. Donc, dans cet usage la crainte que tu évoques n'a pas lieu d'être.
Pour l'usage possible, et bien, tout est imaginable. Cela dit, un tel fichier n'est pas vraiment intéressant pour « connaître les facteurs de risque à des maladies génétiques » comme tu le suggères. Premier problème, il ne s'agit pas dans ce fichier de constituer des génomes complets mais de relever dans les traces d'ADN recueillies certains marqueurs génétiques permettant donc d'identifier une personne. Deuxième problème, même s'il est déjà assez vaste et que (selon notre article) on y ajoute 360.000 nouveaux éléments chaque année, pour l'heure il ne recense que 2% de la population résidant ou ayant résidé en France depuis 1998, et si le rythme des ajouts reste le même il faudrait près de deux siècles pour tracer toute la population actuelle, autant dire que ce sera jamais puisque dans 50 ans une bonne part des vivants actuels seront morts. Ces 2% et à horizon de 15 à 20 ans ces 4% de la population française ne sont pas significatifs et comme le recueil de ces traces ADN a un tout autre but, sans utilité pour une étude bio-médicale consistante.
L'exemple des entreprises qui constituent des fichiers privés sur les données ADN montrent déjà qu'il y a beaucoup plus de risques de ce genre de dérives du côté des sociétés commerciales dont le métier est le risque (assurances, banque) qui refuseront certaines prestations aux porteurs de « gènes à risques », ou de possibilités de discrimination à l'embauche sur critères génétiques, que par le biais des fichiers utilisés par les polices scientifiques.
En restant dans l'imaginaire (mais en partie aussi dans le réel), je vois un autre danger dans ce type de fichiers, mais pas différent de celui que font courir de longue date tous les fichiers de recensement de populations : leur utilisation par la police ou la justice à des fins qui n'ont rien à voir avec leur objet initial. Il n'y a par exemple pas de risque intrinsèque à constituer des fichiers où les personnes sont classées selon leur origine, leur race, leur religion, mais si un État qui dispose de tels fichiers met en place une politique discriminatoire défavorable aux personnes de telle origine, telle race, telle religion, telle appartenance politique ou syndicale, ils deviennent dangereux.
Dans le cas du FNAEG, si par malheur la société française dérivait vers l'autoritarisme voire la dictature, et édictait des lois visant les personnes en fonction de leurs origines ou de leurs opinions, ou de leurs préférences sexuelles ou que sais-je, il deviendrait dangereux mais moins tant par les données génétiques que par l'association de ces données à d'autres, devenues entretemps illégales. -O.--M.--H.- 12 septembre 2011 à 10:58 (CEST)[répondre]
Je répète : les données génétiques recueillies permettent de déterminer assez précisément l’origine. Que la police ne souhaite pas utiliser ces marqueurs pour faire des calculs de risques n’est pas la question : il s’agit de savoir si l’argumentaire juridique selon lequel ces marqueurs ne donnent pas d’autre information sur la personne que son identité est exact ou non. Il s’avère qu’il est dépassé (il était sans doute acceptable au moment des premiers débats, eh oui, la science évolue). 194.254.71.2 (d) 12 septembre 2011 à 11:17 (CEST) D’autre part, personne ne sait très bien ce qu’on fait des échantillons d’ADN après analyse, ça semble un secret d’arrière-cuisine : il est possible qu’ils soient conservés. Il pourraient donc être analysés à nouveau dans un but autre que l’identification judiciaire. [répondre]

Selon Louise Fessard, auteur d'un article sur Mediapart (10/09/11), a qui j'ai soumis la première de ces réponses :

"Ce n'est pas si simple que ça, actuellement jusqu'à 18 marqueur génétiques sont utilisés pour identifier un individu. La loi prévoit que ces marqueurs soient non codants, c'est-à-dire qu'ils ne donnent aucune information sur des maladies, prédispositions génétiques ou les origines ethniques de leur porteur. Mais la science a depuis avancé et, selon la généticienne Catherine Bourgain, la distinction entre ADN codant et non codant n'a plus beaucoup de sens."

C’est ce que je disais. Pas trop étonnant, la généticienne en question est une collègue et amie : je suis à bonne école... rv1729 12 septembre 2011 à 22:15 (CEST)[répondre]
Bien que pas persuadé que les données génétiques du FNAEG soient réellement exploitables pour le dépistage de maladies génétiques je veux bien partir de l'idée qu'elles le sont. Ça ne change pas grand chose à mon propos précédent, car :
  1. Dans son usage actuel et pour encore longtemps, sauf à voir la France dériver vers une dictature à l'administration corrompue, ce qui ne me semble pas devoir arriver de si tôt, ces données n'ont pas un usage médical mais policier et judiciaire, mettre en rapport des traces génétiques recueillies sur un lieu de crime avec les données du fichier.
  2. Même si dans les faits ça n'est pas si évident (par l'extension du fichage aux auteurs de certains délits somme toute mineurs et assez loin de l'objet initial de fichage pour crimes graves), il n'y a fondamentalement pas grand intérêt à faire des recherches coûteuses sur les possibles maladies génétiques de la population visée par ce fichier. Sans tomber dans la caricature « classes laborieuses, classes dangereuses », les personnes intéressées à connaître ces informations visent ordinairement un public plus attractif financièrement que les criminels, qui ont souvent le malheur supplémentaire de ne pas figurer dans la partie la plus riche de la population.
  3. Imaginons qu'une administration ou un service public autre que les services de police et de justice, ou qu'une entreprise privée, veuille obtenir les données génétiques de ces fichiers de manière nominale (pouvoir associer ces données avec un individu précis). Elle ne pourra pas s'en servir sans risque d'être repérée comme les ayant obtenu frauduleusement pour un usage autre que celui prévu. Assez régulièrement, des entreprises ou des administrations ayant cru avoir la bonne idée, parce que l'opportunité se présentait, d'obtenir le dossier médical ou des données non communicables du casier judiciaire de certaines personnes, constatent, quand prises la main dans le sac, que ça n'était pas une si bonne idée...
  4. Le FNAEG, encore une fois par le public visé, n'est pas très intéressant pour d'autres que la police et la justice : quels que puissent être ses motifs, une administration, un service public ou une entreprise privée intéressée par des données génétiques dans le but de déterminer si certaines personnes ont une susceptibilité à certaines maladies génétiques n'a que faire d'un fichier qui recense un certain public pour une raison tout autre. Le cas le plus souvent évoqué est celui des assureurs qui veulent vérifier si le contractant d'une mutuelle ou d'une assurance vie n'est pas « à risques ». La chance que le public de cet assureur et celui du FNAEG se recoupent est proche de zéro. Idem pour toute autre entité intéressée par des information génétiques d'ordre médical.
Très clairement, il est bien plus simple et bien plus efficace de se constituer son propre fichier génétique, établi sur les personnes du public qu'on vise réellement, que de se servir d'un fichier concerné par un tout autre public. Conclusion, même en admettant qu'on puisse déterminer la susceptibilité des personnes fichées dans le FNAEG à certaines maladies génétiques, de par sa structure ce fichier n'est pas très intéressant à exploiter en ce sens. -O.--M.--H.- 13 septembre 2011 à 11:51 (CEST)[répondre]
Il y a des fois où je me demande si tu lis ce que les autres écrivent. Je laisse tomber, je crois que mes propos sont assez clairs pour tout autre que toi. 194.254.71.2 (d) 13 septembre 2011 à 12:00 (CEST) PS: pour le questionneur : suivez les articles de Louise Fessard, elle va bientôt en publier d’autres, vous y retrouverez sans doute ce que je vous ai dit (en signant de cette IP ou bien du pseudo rv1729), et bien d’autres choses, mais je crois avoir résumé le plus important Émoticône sourire.[répondre]
Mais si j'ai lu, et j'admets l'idée que (première partie de la question) « le profil du fichier national permettrait de faire autre chose que d'identifier un coupable, par exemple connaître les facteurs de risque à des maladies génétiques », mais (deuxième partie de la question), l'idée que cette possibilité justifie qu'on s'y oppose me semble aberrante, en ce sens que si un jour on doit utiliser un fichier de données génétiques pour évaluer des « facteurs de risques » ça ne sera pas celui-là, trop partiel et trop orienté pour ça. Mais bon, si seule la première partie de la question est pertinente, on fera comme si je n'ai rien dit... -O.--M.--H.- 13 septembre 2011 à 14:12 (CEST)[répondre]
Je te copie-colle des morceaux que tu as dû manquer :
1. On peut d’ores et déjà retrouver avec une assez bonne fiabilité l’« origine » de l’individu.
2. L’intérêt des calculs de risques qui pourraient un jour être réalisés n’est pas la question, c’est un exemple (et non une hypothétique deuxième question) : il s’agit de savoir si l’argumentaire juridique selon lequel ces marqueurs ne donnent pas d’autre information sur la personne que son identité est exact ou non. Il ne l’est pas.
194.254.71.2 (d) 13 septembre 2011 à 14:59 (CEST)[répondre]

Bonjour, au vu des informations que vous donnez, je comprends que ce qui est enregistré contient des informations sur l'individu (origine, facteurs de risque) et en contiendra de plus en plus, avec les progrès de la génétique. Sans entrer dans la polémique policière (qui n'a pas sa place dans wiki), ne devrait-on pas indiquer ce fait, comme un élément d'information scientifique, chacun étant libre alors d'extrapoler comme il l'entend ? Tel qu'il est, l'article me semble incomplet sur le plan purement technique.

J’ajouterai un paragraphe avec l’histoire des calculs d’origines (+ source), d’accord. Pour le côté calculs de risques, je le ferai quand j’aurai une source (ça ne tardera pas). rv1729 13 septembre 2011 à 20:33 (CEST)[répondre]

Toujours le poids du CO² modifier

Bonjour les gars. Il y a au moins 1 an, je posais la question du poids de CO² rejeté par les voitures (25 g au KM, pour une voiture, le calcul semblait déjà limite (et j'ai pas été complètement convaincu, personne ne m'a démontré la validité du calcul). Aujourd'hui une pub télé nous affirme : 1 m cube de bois c'est 1 tonne de CO² tout le monde sait qu' 1 m cube d'eau c'est 1000 kg or le bois flotte, donc où se cachent la tonne de CO² : un élève de CM2 trouverait ça louche ! Merci de me dire où je me trompe. - Siren - (discuter) 11 septembre 2011 à 14:43 (CEST)[répondre]

En fait, le CO2 se cache dans l'air. C'est l'O2 de l'air (produit de la combustion) qui fournit l'oxygène nécessaire à la formation du gaz carbonique, tandis que le carbone nécessaire est fournit par les chaînes carbonées de l'essence. Au final, l'essentiel du poids du CO2 provient de l'air ambiant. Agrafian (me parler) 11 septembre 2011 à 14:57 (CEST)[répondre]
OK, mais dans le cas du bois, il s'agit de bois de construction et non de bois de chauffage. - Siren - (discuter) 11 septembre 2011 à 20:22 (CEST)[répondre]
Certes, mais je doute que la nature et l'essence du bois change l'ordre de grandeur. La "masse" manquante vient effectivement de l'oxygène de l'air qui se combine ave/* Toujours le poids du CO² */ c le carbone du bois. Arnaudus (d) 12 septembre 2011 à 07:35 (CEST)[répondre]

On ne se comprends pas : est-il juste de dire dans cette publicité "Utilisez le bois dans votre construction, 1 m cube de bois c'est une tonne de CO² " (passe à la télé en ce moment). D'une façon brute, c'est faux puisqu'un m cube de bois pèse moins d'une tonne. Donc comment doit-on comprendre cette pub ? - Siren - (discuter) 12 septembre 2011 à 08:26 (CEST)[répondre]

Agrafiarnaudus a très bien répondu, je ne vois pas grand chose à ajouter.
Est-ce qu’un petit calcul peut vous aider à comprendre ? Une tonne de CO2, c'est grosso modo 270 kg de carbone et 730 kg d’oxygène. Lors de sa croissance, grâce à la photosynthèse, l’arbre réalise la dissociation : CO2 → C + O2 (euh très très grosso modo). Si dans un stère de bois, il y a environ 270 kg de carbone (ce qui paraît crédible, je n’ai pas d’idée très arrêtée sur la question), pour faire croître ce stère de bois, il a fallu consommer environ une tonne de CO2 (et rejeter dans la nature 730 kg d’oxygène, mais ça n’est pas considéré comme une pollution). rv1729 12 septembre 2011 à 08:43 (CEST)[répondre]
Voir à Photosynthèse pour plus de précisions : le bois n'est pas "que" du carbone, mais un composé organique (hydrate de carbone) ; du coup sa combustion produit moins de CO2 que le carbone pur. Si on prend l'équation de la photosynthèse 6CO2 + 6H2O + lumière → C6H12O6 + 6O2, les 6CO2 représentent 264g alors que le C6H12O6 qui l'équilibre (et est représentatif de la matière organique genre cellulose) représentent 180g par mole. Donc la production d'une tonne de bois sec demande d'absorber 1.46 tonne de gaz carbonique. Maintenant, que pèse un stère de bois ? de l'ordre de 500 kg, donc en réalité la production de CO2 sera un peu plus faible qu'annoncée : 730 kg au lieu d'une tonne. Mais l'ordre de grandeur est correct, et on ne peut pas être très précis sur ces calculs. Cordialement, Biem (d) 12 septembre 2011 à 16:19 (CEST)[répondre]
Mais un stère, c’est du bois en vrac, y a des trous... un mètre cube de matériaux de construction, c’est un peu plus :) 194.254.71.2 (d) 13 septembre 2011 à 10:02 (CEST)[répondre]
Merci à tous, je comprends mieux, dans ce sens 1 m cube de bois a bien demandé 1000 kg de CO² pour se constituer, le surplus est le rejet d'oxygène. Le texte de la pub est donc exact mais pas à prendre au pied de la lettre. Si on brule le bois, la recombinaison se fait avec l'oxygène et on retrouve notre tonne de CO², rien ne se perd, rien ne se crée comme dirait l'autre ! - Siren - (discuter) 13 septembre 2011 à 10:23 (CEST)[répondre]

marine française. Pourquoi s'appelle-t-elle Marine Royale? modifier

Pourquoi la marine française s'appelle la Marine Royale?

Elle ne s'appelle pas Marine royale mais Marine nationale. Agrafian (me parler) 11 septembre 2011 à 16:14 (CEST)[répondre]
Egalement surnommée La Royale (cf. Marine nationale (France)). Skiff (d) 11 septembre 2011 à 16:19 (CEST)[répondre]
Bonjour au fait, voir §3 de l'introduction de l'article Marine nationale (France), elle ne s'appelle pas la Marine royale mais familièrement « La Royale ».
Ceci illustre bien le fait que nous donnons des réponses inutiles à des questions inutiles mais la question existe, le seul motif de ne pas y répondre serait le manque de politesse de l'intervenant.--Doalex (d) 11 septembre 2011 à 16:25 (CEST)[répondre]
… et puis, si elle s'était appelée Ségolène Le Pen, on y aurait pas cru. — Hautbois [canqueter] 11 septembre 2011 à 19:27 (CEST)[répondre]

Bonjour, un hasard sans doute ce midi la question a été posée lors d'un jeu télévisé on parle familièrement de "la royale" en parlant de la marine. trois raisons peuvent le justifier :

  • par le passé la marine était la marine royale
  • on imagine que la marine est restée fidèle au roi
  • et la raison la plus vraisemblable est que le siège de l'état major de la marine est situé 2 rue Royale à Paris

--Kkbs (d) 11 septembre 2011 à 19:49 (CEST)[répondre]

… tiens, c'est curieux, l'hôtel de la Marine avec son État-major est situé place de la Concorde, effectivement à l'est de la rue Royale, mais depuis seulement 1789. La distinction entre « la royale » et « la marchande » me semble très très antérieure. Et avec les républiques et les empires qui s'enchaînent pendant les années qui suivent, je vois mal une telle institution prendre pour surnom « la royale »… cela existait bien avant. — Hautbois [canqueter] 12 septembre 2011 à 05:30 (CEST)[répondre]
bonjour, je n'ai fait que répéter le commentaire des présentateurs de l'émission. #REDIRECT [6]

Kkbs (d) 12 septembre 2011 à 05:52 (CEST)[répondre]

… en fait la question est :

quand et dans quelles circonstances a-t-on surnommé la marine militaire française « La Royale » ? modifier

Hautbois [canqueter] 12 septembre 2011 à 10:36 (CEST)[répondre]

À titre d'informations complémentaires, ceci La Royale – Projet pour l’Hotel de la Marine (Paris) lire surtout les commentaires à la fin, aucune réponse nouvelle apportée à la question mais peu importe, d'ailleurs on pourrait en inventer comme: quand? Une nuit, dans quelles circonstances? Une grosse cuite. --Doalex (d) 12 septembre 2011 à 13:21 (CEST)[répondre]

Piqures d'insectes modifier

bonjour. je suis intrigué par le fait que des piqures d'insectes parfois très petits peuvent être aussi irritantes. Certes ces insectes sont plus grands que les microbes. Y a t-il des analyses qui ont été effectuées pour connaitre les compositions de ces différents venins? Si ces insectes étaient plus gros, ce venin serait il mortel pour nous ? --Kkbs (d) 11 septembre 2011 à 19:19 (CEST)[répondre]

Il faut différencier les insectes qui piquent pour se nourrir (moustiques, taons, ...), qui injectent un anticoagulant afin de pouvoir pomper le sang à loisir, et ceux qui attaquent, ou se défendent (guêpes, ...) dont le venin est beaucoup plus complexe. Tu pourras lire ici le détail de la composition du venin d'abeille; celui de la guêpe en est très proche. Dans les deux cas, les substances injectées sont très dommageable pour les tissus touchés, nous savons très bien qu'une personne mourra d'avoir reçu trop de piqûres d'abeilles ou guêpes, mais c'est aussi vrai pour les premiers. J'ai déjà vu un reportage sur les myriades de simulies en été au Labrador, dans lequel un scientifique faisait état de personnes immobilisées par une blessure, et de leur mort causée par les milliers de piqûres de ces charmantes bestioles, autant par la quantité de sang prélevée que par la réaction aux anticoagulants. Dhatier jasons-z-en 11 septembre 2011 à 19:51 (CEST)[répondre]
Les piqûres de simulies tuent par suite d’un choc anaphylactique. Il n’y pas pas si longtemps qu’on pouvait les entendre vrombir dans nos campagnes : « On rapporte qu’en 1863, 80 % des bovins du canton de Condrieu moururent en quelques heures après une attaque de simulies ; en 1923, dans le Banat, la Transylvanie et la Valachie, ce sont 16 000 animaux domestiques qui furent tués en quelques jours. » (info sourcée introduite dans l’article par votre serviteur). rv1729 11 septembre 2011 à 22:27 (CEST)Voilà un exemple où on a du mal à regretter la réduction de la biodiversité[répondre]
Il peut aussi y avoir développement d'une infection secondaire suite à une piqûre d'insecte, ce qui complique les choses ! - Cymbella (répondre) - 11 septembre 2011 à 22:54 (CEST)[répondre]

Pourquoi le train fait-il tant de bruit ? modifier

Grands savants.

Le bruit de roulage des voitures est généré par les chocs des sculpture du pneu sur la route et par ceux des irrégularités de la route sur la bande de roulement. Par contre les roues des trains sont lisses et les rails également, abstraction faite des raccords, et il s'avère qu'à vitesse comparable les trains sont infiniment plus bruyants.

À quoi est due cette différence ?

Joël

Salut. Malgré leur aspect lisse la roue et le rail ont des irrégularités, suffisantes pour générer un son qui sera amplifié à la fois par la roue et le rail. Ces irrégularités augmentent avec le vieillissement des roues comme des rails. Bruit augmenté par le balancement du train, un objet en mouvement qui tendra donc à balancer horizontalement et verticalement, et par le frottement des éléments mobiles (essieux) contre les éléments fixes du train. Ce document PDF te donne des éléments sur la manière dont le bruit se constitue, et aussi quelles méthodes permettent de le réduire un peu ou beaucoup. -O.--M.--H.- 12 septembre 2011 à 02:51 (CEST)[répondre]
Et on a connu pire : [7] Morburre (d) 12 septembre 2011 à 09:14 (CEST)[répondre]
Refnec ; qu'est-ce qui vous fait penser que que les bruits de roulage d'un train sont plus fort que ceux d'une voiture, toutes choses égales par ailleurs ? Le roulage d'un train consomme beaucoup moins d'énergie donc il y a moins d'énergie à dissiper en bruit (et chaleur etc.). Par contre un train c'est beaucoup plus lourd (de l'ordre de 1000 automobile environ), les choses ne sont donc pas "égales par ailleurs" alors forcément ça fait plus de bruit. gem (d) 12 septembre 2011 à 10:27 (CEST)[répondre]
"abstraction faite des raccords". Ben justement, le tchouc-tchouc, tchouc-tchouc, répétitif est exactement dû aux raccords entre les rails. A cause de la dilatation thermique des barres métalliques, il faut assurer un joint de dilatation.
L'autre élément qui entre en ligne de compte est l'absence d'amortissement car le contact métal contre métal se déforme beaucoup moins bien que le caoutchouc du pneu. Le lien donné par Olivier est très bon.
Et enfin, le plus bruyant dans un train, c'est le freinage. L'accélération ou la décélération auront beaucoup plus d'impact que la "vitesse comparable".
Dernière remarque, on compare le niveau sonore sur quelle unité : dB/km/h/passager, ou bien dB/km/h/kg ou bien dB/km/h/wagon, dB/km/h/kW ? Bertrouf 14 septembre 2011 à 04:08 (CEST)[répondre]
Il y a aussi le problème des roues carrées, les freinages peuvent entraîner des lissages quand des roues se bloquent créant un zone plate là où elle était courbe, il faut rectifier l'essieu en atelier ce qui est une réparation compliquée, en attendant à chaque tour il doit y avoir un bruit en plus. Philippe Nusbaumer (d) 19 septembre 2011 à 07:28 (CEST)[répondre]