Wikipédia:Oracle/semaine 41 2011

Dernier commentaire : il y a 13 ans par Doalex dans le sujet Rugby complet

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Calcul de l'acceptance

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(question déplacée de la 40e semaine, — Hautbois [canqueter])

Bonjour,

Je travaille sur un dossier de contrôle dit pondéral. Sur une série de bouteilles de vin on fait la moyenne des masse x masse volumique du vin pour obtenir le volume réel de vin en bouteille. L'acceptance est donnée par la formule: moyenne >= volume nominale -(écart type x 0,64). Quelle est la signification de ce coefficient 0,64? De quels facteurs dépend-il? Je vous remercie de vos lumières.

Attention. C'est une très mauvaise idée de multiplier la masse par la masse volumique, on obtient une 'masse' au carré par unité de volume. Il vaut mieux multiplier par le volume massique pour obtenir un volume. -- Xofc [me contacter] 10 octobre 2011 à 09:35 (CEST)Répondre
Si des statisticiens traînent par ici ils t'aideront plus que moi, mais je le verrai bien lié à la Distribution normale et au tableau de valeurs pré-calculées qui est présenté en bas. Si la distribution des volumes suit une loi normale, l'on accepte les valeurs supérieures à moyenne moins une erreur définie à l'avance. La valeur de 0.64 dépend à la fois de la distribution utilisée (la loi normale probablement pour du vin) et de l'erreur que l'on accepte de commettre. v_atekor (d) 10 octobre 2011 à 09:59 (CEST)Répondre
Le sage Oracle ne fait pas les devoirs à la place des étudiants. Bonne chance dans ta recherche…
Évaluation pifométrique du volume de vin
Ceci étant dit :
L'écart type n'est pas très difficile à comprendre ; regardez le schéma : à un écart-type de la moyenne vous avez 34 % des échantillons et vous pouvez "voir" qu'à environ 2/3 de l'écart type vous avez environ 25% des échantillons. C'est ce que le tableau mentionné par v_atekor indique de façon plus précise : la lecture du tableau pour la valeur 0,64 (ligne 0,8 ; colonne 0,04 ) donne que 73,891 % des valeurs obtenues par une loi normale sont comprises entre le minimum et la moyenne +0,64 écart type ; la lecteur du même tableau pour la valeur 1,0 donne 84,134% (à interpréter comme 50% en dessous de la moyenne + 34,1% entre la moyenne et la moyenne + 1 écart type)
le facteur 0,64 dépend de ce qu'on est près à accepter ou pas : avec un facteur 1 84% des valeurs sont conformes, avec un facteur 2 ce sont 97,7 % des valeurs, alors qu'avec un facteur 0,5 c'est seulement 69 % tandis que le minimum avec un facteur 0 est évidemment à 50% (pour une loi normale, je précise encore une fois)
si donc on suppose que le remplissage des bouteille est une loi normale de moyenne générale égale au volume nominal, votre test devient une formule très compliquée pour rejeter précisément 26,1 % des lots, les moins remplis...
bien entendu le rejet sera plus ou moins fort selon que le remplissage moyen s'écarte plus ou moins du volume nominal, mais ça reste une application étrange AHMA
gem (d) 10 octobre 2011 à 12:04 (CEST)Répondre

Merci à vous tous,

Xofc pour m'avoir alerté sur cette erreur de calcul. v_atekor et Gem pour cette petite leçon de stat et ces enrichissantes précisions. Gem: je comprends votre questionnement pourtant c'est une formule qui est utilisée sur les chaines de mise en bouteille. Et lorsque le lot n'atteint pas la conformité, il y a réajustement des becs de la tireuse pour délivrer un plus grand volume.

merci encore à vous

c'est utilisé pour de bon ? Inquiétant ... mais en fait tout dépend de l'"écart-type " : sur un litron, ce n'est pas du tout la même histoire si l'écart-type est de 1 cc ou de 20 cc. Comme je suppose que sur une tireuse moderne l'ET est assez faible, utiliser cette formule foireuse n'a aucune incidence négative
gem (d) 10 octobre 2011 à 13:19 (CEST)Répondre
Une bouteille ayant une capacité maximale (et proche de la valeur nominale à atteindre), est-ce que la loi "normale" peut encore s'appliquer ? --Serged/ 10 octobre 2011 à 13:23 (CEST)Répondre

La problématique est de coller aux 750 mL (volume nominal) et non de remplir à ras la bouteille... où serait alors mis le bouchon? ;-) En fait il existe deux systèmes de contrôle, l'un à la réglette et selon la température, on lit alors des abaques. Le second complémentaire est celui du relevé de chaque bec de tireuse. Moyenne, écart type et formule, celle que je n'arrivais pas à capter. Effectivement l'écart type est de l'ordre de 0,7 à 2,5 mL env. Pour ce qui est de la loi normale , là je ne sais pas mais j'apprécierais de savoir.

A priori oui, on peut supposer une loi normale dans la mesure où l'ET est assez faible pour que les valeurs aberrantes (moins que 0 ou plus que la contenance de la boutanche) ne risque pas d'apparaitre gem (d) 10 octobre 2011 à 15:11 (CEST)Répondre

Au risque de paraitre lourd, ça veut donc dire que plus le coef utilisé est grand plus on accepte de variations puisque l'on tend à accepter plus de bouteilles. Et d'ailleurs des simulations confirment. Merci à vous

bah c'est assez élémentaire, ce qui compte c'est le signe moins dans la formule ; vous pouvez remplacer l'écart-type par n'importe quoi de positif, l'âge du capitaine Haddock par exemple, ça vous donnera toujours ce genre de résultat. gem (d) 10 octobre 2011 à 15:11 (CEST)Répondre
C'est une question pour le Bistro, non ? --Doalex (d)~
c'était en tout cas une question pour pythie bien réveillée (mes excuses à Xofc, je n'avais pas vu son "small" , d'où ma redite ; je l'ai mis en normal parce que ça le mérite, et j'ai effacer ma remarque)
bref. Si "lorsque le lot n'atteint pas la conformité, il y a réajustement des becs de la tireuse pour délivrer un plus grand volume", je réalise qu'il y a un réajustement en sens inverse lorsque trop de lots atteigne le seuil fixer, non ? Donc tout ça se résume à une formule de rétroaction négative pour un asservissement (automatique) où votre tireuse vise à délivrer "volume nominal + (écart type x 0,64)" c'est à dire en l'espèce 750 + 0,64 x 2,5 = 751,6 ml. Pas la peine de se prendre le chou... gem (d) 10 octobre 2011 à 16:30 (CEST)Répondre

Ouh là, ça devient capilo tracté tout ça... sourire. La tireuse est réglée pour délivrer un volume de 750mL mais les bouteilles ne sont pas toutes assurément de cette capacité la. De plus chaque bec prend "ses propres libertés" techniques d'où une surveillance constante du volume délivré. Quant à remplir plus c'est un peu risqué en raison de la dilatation du vin qui pousserait alors le bouchon. En bref, il faut respecter la législation vis à vis du consommateur et les contraintes techniques (volume de la bouteille, espace de tête ...). En bref on aspire à mettre 750mL. C'est plus clair ainsi dit? euh...

Bonjour, j’espère que vous nous lisez encore, car j’aimerais quelques précisions : je suis toujours à la recherche d’exemples pour les cours d’intro aux statistiques, et le remplissage des bouteilles peut éveiller l’intérêt de certains étudiants...
Alors, apparemment mes petits camarades ont complètement loupé quelque chose de très important dans votre question : ou bien j’ai lu trop vite ou encore je me berlure très fort
« Sur une série de bouteilles de vin on fait la moyenne ... », « lorsque le lot n'atteint pas la conformité ... », « la formule est moyenne ≥ volume nominal - 0,64 écart type. »
Bon, une demande de précisions tout d’abord : quelle est la taille d’un lot ? Il n’y a pas de borne supérieure pour l’acceptance, si toutes les bouteilles du lot sont trop remplies, on laisse continuer ?
Ensuite, un premier élément de réponse sur la signification du 0,64 : il est choisi de façon à ce que l’arrêt du processus alors qu’il n’y aurait pas besoin de régler la tireuse ne se produise que rarement. Gem n’ayant pas lu le mot « moyenne » a calculé que ça arrivait avec une probabilité de 26% à chaque lot, ce qui paraît un peu élevé... en fait, je suppose que dans « 0,64 écart type » on a l’écart-type sur une bouteille, de l’ordre dites-vous de 1 ou 2 ml ; mais il faut diviser cette quantité par n pour obtenir l’écart-type sur le volume moyen calculé sur un lot de n bouteilles, et le calcul de probabilité est à refaire. L’arrêt de la chaîne à tort se produira d’autant moins souvent que n est élevé.
Donnez-nous la taille du lot, on vous en dira plus. Émoticône rv1729 11 octobre 2011 à 08:54 (CEST)Répondre
effectivement j'ai occulté le problème du nombre de bouteille dans le lot, et j'ai fait comme si le "lot" contenait une seule bouteille ... c'était volontaire, il y avait déjà assez d'ambiguité sur le problème, mais tu as raison j'ai oublié le méchant effet de bord sur l'ET de n tirages (mea culpa)
néanmoins, il me semble que ma dernière conclusion reste valable : il ne faut pas se laisser tromper par l'utilisation de l'écart type dans la formule, ceci n'est pas vraiment un problème de statistique, c'est surtout un problème d'automatique pour remplir les bouteilles d'un volume fixé à l'avance ; volume fixé en référence à l'ET de la tireuse, certes, mais comme il y a un coef arbitraire de 0,64 ça devient un facteur arbitraire, qu'on aurait aussi bien pu remplacer par 0,05 x l'age du capitaine par exemple gem (d) 11 octobre 2011 à 10:53 (CEST)Répondre
Ça n’est certainement pas arbitraire. Une valeur trop haute entraîne un arrêt trop tardif de la chaîne, alors que la tireuse est déjà déréglée depuis un moment ; il faut alors reprendre les derniers lots un à un ; une valeur trop basse se traduit par des arrêts trop fréquents alors que la tireuse n’a pas besoin d’être réglée. Bref, il faut trouver la valeur qui minimise l’espérance de la somme du coût ces deux erreurs possibles (en l’exprimant par exemple en nombre de lots de retard par jour).
Il est possible que cette valeur ait été choisie de façon semi-empirique, ce qui est différent d’arbitraire ; mais la modélisation complète reste faisable avec des outils élémentaires on connait la cote à partir de laquelle il est nécessaire refaire un lot, et si on néglige la vitesse de la dérive de la tireuse.
Dans tous les cas, exprimer cette valeur en terme d'écart-type permet d’estimer simplement le coût des deux erreurs. rv1729 11 octobre 2011 à 11:43 (CEST)Répondre
ça me semble quand même arbitraire, si on voulait faire les choses correctement on fixerait un seuil de probabilité (à 99% au moins ça me semble le plus adapté) que le lot contienne au moins le volume requis (n bouteilles x 750 ml), fonction du volume distribué ("un peu plus" que 750 ml) et de l'écart type d'erreur de tirage, permettant de calculer le "un peu plus". voir Intervalle de confiance. Ça fait bien longtemps que je ne joue plus à ça mais, corrige moi si je me trompe, pour être sûr à 99,7 % que le lot de n bouteilles contient bien 750 ml au moins il te faut une marge de 3 ET / racine de n , soit par exemple, pour un lot de 16 bouteilles, 0,75 ET en plus des 750 ml visés ; 0,64 ça n'est pas un multiple de 3 donc ce n'est pas ce genre de formule qui est utilisé, cependant on peut plus ou moins le faire correspondre à un lot de n = (3/0,64)² = environ 22 bouteilles (drôle de lot...) gem (d) 11 octobre 2011 à 15:52 (CEST)Répondre
On peut supposer que les seuils de proba sont fixés en amont. Tout ça peut paraître un peu étonnant, mais à mon avis les gens qui fixent ça savent quand-même ce qu’ils font... fixer le seuil en terme d’écart-type a l’avantage de permettre une portabilité d’une machine à l’autre, en respectant certaines contraintes. J’imagine que par ailleurs il y a un écart-type maximal autorisé pour les tireuses. rv1729 12 octobre 2011 à 12:01 (CEST)

Bonjour et merci à tous ceux qui prennent le temps de s'attarder sur mon problème.

Alors pour apporter plus de précisions j'ai appelé lot un lot de tirage, à savoir 2 000 à 20 000 bouteilles (même caractéristiques du contenant). Les prélèvements se font sur chaque bec de tireuse soit16 ou 20 ou encore 24 et plus... On les fait au début du tirage et par série de 4 ou six sur les becs identifiés: bouteille 1 pour le bec 1 et ainsi de suite. La première série de bouteilles (16, 20, 24 ou plus) permet de réajuster le tir et régler les volumes délivrés. Les mesures ultérieures permettent de s'assurer d'un non "déréglage" des becs. Le traitement "statistique" provient de mémoire de l'office de la métrologie. Si moyenne et écart type ne m'étaient pas tout à fait inconnu, en revanche c'était le cas du 0,64. Ce contrôle permet d'assurer un réel volume au consommateur. Imaginez 1 mL en moins sur 10 millions de cols annuel ... certains devaient se frotter les mains! Ca se corse!

Je ne comprend pas... sur combien de bouteilles est calculée la moyenne ? 16, 20, 24, ou 2000 ?!
Disons que c’est sur 16. Notons σ l'écart-type du remplissage d’une bouteille. Si la machine n’est pas déréglée, la valeur moyenne calculée sur 16 bouteilles suit une loi normale de moyenne 750 ml et d’écart-type σ/√16 = σ/4. Elle passe à 0,64 σ en-dessous de sa moyenne 750 ml avec la même proba qu’une variable normale standard passe en-dessous de -4×0,64 = -2,56, soit 5,2 × 10-3. C’est assez faible pour garantir que le seuil ne soit dépassé par erreur (alors que la machine n’est pas déréglée) que tous les 200 lots environ (est-ce raisonnable ?). Regardons de l’autre côté : imaginons que la machine soit déréglée et remplisse les bouteilles à 749 ml en moyenne ; prenons σ = 1 ml pour les besoins de la cause. La valeur moyenne calculée sur 16 bouteilles suit une loi normale de moyenne 749 ml et d’écart-type σ/√16 = σ/4 = 0,25 ml. Le seuil d’acceptance est 750 - 0,64 σ = 749,36 ml. On est en-dessous avec la même proba qu’une variable normale standard soit en-dessous de 0,36/0,25 = 1,44, soit 92,5% : on échappe difficilement au contrôle, y échapper sur deux lots de suite n’a plus une probabilité que de 0,5%.
Bon. Difficile d’en dire plus avec ce qu’on sait... rv1729 11 octobre 2011 à 23:27 (CEST)Répondre

>Merci Hervé pour cette étude. Oui les moyennes sont calculées sur 16, 20 ou 24 bouteilles. Ce n'est pas de la pharmacie quand on embouteille du vin, la précision est moindre. J'avoue que je suis un peu perdu dans vos explications tant elles ont l'air fines et rigoureuses. En tout état de cause, la machine ne doit pas se dérégler, il s'agit pour l'embouteilleur de répondre à des exigences métrologiques qui par voie de conséquence indique un éventuel dérèglement de la tireuse. Pourriez-vous m'expliquer plus succinctement vos remarques qui me semblent être très intéressantes mais hélas d'un niveau peu compréhensible pour moi. Merci

L’écart-type quantifie les écarts à la moyenne que peut faire une quantité, ici le volume d’une bouteille ; notons le σ. Dans votre procédure, on calcule le volume moyen de 16 bouteilles, qui a (c’est un résultat classique de proba) un écart-type égal à σ/racine de 16 = σ/4. Bon. On note ça, disons, σ' = σ/4. Il faut exprimer la déviation de 0,64 σ en multiples de l’écart-type de la mesure avec laquelle on fait le test, c’est-à-dire en multiples de σ' ; ça fait 0,64×4 = 2,56. Une telle déviation n’arrive (pour une loi normale) qu’avec une probabilité de 5,2 × 10-3 (on lit ce résultat dans une table).
Voilà, j’espère que c’est plus clair ; le reste est à l’avenant. rv1729 12 octobre 2011 à 23:08 (CEST)Répondre

>> Hervé, c'est effectivement plus clair pour ma petite tête. Merci encore à vous et aux autres qui ont participé à ce problème.

>>> Alors à force de recherche j'ai une explication via les texte législatifs ... avec ce lien: http://www.industrie.gouv.fr/metro/reglemen/textes/arr-20101978.pdf

Magnifique ! Quelle belle et grande merveille que l'administration française et sa prévoyance ... Ça confirme mon impression : le facteur 0,64 est arbitraire. gem (d) 14 octobre 2011 à 16:15 (CEST)Répondre
Grand merci pour cette mine d’exercices !
Gem, excuse ma naïveté, mais quand je vois des critères aussi précis que 0,503 ou 0,379 écart-type, je doute qu’on ait affaire à des facteurs arbitraires. Empiriques, peut-être, mais arbitraire, faut pas déconner ! rv1729 16 octobre 2011 à 00:48 (CEST)Répondre
La précision ne supprime pas l'arbitraire. Une vitesse limite de 50 km/heure aussi c'est très précis, et c'est aussi fondé sur des considérations objectives... mais pourquoi 50 plutôt que 45 ou 60 ? sur notre affaire : pourquoi 0,64 plutôt que 1 ou 0,5 ? Pourquoi n'avoir pas écrit simplement "la probabilité qu'un lot ne contienne pas le volume nominal doit être inférieure à 0,5 % ; cette probabilité est calculée selon la norme afnor XYZ" ? gem (d) 17 octobre 2011 à 10:17 (CEST)Répondre
Parce qu’une telle loi fixe un seuil, pas le moyen de le calculer ; le calcul est fait en amont. C’est pareil pour la loi sur l’empreinte génétique ou les tests de paternité : elle fixe les marqueurs génétiques utilisés, pas la façon dont on les a choisi. rv1729 17 octobre 2011 à 14:13 (CEST)Répondre
À mon avis il ne faut pas chercher plus loin que deux extrêmes par rapport au volume moyen : le maximum tolérable pour un embouteillage sans problème et le minimum acceptable par rapport à la législation pour un volume donné. -O.--M.--H.- 17 octobre 2011 à 13:51 (CEST)Répondre

Récessif/Dominant

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Bonjour! Voilà une question qui me taraude et que je ne pose peut-être pas bien (puisque même un professeur de bio n'a pas pu y répondre): Dans le modèle de l'hérédité génétique de Mendel,il y a des gènes récessifs et d'autres qui sont dominants. Mais y a-t-il une échelle de la récessivité/dominance, ou seulement deux catégories, soit récessif et dominant (je me répète, je crois...)? Est-ce qu'un gène peut être dominant face à un second et récessif face à un tiers ? Merci d'y prêter attention :)

Deux catégories : un gène ou plus exactement un allèle est soit récessif, soit dominant, les deux notions sont exclusives l'une de l'autre. Pour préciser, un allèle dominant est exprimé même quand il est hétérozygote, un allèle récessif ne s'exprime que s'il y a homozygotie. -O.--M.--H.- 10 octobre 2011 à 18:50 (CEST)Répondre
pour préciser la question, qu'en est-il du cas où le même gène a plus de deux allèles, par exemple 3, a, b et c ? N'est-il pas possible qu'un des allèles, par ex b soit dominant par rapport à c et récessif par rapport à a ? Spedona (d) 10 octobre 2011 à 21:13 (CEST)Répondre
Même avec deux allèles seulement, il y a d’autres possibilités que dominant et récessif, par exemple la codominance : c’est le cas des groupes sanguins MN, deux allèles M et N, et on est de groupe MM, MN, NN selon qu’on est homozygote M/M, hétérozygote M/N, ou homozygote N/N. Dans le système ABO, O est récessif, A et B sont (co)-dominants. PS Note que la plupart des polymorphismes génétiques ne se traduisent pas par des différences de phénotype observables... en fait parler d’allèles dominant et récessif est un abus de langage commode ; ce sont certains traits qui sont dominants et récessifs — on les nomme alors traits mendéliens ; ils sont alors gouvernés par deux allèles d’un même gène, qu’on appelle dominant ou récessif. Mais ça n’est pas la situation générale.
La situation que tu envisages est possible, disons avec C un allèle qui n’est pas exprimé du tout, B un allèle qui est faiblement exprimé, et A un allèle pleinement exprimé. Il y a quelque chose de ce genre dans l’elliptocytose héréditaire, si tu y tiens vraiment je pourrai détailler (là, dodo). rv1729 10 octobre 2011 à 22:40 (CEST)Répondre
Des gènes du type Pierre-feuille-ciseaux peut-être ? Émoticône - Cymbella (répondre) - 11 octobre 2011 à 08:16 (CEST)Répondre
Ton clin d’œil fait penser que tu n’es peut-être pas sérieux. Pourtant, « la nature joue à ce jeu », voir par exemple [1]. rv1729 11 octobre 2011 à 08:33 (CEST)Répondre
En effet, j'avais de sérieux doutes, mais je me posais la question malgré tout. Là tu m'as appris quelque chose ! Merci. - Cymbella (répondre) - 11 octobre 2011 à 09:03 (CEST)Répondre
Avec la deuxième question j'aurais répondu autrement, d'ailleurs il y a des éléments de réponses et les liens qui vont dans l'article sur les allèles, ma réponse ne portait que sur le cas dominant / récessif. -O.--M.--H.- 11 octobre 2011 à 09:17 (CEST)Répondre
Toujours est-il que l’assertion « un allèle est soit récessif, soit dominant » est une erreur. rv1729 11 octobre 2011 à 09:24 (CEST)Répondre
Euh, Rv, tu m'as lu ? Je dis bien que « ma réponse ne portait que sur le cas dominant / récessif », dans ce cas-là, je maintiens qu'un allèle est soit récessif, soit dominant, et que l'un est exclusif de l'autre, ce qui n'induit rien quand aux autres cas possibles. -O.--M.--H.- 11 octobre 2011 à 11:26 (CEST)Répondre
Ah oui, dans le cas dominant/récessif, on est dominant ou récessif, en effet, y a rien à dire. rv1729 11 octobre 2011 à 11:35 (CEST)Répondre
Euh, personne n'a jamais entendu parler de la génétique quantitative? :-) (Impossible de trouver l'article, dites-moi pas qu'il existe pas?) Après un siècle de querelles entre les biométriciens et les mendéliens, je trouve ça malheureux que la réponse qui vienne par défaut est une vision mendélienne naïve et simplificatrice. Bien sûr qu'il existe des degrés de dominance intermédiaires, c'est même la règle! Seulement, quand l'hétérozygote ressemble grosso-modo à un homozygote, un généticien "formel" ignorant l'intéret de travailler en quantitatif va classer les génotypes en deux catégories. Une approche beaucoup plus utile est de quantifier le degré de dominance, et de catégoriser la dominance en sous-dominance (hétérozygote inférieur au plus petit homozygote), récessivité complète, dominance negative, pas de dominance, dominance positive, dominance complète, super-dominance, avec des subtilités de langage selon la discipline scientifique. Arnaudus (d) 12 octobre 2011 à 07:49 (CEST)Répondre
Je ne sais pas ce qu'il vaut mais on a en:Quantitative genetics qui pourrait former la base d'un article sur WP.FR. -O.--M.--H.- 12 octobre 2011 à 11:25 (CEST)Répondre
J’ai envisagé de parler de QTL, oui, Arnaudus... mais vu où Olivier avait placé la barre, j’ai préféré en rester à des cas simples de co-dominance. rv1729 (d) 12 octobre 2011 à 08:58 (CEST) Tu recommandes un livre récent de génétique quantitative ? J'ai le Falconer, mais il commence à dater...Répondre
C'est quoi cette histoire ? Ici c'est l'Oracle, pas le Bistro, je n'ai placé aucune barre et tout le monde est libre d'aller où il veut, pour rappel, rv, j'ai simplement précisé que ma première réponse correspondait à la première question, et j'ajoutais que répondant à la deuxième question j'aurais dit tout autre chose. Rien ne t'empêchait de faire ça. -O.--M.--H.- 12 octobre 2011 à 11:20 (CEST)Répondre
La première question était parfaitement claire, personne n’y peut rien si tu ne l’as pas comprise, pas la peine de t’exciter. Rien ne m’empêchait de rien, mais vu le niveau j’ai préféré faire soft. Puisque tu m’obliges à le préciser... rv1729 12 octobre 2011 à 11:56 (CEST)

Pour apporter une petite pierre au sujet des Lois de Mendel Émoticône un gène est dit dominant quand il « trace », c’est-à-dire qu'il va être plus souvent présent dans l'ADN de sa descendance, il domine le gène identique du partenaire. Dans le domaine de l'élevage (chiens, vaches, moutons, chevaux, etc.), là où il n'y a que très peu de critères à améliorer (du genre : plus de lait, plus de viande, plus de poils, etc.), les Lois du sieur Mendel peuvent s'appliquer ; comment ? Via les gènes qu'on veut rendre dominants afin de fixer les critères.

Certains gènes sont dominants naturellement, on renforce aussi un gène pour qu'il devienne dominant par l'inceste! Une suite de mariages mère fils ou père fille ou entre cousins... Chez les animaux, dans ce genre de portée, il y aura du déchet, un certain pourcentage de nouveaux nés ne sera pas viable (Quasiment la plupart des races de chiens ont été inventées à la fin duXIXe siècle et début du XXe siècle Oh !)... Chez les humain on appellera ça « du sang bleu »... Pour pallier à cet inconvénient (de plus en plus de monstres au fur et à mesure de ces mariages consanguins), certains, comme la Bergerie National de Rambouillet utilisent la technique d'élever en parallèle deux lignées chacune consanguines et, quand une lignée dégénère de trop, celle-ci est régénérée par un croisement avec l'autre lignée, un retrempage en quelque sorte.

Heureusement, il plus difficile et délicat et même vain d'utiliser ces techniques afin d'améliorer le comportement ou l'intelligence des êtres humains, cependant, il est raconté dans les chaumières qu'Abraham a eu 90 enfants. Sans doute du persiflage. Bonjour chez vous. — Wfplb [blabla] 14 octobre 2011 à 15:33 (CEST)Répondre

Forger les notes

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est-il illégal de forger vos notes ainsi vous obtenez un vingt sur vingt sur vos exams? Merci

C'est illégal. Droit des examens scolaires et universitaires v_atekor (d) 11 octobre 2011 à 10:28 (CEST)Répondre
Question bête mais ça a quel sens "forger des notes"? (Mitch)2 11 octobre 2011 à 10:36 (CEST)Répondre
J'ai interprété par la personne examinée pose elle même sa note. Outre les accès frauduleux et/ou de corruption que cela implique, la pratique est illégale en elle même. v_atekor (d) 11 octobre 2011 à 10:41 (CEST)Répondre
"forger" http://atilf.atilf.fr/dendien/scripts/tlfiv5/advanced.exe?8;s=768768135; : "fabriquer pour les besoin de la cause"  ; c'est plutôt archaïque et inusité en métropole dans ce sens mais pas exclus que ça subsiste au Canada, notamment parce que ça correspond pile poil à l'anglicisme de même sens (forgery est la fabrication d'un faux) gem (d) 11 octobre 2011 à 11:04 (CEST) Non, ce n'est pas du tout utilisé par chez nous. Dhatier jasons-z-en 11 octobre 2011 à 17:20 (CEST) Répondre
Ca n'est pas tant la corruption je pense, mais surtout le fait d'être juge et partie à la fois qui pose problème non? En tout cas, clairement se poser soi-même sa note serait un peu facile. Cela dit, en test comparatif ca se fait parfois, genre : tu te donnes une note et on compare avec la note que l’examinateur t'a donnée. Ca permet d'évaluer l'objectivité de la personne. (Mitch)2 11 octobre 2011 à 10:55 (CEST)Répondre
Ben, je ne sais pas, c'est sûr que l'usage est rare désormais en France, mais j'ai déjà rencontré l'expression dans des bouquins des deux siècles passés. Une forgerie est une tromperie « forgée » fabriquée, l’« action d'inventer, de monter de toute pièce quelque chose d'imaginaire, de faux. Le résultat de cette action ». Le sens que j'avais compris dans les emplois de forger et forgerie, est en gros une tromperie basée sur la présentation ou l'évocation de documents ou événement vrais à la base mais déformés ou modifiés, ce qui serait le cas pour une note trafiquée. -O.--M.--H.- 11 octobre 2011 à 12:02 (CEST)Répondre
CQui (d) Je suis peut-etre un peu bourrin mais pour moi, forger c'est transformer de la matiere en tapant dessus, on en apprend tous les jours, merci. --11 octobre 2011 à 17:16 (CEST)Répondre
… j'ai connu des cuivres qui forgeaient les notes, et pour moi c'est automatique, quand c'est fort, je romps. — Hautbois [canqueter] 11 octobre 2011 à 20:47 (CEST)Répondre
On le sait k't'es un mousicien du tonnerre de Brest !. Allez envoyez la moujik ! Mike Coppolano (d) 12 octobre 2011 à 09:35 (CEST)Répondre

Bonbons

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Bonjour,
Quel est le pays plus gros consommateur de bonbons ? Est-ce que c'est l'Allemand qui suce le plus ou le Français, l'Américain ? Je vous remercie

Par tête de pipe ? - (j'ai tellement honte que je n'ose pas signer (Smiley oups))
La Chine ou bien l'Inde. Mike Coppolano (d) 11 octobre 2011 à 18:56 (CEST)Répondre
À Liège, on parle de 'chiques', les 'bonbons' sont des biscuits (et les tunnels des 'trémies'). Émoticône -- Xofc [me contacter] 11 octobre 2011 à 19:41 (CEST) Je confirme ; c'est d'ailleurs très surprenant pour une Bruxelloise : à Bruxelles, les chiques sont des chewing-gum --Égoïté (d) 12 octobre 2011 à 08:44 (CEST) et toujours à Bruxelles, les Napoléon, Fruittella et Hopjes s'appellent tous des boules… quelle que soit leur forme ! - Cymbella (répondre) - 12 octobre 2011 à 10:24 (CEST) (une ex-Bruxelloise) Et le magasin de bonbons, juste à côté des écoles Émoticône, c'était le bollewinkel... --Égoïté (d) 12 octobre 2011 à 13:35 (CEST)Répondre
Bonbons, je ne sais pas. Mais sucre: Inde premier, Chine deuxième.
Pour arrêter de fumer on m'a conseillé de sucer des bonbons. Mais j'aimais pas sucer des bonbons. Alors j'ai sucé un baton de réglisse et ça a marché ... Mike Coppolano (d) 12 octobre 2011 à 20:48 (CEST) _ Heu, combien de fois l'as-tu allumé par erreur ? --Doalex (d) 12 octobre 2011 à 21:08 (CEST) euh, un cigarillo à la vanille de temps en temps, je sais j'devrais pas ! Émoticône Mike Coppolano (d) 12 octobre 2011 à 21:51 (CEST) Répondre


sous nutrition et mal nutrition

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bonjour a tous, preparant ou essayant de preparer le concours pour rentrer dans une ecole d'infirmiere ,je souhaiterais savoir quelle est la difference entre mal nitrition et sous nutrition merci d'avance — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 82.254.77.173 (discuter)

Wikipédia est ton amie. Voir malnutrition et sous-nutrition. -- Mister BV (d) 11 octobre 2011 à 15:24 (CEST)Répondre

Porte-clefs

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Bonjour/bonsoir,

l'un ou l'une d'entre vous connaitrait-il le nom du système d'ouverture/fermeture (avec un petit levier) de l'anneau de ce porte-clefs et de la "chaînette-serpent" qui le relie aux deux petits sabots ? ou à défaut de noms, une suggestion (non TI !) pour le décrire ?

Merci, Cymbella (répondre) - 11 octobre 2011 à 22:45 (CEST)Répondre

… « tire la chevillette, la bobinette cherra. » — Hautbois [canqueter] 11 octobre 2011 à 23:29 (CEST)Répondre
… plus sérieusement, Françoise Chappuy a écrit Les porte-clés (03/1996). Le nom de l'anneau et de sa chaîne est « attache porte-clé » (pas trouvé plus de détails). Une copocléphile peut être contacter à partir de cette page.Hautbois [canqueter] 12 octobre 2011 à 05:44 (CEST) (♪♫ Copocléphilie, et dire que c'était la ville de mon premier amour… ♪♫)Répondre
Porte clé : Innovation très pratique qui permet de perdre toutes ses clés d’un coup au lieu de les perdre une par une Émoticône (Mitch)2 12 octobre 2011 à 09:00 (CEST)Répondre
CQui (d) cela utilise le principe de la genouillere mais l'article en question devrait etre reecrit, il parle de tout autre chose, un joint de cadran. --12 octobre 2011 à 15:52 (CEST)Répondre
Il me semble que ce genre de fermoir est appelé clip ou clips, sinon fermoir fait aussi l'affaire. -O.--M.--H.- 12 octobre 2011 à 17:25 (CEST)Répondre
Grand merci à tous. J'ai essayé d'intégrer tout ça dans la description du porte-clefs, avec un lien vers la genouillière créée par CQui, mais il me manque encore le nom de la « chaînette-serpent ». - Cymbella (répondre) - 12 octobre 2011 à 22:55 (CEST)Répondre
Eh bien, après quelques recherches... j’apprends qu’en bijouterie les maillons d’une chaîne s’appellent plutôt des mailles (normal, ils sont plus petits, le suffixe -on est un augmentatif), et que ces mailles-ci sont des « mailles serpent » (cf par exemple [2]) — tu ne croyais peut-être pas si bien dire. Bref, ta chaînette est une chaînette à mailles serpent. rv1729 14 octobre 2011 à 08:44 (CEST)Répondre
Merci rv Émoticône sourire. Je connaissais les colliers serpent et je me demandais si c'était le nom usuel pour ce type de chaîne.
Selon l'article augmentatif « Dans la dérivation française, le suffixe -on tend plutôt au contraire vers un sens diminutif » (comme il est par ailleurs mentionné dans l'article diminutif)… formulation peu claire, cela mériterait d'être illustré avec quelques exemples, mais c'est une autre question ! - Cymbella (répondre) - 14 octobre 2011 à 11:54 (CEST)Répondre
Ceinture, ceinturon, balle, ballon, blouse, blouson... c’est clairement un augmentatif, comme son homologue espagnol d’ailleurs. rv1729 16 octobre 2011 à 08:30 (CEST)Répondre
CQui (d) Heu... une balle peut etre plus grande qu'un ballon quoi, un lien rouge??? et une blouse plus longue qu'un blouson... --20 octobre 2011 à 17:42 (CEST)

Contacter Oscar de la Renta

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Madame, Monsieur, Je souhaite adresser un mail ou un courrier à monsieur Oscar de la Renta, à propos d'un parfum qu'il avait créé et que l'on ne trouve plus. Avez-vous une suggestion? Je suis allée consulter le site officiel, mais, sauf erreur de ma part, je n'ai pas trouvé le moyen d'y déposer un message.

Merci de vos suggestions.

Téléphone Wikipédia n'est ni un annuaire, ni une base de données, ni un site de renseignements téléphoniques, mais une encyclopédie.
De ce fait, les articles qui la composent ne doivent pas se borner à être de simples compilations de sources primaires, mais doivent au contraire s'appuyer sur des sources secondaires qui analysent le sujet et le mettent en perspective.

--Serged/ 12 octobre 2011 à 06:22 (CEST)Répondre
Le nom de ce parfum a du être déposé auprès de l'Institut national de la propriété industrielle (INPI) ; établissement public situé au 26 bis, rue de Saint Pétersbourg, 75800 cedex 08 Paris - 0820 213 213 (0,09 € TTC/mn) - Fax : 01 53 04 45 23. Voir leur site. Philippe Nusbaumer (d) 12 octobre 2011 à 07:37 (CEST)Répondre
Sinon, il y a l'article Oscar de la Renta et le site officiel Oscar de la Renta, qui peuvent permettre de retrouver le nom du parfum en question, je suppose. Sur le site officiel il y a un lien « CAREERS » qui permet d'envoyer un courriel ; ma méthode quand il n'y a pas moyen de trouver une adresse plus spécifique est d'en prendre une disponible et d'y soumettre ma question, en général on est renvoyé vers la bonne adresse. -O.--M.--H.- 12 octobre 2011 à 11:29 (CEST)Répondre
d'abord s'il est en France n'y a t-il pas un Who's Who ? Et de même l'édition espagnole voire américaine ou un site genre Linkeln pour ces pays Mike Coppolano (d) 12 octobre 2011 à 11:35 (CEST)Répondre
Peut-être trouveras-tu ton bonheur sur cette page ? -O.--M.--H.- 12 octobre 2011 à 11:41 (CEST)Répondre

provenance de la famille Claveau

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Bonjour cher grand-et-tout-puissant oracle, je voudrais savoir, de quel province de la france proviennent les membres de la famille Claveau présent au Québec, Merci et bonne journée. Le Q-rieux♪♫ 12 octobre 2011 à 20:55 (CEST)Répondre

Une réponse (toute la vérité n'est pas dedans !) Apparemment claveau (ou clavel) étant un clou, on a affaire à un surnom désignant sans doute celui qui fabrique ou vend des clous. Le nom est surtout porté en Indre-et-Loire. (Variantes : Clavaud, Clavault (départements 87, 86), Clavel (départements 38, 48)/ Cette page sur le wiki Généawiki [3], mais je connais mal ce wiki (Pour mener tes recherches en Indre et Loire : [4])/3° En gros les lieux d'origine des Claveau -> Vienne (département) | Charente Maritime | Cher | Indre et Loire | Vendée | Loiret Mike Coppolano (d) 12 octobre 2011 à 21:13 (CEST)Répondre
Merci ^^ Le Q-rieux♪♫ 12 octobre 2011 à 22:07 (CEST)Répondre
Hum, hum bonjour tout le monde (où qui sont ?) bon passons à claveau il me semble que claveau n'ait pas de rapport avec le mot clou mais plutot avec le mot clé voir l'article claveau et claveau, la confusion est normale car moi aussi j'ai pensé à clou car phonétiquement ça correspond à clavo en espagnol et qui signifie clou, j'ai pensé aussi à André Claveau mais ceci est une autre chanson. Mais il est vrai également que sur un site dédié à la généalogie il est écrit « CLAVEAU - Altération de Lavaux, La Vaux, Laveau ou La Veau, les noms de plusieurs localités en France. Ou encore, surnom donné à un fabricant de 'gros' clous. » --Doalex (d) 13 octobre 2011 à 12:40 (CEST)Répondre
attention sur l'atilf il y a deux article "claveau" avec trois sens : celui qui est repris par le wiktionnaire que tu cite et, plus commun, deux sens qui dérivent du clou latin (clavus,i) : d'une part (sens propre) clou, cheville, d'autre part (sens dérivé) verrue, pustule et une maladie du bétail (la clavelée).
Il est déjà difficile de savoir de quelle région provenait le sieur Claveau qui a émigré de France, mais savoir d'où il tirait son nom c'est carrément illusoire (un marchant de clou, un type maigre comme un clou, un gars avec un gros "poireau" ...)
gem (d) 13 octobre 2011 à 13:03 (CEST)Répondre
Oui tu as raison, j'ai l'air de dire qu'il n'existe qu'un seul sens, désolé Mike ce n'était pas mon propos mais une intention purement encyclopédique, dans la série si vous m'avez compris, c'est que je me suis mal exprimé citation de Alan Greenspan (?) Gem a raison il faut être complet et donc regarder le mot ici [5]. (Smiley oups) --Doalex (d) 13 octobre 2011 à 13:50 (CEST)Répondre
Toutes façons, pas sur que c'est demain la veille que l'on trouvera le trésor des Claveau. Tiens donc ! Il faudrait une date, le lieu on s'en fiche, les coffiots même anciens ça se dynamite, ça s'éparpille !! Mike Coppolano (d) 13 octobre 2011 à 13:55 (CEST)Répondre
Il y a les familles Claveau et les Claveau de famille (je sors...) -O.--M.--H.- 13 octobre 2011 à 14:05 (CEST) _ Et restes-y car Claveau c'est le nom de famille de Q-rieux.Émoticône --Doalex (d) 13 octobre 2011 à 17:03 (CEST)Répondre
Le Dictionnaire Larousse des Noms et Prénoms (1980) indique comme origine le Massif Central. --Mistig (d) 13 octobre 2011 à 15:18 (CEST)Répondre
J'ai entendue parler dans ma famille, que la famille Claveau descendais des Laveau (écrit phonétiquement) donc la piste sur l'altération du mot Lavaux, La Vaux, Laveau ect. m'a l'air juste. Le Q-rieux♪♫ 13 octobre 2011 à 19:00 (CEST)Répondre
À une nuance près quand même, c'est que Lavaux en tant que localité se retrouve essentiellement en Suisse et en Belgique, il ne faut pas trop se fier aux indications sommaires des sites de généalogie comme celui dont est tiré la citation qui attirent l'attention mais restent avares de renseignements car ce sont en général des sites payants. Tu aurais plus de chance en interrogeant quelques autres Claveau du Québec qui auront eu cette interrogation également et également quelques contributeurs de la Belle Province et habitués de l'Oracle pourraient te donner d'autres pistes pour ta recherche.--Doalex (d) 13 octobre 2011 à 20:11 (CEST)Répondre
Qu'à cela ne tienne. Dans le même ouvrage, Laveau est donné comme une altération de Lavau (forme vocalisée de Laval). Mais il existe surtout des variantes : Lavaud, Lavaux, Lavault... D'où un certain nombre de noms de localités du Centre et de l'Ouest (notamment : Yonne et Loire-Atlantique...). Évidemment, les patronymes seraient dérivés des localités. D'un autre côté, les actes de naissances depuis le début du XXe siècle donne une majorité de patronymes « Laveau » en Gironde, dans l'Yonne et le Cher. --Mistig (d) 13 octobre 2011 à 21:39 (CEST)Répondre
... Et "Laval" est le nom de plusieurs communes, un peu partout en France et en Belgique (sans oublier le Québec). Donc pas facile à localiser... Une de mes grands-mères "Laval" est originaire de Haute-Loire et le Laval le plus connu est né dans le Puy-de-Dôme voisin. --Serged/ 14 octobre 2011 à 08:28 (CEST)Répondre

Censure d'internet au Canada

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Pays mettant en place des obstacles au libre accès à l'information sur Internet.
  • censuré
  • surveillé
  • partiellement censuré
  • aucune censure
  • Bonjour cher oracle, je voudrais savoir, qu'est-ce qui est censuré d'internet au Canada? Est-ce que c'est seulement quelque province qui sont sujette à censure, ou le Québec est victime elle aussi de censure d'internet? Merci et bonne journée. Le Q-rieux♪♫ 13 octobre 2011 à 18:51 (CEST)Répondre

    Je ne sais pas trop d'où vient cette carte mais perso je ne m'y fierais pas trop : m'étonnerait pour exemples que les pays de l'ex-yougoslavie et surtout la Moldavie soient les rares pays d'Europe où il n'y ait pas de censure de l'Internet. Sinon pour la situation au Canada je ne sais pas. --Epsilon0 ε0 13 octobre 2011 à 19:29 (CEST)Répondre
    J'ignore si c'est lié à une censure ou à un problème de fournisseur d'accès ou de serveur, mais à Sherbrooke, pas moyen d'accéder via une VirtualBox à un programme sur le serveur de mon bureau (Bruxelles), alors que je le fais couramment de chez moi (Liège). - Cymbella (répondre) - 13 octobre 2011 à 20:49 (CEST)Répondre
    Ah ? Et Sherbrooke (d · c · b) qui a 50676 édits sur wp n'en a fait que 12 cette année 2011, est-ce lié ? --Epsilon0 ε0 13 octobre 2011 à 20:57 (CEST)Répondre
    La carte proviens de cet article: Censure de l'Internet, et elle étais dans l'introduction, étonnamment quelqu'un l'a supprimé quelque part dans la journée d'aujourd'hui, il me semble que la source de la carte étais RSF Le Q-rieux♪♫ 14 octobre 2011 à 01:09 (CEST)Répondre
    La source semble bien RSF, voir cette partie de l'article RSF. Pour mon compte, j'aurais tendance à ne pas faire confiance à cette source, notamment quand on voit que la France est classée parmi les pays de 3° catégorie pour la liberté de la presse, alors que le Ghana et la Namibie sont de 1° catégorie (le moins de contraintes). Le classement de l'Australie parmi les plus liberticides pour Internet, par exemple, repose moins tant sur la réalité d'une censure que (voir cette page) sur la discussion, depuis 2006 déjà, d'une possible loi, et sur une série de « il y aurait », ce qui donne tout de suite du poids et du sérieux aux allégations... -O.--M.--H.- 14 octobre 2011 à 05:32 (CEST)Répondre
    JE confirme que la carte est fausse. L'équateur que je connais bien est classé en 1ere catégorie. Or, les mêmes RSF dénoncent une main mise de la présidence de la République sur les médias, des attaques quotidiennes de la part du pouvoir, et un procès spectaculaire contre le principal journal d'opposition où le président demande 40 millions de dollars pour diffamation (somme entrainant la fermeture du journal). Le même gouvernement a fait passer par référendum des lois interdisant les financements privés des journaux ; C'est la totale contre la liberté de la presse, et pourtant le pays est classé 1er .... v_atekor (d) 14 octobre 2011 à 09:57 (CEST)Répondre
    Le cas du Vénézuela classé 1er est éhontément faux également. Divers organes d'internet sont censurés (inaccessibles) voire modifiés à la volé (contenu utilisateur différent de contenu serveur par un classique man in the midle). IL faudrait du rouge violacé... Il est urgent de refaire la carte. v_atekor (d) 14 octobre 2011 à 10:02 (CEST)Répondre
    Tu as raison car c'est le problème du détournement de fichier, la version présentée ici remaniée 6 fois sous le titre de Fichier:Internet blackholes.svg est issue de File:Internet blackholes fr.png qui date de 2006, en passant par Fichier:Reporters Without Borders 2009 Press Freedom Rankings Map.svg de 2010 et les 3 sont utilisées sur des articles divers selon la carte, l'article commun restant RSF dans les divers projets, c'est du bricolage fait par des contributeurs partisans, il est dommage que la version originale ne soit pas protégée et que les cartes suivantes issues des informations par pays qui émaneraient des rapports de RSF ne soit pas à chaque fois sourcées et datées, puis protégées (si l'on tient absolument à créer une carte), car à l'origine sur wp.fr, également il existe 2 cartes distinctes, l'une se réfère à internet et l'autre à la liberté de la presse, voir Rapports de Reporters sans frontières les bricoleurs mélangent sans état d'âme les 2 sujets, à voir sur le Bistro peut-être ? On y a parlé, récemment je crois, de supprimer purement et simplement certaines photos (en réalité et pour être plus précis il s'agit de la suppression de l'exception admise en décembre 2006 et portant sur les œuvres architecturales récentes voir Wikipédia:Exceptions au droit d'auteur et non pas bien entendu toutes les illustrartions, et le vote en cours voir Wikipédia:Prise de décision/Remise en cause de l'exception au droit d'auteur sur les bâtiments récents qui remet en cause cette exception a été lancé le 6 août 2011 sur le Bistro et si l'exception n'est pas maintenue il faudra aller voir les documents à l'aide des liens appropriés) et dans ce cas précis (sans aborder le reste, vaste sujet...) seuls seraient admis les liens directs au site de RSF car malheureusement le paysage mondial de la censure évolue sans cesse, on doit indiquer où trouver l'information récente et c'est tout (POV), maintenant (absurde), imaginons une carte météo de la France sur l'article météorologie mise à jour quotidiennement par des contributeurs disséminés un peu partout (j'ai écrit c'est absurde).--Doalex (d) 14 octobre 2011 à 14:42 (CEST)Répondre
    Hmmm... va pour la question dans le bistrot. Il faut pouvoir faire des cartes fiables, c'est à dire qui soient au moins datées et se référer à une source unique cité sur la carte/en légende. En l'état c'est du TI. v_atekor (d) 14 octobre 2011 à 14:54 (CEST)Répondre
    Ceci dit, pour répondre à la question initiale de ce qui pourrait être censuré au Canada, ça dépend de ce qu'on appelle censure, mais j'imagine que des lois rendent illégaux certains sites en raison de leur caractère pédophile, ou diffamatoire, ou incitant à la haine, ou raciste... ce genre de sites, quoi... (peut-être aussi des sites comme Wikileaks)... Peut-être que c'est cela qui est désigné sous l'appellation de censure d'internet ? 213.36.8.189 (d) 20 octobre 2011 à 09:36 (CEST)Répondre

    Les Tilkins

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    Bonjour,

    Par essence, les noms propres ne prennent pas de s au pluriel. La pièces de théâtre radiophonique de feu Marc Moulin concernant la famille Tilkin, il convient donc que "Tilkin" soit invariable, malgré le "les" qui le précède. Cela se vérifie d'ailleurs dans le corps de l'article. J'ai trop de respect pour la qualité de l'humour de Marc Moulin pour laisser passer la moindre inexactitude factuelle.

    Merci ! — Le message qui précède, non signé, a été déposé par Vincent Jacque (discuter)

    Bonjour, j'ai renommé l'article en Les Tilkin avec comme commentaire Plus conforme à l'invariabilité des noms propres et il faut un redirect ... maintenant quel est le titre officiel de cette émission radio ? ... car si le titre officiel de l'émission est avec un "s" il faut le garder. Je n'ai rien trouvé de probant sur le site de la RTBF. --Epsilon0 ε0 13 octobre 2011 à 20:17 (CEST)Répondre
    C'est pas La Semaine infernale ? Comme il est écrit au début de Les Tilkin.--Doalex (d) 13 octobre 2011 à 20:20 (CEST) la famille, pas la semaine ! La semaine infernale est une émission radio qui n'a rien à voir Émoticône - Cymbella (répondre) - 14 octobre 2011 à 15:00 (CEST) _Voui, mais moi je n'ai fait que reprendre les quelques lignes de l'introduction en pensant que la diffusion originale était (?) bien un feuilleton au sein de l'émission La semaine infernale et qu'à ce titre les historiens de l'Oracle spécialisés dans les émissions radiophoniques et ben, ils auraient plus de facilité à résoudre cette énigme (résolue depuis d'ailleurs par Olivier) . Les Doalex 14 octobre 2011 à 17:48 (CEST) - Sorry, tu as raison ! Cette émission m'horripilait, si bien que je ne l'ai guère écoutée, d'où ma confusion !- Cymbella (répondre) - 14 octobre 2011 à 23:13 (CEST)Répondre
    Il semble (je ne connais pas l'émission), mais cela ne tranche pas le titre de ce feuilleton. Sinon c'est marrant car les noms propres sont invariables et chacun sait qu'il n'ont pas d'orthographe ;-). --Epsilon0 ε0 13 octobre 2011 à 20:25 (CEST)Répondre
    Oups ! J'avais mal lu le sens de ta question, désolé, je demande un joker: Égoïté au secours ! ( ou Cymbella)--Doalex (d) 13 octobre 2011 à 22:24 (CEST) - J'ai bien trouvé une source [6] mais le problème c'est qu'il s'agit, à priori, d'une vidéo mise en ligne par la personne qui a commencé ce sujet, vincentjacque ( toujours sans s ).--Doalex (d) 13 octobre 2011 à 22:59 (CEST)Répondre
    De ce que j'ai pu voir sur Internet, spécialement sur le site de la RTBF, c'est bien « Les Tilkin », ce qui correspond aux règles grammaticales du français, et il y a un titre alternatif, en lien avec le nom de l'émission globale, « La Famille infernale », par contre je n'ai pas pu vérifier si l'un est le titre, l'autre le sous-titre, ou si les deux titres s'équivalent. -O.--M.--H.- 14 octobre 2011 à 08:09 (CEST)Répondre

    Moteur homopolaire

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    Salut Oracle ! En lisant l'article sur le moteur homopolaire, je me demandait quel était le rôle de l'aimant qu'on place sous la pile et pourquoi le tout ne court-circuite tout simplement pas la pile. Merci :)

    J'étoffe, sans répondre, avec ça Moteur homopolaire éventuellement peut servir de référence pour l'article et pour ceux qui lisent bien l'anglais voir l'article plus complet qui contient plus de références aussi.--Doalex (d) 13 octobre 2011 à 23:15 (CEST)Répondre
    Voir aussi ça. rv1729 14 octobre 2011 à 08:31 (CEST)Répondre
    le rôle de l'aimant est de fournir le champs magnétique bien sûr ; lequel est indispensable pour produire la force de Laplace qui fait fonctionner le truc. Et la pile est bel et bien "tout simplement" en court-circuit ... gem (d) 14 octobre 2011 à 10:35 (CEST)Répondre

    "Où en est"

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    Bonjour,
    Grâce aux miracles d'internet, alors que je surfais sur un site web comique, je me suis retrouvé sur un forum de gens qui apprenaient le français, et un d'eux posait une question à laquelle personne n'arrivait à répondre. Et le fait que même en cherchant une réponse sur le net je n'y arrive pas me dérange un peu (un petit grattement au milieu du dos).
    En fait, un Anglais avait reçu un mail de son correspondant, qui lui demandait : "Où en sont tes études?", et il se demandait ce que le en représentait, et pourquoi on le mettait.
    Après, c'est évident que c'est idiomatique, que c'est une expression, et que elle nous permet de différencier les deux sens "Où sont tes études?" et "Où en sont tes études?".
    Mais dans le fond, qu'est-ce que ce "en" fout là?
    Merci d'avanceSpoutnik16 (d) 14 octobre 2011 à 12:01 (CEST)Répondre

    En l'occurrence, il représente ici son correspondant. Selon le Nouveau Petit Robert 2008, « en » est dans ces cas un « pronom adverbial représentatif d'une chose, d'un énoncé et quelquefois … d'une personne ». Père Igor (d) 14 octobre 2011 à 12:31 (CEST)Répondre
    pas d'accord : "en", ce n'est pas le gars qui fait les études...
    le mieux c'est de demander à un dico : http://atilf.atilf.fr/dendien/scripts/tlfiv5/advanced.exe?8;s=4144539225;
    l'entrée 10 ne fait pas de mal pour comprendre ce que c'est que "en" (en = in = dedans, de, sur, ... )
    donc le "en" sert à exprimer une position relative dans un cadre limité ("dedans") : il y a un niveau de référence implicite (les études achevées, en l'occurrence) et on demande où le niveau actuel se trouve par rapport à , "dans", cette référence ; je ne connais l'équivalent anglais mais je sûr qu'il existe gem (d) 14 octobre 2011 à 12:52 (CEST)Répondre
    Parce que la réponse attendue est :
    • Où sont tes études ? -> Elles sont à la fac de Trifouillis-les-Oies.
    • en sont tes études ? -> Elles en sont au stade des examens.
    --Serged/ 14 octobre 2011 à 17:16 (CEST)Répondre
    Oui, l'expression est évidemment elliptique. Le pronom « en » a été en vieux langage une forme de substitution très souple ; et le reste un peu aujourd'hui. Il remplace couramment un pronom ou un sujet déjà énoncé ou simplement suggéré, avec le sens "de cela, à cela, par cela..." L'ancien français utilisait avant nous le mot « en » pour indiquer un état final, un point d'arrivée (souvent avec « de », le point de départ). Revenir [de guerre] en un état pitoyable ; aller de mal en pis ; de butte en blanc... Ainsi, on peut suggérer: depuis que nous nous sommes vus dernièrement, à quel stade sont parvenues vos études ? . Il subsiste aujourd'hui nombre d'idiotismes qui sont peu ou prou explicables : s'en aller ; ne pas en revenir ; en être réduit ; s'en mordre les doigts ; etc. --Mistig (d) 14 octobre 2011 à 17:14 (CEST)Répondre

    Demande d'inscription

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    Je veus vous demandez est ce que l'inscription continu ou dans d'autre filière. Veuiller agréer mes sincères questions.Merci — Le message qui précède, non signé, a été déposé par 41.223.187.43 (discuter), le 14 octobre 2011 à 12:25

    Nous agréons sans problème, mais nous ne comprenons pas la question. Veuillez la reformuler et le préciser. Merci, --Égoïté (d) 14 octobre 2011 à 13:21 (CEST)Répondre
    42 Chère visiteuse, cher visiteur, nous regrettons, mais nous n'avons pas compris votre question. Sachez tout de même que la réponse ultime est 42. Si cela ne répond pas à votre question, nous vous invitons à reformuler celle-ci de manière claire et néanmoins courtoise, afin que nous puissions tenter d'y répondre.

    -O.--M.--H.- 14 octobre 2011 à 14:34 (CEST)Répondre

    C'est incroyable ces demandes... Je ne comprends absolument pas comment les gens arrivent à se perdre à ce point... Ils voient bien qu'on n'est pas le site d'une fac ici non? Des fois j'ai l'impression que les gens nous prennent pour d'autres. (Mitch)2 14 octobre 2011 à 14:37 (CEST)Répondre
    Ca c'est dans l'hypothèse de WP:FOI. Pour l'autre, c'est "ils nous prennent pour des imbéciles" et le font exprès. Émoticône --Floflo (d) 14 octobre 2011 à 14:41 (CEST)Répondre
    Oui je sais, c'est un TOC chez moi, mais en examinant l'adresse IP avec les outils externes fournis par wikipédia pour un usage modéré, il appert que le contributeur c'est certainement englué dans les méandres poétiques de la toile, son point géographique d'origine étant en Centrafrique, on peut donc pardonner si vraiment il a pensé que nous étions un centre d'informations.--Doalex (d) 14 octobre 2011 à 15:19 (CEST)Répondre

    Et/ou ou et ou

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    Grand Maîtres,

    Dans quelques articles, j'ai utilisé l'expression « et/ou », laquelle a été violemment érasée par un zélé de la langue française. Question: cette expression usuelle est-elle incorrecte? Doit-on utiliser « et ou » ou « et, ou » ou encore je ne sais quoi? Bien que cette expression existe dans le wikitionnaire, merci de m'éclairer sur ce sujet qui semble délicat pour certains. Cordialement. — Wfplb [blabla] 14 octobre 2011 à 13:58 (CEST)Répondre

    Elle correcte mais n'est pas très élégante. Reprenant l'interprétation mathématique ou est généralement considéré comme inclusif, ou bien comme exclusif. Cependant on peut imaginer d'autres formules et tournures de phrase qui lèvent toute ambiguïté et évitent cette graphie v_atekor (d) 14 octobre 2011 à 14:11 (CEST)Répondre
    elle est incorrecte et ridicule : la barre oblique / n'étant rien d'autre que l'équivalent pour le "ou" du & pour "et", cette expression se traduit en bon français pas "et ou ou" (prononcez donc ça, qu'on rigole), qui traduit : "au moins l'un des deux", c'est à dire exactement la même chose que "ou" (inclusif, par défaut : quand on veut exprimer le ou exclusif on utilise "ou bien").
    Il suffit d'utiliser "ou", comme l'indique le wiktionnaire qui précise que c'est un synonyme (je dirais même : un synonyme parfait !)
    Néanmoins ce n'est pas la première expression incorrecte qui rentre progressivement dans l'usage ( "au jour d'aujourd'hui" qui remplace "aujourd'hui", comme, ironiquement, "aujourd'hui" avait naguère remplacer "hui" ... )
    L'évolution naturelle de ce barbarisme c'est sans doute de devenir etou, qui sera à on tout supplanté par et/etou (et ou etou) , etc.
    gem (d) 14 octobre 2011 à 15:58 (CEST)Répondre
    Je ne suis pas sûre qu'en grammaire la conjonction « ou » est inclusive comme elle l'est en mathématiques. À mon avis, pour que la tournure soit correcte, il faut utiliser une périphrase comme « l'un ou l'autre, ou les deux ». - Cymbella (répondre) - 14 octobre 2011 à 16:17 (CEST)Répondre
    et bien si tu n'est pas sûr, trouve donc un exemple, un seul, ou le barbarisme apporte un sens plus précis que le simple "ou". Tu n'en trouvera pas. En français il n'y a pas de doute. On y dispose depuis longtemps de "ou bien" pour exprimer le "ou non inclusif" (= "un seul, mais pas les deux"), ce qui dispense le "ou" de porter la sémantique de l'exclusif (bien qu'évidemment il y a des exceptions, notamment quand le contexte induit une alternative exclusive, comme dans "c'était un homme ou une femme ? ").
    En anglais par contre je suis moins affirmatif, d'ailleurs les matheux/logiciens ont éprouvé le besoin d'inventer le néologisme "xor" pour exprimer le "ou exclusif" ce qui tendrait à prouver qu'en anglais il y avait une ambiguïté donc de la place pour and/or pour exprimer le "ou inclusif". Je suppose que le barbarisme se répand sous influence de l'anglais... gem (d) 14 octobre 2011 à 17:02 (CEST)Répondre
    Je dirais plutôt sous influence des informaticiens (programmeurs) chez qui le ou/et / et/ou est d'usage depuis un moment pour exprimer sans ambigüité le ou inclusif de l'algèbre booléenne. En langage ordinaire ça n'a pas vraiment d'intérêt, les humains ne sont pas des ordinateurs et savent évaluer si il s'agit d'un ou exclusif ou d'autre chose. -O.--M.--H.- 14 octobre 2011 à 20:43 (CEST)Répondre
    Je crois que la distinction entre les deux cas existait en latin, si quelqu'un confirme? v_atekor (d) 14 octobre 2011 à 16:48 (CEST)Répondre
    je ne crois pas ; voir le gaffiot http://www.lexilogos.com/latin/gaffiot.php?p=195 ; cependant si "aut" exprime les deux ou, "aut ... aut ..." exprime la version disjonctive. "ou ... ou ..." existe aussi en français avec la même valeur disjonctive :"ou tu prends l'une, ou tu prend l'autre !" gem (d) 14 octobre 2011 à 17:07 (CEST)Répondre
    En latin classique, le « aut » est la conjonction de l'alternative, c'est à dire : l'un ou l'autre mais pas les deux. Les autres sont plus nuancées (vel, ve ; ac, que...). En français, nous n'avons guère le choix puisque, sans doute par une habitude de langage "conciliant", nous manquons de mots nets et précis, et c'est un contexte bien déterminé (clair) qui imposera le sens. --Mistig (d) 14 octobre 2011 à 17:47 (CEST)Répondre
    @Gem, je ne veux pas prôner le "barbarisme" « et/ou » (par ailleurs proposé par le wiktionnaire [7]), quoique je le trouve très pratique, mais certainement pas dans un texte littéraire, ni même dans un article sur WP ! . Si je te dis « Je viendrai aujourd'hui ou demain, avec mon fils ou ma fille » c'est ambigu, que comprends-tu : « soit aujourd'hui, soit demain, avec ou mon fils, ou ma fille » ou « aujourd'hui ou demain ou les deux, avec l'un ou l'autre ou les deux » ? mais si je te dis « je viendrai en train ou en voiture, mon fils ou ma fille conduira », c'est clair que ce n'est pas « en train et en voiture » et qu'un seul des deux conduira, s'ils prennent le volant à tour de rôle je dirai « mon fils et ma fille conduiront », et « Boire ou conduire, il faut choisir ! » (ou exclusif !). Comme le dit Olivier les humains peuvent évaluer s'il s'agit d'un exclusif ou non… mais il faut parfois préciser. - Cymbella (répondre) - 14 octobre 2011 à 21:58 (CEST)Répondre
    Ouh qu' « ou » l'est laid !
    « Boire ou conduire, il faut choisir ! » : le "ou" n'est pas exclusif, et c'est bien pour ça qu'il y a le "il faut choisir" qui porte l'exclusion.
    « avec mon fils ou ma fille » : il est possible que les deux viennent ; si c'est l'un sans l'autre alors on utilise « avec mon fils ou bien ma fille », ou une autre précision qui introduit de facto une exclusion. gem (d) 17 octobre 2011 à 09:55 (CEST)Répondre
    Nous discutons d'une notion de langage et d'une notion de logique. Comment concilier les deux ? Le français trop "salon littéraire" n'a pas l'aptitude à fabriquer des XOR, des NAND... --Mistig (d) 14 octobre 2011 à 22:30 (CEST)Répondre

    En logicien, quand je veux exprimer le "ou" inclusif je dis simplement "ou", ou plutôt V, en étant sûr d'être compris par mes interlocuteurs. Mais quand je m'adresse à d'autres personnes ou (sic inclusif) dans un propos informel j'use du et/ou si la précision a du sens (conjonction exclue) ; le truc est que souvent a ou b est perçu comme soit a soit b. J'avoue que pour moi la rigueur d'expression prime sur la rigueur en syntaxe française (genre Académie Française), que d'ailleurs je ne connais pas et m'innitéresse. --Epsilon0 ε0 15 octobre 2011 à 05:13 (CEST)Répondre

    L’élégance de l’expression n’est pas incompatible avec la rigueur... on pourra demander :« fromage ou dessert ? Peut-être les deux ? » ou encore préciser « je prendrai du jambon ou de la saucisse — sans exclusive ».
    Mais foin de débats d’esthètes : entendez-vous, imaginez-vous dire : « et/ou » ? Cette forme inepte n’appartient qu’à la langue écrite, elle est imprononçable et odieuse, et on devrait couper les couilles et/ou la tête à ceux qui l’emploient. rv1729 16 octobre 2011 à 00:38 (CEST)Répondre
    Aïe, lèse-majesté si tu ressors la guillotine: [8] , et couper les couilles ne les empêche pas de se reproduire, ce n'étant pas une question de gènes mais de mèmes. De plus cette discussion avait eu lieu précédemment entre les pythies: [9]
    Je crois qu'il m'arrive de prononcer cet odieux et/ou, mais rassure toi Hervé, toujours avec la honte aux joues car généralement on me fait alors des gros yeux d'incompréhension preuve que la précision apportait plus d'opacité que de clarification ;-))) --Epsilon0 ε0 16 octobre 2011 à 02:30 (CEST)Répondre
    Arrrg mais c’est terrible ! Tu as de la chance d’être un ordinal indétricotable, toi ! rv1729 16 octobre 2011 à 08:26 (CEST)Répondre
    Parfois j'entends houhou (interrogatif) et je dis quelquefois aussi héhé (admiratif). N'importe quoi! On se défoule un peu c'est dimanche.Émoticône --Doalex (d) 16 octobre 2011 à 11:28 (CEST)Répondre
    sans aller jusqu'à leur couper les "k' ou ye" ou la tête, j'hésite rarement à leur couper la parole (y compris à l'écrit) et leur baffer (symboliquement) la tête... gem (d) 17 octobre 2011 à 09:55 (CEST)Répondre

    Les langues et l'ou

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    Existe-t-il une langue (naturelle) proposant deux mots différents, l'un pour l'ou inclusif, l'autre pour l'ou exclusif ? Grasyop 16 octobre 2011 à 08:10 (CEST)Répondre

    Ben, en français, le soit…, soit… ou ou bien…, ou bien…correspondent à des ou exclusifs, je pense. Alors que ou est, selon le contexte, inclusif ou exclusif… Disons qu'en général, en toute rigueur, il doit être inclusif, mais que si on veut préciser on le fait avec soit…, soit… ou ou bien…, ou bien…… Pour un ou vraiment inclusif on peut utiliser le et/ou évoqué plus haut, je pense 213.36.8.189 (d) 20 octobre 2011 à 09:46 (CEST)Répondre
    Cf le lien sur la précédente discussion.

    Citation sur l'art… (ou du cochon)

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    bonjour,

    je cherche l' auteur d' une citation ainsi que son sens: excusez- moi d' avance, certains pourront la trouver malpolie mais c' est une vraie citation et une vraie question: " il y a 10 cm entre le c.. d' une femme et une oeuvre d' art"; je crois avoir entendu cela en cours de psychologie clinique.

    merci !

    Salut. Le fait que même un enseignant présente une saillie comme une citation ne signifie pas que c'en soit une. -O.--M.--H.- 14 octobre 2011 à 23:13 (CEST)Répondre
    Un professeur original et "brillant" professant ex-cathedra ? Mike Coppolano (d) 15 octobre 2011 à 05:32 (CEST)Répondre

    chers messieurs, je pense qu' il n' y a pas 24 réponses à ma question, quoique, et vous rappelle que c' est une vraie question, une vraie citation, mais ne suis pas sûr de l' avoir entendue en cours. merci ps: c' est peut- être chef d' oeuvre à la place d' oeuvre d' art, mais on n' est plus à 3 détails près. En d' autres termes, la question est: veut-il dire, c' est l' abstinence ou la satisfaction du désir qui mène à la création?

    Expédition scientifique

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    Je recherche des informations sur une expédition scientifique en 1955 en Amazonie à laquelle participait un de mes oncle. Expédition au cours de laquelle tous ses membres ont disparus...

    Bonjour aussi, dites-nous, leurs noms ont disparus également ? --Doalex (d) 14 octobre 2011 à 18:13 (CEST)Répondre
    Au cas où vous auriez des difficultés pour répondre vous pouvez consulter ceci Wikipédia:Oracle/Conseils utiles#Le suivi de votre question. --Doalex (d) 14 octobre 2011 à 19:57 (CEST)Répondre
    les membres de l'oncle ou les membres de l'expédition, ou les deux ? - Cymbella (répondre) - 14 octobre 2011 à 23:06 (CEST) _ Mais oui, mais c'est bien sûr les anacondas, au pluriel car ils devaient être plusieurs, donc les deux.--Doalex (d) 15 octobre 2011 à 09:55 (CEST)Répondre

    Cellule Animale

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    Bonjour, je voudrais savoir: qu'est-ce la cellule animale. Se serait très apprécier si vous pourriez me donner une illustration.Excusez-moi pour les erreurs commises dans ma question.

    Merci pour avoir eu le temps de lire ma demande.

    Bonsoir. Vous trouverez des explications dans notre article Cellule (biologie) et une illustration au paragraphe cellule eucaryote. Dhatier jasons-z-en 15 octobre 2011 à 01:33 (CEST)Répondre
    A mon vague souvenir (confirmation des pythies demandée) : si il y a des mitochondries : cellule animale, si il n'y en a pas, cellule végétale (pour rester dans la dichotomie de grand papa animal/végétal qui n'a plus de sens contemporainement). Maintenant pourquoi , je ne saurais dire. --Epsilon0 ε0 15 octobre 2011 à 05:25 (CEST)Répondre
    Selon l'article Cellule végétale: « Comme les autres cellules eucaryotes, les cellules végétales possèdent typiquement un noyau, qui contient l'essentiel de l'ADN cellulaire, et des mitochondries, les « usines » de la cellule. ». --Doalex (d) 15 octobre 2011 à 09:41 (CEST)Répondre
    Le sage Oracle ne fait pas les devoirs à la place des étudiants. Bonne chance dans ta recherche…
    - Cymbella (répondre) - 15 octobre 2011 à 11:34 (CEST)Répondre
    Les différences entre la cellule animale et la cellule végétale tiennent à trois petites choses. La taille (la cellule végétale est plus grande que son homologue animale), la vacuole (qui occupe la majorité de l'espace interne de la cellule végétale), et la paroi (chez les cellules végétales uniquement).
    Certaines cellules végétales (pas toutes !) sont chlorophylliennes, elles contiennent alors des chloroplastes (acteurs de le photosynthèse) pour synthétiser de la matière organique. Mais cellules animales et végétales ont toutes deux des mitochondries, indispensables pour le métabolisme de la respiration qui produit l'énergie chimique (ATP), elle-même indispensable à la vie.
    Quant à la question "qu'est-ce que la cellule animale", on est déjà dans le cas des cellules eucaryotes (avec un noyau, eu = vrai, caryote = noyau), et il serait nécessaire de rappeler que la cellule est l'unité de base du vivant Émoticône sourire. .Anja. (d) 15 octobre 2011 à 18:43 (CEST)Répondre

    vaccination

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    bonsoir tt le monde, s'il vous plait, quelqu'un aurais une idée sur comment des chercheurs ou des labo pharmaceutiques choisissent (sur quels criteres ils se basent) pour développer ou rechercher un vaccin contre telle maladie, et pas sur une autre???

    ben pour le développement il y a connu/pas connu donc vaccin sur la grippe et pas sur le sida. Sinon il peut y avoir un enjeu commercial. Pour la recherche c'est plutôt tout azimut mais avec une once de focalisation sur l'aspect appliqué à l'homo-sapiens (avec sous pour la recherche dans ce domaine octroyé par le public ou le privé). --Epsilon0 ε0 15 octobre 2011 à 05:35 (CEST)Répondre
    il est connu que l' industrie pharmaceutique n' a qu' un seul critère, la guérison; toute personne qui dirait le contraire serait de mauvaise foi; je connais beaucoup de gens qui travaillent dans ce domaine, ils sont dévoués, d' une honneteté absolue et complètement objectifs; ils n' ont que faire de l' argent, encore moins de la reconnaissance; la seule chose qui importe à leurs yeux est de guérir et sauver des vies humaines , leur mot d' ordre et leur ligne de conduite est: " primum non nocere."
    Je ne serais pas aussi catégorique, beaucoup de personnes (enfin, non, relativisons, un certain nombre) tirent d'importants profits grâce à l'industrie pharmaceutique ; mais dans la réaction précédente, il doit y avoir confusion entre les chercheurs d'une part, et les dirigeants des industries pharmaceutiques d'autre part :).
    Pour en revenir à la question de départ, les critères de recherche sont davantage dictés par l'ampleur de la maladie (population large ?), sa gravité (il ne serait pas intéressant de faire un vaccin contre le rhume par exemple, mais contre une maladie mortelle oui ;)), la nature de la maladie et la connaissance de son origine et de son fonctionnement.
    Et enfin, lorsque les industries participent aux financements de certaines recherches sur plusieurs années, je suppose que la population (pays riche/développé à même de payer ses vaccins sans trop de difficulté ?) à laquelle le vaccin s'adresserait est un critère aussi pour les chercheurs qu'elles embauchent Émoticône... .Anja. (d) 15 octobre 2011 à 18:53 (CEST)Répondre
    Il me paraît évident que le commentaire précédent est ironique... Grasyop 15 octobre 2011 à 19:22 (CEST) Répondre
    Ah ouiiiii... c'est une bonne réflexion ;) !... .Anja. (d) 15 octobre 2011 à 19:25 (CEST)Répondre
    Il y a malheureusement le critère économique déjà mentionné : la recherche privée, c'est-à-dire généralement à but lucratif, sera sans doute plus intéressée par la commercialisation en Europe ou aux États-Unis d'une potion anti-rhume, même inefficace, que par un remède à une maladie absente des pays riches comme le paludisme.
    Ensuite, il existe différentes sortes de pathogènes (des parasites, des bactéries, des virus de différentes sortes (ARN, ADN, etc.)), et certains se prêtent plus que d'autres à l'élaboration d'un vaccin. Certains virus, comme celui de la grippe, mutent fréquemment, rendant rapidement obsolètes les vaccins développés contre une souche donnée (ce qui n'empêche apparemment pas de les produire quand même).
    Enfin, je pense que la stratégie utilisée contre une maladie dépend aussi de l'efficacité relative des autres moyens de lutter contre la maladie (prophylaxie, traitement des cas déclarés) et de l'objectif visé (maladie éradicable ou seulement contrôlable, selon qu'elle est propre à l'humain ou qu'elle a d'autres réservoirs). Grasyop 15 octobre 2011 à 20:04 (CEST)Répondre

    equipements TR6

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    Bonjour

    interresse par l'achat d'une TRIUMPH TR6 je suis a la recherche de renseignements precis ou trouver les differentes evolutions du modele ,mecanique et carrosserie , en fonction des annees de sortie??? une question  : a partir de quelle annee les TR6 sont equipees d'appui tete en serie ...

    merci de vos reponses

    L'Oracle n'est pas vraiment prévu pour ce genre de questions, il y a probablement bien des sites de type forums axés sur les Triumph voire spécialisés sur les Triumph TR6 qui seront bien plus en état de répondre à votre question. Essayez plutôt ça :
    Il y a pas mal de réponses adaptées à votre requête. Bonne recherche. -O.--M.--H.- 15 octobre 2011 à 10:36 (CEST)Répondre
    Voilà, voilà, on arrive. Bon je vous répondrais d'autant mieux que je n'ai jamais possédé d'automobile mais les appui-têtes c'est ma passion, sérieusement, ici [10] une photo (la légende au moins) qui confirme et [11] à partir de là la question devient en quelle année le châssis CR1 apparait-il ? Réponse voir les sites indiqués ici [12] par exemple en rentrant dans un forum.--Doalex (d) 15 octobre 2011 à 10:44 (CEST)Répondre

    Origine du symbole Y pour l'EDTA

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    Bonjour, Oracle,

    L'EDTA se note, très habituellement, Y (Y4-, H4Y, et tous les dérivés imaginables). Pourrais-tu me dire pourquoi cette lettre, ou du moins qui l'a utilisée en premier ?

    Je te remercie,

    Sans doute parce que le i grec est la seule lettre Exotique Dans Ton Alphabet. Grasyop 15 octobre 2011 à 19:38 (CEST)Répondre
    Cet usage du symbole Y n'est pas mentionnée sur la page correspondante, celui qui donnera la réponse à cette question, pourra compléter… - Cymbella (répondre) - 15 octobre 2011 à 20:54 (CEST)Répondre
    A mon avis c'est principalement parce que Y est plus simple à écrire que C10H16N2O8. On a le même genre d'astuce en maths, noter A ou B un nombre très long (et moche) à réécrire de ligne en ligne. (Mitch)2 16 octobre 2011 à 17:12 (CEST)Répondre
    Une possibilité (mais je ne suis sur de rien) est que lorsque l'on écrit la formule semi-développée de l'EDTA, les 4 groupes acides carboxyliques lui donnent la forme de deux Y qui pointent dans une direction opposée. Quitte à représenter la molécule par une lettre, autant en prendre une qui la schématise au mieux. Par contre, aucune idée de qui a utilisé cette notation en premier. --130.207.37.76 (d) 17 octobre 2011 à 20:15 (CEST)Répondre

    Petit Prince

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    Pourquoi le petit Prince est écrit à Northport ?

    Pourquoi pas ? D'après l'article sur l'auteur, « [à] l'armistice, il quitte la France pour New York avec pour objectif de faire entrer en guerre les Américains. » Grasyop 15 octobre 2011 à 20:24 (CEST)Répondre
    Autrement dit, pour la raison simple que Saint-Ex y habitait, au moment de sa rédaction. -O.--M.--H.- 16 octobre 2011 à 11:36 (CEST)Répondre
    C’est marrant, un vieux libraire et éditeur algérien m’a jadis affirmé que Saint-Ex lui avait montré le manuscrit peu de temps avant sa mobilisation. Je ne trouve sur le net rien qui confirme qu’une première version existait avant la guerre... rv1729 17 octobre 2011 à 14:26 (CEST)
    Possible qu'il ait écrit pas mal de brouillons avant de se jetter à l'eau sur un manuscrit v_atekor (d) 18 octobre 2011 à 08:19 (CEST) … oh, dire de Saint-Ex qu'il « se jette à l'eau » ! Vade retro, satana. — Hautbois [canqueter]Répondre

    Placage en cathédrale

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    Bonjour.Le capitaine de l'équipe de rugby du Pays de Galle a pris un carton rouge pour "placage en cathédrale".Lors de mon service militaire j'ai connu le "lit en cathédrale" qui consistait a renverser le lit pour que son occupant ait la tête en bas. D'où peut bien venir ce "en cathédrale"?. Bonne soirée.--Abécédé (d) 16 octobre 2011 à 17:20 (CEST)Répondre

    "Batisse", renversement complet. Coup du lapin possible. Très dangereux. Personnellement je jouais au rugby sur terre battue, ce qu'il faut éviter c'est aussi les chaussures dans la figure quand tu plaque bas, mais là c'est réglo. Mike Coppolano (d) 16 octobre 2011 à 17:50 (CEST)Répondre
    Le projet Wikimedia est plein de ressources, le Wiktionnaire nous explique tout sur le placage en cathédrale. -O.--M.--H.- 16 octobre 2011 à 22:08 (CEST)Répondre
    C'est bien gentil tout ça mais cela n'explique pas pourquoi on emploie le mot cathédrale.--Abécédé (d) 16 octobre 2011 à 23:24 (CEST)Répondre
    Ouais. Il me semble que l'image soit forcée pour donner une explication la plus plausible. J'avais plutôt dans l'idée que le joueur renversé avait l'effet de vision de quelqu'un qui contemple d'en bas la hauteur d'une nef de cathédrale. Mais bon... --Mistig (d) 16 octobre 2011 à 23:37 (CEST)Répondre
    le lien du wiktionnaire explique bien ce plaquage : "Le rugbyman est relevé en position verticale à l’image d’une cathédrale qui s’élance vers le ciel" et "Plaquage dangereux où le joueur plaqué est retourné tête en bas, les jambes en l’air."
    Mike Coppolano (d) 17 octobre 2011 à 00:43 (CEST)Répondre
    l'idée des tours et du porche central, la tête en bas ; si l'on compte à propos d'une cathédrale l'espace entre les portes d'entrée et le début de la naissance des tours, l'image semble assez parlante. Sinon à Toulouse il y a le rugby de rue. Mike Coppolano (d) 17 octobre 2011 à 08:56 (CEST)Répondre
    pour deux balles : la cathédrale c'est le bâtiment majeur, est donc "cathédrale" ou "en cathédrale" (comme un prêche/un discours retentissant) ce qu'on fait de plus grand, de mieux (ou de pire...) dans le domaine. L'atilf [13] confirme : P. métaph. Ce qui évoque une cathédrale par ses dimensions, sa magnificence, etc. gem (d) 17 octobre 2011 à 10:31 (CEST)Répondre
    Eh bé ouais, con, les jambes en l’air comme les tours d’une cathédrale, et plaquage avec qu, con. Morburre (d) 17 octobre 2011 à 12:15 (CEST)Répondre
    Nul, tu veux dire ; voir le ralenti du placage-cathédrale du match France-Pays de Galles, coup de chance il est bien retombé. Il y a aussi les placages secs, le bonhomme s'écroule de sa hauteur le front touche de toute sa masse le sol. Mort. Aussi apprennent-ils les réflexes de chute. Mike Coppolano (d) 17 octobre 2011 à 12:22 (CEST)Répondre
    avec qu Mike ! Morburre vient de te le dire ! Émoticône - Cymbella (répondre) - 17 octobre 2011 à 13:58 (CEST)Répondre
    arrête de me chatouiller ! Émoticône Mike Coppolano (d) 17 octobre 2011 à 14:00 (CEST)Répondre
    Le fait qu'un rubgyman prenne l'image d'une cathédrale me renverse. Je pense plutôt à un réfrigérateur de boucherie industrielle : ce ne serait pas ce qu'on appelait autrefois en France le « cochon pendu » ? --Mistig (d) 17 octobre 2011 à 14:27 (CEST)Répondre
    ahem ! C'est dit à l'avenant Mistig ! Tiens, ils m'avaient collé pilier droit et ben quand je poussais pas assez fort, y'avait le copain derrière qui me chopait les noix. Franche rigolade ou sport de barbares, peu importe ! Restons sport ! Mike Coppolano (d) 17 octobre 2011 à 17:20 (CEST)Répondre
    C'est bien on progresse.Donc un rugbyman qui a la tête en bas est assimilé à une cathédrale.Si le choc avec le sol n'a pas été trop violent il est possible qu'il soit sonné.Dans ce cas les cloches qui résonnent dans son crâne ne sont pas dans les tours mais au niveau du porche d'entrée.--Abécédé (d) 18 octobre 2011 à 10:48 (CEST)Répondre
    Puisqu’on parle de cathédrale, il serait peut-être bon de prier pour l’équipe de France pour la finale contre les Tout Noirs. Morburre (d) 18 octobre 2011 à 17:17 (CEST)Répondre
    Ici Chapelle Notre-Dame-du-Rugby j'aime bien cette citation trouvée sur un des liens externes « Si le rugby avait existé avant, Dieu y aurait joué ».--Doalex (d) 18 octobre 2011 à 17:58 (CEST)Répondre
    Conflit d’édition C'est l'Oracle ou le Bistro ici Émoticône- Cymbella (répondre) - 18 octobre 2011 à 18:04 (CEST)Répondre
    Le Bistroracle en fait ! On racle les fonds de tiroir, on épuise le sujet et c'est la semaine 41, alors cette semaine, on promet rien, mais....Émoticône --Doalex (d) 18 octobre 2011 à 18:21 (CEST)_ Et pour info placageRépondre

    Pompes à essence

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    Bonjour, Je voudrais savoir comment les pompes à essences savent quand stopper la distribution d'essence? Quel mécanisme? Merci d'avance.

    pompe
    Salut, si tu regarde le tube du pistolet, il est en fait composé de 2 tubes : 1 gros pour la distribution d'essence et un petit. Dans le pistolet un système de venturi aspire un peu d'air par ce petit tuyau. Ca marche tant que l'essence est à un niveau relativement bas. Lorsque l'essence arrive au bord du réservoir, l'extrèmité du pistolet plonge dans l'essence et le petit tube n'aspire plus d'air ce qui déclenche l'arrêt de la distribution. Ici à la page 18 il y a un plan en coupe du pistolet. (Mitch)2 16 octobre 2011 à 19:21 (CEST)Répondre

    Rugby complet

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    Message à IP 213.36.8.189: Votre question a été reportée ici Wikipédia:Oracle/semaine 42 2011#Rugby complet.--Doalex (d) 20 octobre 2011 à 10:27 (CEST)Répondre