Wikipédia:Oracle/semaine 7 2022
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Correspondant féminin de "phallique"
modifierBonjour, Je cherche un adjectif pouvant décrire un objet ayant une forme ou des propriétés rappelant l'organe génital féminin. Je me dis que comme il y a "phallique" pour l'organe viril, on devrait logiquement disposer d'un correspondant. Mais je ne le trouve nulle part. Une idée? Sincères salutations, Eude. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par 213.55.226.142 (discuter), le 14 février 2022 à 12:17
- Bonjour. Je dirais : « vulvaire ». Cependant, si je lis qu'un lingam est un symbole phallique, il semble plus difficile de trouver une description d'un yoni comme étant un symbole vulvaire. À la place de cet adjectif, on trouve souvent une périphrase. Peut-être pour éviter la paronymie avec « vulgaire » ? Grasyop ✉ 14 février 2022 à 13:59 (CET)
- P.s. : C'est plutôt une question pour le Wiktionnaire, à poser ici. Grasyop ✉ 14 février 2022 à 14:34 (CET)
- On dira plus facilement vaginal, même si vulve et vagin ne sont pas vraiment des synonymes. Bertrouf 16 février 2022 à 13:39 (CET)
Meurt-on plus jeune dans les déserts médicaux?
modifierBonjour. Y a-t-il une corrélation entre l'espérance de vie et le nombre de médecins dans un territoire ? Mais aussi comment s'appelle la discipline qui lie la mortalité ou la morbidité au territoire ? Comme, par exemple, la proximité d'industries polluantes. Merci. -- Xofc [me contacter] 16 février 2022 à 13:22 (CET)
- Bonjour Xofc , Pour la seconde question je dirais que c'est de l'éco-épidémiologie ou de la médecine environnementale. — Cymbella (discuter chez moi). 16 février 2022 à 21:31 (CET)
- Une étude américaine l'a montré : Pour chaque 10 médecins [...] supplémentaire pour 100 000 habitants = augmentation de 51,5 jours de l'espérance de vie. [1]. Apres,j'ai pas fouillé mais attention à l'effet cigogne. Eystein (discuter) 18 février 2022 à 16:30 (CET)
- Même mise en garde quant à la causalité. Il est bien possible que :
- dans les quartiers riches, les gens ont en moyenne une meilleure santé générale (entre autres, ils fument moins), donc une meilleure espérance de vie ;
- dans ces mêmes quartiers, il y a davantage de médecins qu'ailleurs parce que ces derniers ont une préférence pour s'installer là.
- Bref, éliminer les facteurs de confusion avant de tirer une conclusion. Grasyop ✉ 18 février 2022 à 17:00 (CET)
- Même mise en garde quant à la causalité. Il est bien possible que :
- Une étude américaine l'a montré : Pour chaque 10 médecins [...] supplémentaire pour 100 000 habitants = augmentation de 51,5 jours de l'espérance de vie. [1]. Apres,j'ai pas fouillé mais attention à l'effet cigogne. Eystein (discuter) 18 février 2022 à 16:30 (CET)
- Merci à tous. c'est en effet une question d'épidémiologie et cela démarre avec l'étude de l'épidémie de choléra de Broad Street par John Snow en 1854 mais je pensais qu'on était plus avancé et que des instituts nationaux surveillaient activement différents paramètres (des analyses en composantes principales?) et qu'il devait y avoir une cartographie mettant en évidence des anomalies sous les vents dominant des incinérateurs, des usines traitant des métaux lourds, etc... Mais c'est vrai que même pour le tabac ou l'amiante, les évidences ont mis du temps à émerger. (Et, je pensais que dans les pays nordiques, les autopsies étaient systématiques et que cela permettait de savoir de quoi les gens mourraient) -- Xofc [me contacter] 19 février 2022 à 20:20 (CET)
- Un autre exemple qui me revient à l'esprit est la découverte du lien entre le crétinisme (peut-on encore employer ce terme ou doit-on renommer la page?) et la carence en iode au XIXe siècle. En cet âge du capitalisme de surveillance (en) (Économie de la surveillance), on devrait pouvoir progresser... Mais c'est vrai que la théorie des miasmes semble avoir fait un retour en force en Belgique. Après les filtres à virus en drap de lit qu'il fallait laver à 60°C, on dépense maintenant des fortunes en 'détecteurs de CO2' plus ou moins factice (des professeurs de sciences se sont étonnés des différences de mesures d'appareils posés côte à côte et j'ai moi-même acheté sur un Internet un tel bidule chinois affichant des données plus ou moins crédibles qui ne contenait aucun composant mesurant autre chose que la vapeur d'eau (!)).-- Xofc [me contacter] 20 février 2022 à 07:07 (CET)
- Les détecteurs de CO2 servent, non pas à détecter les virus, mais la concentration en êtres humains dans une salle fermée. Mais bien sûr mesures faussées par les animaux, ceux qui fument et autres sources de CO2,--Serged/♥ 20 février 2022 à 07:46 (CET)
- Oui, bien sûr mais plutôt que de faire confiance à un bidule magique qui vient d'on ne sait où, peut-être que faire quelques règles de trois dans un cours de science serait plus pédagogique et permettrait à certains de se faire une idée correcte de la situation : nombre d'élèves, volume de la classe, production de CO2 à l'heure, calcul de l'évolution probable des ppm. Et, éventuellement, vérifier que cela correspond plus ou moins à ce qu'on lit sur le bidule (que l'on pourrait essayer de calibrer/étalonner par ailleurs). Voilà maintenant que je me demande combien un être humain, une cigarette ou une bougie produisent de CO2 et comment cela se traduit en ppm dans une pièce (hermétique)... Quant aux masques chirurgicaux, leur fonction, à la base, c'est d'éviter de postillonner dans la bidoche; ce n'est pas ce qu'on utilise pour se protéger des virus dans les laboratoires P4... Et je doute qu'il y ait un lien quelconque entre la concentration en CO2 et la concentration en virus. Le détecteur ne va pas pointer du doigt un éventuel supercontaminateur. Mais ça, c'est pour le cours de statistiques : de combien on augmente le risque en ajoutant un élève à la classe. (Ha-là-là. V'là que je trolle, maintenant... ) -- Xofc [me contacter] 20 février 2022 à 11:00 (CET)
- Concrètement, pour une salle de classe, la question est de savoir si elle est aérée suffisamment fréquemment. Aération corrélée à la fois à la concentration en virus, et à celle en CO2. Voir la video de Science étonnante [2]. Quelques règles de trois, certes... Grasyop ✉ 20 février 2022 à 11:18 (CET)
- Très bonne cette vidéo (cela rappelle un peu la Formule de Drake). Mais, plus concrètement encore, plutôt que d'équiper chaque classe d'un détecteur de CO2 de qualité incertaine, donner pour consigne d'ouvrir les fenêtres cinq (?) minutes à chaque intercours (ou à chaque récréation?) devrait le faire. Ce détecteur, coûteux, incertain, qui risque d'être mal utilisé, mal entretenu, cassé ou volé n'offre qu'une apparence de sécurité (ou risque de provoquer du stress). Mais bon, dans un pays où on donne 45 millions d'euros à une société écran pour des morceaux de tissus avec deux élastiques, il ne faut plus s'étonner de rien... -- Xofc [me contacter] 20 février 2022 à 18:42 (CET)
- Les études epidemiologiques pour ce type d'analyses fine, il faut surement avoir des études avec des grandes cohortes, des longues périodes. Et malheureusement la France ne brille pas par ses moyens dans ce domaine. Constances [3] ne date que de 2009 avec 200k individus, alors qu'outre manche UK biobank contiens 500k depuis 2006, et en Norvège l'étude The Trøndelag Health Study a démarré en 1984 avec 130k individus. Eystein (discuter) 22 février 2022 à 12:54 (CET)
- D'un côté on demande d'aérer pendant les interclasses, d'un autre, on demande de faire des économies de chauffage... On comprend pourquoi les enseignants ne sont pas contents ! --Serged/♥ 23 février 2022 à 09:56 (CET)
- Les études epidemiologiques pour ce type d'analyses fine, il faut surement avoir des études avec des grandes cohortes, des longues périodes. Et malheureusement la France ne brille pas par ses moyens dans ce domaine. Constances [3] ne date que de 2009 avec 200k individus, alors qu'outre manche UK biobank contiens 500k depuis 2006, et en Norvège l'étude The Trøndelag Health Study a démarré en 1984 avec 130k individus. Eystein (discuter) 22 février 2022 à 12:54 (CET)
- Très bonne cette vidéo (cela rappelle un peu la Formule de Drake). Mais, plus concrètement encore, plutôt que d'équiper chaque classe d'un détecteur de CO2 de qualité incertaine, donner pour consigne d'ouvrir les fenêtres cinq (?) minutes à chaque intercours (ou à chaque récréation?) devrait le faire. Ce détecteur, coûteux, incertain, qui risque d'être mal utilisé, mal entretenu, cassé ou volé n'offre qu'une apparence de sécurité (ou risque de provoquer du stress). Mais bon, dans un pays où on donne 45 millions d'euros à une société écran pour des morceaux de tissus avec deux élastiques, il ne faut plus s'étonner de rien... -- Xofc [me contacter] 20 février 2022 à 18:42 (CET)
- Concrètement, pour une salle de classe, la question est de savoir si elle est aérée suffisamment fréquemment. Aération corrélée à la fois à la concentration en virus, et à celle en CO2. Voir la video de Science étonnante [2]. Quelques règles de trois, certes... Grasyop ✉ 20 février 2022 à 11:18 (CET)
- Oui, bien sûr mais plutôt que de faire confiance à un bidule magique qui vient d'on ne sait où, peut-être que faire quelques règles de trois dans un cours de science serait plus pédagogique et permettrait à certains de se faire une idée correcte de la situation : nombre d'élèves, volume de la classe, production de CO2 à l'heure, calcul de l'évolution probable des ppm. Et, éventuellement, vérifier que cela correspond plus ou moins à ce qu'on lit sur le bidule (que l'on pourrait essayer de calibrer/étalonner par ailleurs). Voilà maintenant que je me demande combien un être humain, une cigarette ou une bougie produisent de CO2 et comment cela se traduit en ppm dans une pièce (hermétique)... Quant aux masques chirurgicaux, leur fonction, à la base, c'est d'éviter de postillonner dans la bidoche; ce n'est pas ce qu'on utilise pour se protéger des virus dans les laboratoires P4... Et je doute qu'il y ait un lien quelconque entre la concentration en CO2 et la concentration en virus. Le détecteur ne va pas pointer du doigt un éventuel supercontaminateur. Mais ça, c'est pour le cours de statistiques : de combien on augmente le risque en ajoutant un élève à la classe. (Ha-là-là. V'là que je trolle, maintenant... ) -- Xofc [me contacter] 20 février 2022 à 11:00 (CET)
- Les détecteurs de CO2 servent, non pas à détecter les virus, mais la concentration en êtres humains dans une salle fermée. Mais bien sûr mesures faussées par les animaux, ceux qui fument et autres sources de CO2,--Serged/♥ 20 février 2022 à 07:46 (CET)
- Un autre exemple qui me revient à l'esprit est la découverte du lien entre le crétinisme (peut-on encore employer ce terme ou doit-on renommer la page?) et la carence en iode au XIXe siècle. En cet âge du capitalisme de surveillance (en) (Économie de la surveillance), on devrait pouvoir progresser... Mais c'est vrai que la théorie des miasmes semble avoir fait un retour en force en Belgique. Après les filtres à virus en drap de lit qu'il fallait laver à 60°C, on dépense maintenant des fortunes en 'détecteurs de CO2' plus ou moins factice (des professeurs de sciences se sont étonnés des différences de mesures d'appareils posés côte à côte et j'ai moi-même acheté sur un Internet un tel bidule chinois affichant des données plus ou moins crédibles qui ne contenait aucun composant mesurant autre chose que la vapeur d'eau (!)).-- Xofc [me contacter] 20 février 2022 à 07:07 (CET)
Cadavre humain/animal versus cadavre végétal
modifierBonjour à toutes et tous. On dit du reste d'un humain ou d'un animal mort que c'est un cadavre ; que dit-on du reste d'une plante ?
Par rapport à l'alimentation, si ce reste était comestible, on disait jadis que c'était de la viande. Mais nous l'avons oublié et ce serait amusant de dire dans un restaurant J'aimerais une escalope avec des viandes (légumes) primeurs. Je vois d'ici la tête des serveurs !
Donc je double ma question : quand on mange, aujourd'hui, de la "viande" (porc, volaille, poisson, etc.), on mange la partie encore comestible d'un cadavre. Comment appeler la partie encore comestible d'un végétal mort ?
Bonne réflexions, amitiés, Égoïté (discuter) 19 février 2022 à 10:20 (CET) P.S. Si vous ne trouvez pas, j'irai au wiktionnaire.
- Bonjour, je dirais la chair (exemple d'utilisation même si je ne cautionne l'homéopathie, hein), qui inclut aussi la viande. --λf(λx(f)(x)x)λx(f)(x)x = Y 19 février 2022 à 19:43 (CET)
- Pas mal, merci ! Mais... la chair est ce qui se trouve contenu dans la peau pour votre exemple. On le comprend pour le fruit, certains légumes. Mais pour d'autres... comme la salade, l'épinard - les légumes-feuilles, les herbes quoi ? Notez que le seul rapport entre végétal et chair, pour le CNRTL, est : 3. P. ext. Partie comestible de certains végétaux (fruits, champignons, etc.) dont la contexture rappelle celle de la substance animale. - ce qui indique que la définition n'est pas valable pour tous les végétaux. Égoïté (discuter) 19 février 2022 à 23:19 (CET)
- Bonjour Égoïté. « produits végétaux bruts », « aliments végétaux bruts », ou simplement « fruits et légumes ». Je n'ai pas l'impression qu'on trouvera mieux ou équivalent sous la forme d'un seul mot.
- L'anglais a « vegetables » (ou même le diminutif « veggies ») : « Vegetables are parts of plants that are consumed by humans or other animals as food. ». Et ce mot anglais vient apparemment de l'ancien français « végétable » ou « vegetable » [4], [5], mais ce dernier ne semble pas avoir eu tout à fait le même sens, et par ailleurs je ne le vois que comme adjectif, pas comme nom. Grasyop ✉ 20 février 2022 à 09:00 (CET)
- Grand merci pour ton intervention, Grasyop. Égoïté (discuter) 20 février 2022 à 09:36 (CET)
- Salut Égo ! Pour faire très simple, on dit "légume".
- Pour faire plus compliqué, on dit légume mais on précise dans quel contexte. Le légume peut s'opposer au fruit, dans "fruits et légumes" et désigne dans ce cas celui des deux qui se mange salé (poireau vs pomme). Le légume peut s'opposer au tubercule, à la
grainecéréale, au fruit, à la feuille ou à la racine et désigne dans ce cas la légumineuse (courgepois vs patate, maïs, tomate, salade, carotte). Le légume peut s'opposer à la viande dans l'assiette et désigne l'accompagnement de l'élément protéique (haricot vs poisson). - Pour les légumes morts, peut-être compost ?
- Ça m'intéresse ton histoire de viande pour désigner la chair des légumes, ça pourrait faire l'objet d'un LSV. Bertrouf 21 février 2022 à 17:40 (CET)
- Sur le dernier point, voir wikt:viande#Étymologie. Étonnamment proche de wikt:vegetable#Étymologie. Grasyop ✉ 22 février 2022 à 07:21 (CET) P.s. la courge n'est pas une légumineuse. Grasyop ✉
- Oups pour la courge, bien vu. et merci. Bertrouf 22 février 2022 à 09:22 (CET) J'ai donc tord aussi quand je l'oppose à la graine, un légume sec, je devrais écrire la céréale. Je corrige.
- Tel que je comprends, le mot viande a pu être utilisé comme synonyme de vivres, dans le sens nourriture. Bref, OK pour le wiktionnaire mais pas assez pour faire un article qu'on puisse mettre dans une anecdote LSV. Bertrouf 22 février 2022 à 09:36 (CET)
- Bonjour Bertrouf. Cette question m'est venu en lisant quelques réflexions autour du cadavre et de l'art culinaire. Peut-être cela vous amusera-t-il de les lire.
- Compost ne convient pas car ces légumes-morts là ne peuvent plus intervenir dans l'alimentation humaine... Bisous ! Égoïté (discuter) 1 mars 2022 à 12:18 (CET)
- Précision : il y a notamment cette phrase dans cet article : Le point de départ de ces réflexions se situe dans une évidence : nous mangeons tous du cadavre, sauf à être végétarien. Cela m'a fait sauter en l'air et rigoler à m'en faire péter la panse : c'est comme d'écrire que les végétariens ne mangent que du vivant ! Égoïté (discuter) 1 mars 2022 à 12:50 (CET)
- Complication ! Je raconte notre conversation à mon fils ce midi et il me fait remarquer que toute partie de plante coupée du pied de plante initial n'est pas forcément morte... puisqu'il suffit pour certaines d'être plongées dans de l'eau ou de la terre pour produire des racines... Décidément, difficile de trouver une solution à ma question... Égoïté (discuter) 2 mars 2022 à 16:57 (CET)
- Oulàlà mais là tu entres dans des questions philosophiques : Qu'est-ce que la vie ? A partir de quand on est mort ? A partir de quand une plante est morte ? Même si la tige est morte jusqu’à la base, les racines peuvent encore être capables de produire une belle plante. Ne mange-t-on que des cadavres ? Ici aussi Moi j'en reste à : "Si une plante se mange, on l'appelle légume" . Bertrouf 3 mars 2022 à 14:16 (CET)
- Merci Bertrouf !
- @Égoïté et @Bertrouf : Pour alimenter (c'est le cas de le dire) encore la réflexion, je vous signale que sur la page Légume , on peut lire « Un « légume » se dit d'un malade plongé dans un état végétatif, ou, très péjorativement, d'une personne à mobilité réduite. » Un légume n'est donc pas un cadavre ! — Cymbella (discuter chez moi). 3 mars 2022 à 19:02 (CET)
- J'adore Cymbella ! Il faudrait ajouter cette question à celles qui n'ont jamais trouvé de réponse précise... Une telle liste existe-t-elle ? Je me souviens d'avoir posé de telles questions... Bises Égoïté (discuter) 4 mars 2022 à 19:16 (CET)
- Merci Bertrouf !
- Oulàlà mais là tu entres dans des questions philosophiques : Qu'est-ce que la vie ? A partir de quand on est mort ? A partir de quand une plante est morte ? Même si la tige est morte jusqu’à la base, les racines peuvent encore être capables de produire une belle plante. Ne mange-t-on que des cadavres ? Ici aussi Moi j'en reste à : "Si une plante se mange, on l'appelle légume" . Bertrouf 3 mars 2022 à 14:16 (CET)
- Sur le dernier point, voir wikt:viande#Étymologie. Étonnamment proche de wikt:vegetable#Étymologie. Grasyop ✉ 22 février 2022 à 07:21 (CET) P.s. la courge n'est pas une légumineuse. Grasyop ✉
- Grand merci pour ton intervention, Grasyop. Égoïté (discuter) 20 février 2022 à 09:36 (CET)
- Pas mal, merci ! Mais... la chair est ce qui se trouve contenu dans la peau pour votre exemple. On le comprend pour le fruit, certains légumes. Mais pour d'autres... comme la salade, l'épinard - les légumes-feuilles, les herbes quoi ? Notez que le seul rapport entre végétal et chair, pour le CNRTL, est : 3. P. ext. Partie comestible de certains végétaux (fruits, champignons, etc.) dont la contexture rappelle celle de la substance animale. - ce qui indique que la définition n'est pas valable pour tous les végétaux. Égoïté (discuter) 19 février 2022 à 23:19 (CET)