Wikipédia:Wikipompiers/Feu-20080204192852

Intervention demandée par ff02::3 (d) le 4 février 2008

Contributeurs impliquées
Utilisateur:Dorades & Utilisateur:82.127.13.207
Nature du conflit
Guerre d'edition ...

Résumé du conflit

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Depuis le 19 janvier 2008, l'IP s'evertue à placer dans l'introduction de l'article « Ecole supérieure d'optique » un certain nombre d'informations tournant autour de « ParisTech ». Il affirme notamment que le changement de dénomination sous laquelle l'ESO communique depuis septembre 2006 (« Institut d'optique Graduate School ») est lié au fait que cette école est devenu membre associé de ParisTech fin 2007. Aucun document ne corrobore cette affirmation, le communiqué de presse émis par cette école au sujet de ce changement de dénomination indique « La recherche et la formation, intimement liées, étaient pourtant connues sous des noms différents. Elles auront désormais une dénomination commune, Institut d’Optique Graduate School : une Grande École et son laboratoire de recherche prestigieux (le laboratoire Charles Fabry de l’Institut d’Optique) à dimension internationale.», et ne mentionne en aucune manière « ParisTech» . De plus depuis le 29 janvier l'IP revert sur une version avec une erreur dans le codage de l'introduction. En conséquence, j'ai supprimé l'information de l'introduction concernant le lien entre le changement de dénomination et ParisTech et j'ai également supprimé les informations ne concernant que ParisTech: « L'Ecole des Mines de Paris a publié en septembre 2007 un classement international des établissements d'enseignement supérieur à la date du classement de Shangai en retenant un critère différent : le nombre d’anciens élèves occupant le poste de n°1 exécutif (le PDG lorsqu’il existe ou l’équivalent du Chief Executive Officer) dans les 500 plus grandes entreprises internationales (classement de Fortune Global 500). Ce nouveau classement met Paristech à la seconde place mondiale derrière Harvard. » Dorades (d) 5 février 2008 à 19:27 (CET)[répondre]

Tes explications me paraissent acceptables. J'attends la réponse éventuelle de l'IP pour sa défense et si il n'a pas répondu d'ici quelques jours, j'effectuerai moi-même la correction (merci de ne pas toucher au texte en attendant la résolution du conflit). Cordialement, — Droop [blabla] 6 février 2008 à 16:55 (CET)[répondre]
Je suis revenu à la version de Dorades sans réponse de la part de l'IP. — Droop [blabla] 8 février 2008 à 06:28 (CET)[répondre]

Suivi du conflit

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Médiation

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Bonjour,

Je vous remercie tout d'abord d'avoir accepter cette demande de médiation. Je ne voulais pas entrer dans une guerre d'édition et souhaitais échanger avec Dorades/Droop, mais n'ai pas trouvé le champ permettant d'argumenter avec le contradicteur, à l'exception du champ "résumé de la modification" ce qui n'était vraiment pas l'idéal, effectivement...

Il me semble que la mention de ParisTech à la fin de l'introduction générale de l'article est justifiée par la réforme des Pôle de Recherche et d'Enseignement Supérieurs (PRES)qui vise à aller progressivement vers une intégration d'établissements éclatés en structures de dimension internationale comparables au système des Colleges de Cambridge, à Harvard ou à Stanford, tant en terme de ressources que de nombres de chercheurs et d'étudiants. Le PRES ParisTech, ( qui était originellement constitué en simple association loi de 1901) vient d'acquérir la forme juridique d'un établissement public de coopération scientifique (EPCS) par le décret n° 2007-378 du 21 mars 2007, ce qui traduit une nouvelle étape vers cette intégration.


Un article de l'Observatoire de Boivigny résume assez bien l'esprit de cette réforme (accessible à l'adresse: http://www.boivigny.com/ParisTech-accelere-son-developpement_a414.html):

"ParisTech accélère son développement: ParisTech, le prestigieux regroupement d'écoles d'ingénieurs né en 1991, est devenu un établissement public à part entière depuis peu. Ses ambitions ? Transformer une constellation de petits établissements en un poids lourd international. Et ainsi faire valoir les atouts du French engineer dans le monde entier.

Lorsque onze des plus grandes écoles d'ingénieurs françaises – dont les Ponts, les Mines, Polytechnique, l'Ensta – ont décidé de se regrouper dans l'association ParisTech pour peser à l'international, beaucoup y ont vu un effet de manche (1). Sur le papier, la mutualisation de la recherche et le développement de programmes communs de formation paraissaient un objectif fort ambitieux pour ces écoles qui ont l'habitude de la jouer perso. Plus le temps passe, plus les sceptiques se font rares. ParisTech, qui regroupe 13 000 étudiants et 3000 enseignants et chercheurs est devenu un pôle de recherche et d'enseignement supérieur (PRES) fin 2006, et un établissement public de coopération scientifique (EPCS) en mars dernier. Ce changement de structure, signal d'une plus grande intégration entre ses membres, lui permet d'exister physiquement. « L'établissement a bénéficié de 4 millions d'euros supplémentaires et a pu créer 15 postes », explique Cyrille Van Effenterre, son président. Mieux, l'Etat autorise désormais l'établissement à délivrer des diplômes labellisés «ParisTech».

Changement de marque et de logo pour les membres: « Nous poursuivons nos efforts pour recruter davantage d'étudiants en Chine et au Brésil. Notre projet d'école franco-chinoise à Shanghai va bientôt se concrétiser (2)», poursuit Cyrille Van Effenterre. C'est toutefois en interne que l'on observe les plus grandes évolutions. La nouvelle école AgroParisTech est ainsi née de la réunion de l'Ina-PG, de l'Engref et de l'Ensia. Les Ponts et l'Ensta ont constitué un tronc commun pour leurs étudiants de première année. D'autres écoles changent de nom et de logo pour acter leur appartenance au puissant ensemble. Ainsi Télécom Paris est-il devenu Télécom ParisTech. Et quand les Mines ou les Arts et Métiers communiquent, elles accolent ParisTech à leur effigie. C'est un symbole fort, car ces écoles renommées sont très attachées à leur marque propre.

En matière de recherche, ParisTech, qui compte 130 laboratoires en son sein, se donne pour mission de coordonner les politiques et les formations doctorales existantes. Un nouvel institut doctoral ParisTech va ainsi être mis en place courant 2008. L'établissement souhaite se placer à l'avant garde de secteurs d'avenir comme l'environnement, la santé, les nouvelles technologies ou encore les mathématiques appliquées. Dans l'énergie nucléaire et l'ingénierie médicale, il devrait susciter la création de nouvelles formations inter-écoles entre ses membres, mais aussi en lien avec des partenaires européens comme ceux de l'IDEA League, qui comprend l'Imperial College de Londres ou encore l'ETH de Zurich.

Une fondation et une école de commerce: Comparable à peu de choses près au MIT en nombre d'étudiants, ParisTech pèche largement en termes de financements privés et donc de budget global. « Les fonds privés représentent 13 % de nos ressources là où le MIT est à 50 %. Voilà où il faut porter nos efforts », estime le président de l'EPCS. ParisTech devrait ainsi se lancer prochainement dans une collecte de dons. Pas simple pour une superstructure : « L'appel aux anciens élèves se fera via les écoles membres, mais c'est ParisTech qui fera appel aux entreprises ». En pratique, pour recueillir ces fonds, ParisTech va profiter d'une structure ad hoc au sein de la fondation de l'école polytechnique. « Avec l'idée d'ici trois ans de lancer notre propre fondation », précise Cyrille Van Effenterre.

Rejoint début 2008 par SupOptique, devenu membre associé, ParisTech ne compte pas rester un club exclusivement réservé aux ingénieurs. Au moins une école de commerce devrait rejoindre l'ensemble dans les mois à venir. L'établissement est ainsi « en discussions avancées » avec des écoles de management, « dans le respect de l'organisation géographique de ParisTech » dont les membres sont présents sur trois grands sites en Ile-de-France : le plateau de Saclay, Marne-la-Vallée et Paris."


Je vous renvoie aussi à l'article suivant: http://www.studyrama.com/article.php3?id_article=32640:

"La candidature de l’Institut d’Optique Graduate School validée par Paris Tech

L’institut d’Optique Graduate School rejoint ParisTech comme membre associé. Il apportera ses compétences de très haut niveau dans les domaines de l’optique et de la photonique et sera associé aux actions internationales de Paristech et au montage de projets d’enseignement et de recherche inter-écoles.

Le conseil d’administration de ParisTech (institut des sciences et technologies de Paris), établissement public de coopération scientifique regroupant dix grandes écoles d’ingénieurs en Ile de France, a décidé d’accueillir, comme membre associé, l’Institut d’Optique Graduate School.

Cette école, installée depuis septembre 2006 sur le plateau de Saclay, à proximité de l’Ecole Polytechnique, forme des ingénieurs dans les domaines de l’optique et la photonique. Elle coordonne notamment un programme européen Erasmus Mundus qui vise à améliorer la qualité de l’enseignement supérieur européen et à renforcer la coopération interculturelle et l’attrait de la destination « Europe » pour les meilleurs étudiants et universitaires du monde entier.

En intégrant l’Institut d’Optique Graduate School, ParisTech bénéficie d’une expertise reconnue dans le champ de l’optique, élargissant ainsi son domaine de compétences. De par sa taille, l’excellence de ses enseignements et sa recherche, et la large palette des domaines qu’il couvre, ParisTech apporte à son nouveau membre, la dimension internationale qui en fait un partenaire de choix auprès des meilleures universités mondiales. Au sein de ParisTech, l’Institut d’Optique Graduate School participera aux projets inter-écoles pour le recrutement à l’international, la démarche qualité, la promotion de la formation par la recherche, le développement d’activités de recherche, l’ouverture sociale et la diffusion de connaissances.

Le statut de membre associé de l’Institut d’Optique Graduate School a vocation à évoluer rapidement vers un statut de membre à part entière."


Il me semble que l'ampleur et le mouvement général de cette réforme, dans le cadre de laquelle s'inscrivent les déménagements et changements de dénomination de ces écoles d'application de l'X, sont suffisamment significatifs et importants pour l'avenir de l'Institut d'Optique pour être mentionnés à la fin de l'introduction générale. Elle me paraissent en tous les cas plus importantes pour un visiteur qui souhaiterait connaître l'Institut et le contexte dans lequel il évolue que la liste des enseignants ouà ParisTech (mention en page d'accueil de son site http://www.institutoptique.fr/, large diffusion d'une vidéo officielle sur le sujet:http://www.dailymotion.com/relevance/search/supoptique/video/x3a6jx_institut-doptique-graduate-school-s_tech).

Je suis moi-même un ancien élève de SupOptique, et j'aurai apprécié d'avoir cette perspective au moment de faire mes choix d'intégration.

Bien à vous,

JanusJana, le 19 mars 2008

Proposition de compromis

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Ce n'est pas tant l'annonce du lien avec Paritech qui me gène que les détails sur Paritech et son classement qui n'ont rien à faire ici à mon avis mais plus sur la page de Paritech. Je propose en guise de médiation la simple évocation du lien avec Paritech en introduction par une phrase du genre : "SupOptique est par ailleurs depuis fin 2007 membre associé du pôle de recherche et d'enseignement supérieur ParisTech." point barre, sans plus de détails, car ce n'est pas le lieu. On peut éventuellement ajouter à ce moment là en référence le lien vers le fichier pdf qui prouve ce lien, mais rien de + à mon avis ! Est-ce que ce compromis satisferait les deux parties ? — Droop [blabla] 19 mars 2008 à 19:52 (CET)[répondre]

Je comprends tout à fait votre position relativement à la mise en avant du classement de ParisTech qui était maladroite et prêtait par nature à polémique, et je vous prie de m'en excuser. En ce que concerne votre proposition de compromis, est-ce que la formulation suivante, plus complète mais restant il me semble objective, vous conviendrait: "SupOptique est par ailleurs depuis fin 2007 membre associé du Pôle de Recherche et d'Enseignement Supérieur ParisTech qui regroupe dix autres écoles d'ingénieurs parisiennes (X, Mines, ENSTA, SupAgro, ENST, Ponts & Chaussées, ENSAM, ENSPC, ENSAE et ENSPCI)." ?

janusjana [blabla] 19 mars 2008 à 22:30 (CET)[répondre]


Je te remercie pour ta volonté de trouver un compromis. Si cela convient à Dorades, cela me conviendra aussi alors ! Attendons qu'il exprime son opinion et je validerai ce compromis. — Droop [blabla] 20 mars 2008 à 00:36 (CET)[répondre]

L'information concernant l'appartenance de SupOptique à ParisTech comme membre associé est déjà présente à trois reprises dans l'article: une première fois dans l'infobox, une deuxième fois dans la chronologie, une troisième fois dans le paragraphe « Partenariat académique ». De plus il y a déjà une référence vers la lettre de ParisTech à ce sujet. Bref je ne vois aucune raison encyclopédique pour rajouter cette information une quatrième fois dans l'article; l'infobox est suffisante et est justement là pour éviter d'alourdir l'entête de l'article avec ce genre d'information (d'autant plus que SupOptique est également membre associé d'UniverSud Paris également). Dorades (d) 20 mars 2008 à 14:14 (CET)[répondre]


Merci à janusjana de répondre éventuellement à cette dernière remarque. (Je ne suis pas là pour entrer dans le débat, seulement pour aider à trouver un compromis évitant une guerre d'édition.) — Droop [blabla] 21 mars 2008 à 08:29 (CET)[répondre]

Je ne vois en ce cas aucun inconvénient, si celles-ci vous dérangent, à retirer les mentions de ParisTech au niveau de l'infobox et de la chronologie.

janusjana [blabla] 25 mars 2008 à 22:15 (CET)[répondre]


Les informations présentes dans l'infobox et dans la chronologie ne dérangent personne, l'article dans sa forme actuelle me semble clairement organisée et équilibrée. L'entête de l'article n'est pas là pour accueillir les actualités, la rubrique chronologie est justement faite pour cela, elle n'est pas là non plus pour mentionner in extenso les multiples partenariats et affiliations de cet établissement, l'infobox répond efficacement à cette mission. Dorades (d) 27 mars 2008 à 11:48 (CET)[répondre]

Vous ne souhaitez manifestement pas parvenir à un compromis, malgré plusieurs propositions de notre part en ce sens. Vous vous comportez abusivement comme le "propriétaire" de cette page depuis plusieurs mois. Je crains de pas voir d'issue avec vous. Janusjana (d) 1 avril 2008 à 17:13 (CET)[répondre]

Merci Janusjana de ne pas demander de renfort à ma place, ce n'est pas votre rôle. D'autre part, votre dernière intervention n'est pas faite pour calmer les esprits donc je vous prierai de bien vouloir rester courtois et patient. Et surtout, conseil pour vous deux : prenez du recul ! Franchement, cette histoire mérite-t-elle une guerre d'édition ? Si vous ne parvenez pas à vous mettre d'accord, le mieux est d'abandonner toute édition sur cette page qui vous tient trop à coeur ! — Droop [blabla] 1 avril 2008 à 20:47 (CEST)[répondre]

Ma proposition de compromis tient toujours : simple évocation du lien avec Paritech en introduction par une phrase du genre : "SupOptique est par ailleurs depuis fin 2007 membre associé du pôle de recherche et d'enseignement supérieur ParisTech." point barre, sans plus de détails, car ce n'est pas le lieu. Si vous ne l'acceptez pas et que vous rentrez à nouveau dans une guerre d'édition, vous risquerez très certainement d'être interdits en édition sur cette page de toutes façons... la voie de la sagesse serait de l'accepter ! Merci ÉmoticôneDroop [blabla] 1 avril 2008 à 20:57 (CEST)[répondre]


Je suis d'accord avec votre proposition de compromis. — Janusjana [blabla] 8 avril 2008 à 22:34 (CEST)[répondre]


Devant l'absence de réaction ou de contestation, je laisse encore quelques jours et j'appliquerai ma proposition de compromis. — Droop [blabla] 19 avril 2008 à 12:49 (CEST)[répondre]

Compromis mis en place. — Droop [blabla] 26 avril 2008 à 10:42 (CEST)[répondre]

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