Ydes

commune française du département du Cantal

Ydes
Ydes
Église Saint-Georges - L'ange de l'Annonciation du porche ouest.
Blason de Ydes
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Cantal
Arrondissement Mauriac
Intercommunalité Communauté de communes Sumène Artense
Maire
Mandat
Alain Delage
2020-2026
Code postal 15210
Code commune 15265
Démographie
Gentilé Ydois
Population
municipale
1 624 hab. (2021 en diminution de 8,61 % par rapport à 2015)
Densité 94 hab./km2
Population
agglomération
2 650 hab. (2021)
Géographie
Coordonnées 45° 20′ 53″ nord, 2° 26′ 17″ est
Altitude Min. 390 m
Max. 665 m
Superficie 17,36 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Ydes
(ville-centre)
Aire d'attraction Bort-les-Orgues
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Ydes
(bureau centralisateur)
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Ydes
Liens
Site web ydes.fr

Ydes est une commune française située dans le département du Cantal, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Au cœur d'un bassin minier, Ydes est connue pour son riche passé industriel d'exploitation charbonnière. La houille y est exploitée dès le Moyen Âge et de façon industrielle entre 1842 et 1959, favorisant pleinement l'économie locale.

Ses habitants sont appelés les Ydois.

Géographie modifier

L'activité industrielle du XIXe siècle et le développement de l'exploitation du charbon ont permis la croissance du site de L'Hôpital qui est devenu Ydes-Centre alors que le village d'origine devenait Ydes-Bourg.

Localisation modifier

La commune est située à 22 km au nord de Mauriac, 68 km au nord d'Aurillac et à 88 km au sud-ouest de Clermont-Ferrand.

Hydrographie modifier

Ydes est traversée par la Sumène[1], un affluent de la Dordogne.

Le Milhac se jette dans la Sumène sur le territoire de la commune.

Géologie modifier

Le sol contient encore de riches gisements houillers. Les mines de Vendes et Champagnac (Bois de Lempre) ont été fermées en 1959.

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 239 mm, avec 15,1 jours de précipitations en janvier et 7,6 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Saignes à 4 km à vol d'oiseau[4], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 987,0 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Ydes est une commune rurale[Note 1],[8]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Ydes, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[I 1] et 2 650 habitants en 2021, dont elle est ville-centre[I 2],[I 3].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bort-les-Orgues, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 11 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 4],[I 5].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (59 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (62,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (47,8 %), forêts (26,5 %), zones urbanisées (12,8 %), zones agricoles hétérogènes (11,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,7 %)[11]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement modifier

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 1 105, alors qu'il était de 1 083 en 2013 et de 1 099 en 2008[I 6].

Parmi ces logements, 72,5 % étaient des résidences principales, 12,1 % des résidences secondaires et 15,4 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 77 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 23 % des appartements[I 7].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Ydes en 2018 en comparaison avec celle du Cantal et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (12,1 %) inférieure à celle du département (20,4 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 65,8 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (67,7 % en 2013), contre 70,4 % pour le Cantal et 57,5 pour la France entière[I 8].

Le logement à Ydes en 2018.
Typologie Ydes[I 6] Cantal[I 9] France entière[I 10]
Résidences principales (en %) 72,5 67,7 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 12,1 20,4 9,7
Logements vacants (en %) 15,4 11,9 8,2

Voies de communication et transports modifier

La D922 entre Le Beil et les Quatre Routes, passant par la commune d'Ydes.

La route départementale 922, reliant Laqueuille au nord et Aurillac au sud, passe par Ydes. Elle correspond à un ancien tronçon déclassé de la route nationale 122.

Jusque dans les années 1970-1980, Ydes avait la particularité de posséder trois gares SNCF à proximité : Saignes, Champagnac-les-Mines et Largnac. Les lignes ont été fermées.

Les aéroports les plus proches sont Clermont-Ferrand[12] et Aurillac[13].

Toponymie modifier

Attesté en Hisde au XIIe siècle.

D'après Albert Dauzat et Charles Rostaing, ce toponyme provient du pré-latin is, eau ; et du suffixe -ate[14].

Histoire modifier

Les Templiers et les Hospitaliers modifier

Tout comme plusieurs communes du nord Cantal, Ydes fut le siège d'une commanderie de l'ordre du Temple qui faisait alors partie de la province templière d'Auvergne et qui est dévolue au commencement du XIVe siècle aux Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem au sein de leur langue d'Auvergne. Ydes devient ensuite un membre de la commanderie du Pont-Vieux, commune de Tauves (1293), elle-même dépendante du Grand prieuré d'Auvergne.

Époque contemporaine modifier

En , lors d'une grève importante des mineurs de Champagnac, tout le bassin minier a été assiégé par le 139e régiment d'infanterie et les brigades de gendarmerie.

Politique et administration modifier

Tendances politiques et résultats modifier

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1872   Charles de La Vaissière de Lavergne    
1925 1941 Alfred Basset Rad. Conseiller général du canton de Saignes (1923-1940)
1941 1944      
1944 1963 Alfred Basset Rad. puis SFIO Conseiller général du canton de Saignes (1945-1963)
Président du conseil général (1945-1951)
1963 1989 Bernard Ceyrac   Président-directeur général de la Sodecco (1959-1968). Chevalier de la Légion d'Honneur
mars 1989 mars 2008 Roger Besse RPR puis UMP Sénateur (1989-2008)
Conseiller général du canton de Saignes (1976-2008)
Président du conseil général (1988-2001)
Président de la CC Sumène Artense
mars 2008 mai 2020 Guy Lacam UMP puis LR Retraité
mai 2020 En cours Alain Delage DVC Chef d'entreprise
Conseiller départemental du canton d'Ydes (2021-)

Population et société modifier

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[15]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[16].

En 2021, la commune comptait 1 624 habitants[Note 3], en diminution de 8,61 % par rapport à 2015 (Cantal : −1,36 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
8798078549671 0671 0431 0281 0611 060
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0611 0141 0149649581 0311 4561 6331 838
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 1402 4522 7032 4262 7132 6382 5672 5632 535
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
2 0752 0371 9701 9801 9651 9311 8811 8661 779
2018 2021 - - - - - - -
1 6601 624-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee à partir de 2006[18].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges modifier

La population de la commune est relativement âgée. En 2020, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 22 %, soit un taux inférieur à la moyenne départementale (26,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (40,7 %) est supérieur au taux départemental (36,3 %).

En 2020, la commune comptait 791 hommes pour 841 femmes, soit un taux de 51,53 % de femmes, supérieur au taux départemental (51,16 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit :

Pyramide des âges de la commune en 2020 en pourcentage[I 11]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,1 
90 ou +
4,1 
12,7 
75-89 ans
15 
24,6 
60-74 ans
23,9 
25,3 
45-59 ans
22,6 
14,3 
30-44 ans
12,6 
10,9 
15-29 ans
9,1 
11,1 
0-14 ans
12,8 
Pyramide des âges du département du Cantal en 2020 en pourcentage[19]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,1 
90 ou +
10 
75-89 ans
13,7 
22,5 
60-74 ans
22,1 
22,1 
45-59 ans
20,6 
16,2 
30-44 ans
15,3 
13,7 
15-29 ans
11,9 
14,4 
0-14 ans
13,5 

Économie modifier

  • Ydes abrite un pôle industriel important à l'échelle du Cantal.
  • Le Groupe Lapeyre possède un site de production historique, Menuiseries du Centre, situé avenue Martial-Lapeyre.
  • Le groupe Sacatec est spécialisé dans les solutions de haute technologie à base de caoutchouc.
  • Les Ateliers du Centre est une entreprise adaptée qui propose une activité économique pour personnes handicapées, elle fait partie de la Fondation Jacques Chirac.

Culture locale et patrimoine modifier

L'église Saint-Georges.

Lieux et monuments modifier

Le portail profond semble reprendre les dispositions de celui de l'abbaye Saint-Pierre de Beaulieu-sur-Dordogne. Il a la particularité de présenter sur les murs nord et sud deux scènes assez rarement liées. Sur le mur nord, une scène du Nouveau Testament : l'Annonciation représentant l'archange Gabriel et la Vierge Marie. Sur le mur sud, une scène de l'Ancien Testament : Habacuc porté par un ange vient apporter de la nourriture à Daniel dans la fosse aux lions. La relation entre les deux scènes vient probablement de l'analogie suivante : le Christ entra dans le sein de sa mère et en sortit sans toucher au sceau de sa demeure virginale. De la même manière, l'ange enlève Habacuc en Judée avec une corbeille de nourriture et le transporte dans la fosse aux lions où se trouve Daniel sans briser le sceau (d'après Émile Mâle, L'Art religieux au XIIIe siècle). Sur l'archivolte du porche ont été sculptés les signes du zodiaque. Ce portail est datable de la fin du XIIe siècle.

  • Pendant plusieurs décennies, Ydes n'a possédé que l'église Saint-Georges. Mais devant l'accroissement de la population une chapelle a été construire à Ydes-Centre à la fin du XIXe siècle[23].
  • L'église Sainte-Jeanne d'Arc a ensuite été construite au début du XXe siècle[24].
  • Le château du Châtelet, château fort situé à Montfouilloux[25].
  • Château de Trancis, 7 route de Saignes, 15210 Ydes - XIXe siècle - Devenu un hôtel.
  • La cité ouvrière de Fanostre[26], construite par la Société des Mines de Champagnac. Plusieurs vestiges de puits de mine subsistent sur le territoire communal et une sentier permet d'en faire le tour. Un mémorial est également installé au rez-de-chaussée des anciens fours à coke[27].

Personnalités liées à la commune modifier

Héraldique modifier

Blason de Ydes Blason
D'or à deux clefs de sinople passées en sautoir, les pannetons vers senestre, à la bordure de gueules.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi modifier

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Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

Site de l'Insee modifier

  1. « Unité urbaine 2020 d'Ydes », sur insee.fr (consulté le ).
  2. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  3. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », (consulté le ).
  4. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  6. a et b « Chiffres clés - Logement en 2018 à Ydes » (consulté le ).
  7. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Ydes - Section LOG T2 » (consulté le ).
  8. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Ydes - Section LOG T7 » (consulté le ).
  9. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans le Cantal » (consulté le ).
  10. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  11. « Évolution et structure de la population en 2020 - Commune d'Ydes (15265) », (consulté le ).

Autres sources modifier

  1. La Sumène sur le site du Sandre.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Ydes et Saignes », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Saignes », sur la commune de Saignes - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Saignes », sur la commune de Saignes - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune urbaine-définition » (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  12. Le site de l'aéroport de Clermont-Ferrand.
  13. Le site de l'aéroport d'Aurillac.
  14. Albert Dauzat, Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, 1979 (ISBN 2-85023-076-6), p. 736
  15. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  16. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  17. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  18. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  19. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Cantal (15) », (consulté le ).
  20. Notice no PA00093723, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture : L'église Saint-Georges sur la Base Mérimée
  21. Bernard Craplet, Auvergne romane, La Pierre-qui-Vire, Éditions Zodiaque, coll. « La Nuit des Temps » (no 2), , 4e éd., p. 334-338.
  22. Dictionnaire des églises de France, Belgique, Luxembourg, Suisse- Auvergne. Limousin. Bourbonnais, t. II-B, Paris, Robert Laffont, p. 174-175.
  23. Notice no IA15000252, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture : La Chapelle sur la Base Mérimée.
  24. Notice no IA15000235, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture : L'église Sainte Jeanne d'Arc sur la Base Mérimée.
  25. Notice no IA15000237, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture : Le château du Châtelet sur la Base Mérimée.
  26. Notice no IA15000248, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture : cité ouvrière (cité de mineurs) dite cité de Fanostre.
  27. « Mémorial de la Mine », sur ydes.fr.