Yvonne von Deschwanden
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Yvonne von Deschwanden, née le , est une personnalité politique suisse, membre du Parti libéral-radical.
| Yvonne von Deschwanden | |
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| Fonctions | |
|---|---|
| Conseillère d'État nidwaldienne | |
| – | |
| Président | elle-même (landammann) en 2013-14 et 2017-18 |
| Département | Santé et affaires sociales |
| Successeur | Joe Christen (de) |
| Députée au Landrat du canton de Nidwald | |
| – | |
| Président | elle-même en 2005-2006 |
| Groupe politique | libéral-radical |
| Biographie | |
| Nom de naissance | Yvonne Steinmann |
| Date de naissance | |
| Nationalité | suisse |
| Parti politique | Parti libéral-radical |
| Profession | Institutrice |
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Elle est conseillère d'État du canton de Nidwald de 2010 à 2018, à la tête du département de la santé et des affaire sociales.
Biographie
modifierOrigines et famille
modifierYvonne von Deschwanden naît Yvonne Steinmann le [1].
Mariée à Albert von Deschwanden[2] et mère d'un enfant, elle vit à Buochs depuis 1975[3].
Formation et parcours professionnel
modifierElle a une formation d'institutrice[2], profession qu'elle exerce plusieurs années[4] avant de diriger pendant 20 ans sur le plan administratif l'entreprise électrique fondée avec son mari. Elle travaille ensuite dans le développement d'entreprise à Lucerne[3].
Parcours politique
modifierElle siège au Landrat du canton de Nidwald de 1994 à 2006. Présidente de son groupe pendant six ans, elle préside l'hémicyle en 2005-2006[5]. Elle est la troisième femme à occuper cette haute fonction[2].
Après quatre ans de retrait de la politique, elle se présente en 2010 à l'élection au Conseil d'État du canton de Nidwald[3]. Elle est élue au second tour le [6], en première position (pour deux sièges restants sur sept)[7], et prend la tête du département de la santé et des affaires sociales le [5]. Réélue au premier tour le , en troisième position[8],[9], elle ne se présente pas pour un troisième mandat en 2018. Elle préside le gouvernement cantonal, avec le titre de Frau Landammann, à deux reprises : en 2013-14 et en 2017-18[10].
L'une de ses principales réalisations à la tête de son département est la mise en place d'une région hospitalière commune avec le canton de Lucerne, permettant notamment d'assurer la pérennité de l'hôpital de Nidwald[10].
Autres activités
modifierElle est présidente du club de golf d'Engelberg-Titlis depuis 2019[11].
Notes et références
modifier- (de) Chancellerie d'État du canton de Nidwald, « Nidwaldner Behördenmitglieder - Personenverzeichnis : Regierungsrätinnen und Regierungsräte seit 1803 » [PDF], sur canton de Nidwald, , p. 7
- (de) Fabian Fellmann, « Es geht hier doch nicht um Mann oder Frau », Neue Luzerner Zeitung, , p. 23
- (de) Geri Wyss, « Politisches Feuer lodert wieder », Neue Luzerner Zeitung,
- (de) joel/fiss/brem, « Zentralschweiz - Yvonne von Deschwanden: «Führen und Entscheiden, das reizt mich» », sur Schweizer Radio und Fernsehen, (consulté le )
- (de) Chancellerie d'État du canton de Nidwald, « Zwei Regierungsratsmitglieder treten auf Ende der Legislatur zurück » [PDF] (communiqué de presse), sur canton de Nidwald, (consulté le )
- (de) Marc Bühlmann, « Dossier: Kantonale Wahlen - Nidwalden - Regierungsratswahlen Nidwalden 2010 », sur Année politique suisse,
- (de) Agence télégraphique suisse, « Linke in die Opposition », Walliser Bote, vol. 170, no 101, , p. 22 (lire en ligne)
- (de) Agence télégraphique suisse, « Zweiter Wahlgang nötig », Walliser Bote, vol. 174, no 68, , p. 24 (lire en ligne)
- (de) Marc Bühlmann, « Dossier: Kantonale Wahlen - Nidwalden - Regierungsratswahlen Nidwalden 2014 », sur Année politique suisse,
- (de) Martin Uebelhart, « Zurückgetretene Regierungsrätin Yvonne von Deschwanden: «Ich war glücklich mit der Politik» », sur Luzerner Zeitung, (consulté le )
- (de) Ruedi Wechsler, « Unterwaldner Golfgilde beim Jubiläumsturnier in Engelberg », sur Luzerner Zeitung, (consulté le )
Liens externes
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- Notice dans un dictionnaire ou une encyclopédie généraliste :
