École des beaux-arts de Lille
L'école des beaux-arts de Lille est une école d'art et d'architecture française fondée en 1755 qui a fourni des peintres, sculpteurs et architectes jusqu'au XXe siècle, dont plusieurs obtinrent le prix de Rome.
Fondation | 27 février 1755 |
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Dissolution | |
Type | Enseignement du dessin et de l'architecture |
Tutelles | Ville de Lille (à l'origine) |
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Ville | Lille |
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Pays | France |
Coordonnées | 50° 38′ 31″ nord, 3° 03′ 42″ est | |
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Géolocalisation sur la carte : Lille
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Historique
modifierCréation et développement
modifierLe , la municipalité de Lille ouvre sur proposition du peintre Jean-Baptiste Joseph Le Tillier (Lille, 1728 - Paris, après 1777)[1] une « école gratuite de dessin de Lille ». L'objet de cette école est de répondre aux besoins des manufactures et des fabricants en dessinateur pour leur industrie. Letillier proposera que les élèves travaillent d'après nature et demande à cet effet un modèle vivant, mais il n'est pas entendu et l'étude d'après nature ne commencera que dix ans plus tard[2].
L'école s'installe dans l'ancien hospice du 17, rue des Malades[3].
En 1760, l'architecte lillois François-Joseph Gombert (1725-1801) introduit à l'enseignement un cours sur l'architecture[4]. En 1762, les mathématiques figurent au programme, enseignées par le médecin Nicolas Joseph Saladin (La Bassée, 1733 - Strasbourg, 1829).
En 1766, l'école s'installe dans de nouveaux bâtiments spécialement aménagés pour elle dans la rue des Récollets. Un règlement est édicté le [5],[6]. Les élèves ne peuvent s'inscrire en architecture qu'après avoir suivi les leçons de l'école de dessin. L'étude d'après le modèle vivant est enseignée. La moyenne d'âge des élèves à l'entrée de l'école est 17 ans[7]. La distribution des prix a lieu le .
Outre l'enseignement, la ville de Lille organise des expositions annuelles[8] pour les artistes amateurs et professionnels, les artisans, ainsi que pour élèves à partir de 1773 ; elles cesseront en 1820.
L'Académie des arts, fondée en 1775, permet aux artistes admis d'être totalement libérés des règlements et des taxes fixés par leurs corporations, et ce jusqu'en 1793, date de la suppression des académies. Les cours reprendront dans un établissement dénommé « École centrale » jusqu'au , date de sa suppression par décret impérial.
Parmi les professeurs, Louis Joseph Watteau aura un rôle déterminant dans la création en 1803 du musée des Beaux-Arts dont il fit l'inventaire.
Le , la Ville de Lille rétablit une école d'enseignement des métiers d'arts sous le nom d'« École académique », reconnue par un décret impérial du .
L'école emménage vers 1830 dans un nouveau bâtiment construit à l'angle de la rue de la Monnaie et de la rue Alphonse-Colas en face du conservatoire[9].
En 1885, l'État créa dans plusieurs villes de France des écoles régionales d'architecture qui donnent le même enseignement, exécutent les mêmes épreuves et ont les mêmes sanctions que ceux de l'école des beaux-arts de Paris. Les études sont consacrées par le titre d'architecte diplômé par le gouvernement. Le , le ministre de l'Instruction publique et des Beaux-Arts nomme Jules Batigny directeur de l'école régionale d'architecture de Lille au sein de l'école des beaux-arts de Lille. Georges Dehaudt, professeur du cours supérieur d'architecture de l'École régionale de Lille est nommé directeur par arrêté ministériel du en remplacement de Jules Batigny décédé.
L'arrivée de Robert Mallet-Stevens en est l'occasion de faire parler de l'école dans la presse régionale[10].
La venue de cet architecte perçu comme très Parisien, déjà créateur en 1932 de la villa Cavrois dans la ville proche de Croix, est soutenue par Gabriel Pagnerre. Son projet de modernisation des enseignements sera stoppé par le déclenchement de la Seconde Guerre mondiale : sa démission est donnée en octobre 1939. Un projet immobilier pour l'école lui est dû, daté de 1936.
Sitôt nommé, Mallet-Stevens rédige une note dans un passage de laquelle (§ 8) il envisage de recourir à « des conférences à faire par des hommes très connus tant par leur activité que par leur passé. Ces conférences donneraient de la vie à l'École, ouvriraient des horizons nouveaux aux élèves et la qualité de premier plan des conférenciers donnerait à l'École un juste renom : »
- ECLAIRAGE : André Salomon[11] (1891-1970)
- VITRAUX : Louis Barillet (1880-1948)
- MEUBLES : René Herbst (1891-1982)
- HYGIENE : Dr Dequydt
- AFFICHES :Jean Carlu (1900-1997)
- PEINTURE : Albert Gleizes (1881-1953)
- SCULPTURE : Jan Martel et Joel Martel (1896-1966)
- ARCHITECTURE : Georges-Henri Pingusson (1894-1978)
- URBANISME : Le Corbusier (1887-1965)
- TYPOGRAPHIE : Charles Peignot (1897-1983)
- LE GAZ : Marcel Gaumont (1880-1962)
- MAISON MINIMUM : Maurice Barret
- DECORATION INTERIEURE : Pierre Chareau (1883-1950)
- JARDINS ET PARCS : Jacques Gréber (1882-1982)
- BIJOUX ORFEVRERIE : Raymond Templier (1891-1968)
- HISTOIRE DE L'ART : Henri Focillon (1881-1943)
- DECORS DE THEATRE Paul Colin (1892-1985)
- HISTOIRE GOTHIQUE : Pol Abraham (1891-1966)
- GRAVURE : Jean Émile Laboureur (1877-1943)
- CONSTRUCTION : Eugène Freyssinet (1879-1962)
- COMPOSITION DECORATIVE Jean Burkhalter (1895-1982),
- ETHNOGRAPHIE : Georges Henri Rivière (1897-1985)
Or le programme de la scolarité 1937-1938 indique que le « cours d'architecture est suspendu », ce qui dénote les embarras que la venue d'un personnage de son envergure a provoqués[12].
En 1964, l'école est déplacée de la rue Alphonse-Colas au 97, boulevard Carnot, à l'angle de la rue des Urbanistes, dans un immeuble neuf édifié entre 1959 et 1964 par Marcel Favier et Ludwik Peretz.
Fermeture
modifierEn 1977, l'école régionale d'architecture se sépare des Beaux-Arts et migre à Villeneuve-d'Ascq. L'école nationale supérieure d'architecture et de paysage de Lille est l'héritière de l'école des beaux-arts de Lille.
Directeurs
modifier- Louis-Jean Guéret[13], de 1755 à 1778.
- Louis Joseph Watteau (1731-1798).
- Parenthèse de l'expérience des « écoles centrales ».
- François Watteau (1758-1823), professeur à l'école de dessin.
- Édouard Liénard (1779-1848), directeur en 1823 de l'académie de dessin.
- François Souchon (1787-1857), nommé en 1836, jusqu'à sa mort, à la tête de l'école de peinture.
- Alphonse Colas (1818-1887).
- Jules Batigny, premier directeur de l'école régionale d'architecture en 1905.
- Émile Gavelle (1873-1956), de 1905 à 1935.
- Albert Baert, assure l'intérim pendant la Première Guerre mondiale.
- À la mort de Batigny en 1909, Georges Dehaudt lui succède.
- Robert Mallet-Stevens, d'octobre 1935 à octobre 1939.
- Émile Dubuisson, assure l'intérim.
- Pierre Paul Desrumaux[14] (1899-1990), retour à la tradition de 1941 à 1967.
- Marcel Favier (prix Wicar 1912), en octobre 1943, est nommé directeur de l'école régionale d'architecture.
- Janik Rozo[15] (1920 Belfort - 1998 Paris), à partir de 1972.
Enseignants
modifierEnseignant | Né en / Mort en | Maître | Spécialité | Prix / Distinction | Une réalisation illustrée |
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Rober Clément | 1907 / 1991 | Paul Bigot (Beaux-Arts Paris) |
Architecture | ||
Jules Batigny | 1838 / 1909 | Hippolyte Le Bas (Beaux-Arts Paris) |
Architecture | Chevalier LH | [16] |
Charles Benvignat | 1806 / 1877 | André Chatillon (Beaux-Arts Paris) |
Architecture | Chef d'atelier | |
Aimé Blaise | 1877 / 1961 | Louis-Ernest Barrias (Beaux-Arts Paris) |
Sculpture | Prix de Rome 1906 | |
Edgar Boutry | 1857 / 1938 | Albert Darcq | Sculpture | Prix de Rome 1887 | |
Jean-Baptiste Cadet de Beaupré | 1758 / 1828 | Clodion | Sculpture | ||
Augustin Phidias Cadet de Beaupré | 1800 / 1864 | inconnu | Dessin - sculpture | ||
Alphonse Colas | 1818 / 1887 | François Souchon | Peinture | Prix Wicar 1842 | |
Henri Contamine | 1818 / 1897 | Charles Benvignat | Architecture | ||
Albert Darcq | 1848 / 1895 | Alphonse Colas | Sculpture | ||
Georges Dehaudt | 1870 / 1947 | Émile Vandenbergh | Architecture | ||
Gaston Doisy | 1905 / 1992 | Georges Dehaudt | Architecture | ||
François-Joseph Delemer | 1860 / 1938 | Louis-Jules André (Beaux-Arts Paris) |
Architecture | ||
René Delannoy | 1882 / 1960 | Constant Moyaux (Beaux-Arts Paris) |
Architecture | [17] | |
Pierre Paul Desrumaux | 1899 / 1990 | inconnu | Peinture | Prix Wicar 1933 | |
Adolphe Dubuisson | 1839 / 1920 | inconnu | Architecture | ||
Émile Dubuisson | 1873 / 1947 | Émile Vandenbergh | Architecture | ||
Paul Antoine Hallez | 1872 / 1965 | Pharaon de Winter | Peinture | ||
François-Joseph Gombert | 1725 / 1801 | Pierre Vigné de Vigny | Architecture | ||
Louis-Jean Guéret | 17** / 17** | inconnu | Dessin | ||
Amé François Joseph Leplus | 1770 / 1831 | inconnu | Architecture[18] | ||
Alphonse Leroy | 1820 / 1902 | Charles Cousin (graveur) | Gravure | ||
Alexis Joseph Liétard | 1766 / - | inconnu | Architecture | ||
Charles-Édouard Maugendre-Villers[19] | 1852 / 1922 | Auguste Dumont (Beaux-Arts Paris) |
Sculpture | Beau-père de Jean-Gabriel Domergue |
|
André Lys | 1909 / 1973 | Georges Dehaudt | Architecture | ||
Émile Morlaix | 1909 / 1990 | Alphonse Colas | Sculpture | ||
Henry Pluchart[20] | 1835 / 1898 | Alexandre-Denis Abel de Pujol François Édouard Picot |
Peinture | ||
Fernand Sabatté | 1874 / 1940 | Gustave Moreau | Peinture | ||
François Souchon | 1787 / 1857 | Jacques-Louis David (Académie royale de peinture et de sculpture) |
Peinture | ||
Jean-Baptiste Joseph Le Tillier | 1728 / 1777 | inconnu | Peinture | ||
Émile Vandenbergh | 1827 / 1909 | Henri Labrouste (Beaux-Arts Paris) |
Architecture | ||
François Watteau | 1758 / 1823 | Louis Joseph Watteau | Peinture | ||
Louis Joseph Watteau | 1731 / 1798 | Jacques Dumont (Beaux-Arts Paris) |
Dessin Adjoint en 1770 de L.-J. Guéret Directeur du cours en 1778 |
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Pharaon de Winter | 1849 / 1924 | Alphonse Colas | Dessin - directeur du cours | ||
Victor Mollet | 1860 / 1844 | Victor Laloux | Architecture | ||
Daniel Sénélar | 1966/1977 | Nicolas Untersteller | Peinture | Prix de Rome 1951 |
- Édouard Dekeirel (1881-1974)
- N. Desmettre[21]. Embauche au
- N. Dupuis [21]. Embauche au
- Fortuné Albert Delphin Haeuw[21],[22](ca 1880 - 8 janvier 1925), sculpture; embauche au
- N. Hemery[21]. Embauche au
- J.L. Loubignac[21]. Embauche au
- N. Salomez[21]. Embauche au
- Nicolas Joseph Saladin, médecin[23], professeur de mathématiques
Élèves notables
modifierLes élèves et leur maître lillois
modifierAutres élèves
modifier- Charles-Henry Bizard (1887-1954), peintre paysagiste
- Marcel Boudin (1902-?)[25], architecture
- Louis Bonnier (1856-1946), architecture
- David Bonpain (1875-1958), architecture
- Maurice Calka (1921-1999), sculpture
- Gérard Choain (1906-1988), sculpture
- Maurice Coasnes (1913-1968), architecture[26]
- Jeannine Colin (née en 1933)[27], atelier Wicar 1962
- Constantin Louis-Marie Cordonnier-Delemer[28] (1913-2007), architecture
- Marc Crépy[29] (né en 1951), atelier Wicar 1991
- Régis Deparis (1948-2013), peintre
- Ambroise Détrez (1811-1863), peinture[30]
- Benjamin Joseph Dewarlez (1768-1819), architecture
- Luc Dupire (né en 1928), architecture
- Henri Evaldre (1829-1900), peintre verrier[31]
- Lucien Fenaux (1911-1969), sculpture
- Léon Finet (1913-), architecture, architecte à Roubaix[32]
- Victor Gengembre (1811-1864), peinture[33]
- Emmanuel Guermonprez (1902-1966), architecture (architecte à Alger 1936-1962)[34]
- José Hentgès (1900-) architecture [35]
- César-Théodore Huidiez père (1810-ca 188x) [2], sculpteur actif à partir de 1833 pendant 49 ans
- Félix Huidiez (1841-ca 1905), sculpture, actif à partir de 1866 [3]
- Omer Lecroart (1912-1988), architecture, architecte à Roubaix [36]
- Hippolyte Lefèbvre (1865-1933), sculpture
- René Leleu (1911-1984), sculpture
- Armand Ernest Lemay (1901-1957) fils, architecture[37]
- Jean-Philippe Lenclos (né en 1938), dessin
- Augustin Lesieux (1877-1964), sculpture
- Jean Monneret (né en 1922), peintre
- Maurice Maes (1910-) architecture, architecte à Roubaix [38]
- Odette Maugendre-Villers (1884-1973), élève en 1907-1908[39], sculpture (épouse de Jean-Gabriel Domergue[40])
- Pierre Neveux (1902-1972) architecture, architecte à Roubaix [41]
- Achille Panichelli (1878-1942), architecture [42]
- Edmond-Jules Pennequin, gravure[43],[44],[45]
- Ludwik Peretz (1923-20xx)architecture
- Gustave Poubel (1891-), architecture, architecte à Roubaix[46]
- Maurice Salembier (1929-2008) architecture
- Aldo Travaglini (1914-1999) architecture (architecte à Saint-Dié[47])
- Maurice Vantyghem (1914-), architecture (architecte à Marcq-en-Baroeul[48])
- Georges Armand Vérez (1877-1933)[49]
- Pierre Verlé (1914-), architecture (architecte à Château-Thierry[50])
- François Verly (1760-1822), architecture
- Gaston Watkin (1916-2011), sculpture
- Jean Willerval (1924-1996), architecture
- Pierre Willoqueaux (1912-) architecte, fils d'Ernest[51]
Collections
modifier- 63 dessins conservés à la bibliothèque municipale de Lille, cote MS 858.
Notes et références
modifier- Jean-Baptiste-Joseph Le Tillier, ou Letillier père, est un peintre miniaturiste de la reine et du prince de Conti. Il demeure place du quai Conti et épouse Christine-Antoinette-Chambellan Duplessis, fille de Jean-Claude Chambellan Duplessis (1699-1774), directeur des ouvrages de la manufacture de porcelaine de Vincennes, puis à la manufacture de Sèvres, in table chronologique de documents relatifs à Jean-Baptiste Perronneau). Christine Chambellan Duplessis assiste au mariage de Jean-Baptiste Perronneau en qualité d'amie du marié.
- Les écoles de dessin au XVIIIe - Agnès Lahalle.
- Selon Maurice Vandalle, op. cit., l'école de nos jours serait située au 248, rue Pierre-Mauroy.
- Hippolyte Verly, op. cit., p. 233.
- Archives municipales de Lille, carton 103, Règlement de l'Académie des Arts de Lille.
- Un concierge assure la surveillance des élèves pendant les cours. Les élèves contrevenants au règlement sont chassés de la classe la première fois jusqu'au lendemain, la seconde fois le concierge porte les faits à la connaissance des parents et la troisième fois l'élève récalcitrant doit s'acquitter d'une amende de cinq sols qu'il verse dans la boîte destinée à cet usage aux profits des pauvres. À défaut de paiement, il est exclu des cours jusqu'à ce qu'il ait rempli ses obligations.
- Jean-Jacques Duthoy et Hervé Oursel, op. cit.
- À partir de 1789, les expositions deviennent bisannuelles (G. Maës, op. cit.).
- « Lille - Conservatoire et école des beaux-arts », sur lilledantan.com (consulté le ).
- F.-J. Lardeux, « M. Robert Mallet-Stevens, directeur de l'École des Beaux-Arts à Lille, grand artiste moderne. », Le Grand Écho du Nord de la France, no 296, , Une et 3 (lire en ligne, consulté le ).
- André Salomon sur IdRef.fr.
- F.-J. Lardeux, « Le nouveau directeur de l'École des Beaux-Arts de Lille / Une protestation (signée de Maurice Vandenbeusch au nom de l'association des anciens élèves et amis de l'École des Beaux-Arts. », Le Grand Écho du Nord de la France, no 296, , p. 3 (lire en ligne, consulté le ).
- [1].
- Fonds Pierre-Paul Desrumaux 1920 - 1936.
- Janik Rozo sur IdRef.
- Notice no PA59000073, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Église Saint-Vaast de La Bassée », notice no IA59000731.
- Hippolyte Verly, op. cit., p. 140.
- Embauche au .
- Henri-Eugène Pluchart sur artnet.
- Caisse de retraite des employés municipaux - date comptant pour le départ des droits à retraite - 23 juin 1916 - pp. 158 et ..
- Procès-verbal du conseil municipal de Lille du 3 février 1925.
- Prospectus des leçons de dessin, d'architecture et de mathématiques qui seront données dans l'École publique, rue des Récollets, par MM. les professeurs Guéret, Gombert et Saladin, choisis par Messieurs les Magistrats de la ville de Lille, vol. AM Lille carton 103 Liasse 1, Lille, coll. « Archives municipales de Lille », .
- « Notice Agorha »
- Marcel Henry Émile Boudin - Dossier d'école sur Agorha.
- « Notice Agorha »
- Jeannine Colin.
- Constantin Louis-Marie Cordonnier-Delemer (1913-2007) - Dossier d'école sur Agorha.
- Marc Crépy.
- Hippolyte Verly, op. cit., p. 73.
- Hippolyte Verly, op. cit., p. 86.
- « Notice Agorha »
- Hippolyte Verly, op. cit., p. 102.
- « Notice Agorha »
- « Notice Agorha »
- « Notice Agorha »
- « Notice Agorha »
- « Notice Agorha »
- Année scolaire 1907-1908.
- « jardin d'agrément de la villa Fiesole, puis villa Domergue », notice no IA06000676.
- « Notice Agorha »
- « Notice Agorha »
- Notice no 01320017017, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
- Illustrateur d'œuvres (notamment) d'Albert Samain.
- Edmond Pennequin sur data.bnf.fr.
- « Notice Agorha »
- « Notice Agorha »
- « Notice Agorha »
- Commission de l'instruction publique - Subsides de la ville de Lille […] - École des beaux-arts de Paris […] - anciens élèves (lillois), p. 516.
- « Notice Agorha »
- « Notice Agorha »
Annexes
modifierBibliographie
modifier- Joseph Paris de Lépinard, « Notes pour servir à l'histoire de l'École de dessin de la ville de Lille - continuation et remplacement de la loi de la ville de Lille 1er novembre 1775 », dans Jean-Paul Visse, 1789, l'année révolutionnaire, FeniXX, (ISBN 9782402129558, lire en ligne).
- Hippolyte Verly, Essai de biographie lilloise contemporaine, 1800-1869 : augmenté d'un supplément et accompagné de notes historiques et bibliographiques, Lille, Six-Horemans, coll. « Leleu, libraire, rue du curé Saint-Etienne, 11 », , 250 p. (lire en ligne), p. 212 / 223-236 (École académique de Lille).
- Jules Houdoy, L'Académie des Arts de Lille : Études artistiques, Paris, , p. 89-114.
- Jules Duthil, Les écoles académiques de Lille : Au jour le jour, t. III, , p. 192-199.
- A. de Meunynck, Les médailles de l'École des beaux-arts de la ville de Lille et les origines de cet établissement : Au jour le jour, t. XIV, , p. 406-416.
- Émile Gavelle, L'École des beaux-arts de Lille, Lille, (présentation en ligne).
- Jean-Jacques Duthoy et Hervé Oursel, L'enseignement à l'Académie des Arts de Lille au XVIIIe siècle : (À propos d'un album de dessins de la Bibliothèque municipale de Lille), vol. 281, t. LXXI, coll. « Revue du Nord », (lire en ligne), p. 377-399.
- Hervé Oursel, « L'Académie des Arts de Lille au XVIIIe siècle », in Anton Willem Adriaan Boschloo (1938-2014) et al (éd.) Academies of Art between Renaissance and Romantism, La Haye, 1989, p.244-253.
- Louis Trénard (sous la direction de), Histoire de Lille - L'ère des révolutions (1715-1851), Toulouse, (lire en ligne), sur Persée.
- Gaëtane Maës (préf. Michel Christian), Les Watteau de Lille. Louis Watteau (1731-1798) et François Watteau (1758-1823), Paris, Arthena, , 586 p. (ISBN 978-2-903239-23-7).
- Gaëtane Maës (préf. Philippe Bordes), Les Salons de Lille de l'Ancien Régime à la Restauration (1773-1820), Dijon, L'Échelle de Jacob, , 506 p. (ISBN 978-2-913224-46-9).
- Gaëtane Maës, « Charles Lenglart (1740-1816) ou la fonction sociale d'une collection », dans Sophie Raux (acte de colloque), Collectionner dans les Flandres et la France du Nord au XVIIIe siècle, Villeneuve d'Ascq, Université de Lille 3, (ISBN 2-84467-066-0), p. 19-40.
- Richard Klein, « Au nord, le rêve de l'union de l'art et de l'industrie », -, - (lire en ligne, consulté le ).
- Céline Frémaux, « Construire des églises en France dans la seconde moitié du XXe siècle. De la commande à la réalisation. Nord-Pas-de-Calais (1945-2000) », Université Rennes 2-, (lire en ligne, consulté le ).
Articles connexes
modifierLiens externes
modifier
- Maurice Vandalle, Le Salon des Arts et le Musée de Lille de 1790 à 1803, vol. 124, t. 31, Revue du Nord, (lire en ligne), p. 207-218.
- Aristote Crapet, La vie à Lille, de 1667 à 1789, d'après le cours de M. de Saint-Léger : Chapitre XIV - Mouvement artistique, vol. 24, t. 6, Revue du Nord, (lire en ligne), p. 304-322.
- Au sujet de «M. de Saint-Léger», voir : Louis Jacob, « De Saint-Léger (Alexandre) », Histoire de Lille des origines à 1769 1942. In Revue du Nord, tome 26, no 104, , p. 316-321 (lire en ligne, consulté le ).