: Abdelkrim affronta une nouvelle fois les forces des seigneurs de guerre, Amar Hamidou et Hajj Bekkiche. Le , avec 1 800 hommes, Amar Hamidou attaqua les Ait Ammart. Lors de cette attaque, Amar Hamidou était soutenu par certaines tribus de la vallée de l’Ouergha, hostiles à Abdelkrim et aux Rifains. Plusieurs villages des Ait Ammart furent détruits, et nombreux furent ceux qui se réfugièrent chez les Aït Ouriaghel, au nord[1].
Le siège d'Agdoz (1923) est une tentative marocaine avortée de s'emparer de la position (alors espagnole) d'Agdoz, située entre Dar Akoba et Talamb, et chargée de protéger les communications entre Tétouan et Chefchaouen.
↑(en) Charles Edmund Richard Pennell, « A critical investigation of the opposition of the Rifi confederation led by Muhammed bin 'Abd al-Karim al-Khattabi to Spanish colonial expansion in northern Morocco, 1920-1925, and its political and social background », Université de Leeds (thèse), (lire en ligne, consulté le )