37e régiment de marche
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Pour 37e régiment de marche formé à Paris en 1870, voir 137e régiment d'infanterie.
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Le 37e régiment d'infanterie de marche (ou 37e régiment de marche) est un régiment d'infanterie français, qui a participé à la guerre franco-allemande de 1870 et à la campagne de 1871 à l'intérieur.
| 37e régiment d'infanterie de marche | |
 Le 37e de marche défend le cimetière de Loigny, le (illustration de Louis Bombled). | |
| Création | |
|---|---|
| Dissolution | |
| Pays |  France
|
| Allégeance | Gouvernement de la Défense nationale Gouvernement de Versailles |
| Branche | Armée de terre |
| Type | Régiment de marche |
| Rôle | Infanterie |
| Fait partie de | Armée de la Loire Armée versaillaise |
| Guerres | Guerre franco-allemande de 1870 Campagne de 1871 à l'intérieur |
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Création et différentes dénominations
modifier- : formation du 37e régiment d'infanterie de marche
- : fusion dans le 37e régiment d'infanterie de ligne
Chef de corps
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Historique
modifierLe 37e régiment de marche est formé par décret du [1], à trois bataillons à six compagnies[2]. Il amalgame mi-octobre à Bordeaux les 1re compagnies de dépôt des 25e[3], 26e[4], 27e[5], 28e[6], 30e[7], 31e[8], 32e[9], 34e[10], 39e[11], 46e[12], 48e[13], 52e[14], 53e[15], 54e[16] et 97e régiments d'infanterie de ligne[17], la 3e compagnie de dépôt du 38e régiment d'infanterie de ligne[18] et la 6e compagnie du 4e bataillon du 33e régiment d'infanterie de ligne[19].
Au , il fait partie de la 1re division du 16e corps d'armée[20] (armée de la Loire). Il combat à la bataille de Loigny le , où deux bataillons sont isolés dans le cimetière de Loigny et résistent deux heures avant d'être capturés.
Il est renforcé en décembre au Mans par un détachement de 400 hommes du 73e de ligne[21].
Le , le 37e de marche passe à la 7e division de l'armée de Versailles qui vient d'être créée pour réprimer la commune de Paris[22]. Cette armée est réorganisée le et le régiment passe à la 3e division de la 1re armée de Versailles[23].
Il fusionne le dans le 37e régiment d'infanterie de ligne[24].
Notes
modifier- Belhomme 1902, p. 523.
- Martinien 1911, p. 444.
- Martinien 1911, p. 67.
- Martinien 1911, p. 69.
- Martinien 1911, p. 71.
- Martinien 1911, p. 73.
- Martinien 1911, p. 77.
- Martinien 1911, p. 79.
- Martinien 1911, p. 80.
- Martinien 1911, p. 84.
- Martinien 1911, p. 92.
- Martinien 1911, p. 103.
- Martinien 1911, p. 107.
- Martinien 1911, p. 114.
- Martinien 1911, p. 115.
- Martinien 1911, p. 117.
- Martinien 1911, p. 186.
- Martinien 1911, p. 91.
- Martinien 1911, p. 82.
- Belhomme 1902, p. 525.
- Martinien 1911, p. 147.
- Belhomme 1902, p. 557.
- Belhomme 1902, p. 558.
- Belhomme 1902, p. 568.
Voir aussi
modifierBibliographie
modifier- Victor Belhomme, Histoire de l'infanterie en France, t. 5, Henri Charles-Lavauzelle, (lire en ligne).
- Aristide Martinien, La mobilisation de l'armée, mouvement des dépôts (armée active) du 15 juillet 1870 au 1er mars 1871 : guerre de 1870-1871, Paris, L. Fournier, , 463 p. (lire en ligne).
