Alcácer do Sal
Alcácer do Sal (en arabe : القصر أبي دانس Al-Qaser Abu Danis ; en latin : Salacia urbs Imperatoria[2]) est une municipalité (en portugais : concelho ou município) du Portugal, située dans le district de Setúbal et la région de l'Alentejo.
Alcácer do Sal | |
Héraldique |
Drapeau |
Administration | |
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Pays | Portugal |
Région | Alentejo |
Sous-région | Alentejo littoral |
Ancienne province | Bas Alentejo |
District | Setúbal |
Maire | Vítor Proença (CDU) |
Démographie | |
Population | 13 046 hab. (2011[1]) |
Densité | 8,8 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 38° 21′ 00″ nord, 8° 29′ 00″ ouest |
Superficie | 147 994 ha = 1 479,94 km2 |
Localisation | |
Liens | |
Site web | http://www.m-alcacerdosal.pt |
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Histoire modifier
Des navires sous le commandement de Guillaume Ier de Hollande et du comte Georges de Wied arrivèrent à Alcácer do Sal le 2 août 1217. Ils furent rejoints par les Portugais envoyés pour assiéger le château au mains des Maures[3]. Les gouverneurs musulmans de Séville, Cordoue, Jaén et Badajoz ont tenté de lever le siège mais leurs renforts ont été vaincus le 11 septembre. Le château se rendit le 18 octobre 1217, avec des troupes chrétiennes supplémentaires fournies par Pedro Alvítiz de Castille[4],[5].
Géographie modifier
Alcácer do Sal est limitrophe :
- au nord, de Palmela, Vendas Novas et Montemor-o-Novo,
- au nord-est, de Viana do Alentejo,
- à l'est d'Alvito,
- au sud, de Ferreira do Alentejo et de Grândola,
- à l'ouest, encore de Grândola, dont elle séparée par l'estuaire du fleuve Sado,
- au nord-ouest, de Setúbal, dont elle séparée par l'estuaire du fleuve Sado.
Démographie modifier
Jumelages modifier
Subdivisions modifier
La municipalité d'Alcácer do Sal groupe 6 paroisses (en portugais : freguesias) :
Personnalités en lien avec la commune modifier
Notes et références modifier
- (pt)INE, « Résultats définitifs du recensement 2011 », (consulté le )
- Site de tourisme officiel du Portugal
- Joseph F. O'Callaghan (2003), p.79
- Joseph F. O'Callaghan (2003), p.80
- Joseph F. O'Callaghan (2003) fait référence à l'intervention d'une "armée céleste de chevaliers tous vêtus de blanc" et à des visions du "signe de la sainte croix dans le ciel en signe de [leur] victoire"